Fearwood
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Fearwood

Fearwood est une ville où cohabitent diverses espèces, humains, vampires, loups-garous, sorcières. Attention à vos arrières. Ceci est un RPG.
 
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Une vieille histoire refait surface ft Azaël
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Luna Silver
Alors moi c'est : Luna
On m'appelle aussi : Lysandra Karalis
Je suis agé(e) de : 28 ans
Je suis : un loup garou
Et j'adhère à l'alignement des : surnaturels
Mon métier c'est : Mannequin
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Luna Silver
Ma chère Luna, où passes-tu tes dimanches ? A la ferraille ! Bah tiens, on se moquerait bien de moi. Certains penseraient que je viens chercher ce fameux trésor dont tout le monde parle mais je m'en moque bien de ce fichu trésor qui n'existe pas. Il y a des fantômes attention, me dira-t-on. Ha... ha, ha... Non sérieux ? Je frissonne à cette pensée. Ma dernière rencontre avec un esprit ne s'est pas très bien passée et je ne veux pas revivre ça, surtout si je suis toute seule. Et là clairement, je le suis ! Bah oui, qui voudrait accompagner une louve à la ferraille ?

Pourquoi j'y suis déjà ? Une bien bonne question. Ma très chère moto commence à s'essouffler et je n'ai pas envie d'en changer pour le moment donc je viens chercher des pièces de rechange. Et il n'y a qu'ici que je peux trouver ce que je cherche. Le soleil est déjà bien haut dans le ciel. On est encore en hiver mais il tape rudement aujourd'hui. Ou alors je suis malade. Non, ça c'est impossible. Tant que je n'ai pas de frissons, je sais au moins qu'il n'y a pas de fantôme dans le coin. Soleil, tape encore sur moi s'il-te-plaît. La grande Luna a peur des esprits, non mais la honte.

Je retourne encore et encore toutes les pièces que je trouve mais rien ne me plaît pour le moment. C'est alors que je vois au loin une moto abandonnée. Je m'en approche et commence à l'examiner. Hmm, elle est intéressante, je devrais pouvoir récupérer quelques pièces pas mal !

Alors que je m'apprêtais à commencer mon travail, je sens un frisson. Ha, ha ha... C'est une blague hein ? Juste une petite brise. Oui c'est ça. Une petite brise. Je reprends ma tâche en essayant de faire comme si de rien n'était. Mais le fait est que je sens quelque chose, ou quelqu'un. Et je me sens oppressée. J'ai juste la trouille, c'est tout. Il n'y a rien, ni personne. Il n'y a personne hein ? Je me retourne vers l'endroit d'où semble provenir cette étrange sensation, prête à sortir mes griffes.

"Il y a quelqu'un ?"

Je fais en sorte de mettre de l'assurance de ma voix. Pitié, faites que ce soit juste un chat ou une connerie du genre.
Jeu 27 Jan - 20:41
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Azaël Hook
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Azaël Hook


Azaël Hook & Luna Silver


J’avais essayé une shitload de cochonneries cette nuit-là, sans succès. Et par cochonneries je veux dire : MDMA, PCP, LSD, cocaïne, extasy, sel de bain… L’avantage d’être déjà mort, on ne peux pas mourrir de ces substances. À mon plus grand désarrois. Je ne sais pas si je cherchais à avoir tout qu’un buzz en les asseyant tous, ou six e cherchais à m’endormir et ne plus jamais me réveiller. Actuellement, je me sens dans une drôle de passe. Je cumule les aventures les unes après les autres, toujours en quêtes de sensations fortes. J’ai également accumulé les fond de bouteille de forts et celles vides, qui jonche le sol de mon domicile assez luxueux pour un appartement. La pièce, de style studio, comporte tout ce dont j’ai besoin; un lit, un frigo, un lit…un très grand lit. Oh, une salle de bain aussi. Disons que c’est l’un des minimums pour avoir du plaisir. Mais actuellement, me voilà assis sur le sofa, à fixer le vide avec une bonne vieille bouteille de Brandy. Je fais tourner le liquide doré dans son enceinte de verre comme si ça allait soudainement me rapporter une joie de vivre. En ais-je déjà eu ? Je crains bien que non. J’ai toujours préféré faire taire mes sentiments. Malheureusement, ils sont revenus la dernière fois où j’me suis tapé une blues et que j’ai fait la connaissance de cette jeune louve, Laura. Elle m’a aidé à me remonter, sans même qu’il ne se passe quoique ce soit entre nous, elle me repoussais sans cesse. C’est vrai que je peux être repoussant parfois, mais il est vraiment rare que les gens me disent non.

Je soupire, me mord la joue et lève les yeux au plafond. Et si je sortait ? J’ai l’impression qu’il y a des semaines que je n’ai pas quitté ma tanière; et pourtant. Prendre un peu d’aire pourrait peut-être m’aider à éliminer ces substances qui ne font, à dire vrai, pas vraiment d’effets encore à l’heure qu’il est. Je suis plus près d’un overdose que d’un excellent trip hallucinogène. Comme si mon vieux pote avait entendus mes pensés, ce dernier, prenant place dans un coin du plafond me mentionne qu’il y aurait, apparemment, un trésors caché dans une vieille ferraille, bien gardé par le fantôme de son propriétaire. Je lui demande qui lui a raconté de tels mensonges, et ce dernier me réponds que les fantômes parlent, qu’il s’animent. Je roule des yeux, pas d’humeur à partir à la chasse au trésors. Mais entre nettoyé mon bordel ou le repousser à plus tard, je préfère repousser à plus tard et tout d même aller à la ferraille. Après une douche rapide comme je dois empester le fond de baril, j’enfile des vêtements simples et me rend directement sur les lieux. J’en fait le tour, un joint de marijuana en bouche pour aider à garder le plus long mon appétit de côté. Ainsi, lorsque ma soif est plus intense, j’ai encore plus de plaisir à faire cesser le coeur de battre de mes victimes. Bon, d’accord. Il y a un bail que je n’ai tué personne, remercions Ayane pour réussir à me tenir tranquille, ou encore Ariane de m’avoir séquestré un moment dans son sous-sol. Peut-être que ça a aider un peu.

Me faufilant tel le vent entre les tas de ferraille, silencieux comme la mort elle-même, J’entend soudainement un morceau de métal qui semble retomber contre un autre. Curieux, j’avance à une vitesse vampirique vers la provenance et reste à l’écart pour avoir un apparu. Avec une bourrasque de vent, son odeur vient à moi, mais je l’aurait reconnu parmi milles autres. Sa voix glisse à mes oreilles comme un douce mélodie, pleine de peurs. Un sourire narcissique allume mon visage et je prend une bouffé d’air sur le mégot. À une vitesse incroyable, je m’approche d’elle et répond à sa question d’une voix calme, légèrement rauque.

Luna, quel surprise.

J’hausse un sourcil, passe le revers de ma main près de sa joue lorsqu’elle se retourne pour me faire face, comme si j’allais la caresser mais n’en fait rien. Tenu par le bout de mon index et mon majeur, je porte à nouveau le petit mégot de marijuana à mes lèvres, fait rougir l’extrémité et prenant une bonne inspiration, puis rejette ma fumée en la faisant rouler dans mes poumons puis ma bouche, de côté pour ne pas lui souffler au visage. Oh petite louve, que fais-tu dans ce tas de ferraille, ce n’est pas le genre d’endroits à fréquenter en hiver. Je termine la dernière petite bouffé à prendre sur mon joint et le laisse tomber au sol avant de m’allumer une cigarette pour changer le goût. M’enfin, les deux goûte assez mauvais, mais disons que ça change du bourbon.

Je ne pensais pas te revoir de si tôt. Ça fait quoi, 2 ans, 3 ? Je la relook d’haut en bas. Ses habits la mettent en valeur, ça c’Est certain. Mentir serait de dire si je n’ai pas une certaine petite hausse de désir alors que je la regarde.

Toujours aussi séduisante.

Je termine mon commentaire avec un rapide haussement des sourcils et penche légèrement ma tête sur le côté, avec un sourire en coin, gardant mes yeux dans les siens.

Sam 29 Jan - 6:31
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Luna Silver
Je jure que la prochaine fois que je me décide à sortir seule dans les coins reculés de Fearwood, je le ferais mais accompagnée. D'habitude, ça ne me fait rien de sortir seule. J'ai des griffes et des crocs, je dois pouvoir m'en sortir. Mais en ce moment, je ne sais pas, je ne dois pas être dans mon état normal. J'ai peur. Et cela fait bien longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Foutu fantôme. Je suis une louve bordel, pas une de ces frêles créatures humaines. Voilà que je me mets à pester toute seule, non mais franchement. Je lâche un grognement de frustration.

Me reconcentrer sur ma tâche semble bien plus difficile que prévu. Le silence règne ici, alors deux pièces de métal qui s'entrechoquent ça fait du bruit, beaucoup de bruit, et ça se répercute partout. Je fais abstraction, gardant un œil sur le nouveau bijou que j'ai trouvé mais laissant traîner mes oreilles derrière moi, au cas où un inconscient viendrait à vouloir faire je ne sais quoi pendant que j'ai le dos tourné.

Je finis par me retourner, demandant bien naïvement s'il y a quelqu'un. Evidemment qu'il y a quelqu'un, mais si je m'attendais à lui. Mais heureusement pour lui que j'ai reconnu son odeur sinon il aurait pu morflé. A la seconde où j'ai perçu du mouvement près de moi, j'ai balancé mon poing. Poing qui s'est arrêté à quelques millimètres de sa belle gueule. Parce que je l'ai reconnu. Azaël. Dois-je rire ou pleurer ? J'abaisse ma main mais la garde fermée. J'ai un bien mauvais pressentiment qui me dit de rester sur mes gardes. Mes griffes et crocs dehors, j'essaie de reprendre tout de même une pose un peu plus décontractée. Après tout, une morsure et il est mort. Et il le sait pertinemment.

"Azaël. Que devrais-je dire ? Bien étrange de te croiser ici."

Moi qui pensait ne jamais le recroiser, le destin en a voulu autrement. Bonne ou mauvaise nouvelle, je devrais le savoir assez vite. Nous ne devions pas nous revoir alors je dois dire que c'est assez étrange. Gênant ? Non quand même pas mais... bizarre. Sa main s'était approchée de ma joue sans la toucher. Je n'ai pas bouger. Je n'ai pas peur de lui et il ne verra aucune de mes faiblesses. Je me contente de le fixer droit dans les yeux. Le défiant presque de tenter quoi que ce soit ici. Il se contente de fumer son mégot. Je lui suis reconnaissante de ne pas tout me recracher à la figure. Je déteste vraiment ces odeurs. Un mauvais sourire plane sur ses lèvres. A vrai dire, ce visage me rappelle le Azaël que j'ai vu en boite, pas celui avec qui j'ai passé la nuit. Je suis encore plus méfiante. J'en laisserai presque sortir mes crocs de ma bouche. Mais je me contiens. Pour le moment. Tant qu'il ne tente rien de stupide.  Un long silence suit. Il fume et on se fixe sans rien dire. Il finit par reprendre la parole, disant tout haut ce que je pensais. Moi non plus je ne pensais pas te revoir petit vampire. Il me reluque sans gêne. Pourquoi le ferait-il ? Après tout, il m'a déjà vu nue. Mais l'inverse est vrai aussi.

"Et moi donc, mon cher. Environ oui. Mais ce n'est sûrement pas assez on dirait ? Serais-tu déçu de me voir ?"

Je le regarde un instant puis reprends.

"Et toi tu sens toujours autant l'alcool. Quand comprendras-tu que ça ne te fait rien ? Au moins, tu sembles avoir gardé une belle gueule et un beau corps là-dessous..."

Je montre de mes yeux ses habits. Pourquoi je me gênerais si lui se le permet ? Je m'adosse à la moto que j'ai retrouvée, tout en continuant à le regarder.

"Alors, mon cher vampire, qu'est-ce qui t'amène dans cet endroit ?"
Dim 30 Jan - 21:45
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Azaël Hook
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Azaël Hook & Luna Silver


À partir de quel moment doit-ont commencer à s’inquiéter de quelqu’un ? Est-ce à partir du moment où l’on a plus de visuel sur ses mains ? Ou bien à partir du moment où cette personne semble ne pas nous faire confiance ? Je veux dire, Luna semble être sur ses gardes avec moi pour je-ne-sais-trop quelle raison, mais à qui bon ? Il lui suffit d’une petite transformation, d’une morsure, et me voilà à l’article de la mort, quoi. Nous convenons d’un commun accord que c’est orange de tomber l’un sur l’autre, que de surprise. Le froid qui règne entre-nous ne me surprend pas vraiment. Ce n’était que l’histoire d’une nuit, après tout. À quoi bon jouer les gentils garçon maintenant ? Et puis, ce n’est pas son anniversaire aujourd’hui, elle n’est plus cette princesse qu’elle a jadis été dans le passé. Je me rappel très bien de cette nuit, seulement je refuse de songer à tout ce qui s’est produit entre nos parties de jambes en l’air. Elle me dévisage un instant en silence, avant de m’envoyer d’un drôle d’air une pointe en lien avec ma consommation d’Alcool.

Et moi donc, mon cher. Environ oui. Mais ce n'est sûrement pas assez on dirait ? Serais-tu déçu de me voir ?"Et toi tu sens toujours autant l'alcool. Quand comprendras-tu que ça ne te fait rien ? Au moins, tu sembles avoir gardé une belle gueule et un beau corps là-dessous… 

J’éclate de rire et lui répond du tac au tac.

Tu ne mâches pas tes mots. Je ne buvais pas autant par le passé, ne te méprends pas. Déçu ? Le mot est bien fort. Je suis disons…assez content en fait. Je fais un pas vers la demoiselle, sans cesser de la fixer de mon regard ambré. Cette dernière détail mon accoutrante sans ce gêner, ce qui élargit mon sourire. Il est tout de même vrai que je n’ai pas changé depuis notre dernière rencontre, de toute façon c’est assez impossible. Je ne peux plus vieillir, je suis figé dans se corps et cet âge à jamais. J’ai peut-être seulement quelques tatouages de plus sur mon corps, sans plus. La pose qu’elle prend contre la moto derrière elle la rend quasiment sexy. Je prend une bouffé de ma cigarette et rit en laissant sortir la fumée, la tête baissé.

Ce qui m’amène ici ? J’ai besoin d’une raison pour être ici i? Je ne savais pas. Tu es quoi ? La nouvelle gardienne des lieux ? Moi qui croyait que c’était ce bon vieux proprio décédé qui en avait la garde. J’ai dû me tromper.

Je laisse de côté cette animosité inconnu qui semble avoir pris place entre nous. Depuis quand est-ce qu’elle me déteste, d’ailleurs ? Est-ce que c’est parce que je me suis poussé après qu’elle se soit endormi ? Je croyais que c’était pourtant ce qu’elle voulait. Ce qu’on voulait, tous les deux. Peut-être me suis-je trompé ? Peut-être aurais-je dû rester à ses côté, jouer au petit ami parfait le temps d’une nuit jusqu’à son réveil. Alors là, pas question. Je ne lui devais rien, et elle non plus. Peut-être ais-je trop parlé lors de cette soirée. Malgré tout, je garde ce que je disais il y a des années, ses yeux… putain ses yeux. Se sont ceux de Marwa, c’est certain. D’un clignement des yeux je chasse à nouveau ces mauvais souvenir. Depuis que j’ai fait taire mes sentiments, il n’y a plus grand chose qui me touche, me font mal. C’est si simple, si simple… Les remords, parties à jamais. Je ricane à nouveau et m’approche un peu d’elle, glissant mes yeux dans les siens.

Peut-être que j’avais envie de te voir ? De reprendre là où nous avions arrêter ?

Je passe d’un oeil à un autre, une légère teinte de désir brillant dans les miens. C’était tellement amusant, pourquoi ne pas recommencer ici, il y a pleins d’endroits où nous pourrions être à l’abris du froid. Je ne m’attend pas à ce qu’elle accepte mes avances, mais que serait Azaël s’il n’essayât pas de draguer les jolies demoiselles rencontrer dans les cours de ferrailles ? Le mégot continu sa brûlure sur le bout de mes doigts, tombant au sol dans un son sourd tandis que la fumé remonte légèrement entre nous deux, s’enfuyant avec le vent.

Dim 30 Jan - 23:38
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Puis-je lui faire confiance ? Ou non ? Telles ont été les premières questions qui sont apparues dans mon esprit. Et qui apparaissent à chaque fois que je croise quelqu'un que je ne connais pas ou peu ces temps-ci. Pas de chance pour lui, depuis que l'on se connaît j'ai eu l'immense chance de faire de mauvaises rencontres donc je me méfie de tout et tout le monde maintenant, surtout à Fearwood, qui grouille de chasseurs. Et puis, même si j'ai passé une nuit avec Azaël, qui sait ce qu'il s'est passé ces dernières années ? On n'est jamais trop prudent. Notre conversation est froide, mais pas forcément animale. Je me méfie mais je ne montre pas les crocs, et lui non plus. A vrai dire, la situation a même l'air de plutôt l'amuser. Il éclate de rire suite à ma pique et arrive même à m'arracher un sourire. Peut-être que l'on se détendra au fur et à mesure que nous parlons. Je hausse un sourcil puis souris, à pleines dents cette fois, dévoilant mes belles canines.

"Les ai-je déjà mâché ? J'ai toujours été directe avec toi, et avec tout le monde en général. Pourquoi tourner autour du pot ?"

Je n'ajoute rien sur sa consommation d'alcool, qu'est-ce que j'en sais après tout ? On a juste bien bu le soir où on s'est rencontré. Le reste du temps, je ne sais pas ce qu'il faisait, et c'est bien son problème en fait. Il ajoute finalement qu'il est content de me voir.

"Tu es content de me voir ? Tiens donc... Toi qui n'aime pas les loups, c'est un peu un comble."

Il s'avance vers moi mais je reste immobile. Je ne vais certainement pas reculer devant lui, mais je n'avancerai pas non plus. Par contre, il a intérêt à rester à une distance raisonnable. Je me pose finalement contre la moto, ce qui me permet de m'éloigner un peu, tout en le gardant à l'œil.

"A vrai dire non, tu as raison. Tu peux bien faire ce que tu veux ici, tant que tu ne tues pas à proximité de moi. Pas du tout non, et je suis bien contente qu'il n'y ait pas de gardien d'ailleurs."

Je frissonne lorsqu'il évoque le propriétaire décédé. J'espère qu'il ne hante pas les lieux. Je regarde les alentours mais je ne vois rien. Je reporte mon attention sur le vampire, toujours en gardant mes sens aux aguets. Il semble plus calme, à vrai dire je ne sais même pas pourquoi j'ai été aussi sèche. Il n'y a aucune raison à cela. Ce qui s'est passé il y a quelques années appartient au passé, nous étions d'accord là-dessus. Je souffle un coup pour me détendre. Je ne le déteste pas, et je pense que l'inverse est vrai aussi. Mais il semble reprendre son attitude d'avant. Et il se rapproche encore de moi, plantant son regard hypnotisant dans le mien. Ne joue pas à ça, tu sais que tu ne peux pas m'hypnotiser. Je place mes mains sur son torse pour l'arrêter. Je sens ses muscles sous mes doigts mais j'essaie de ne pas y prêter attention, gardant mes yeux dans les siens. Je ris un instant.

"Bah voyons... Tu ne savais même pas que j'étais à Fearwood, alors ici à la ferraille ? Ca t'arrange bien que je sois là en fait..."

Il continue de me fixer et je revois cette lueur de désir qui brillait si fort cette nuit du 21 novembre. Non, non vampire, tu n'auras pas ce que tu veux. Il finit par lâcher son mégot et nous nous regardons quelques instants en silence.

"Tu m'as habituée à mieux qu'une ferraille. Et si moi je n'ai pas envie, tu vas faire quoi ?"

Disant cela, je colle mon front au sien, mes yeux toujours dans les siens, une lueur de défi brillant dans mes yeux à nouveau bleu.
Mar 1 Fév - 18:49
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Azaël Hook & Luna Silver


Et nous y voilà, dans ce lieux étrange, sous se froid hivernale à nous regarder en chien de faïences, comme si nous n’avions jamais vue l’un ou l’autre par le passé. Comme si nous n’étions que 2 rivières qui jamais ne se croisent, ne se mélange. Tel deux inconnus, à vrai dire.  Et alors que la tension se relâche, que la louve se détend un peu face à moi, je crois comprend qu’elle a hélas trop souvent été trompé pour faire confiance à n’importe qui. Et je ne fais pas exception à la règle. Ont ne s’est vue qu’une seule fois, après tout. Alors à quoi bon me faire confiance, et comment savoir si elle le peut ? Il n’y a pas de recettes miracles, inutile de vous en faire part je crois que vous savez déjà. Le vent percute mon visage, faisant virevolter au passage mes cheveux mi-long, mi-court non-coiffés. Elle me répond en me demandant si elle les a déjà mâchés, ses mots. Je me contente de lever les yeux vers le haut, acquiesçant avec un léger hochement de la tête. Pas besoin de rajouter quoique ce soit, on se comprend très bien je pense. Alors que je m’avance vers elle mais que cette dernière ne bouge pas d’un poils, elle semble ne pas me croire sur le fait que je suis content de la voir. M’enfin, ok, c’est vrai que je n’apprécie guère les loups, mais certains peuvent tout de même savoir se faire apprécier, dont cette jeune Luna.

Il faut dire que ses prouesses passés ont grandement aidé à la donne, et au final l’équation demeure la même, c’est en positif que ça se termine. Je dois par contre avouer qu’il est beaucoup plus facile d’apprécier légèrement la gente lupine féminine. Celle masculine possède trop d’hormones qui, automatiquement, génère une haine intense entre nous, à un point où je pourrais aisément craindre pour ma vie si je me retrouve en présence de l’un d’eux et que je le titille un peu trop.

Je n’ai jamais dit que je n’aimais pas les loups. Certes, certains…d’entre eux m’exècrent, mais pas tous.

Mon sourire ne quitte pas mon visage; un vrai psychopathe, pourrait-on dire. Non, seulement un vampire qui tente de se divertir un peu. Elle recule, je m’avance encore. Je remarque son frisson lorsque j’évoque le propriétaire décédé. Oh, notre chère amie aurait-elle peur des fantômes, elle aussi ? Mon rictus s’allonge alors que je songe à demander à se proprio de se pointer le bout du nez, ainsi que je pourrais avoir une petite discussion avec lui. Un mort qui parle aux morts, dites-vous ? C’est très peu commun, vous me l’accorderez. Mais oh, bon sang que c’est utile parfois. Ça nous permet d’apprendre tellement de chose sur tout et n’importe qui. Et n’importe quoi. C’est d’ailleurs l’un des spectres de Fearwood qui m’a appris sur l’existence de se trésors, aidé par la fantôme de son possesseur, qui s’amuse à faire fuir quiconque tente de le chercher. Heureusement pour Luna aujourd’hui’, et pour lui, je crois que ni elle ni moi ne sommes venus chercher ce trésor.  J’avance de nouveau pour diminuer la distance qui nous sépare et je me percute à sa main sur mon torse qui me stop dans mon mouvement. Quoi ? Mademoiselle n’aimes plus mes avances ? De braises, mes yeux s’encrent aux siens alors que je regarde rapidement sa main sur mon torse avant. Son rire face à mon commentaire attise un peu plus mon caractère explosif.

Bah voyons... Tu ne savais même pas que j'étais à Fearwood, alors ici à la ferraille ? Ca t'arrange bien que je sois là en fait…

Oh, si tu savais. Ça m’arrange et pas, en fait. Honnêtement, ça m’importe peu que Luna soit ici, seulement je sais qu’elle est un bon coup, et ce n’est pas interdit de s’amuser un peu, si ? Je n’ajoute rien, la laisse continuer son charabia, bougeant lentement ma tête de gauche à droite avant de l’immobilisé lorsqu’elle colle son front au miens. La lueur de défi qui brille dans l’océan de son regard….aaaargh. Oh, petite louve, tu joues à des jeux dangereux. Même si tu me dis non, et malheureusement je ne peut t’hypnotiser, je saurai user de d’autres charmes pour tenter de t’en convaincre du contraire.

Je ne te savais pas si difficile sur les endroits. Du moment que la luxure est là, à quoi bon craché sur un décor plus frais? Et…  » Je m’approche de son oreille, où je murmure;

Même si je fais ça ? Ce sera un non ?

J’approche ma bouche tout près de son cou, à l’endroit exacte où j’y avais planté mes crocs lors de cette nuit d’enfer. Venant déposer un mince baisé dans le creux de celui-ci, effleurant à peine du bout des lèvres, je cherche l’une de ses hanches avec ma main en glissant de sa nuque jusqu’à la pointe iliaque et la rapproche encore un peu de moi. Je continu mon ascendance jusqu’au dessous de son oreille, puis glisse à nouveau mes yeux dans les siens. Il me suffirait que d’une étoile de désir qui passe à toute vitesse dans ses yeux pour que le sol fonde sous nos pieds. Mais je le sens, je le sais que sa réponse s’enligne vers un non et ça m’est égal. Je trouverai bien un autre jouet pour me satisfaire plus tard. Ce n’est pas l’embarras du choix qui manque ici. Enfin, par ici je veux dire « à Fearwood », pas de cette ferrailles, vous m’aurez compris. Ma main remonte dans le creux de ses reins tandis que ma main libre vient glisser ses cheveux derrière son oreille avec légèreté.

Allez, ce sera amusant. Et puis, on peut faire ça rapide pour que tu continues à dépouiller cette carcasse de moto pour-je-ne-sais-trop-faire-quoi. Il y a un charmant bus plus loin, de la main je désigne une zone comme si c’était la plus belle chose à voir, tous pleins de bancs à essayer.

J’hausse les sourcils avec un large sourire, tentant de me faire convaincant. Je sais qu’avec n’importe quel humaine il m’aurait suffit de lui faire croire qu’elle a avait envie pour que ça fonctionne et ainsi j’aurais pus testé chacune de ces bancs en cuirs froids, mais avec cette louve, well well, je vais devoir me contenter de sa réponse.

Mer 2 Fév - 4:12
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Même si la conversation se détend, il a remarqué que j'étais sur mes gardes. A-t-il fini par comprendre que ce n'était pas uniquement contre lui ? Peut-être, c'est un vampire intelligent. Evidemment que je ne mâche pas mes mots, je ne suis pas une frêle créature qui se laisse dominer... Enfin, dans la plupart des situations en tout cas, hmm. J'ai osé dire qu'il n'appréciait pas les loups mais il ne semble pas d'accord. C'est comme moi avec les chasseurs j'ai l'impression. Je ne les aime pas, en général, mais il y en a ... un ... que je pourrais peut-être apprécier. Mais qui lui, par contre, n'aimerait pas du tout Azaël je crois. Mais j'imagine que le fait que je sois une femme joue grandement en ma faveur, de la part du vampire là en tout cas.

"Je crois imaginer quels loups tu n'apprécies guère, en effet. Et aussi, ceux que tu aimes plus que les autres..."

Moi. Et je pense être la seule d'ailleurs, ou peut-être a-t-il fait d'autres rencontres intéressantes ces dernières années. Peut-être que notre chère nuit lui a donné envie de retenter l'expérience après tout. Je me demande bien s'il a trouvé une louve prête à accepter cela tiens. Le frisson qui m'échappe à l'évocation du fantôme ne semble pas échapper au vampire. Son sourire s'élargit encore, je ne pensais même pas que c'était possible. Aurait-il une idée derrière la tête ? En rapport avec un fantôme ? Pitié, non...

Finalement, monsieur cherche à réduire encore la distance entre nous, probablement une idée en tête. Malheureusement pour lui, il se heurte à ma main. Enfin malheureusement, il serait encore capable d'être content de sentir ma main sur lui à ce niveau là. Il cherche à me pousser dans mes retranchements mais je sais également très bien jouer à ce jeu là. Je colle finalement ma tête à la sienne, laissant encore un petite espace entre nos deux corps. Il s'arrête alors de bouger, probablement surpris de mon geste. Je suis sûre qu'il s'attend à ce que je refuse ses avances, il veut s'amuser. Et je vais refuser... normalement.

"Je..."

J'allais lui répondre, mais ses paroles à mon oreille ont bloqué ma voix dans ma gorge. Les poils de mon cou se hérissent alors qu'il murmure à mon oreille. Et sa bouche qui s'approche de mon cou, venant à peine poser ses lèvres à L'endroit. Celui-là même où il m'a mordue et où j'ai découvert un autre plaisir. Cet endroit qui pourrait me faire chavirer du côté du oui plutôt que du non. Sans m'en rendre compte, ma tête bascule, lui laissant libre accès à mon cou tandis que de sa main, il me rapproche de lui encore un peu plus. Nous sommes collés serrés, comme s'il allait se passer quelque chose. Alors qu'il se rapproche à nouveau de mon oreille, il finit par revenir devant mon visage et son souffle caressant mon visage ainsi que sa main remettant mes cheveux me font revenir à la réalité. J'avais les yeux fermés, heureusement pour moi je crois. Mais mon cœur bat vite. Plus vite que je ne le voudrais et il va me trahir. Il se passerait quoi si j'acceptais ses avances ? Je me sens faible face à lui et je ne dois pas l'être. J'essaie de respirer lentement, bouche légèrement ouverte, avant de lui répondre.

"Je peux être difficile, pour l'endroit, il s'agit de préserver mon magnifique corps et qu'il ne traîne pas n'importe où, tu comprends. Un mannequin doit être irréprochable..."

Je laisse mes doigts parcourir le torse du vampire, profitant de ses muscles saillants sous son tee-shirt. Hmm c'est agréable... Je saisis finalement le col de son tee-shirt et place ma deuxième main au niveau de sa hanche, puis échange nos deux places très rapidement. Il est maintenant bloqué contre la moto. Je me penche alors à mon tour pour venir murmurer à son oreille.

"J'aime quand ça va vite... mais pas que ce soit rapide..."

J'ai dit cela d'une voix sensuelle. Il n'y a pas de raison que je sois la seule qui en ai grandement envie. Mon petit vampire, tu vas tâter de mes talents de séductrice à ton tour. Je lui mordille l'oreille légèrement avant de descendre dans son cou pour l'effleurer de ma langue. La main qui tenait son col vient le saisir au niveau du cou alors que mon visage s'approche dangereusement du sien. Je fais exprès cette fois d'accélérer ma respiration, de plus en plus proche de ses lèvres. Et alors qu'elles allaient se toucher, je me mors la lèvre et recule pour le regarder et voir les effets que j'ai eu sur lui. Une fois satisfaite de ce que j'ai pu voir, c'est mon corps que je colle au sien, ma jambe bien collée à son entrejambe. Un sourire étire largement mes lèvres lorsque je sens la bosse qui s'y est formée. J'en profite alors pour me coller totalement contre lui, mes mains glissant sous son tee-shirt et ma bouche de nouveau proche de son oreille. Je lui dis, toujours dans un murmure sensuel :

"Dis moi... Ce bus... Il est confortable ?"

Je souris encore puis me mords à nouveau la lèvre mais de sorte qu'il me voit le faire cette fois. Puis, j'approche doucement mon visage du sien et attrape sa lèvre inférieure avec mes dents, avant d'y glisser ma langue dessus et de finalement m'écarter totalement du vampire, lui laissant un peu d'espace pour réfléchir. Il faut croire que moi aussi, j'ai envie de m'amuser aujourd'ui.
Mer 2 Fév - 20:51
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Azaël Hook
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Je la regarde, oui, mais elle ne possède pas toute mon attention lorsqu’elle me mentionne croire savoir lesquels, les petits chiots à poils qui deviennent de charmant chihuahua aux pleines lunes, je n’apprécie pas. Ça titille un peu ma curiosité et j’arque un sourcils, tout oui à entendre ce qu’elle va ajouter. Malheureusement, ça se termine ainsi, elle ne nomme pas de nom, mais je peux clairement deviner celui auquel elle pense. Je n’ajoute rien sur ça, c’est loin d’être nécessaire. Nous nous lançons ensuite dans un petit jeu du chat et la souris, si ainsi puis-je dire. Elle fait un pas pour reculer, et je m’avance, songeant ô combien il pourrait être amusant d’invoquer le fantôme qui hante ces lieux et douter une bonne trouille à mademoiselle Luna. Je met d’avant certains de mes..avantages ? Afin de tenter de la convaincre de coucher encore avec moi, mais cette fois le décor est tout autre. Ont est vaguement loin du grand lit douillet qui meublait la grande chambre dans l’appartement que j’occupais l’espace d’un instant. Enfin, quelques mois, mais vous savez lorsqu’on ne vieillit pas, quelques mois ce n’est rien.  Elle allait parler lorsque je lui demande comment elle compte résister à ça… mes crocs directement dans sa peau, douce comme de la soie, brillante comme mille rubis.

En cet instant, rien d’autre n’a d’importance à mes yeux que l’effet de mon attitude sur celle de la lycanthrope. Son corps qui réagit à chacune des petits stimulas que je lui fais parvenir, qui frissonnes sous le contacts effleurer de mes lèvres, de mes doigts.  Elle apprécie, et j’adore ça. Je sens que je suis en train de la gagner de mon côté. Je sens son rythme cardiaque augmenter, pulser de plus en plus vite. Signe irréprochable de la présence d’un certain désir, ou d’une légère crainte. Dans les deux cas le coeur tombe en tachycardie. La seule différence, c’est l’odeur des hormones qui sont sécrétés lorsque quelqu’un à peur contrairement à quelqu’un qui éprouve un désir sexuel. Remercions la testostérone et l’œstrogène ! Lorsque je replace ses cheveux derrière son oreille, elle rouvre les yeux et semble retomber à la réalité.

Je peux être difficile, pour l'endroit, il s'agit de préserver mon magnifique corps et qu'il ne traîne pas n'importe où, tu comprends. Un mannequin doit être irréprochable…

Irréprochable… , murmurais-je tandis qu’elle fais glisser ses mains sur mon torse, parcourant chaque parcelle de celui-ci. Elle agrippe le col de mon t-shirt et me rapproche d’elle en se servant de ma hanche. À quoi jouez-vous, mademoiselle ? Et moi qui croyais que j’allais me buter à un solide mur, je crois que je me suis un peu tromper. Ce que j’apprécie actuellement, c’est la réciprocité de notre jeu. Je pourrais jouer ainsi longtemps, mais pas trop. Personne n’aime se faire tenir en haleine pendant des heures.  Je me laisse tourner, échangeant de place avec la louve. Ça ne me sert à rien d’user de ma force pour l’en empêcher, je suis trop obnubilé par son charisme, sa sensualité. Autant dans sa voix que dans son regard, putain.

J’affiche un étrange sourire, mélangeant satisfaction et désir lorsqu’elle prétend apprécier ce qui va vite, mais pas ce qui est fait vite, laissant dévoilé une canine avec un sourire en coin. Elle se rapproche et je sens la chaleur de son corps contre ma peau froide, mais je demeure calme. Tendre comme un agneau. Elle commence par émoustiller mes neurones sensitifs avec mon oreille qu’elle mordille, puis descend dans mon cou, avec de venir le saisir. Sa respiration s’accélère, mais pas la mienne. J’attend le baiser. Je l’attend avec impatience dans une attitude de marbre. Mais elle me ghost. Je les sentais si près… si douces. J’aurais jurer pouvoir les effleurer si j’avais avancer un peu mon visage. Il n’y a fait que ça qui m’intéressait dans le moment. Embrasser fougueusement la jeune dame, d’un désir sauvage. Les yeux ouvert, j’eu une petite pointe de déception alors qu’elle se mordit la lèvre en éloignant son visage du miens. Petite peste, tu sais animer l’excitation. Mon respire s’accélère légèrement, mes joues rosissent un peu alors que de nouveau, elle vient rechercher mon attention. Collé contre moi, je glisse une main dans le creux de ses reins pour être certains qu’elle ne m’échappe pas, qu’elle reste mienne encore un instant. La pression qu’elle effectue entre mes jambes.. elle doit déjà sentir l’effet qu’elle a sur moi. Et je ne me cache pas. À quoi bon. Je la veux, maintenant. Mais elle a l’air de beaucoup trop avoir de plaisir à me faire cet effet et je sens que je vais me prendre un mur. Elle me provoque. Je brûle d’envie de la déshabiller à l’instant.

Trop loin… et si ont faisait ça ici ?

Je veux la voir nue. L’avoir nue, également. Ou même partiellement habillé, ça m’est égal. Du moment que j’obtiens un quelque chose, ça saura me satisfaire quelques heures. Suis-je nymphomane ? Peut-être. J’ai l’impression d’être un accro au sexe lorsque je me retrouve en compagnie de cette louve, merde. Et pourtant ce n’est pas le cas. Je ne suis pas tant orienté vers. Bon, il faut savoir profiter des plaisirs de la vie, et c’en est un… mais tout de même, je suis aisément capable de passer une journée sans. Ne vous méprenez pas. L’une de mes mains se glisse sur sa peau douce de son épaule, glissant sous la clavicule, sur le haut du sein et la seconde se faufile un peu plus bas, à la hauteur de ses fesses que je presse légèrement. Je couvre mon dos pour venir embrasser la peau de son cou, remontant sous le menton puis jusqu’à ses lèvres. Le contacte est brulant, quasiment agressif. Je m’arroche à celle-ci avec une mince morsure, qui entraine une légère sortie de sang. Du bout de la langue, je goûte à se délicieux liquide.

« Oh.. c’mon, Azaël. Une ferraille, vraiment ? Ait un peu de classe pour les demoiselles, bordel. »

Je lève les yeux vers le spectre qui a pris l’habitude de m’embêter, et souris. Astharoth n’y connait rien. Il ne sait pas que de faire l’amour dans des endroits inusités est en soi un fantasme pour beaucoup de jeunes femmes. J’imagine que de le faire dans les bois, Luna l’a déjà fait. C’est une louve après tout, mais dans une ferraille ? J’ose espérer que l’idée la titille un peu.  Je reste malgré tout avec un goût amer. Je m’attends à ce qu’elle me rejette d’un instant à l’autre et que je me retrouve avec une érection insatisfaite. D’un geste rapide, j’inverse nos places et la retourne pour qu’elle soit dos à moi. Je la tiens au niveau du ventre, tout près de la lisière de son pantalon qui est si près de son intimité. Je me colle à elle, ayant l’impression d’être un peu plus excité encore. Du bout des doigts, je parcours le dessus du trapèze, que j’embrasse délicatement d’abords, puis mordille légèrement avant de murmurer à son oreille.

J’espère qu’un public ne te dérange pas, d’un coup que le proprio est un sale pervers et qu’il observe tout.

Je ricane, amusé de ma réflexion, mais voyant la reaction peut enchantée de Luna, je me dépêche d'ajouter ;

Hey, hey, hey..je blague. Je blague! Allez, viens... Je tire sur bras legrement pour la faire revenir vers moi. Évidement je fais allusion à Astharoth qui ne se gêne pas d’être là. Mais cette histoire de lieu hanté, je n’y crois pas trop. Les morts peuvent dire n’importe quoi pour se rendre intéressants. Aura-t-elle le courage d’aller plus loin ? De me laisser la mordre à nouveau ?

Jeu 3 Fév - 3:21
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L'évocation d'autres loups, les mâles plus précisément, semble l'exaspérer. Je souris un peu. Je savais que j'étais une exception mais je ne pensais pas être la seule. Quel honneur il me fait là. Mais le sujet se détourne bien vite pour arriver au sujet délicat. Il me veut, et moi j'essaie de résister. En fait, je me demande pourquoi j'hésite. C'est vrai, qu'est-ce qui me retient au final ? Rien du tout. Et l'effet de ses crocs dans ma chair, j'ai vraiment très envie de ressentir ça à nouveau. Mon sang qui coule dans sa bouche alors que ses crocs s'enfoncent dans mon cou... Ahhh c'était vraiment trop bon... C'est peut-être pour ça que je suis incapable d'aligner deux mots alors que je sens son souffle et ses crocs qui m'effleurent. Même si je peux être résistante, enfin disons même si ma tête peut résister, mon corps de femme en est bien incapable. Il brûle d'envie de lui sauter dessus et de faire l'amour avec, peu importe l'endroit. Il le sait et il en joue. Ma tête me hurle de l'arrêter dans son élan mais il m'excite tellement... Cela ne m'est pas arrivé depuis notre nuit et franchement ce genre de stimulation est multipliée par dix quand ça fait longtemps.

Je reviens finalement à la réalité, ma tête reprenant un peu le dessus et mon corps redescendant en intensité. Je reprends ma respiration tranquillement avant de le titiller à mon tour. Laissant mes mains se balader sur lui cette fois, je sens que je le prends au dépourvu, il ne s'attendait sûrement pas à ce que je réponde à ses caresses. Je viens murmurer à mon tour à son oreille, espérant l'exciter à mon tour.

"Oui, irréprochable... Je devrais normalement éviter les marques mais tes crocs dans mon cou... C'est quelque chose que je ne peux presque pas refuser. Comme à peu près toutes les marques que tu pourrais me faire si nous faisions l'amour. Alors j'aimerai autant éviter que mon corps nu traîne dans la boue de cette ferraille."

Il pourrait aisément me résister, il a bien plus de force que moi, mais il ne le fait pas. Il en est incapable, je le vois à son regard. Il sait que s'il m'arrête il n'obtiendra rien de moi. Or, il me veut et veut assouvir son envie de sexe. Son intérêt réside dans le fait de me laisser faire. Je sens que je lui fais de l'effet mais il reste pour le moment étrangement calme. Mais je vois dans son regard que tout ce qu'il voulait c'était que je l'embrasse mais je ne l'ai pas fait et j'ai senti à quel point ça l'avait chauffé. Sa respiration s'accélère alors que je viens me coller à lui et je souris alors que sa main essaie de faire en sorte que je reste près de lui. J'agite mon doigt de droite à gauche avant de venir le poser sur ses lèvres.

"Rien n'est loin pour toi si tu le veux bien..."

Il laisse à son tour ses mains se balader sur mon corps. Je sens qu'il veut me déshabiller mais il attend mon accord. Son baiser dans mon cou m'électrise et lorsqu'il remonte jusqu'à ma bouche, je saisis son visage pour l'embrasser sauvagement. Un gémissement m'échappe alors qu'il me mord la lèvre d'où perlent quelques gouttes de sang qu'il vient récupérer avec sa langue. Je reprends possession de ses lèvres, levant ma jambe droite au niveau de ses hanches pour être encore plus collée à lui. Mon petit vampire, si tu veux aller dans le bus c'est maintenant... D'un geste rapide, il se retrouve derrière moi et il fait en sorte de garder mon dos collé à son torse. Je sens son érection contre ma jambe et je grogne de désir. Je n'ai plus de patience, je veux le sentir en moi, maintenant. Même ici sur la moto je m'en fiche ! Je le veux, c'est tout. Mais sa réflexion sur le propriétaire me refroidit d'un coup et je me dégage de ses bras, regardant autour de moi. Voyant ma réaction, il retire sa remarque et m'attire vers lui mais moi, je ne rigole pas. Je sors mes griffes et mes crocs et mes yeux virent au jaune.

"Tu les vois alors... C'est bien pour ça que tu t'adressais à quelqu'un d'autre lors de notre première rencontre.Je me tourne et m'adresse au vide. Montre-toi ! Je n'ai pas peur de toi et je me battrais s'il le faut, espèce d'esprit à la con. Tu es mort mais ça ne m'empêchera pas de te mettre une raclée ! Tu n'assouviras pas ton désir pervers de me voir baiser avec le vampire, je ne le ferais que une fois que je t'aurais éclaté !"

La fureur m'anime, elle a pris la place de la peur. Je n'aime déjà pas les esprits mais alors un esprit pervers qui veut me voir nue en train de faire l'amour avec un vampire, ça me met en rogne. Je me tourne d'un coup vers Azaël, toujours partiellement transformée et le pointe du doigt.

"Toi ! Fais le partir, je sais que tu le peux, et ne t'avise pas de me mentir, je sais déceler ça. Je commence à te connaître, je saurais s'il est toujours là. Fais ton choix ou je prends mes pièces et je me casse."
Jeu 10 Fév - 20:47
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Ses mots. Ses vils paroles provocantes n’aident en rien à me tenir en haleine. Je sens ma poitrine se soulever d’un grand mouvement, la bouche entre-ouverte alors que j’assimile les mots dans mon cerveau de gamin. Parce que oui, en théorie j’en suis encore un. Mais en pratique, disons que j’ai quelques années de plus en expérience. Un sourire de satisfaction éclaire mon visage alors que notre jeu fait frémir chaque partie de mon corps, incapable de lui résister. Le pire dans tous ça, c’est que ce n’est que le début. Je peux déjà m’imagine lui retirer chacune de ses vêtements, ou les lui arracher, ce sera plus rapide. Et lui donner du plaisir de, oh, toute les façons possibles inimaginables. Un étrange frissons d’excitation me parcours le dos, alors qu’elle me mentionne que rien n’est loin pour moi. Je me contente de pencher légèrement la tête sur le côté, dévorant ses lèvres du regard. Et ainsi, la passion qui nous entourait s’élance finalement. Nos corps se collent, alors qu’entre deux respirations, deux échanges de salive et une brève morsure me permettant de savourer ce doux liquide rougeâtre, j’ai l’affreuse idée de mentionner le défunt propriétaire des lieux. Ce qui, inévitablement refroidis ma partenaire de jeux coquins. J’essais de la ramener vers moi, en lui disant que ce n’est pas vrai mais ça ne fonctionne pas. J’essais d’inviter un peu mais je vois bien que rien n’est à y faire.

Luna, c’mon. C’était une blague, allez… viens là.

J’essais une seconde fois de l’attirer à moi, et devinez quoi ? C’est encore sans résultats. Ses griffes et ses yeux jaunes me titillent un peu, et bien que j’ai l’impression de vraiment lui avoir foutu la chienne en disant les mots que je n’aurais pas dû, je ne crains pas qu’elle me blesse. Je ne pense pas qu’elle en serait capable, désormais. Ou si ? Azaël, clairement, tu cherches la mort mon vieux! Je roule des yeux tandis qu’elle enligne enfin les pièces du puzzle. Mais loin de là mon intentions de lui dire la vérité. Elle est naïve, cette louve si elle croit que je vais simplement acquiescé à ses spéculation. En tous cas je vais réfuter ses paroles. Je croise les bras, l’excitation ayant complètement disparu. Me voilà finalement avec une érection insatisfaite, le comble quoi! Je m’appuie contre la moto alors que je la regarde s’adressé au soit-disant fantôme, dos à moi. Dans son coin, Astharoth est mort de rire, incapable de contrôler son hilarité.

« J’en connais un qui n’aura pas de sexe! Oh! Là là! Et cette louve, Aouh! Ce qu’elle semble avoir une de ces haines envers nous, ouh-ouh. Non mais regarde-là ! Elle est génial, elle pense nous que le dude, il va se pointer juste parce qu’elle le demande ? … Elle est….

Je ferme les yeux, alors que mon spectre de compagnie ne cesse de jacasser. J’aimerais bien le mettre sur mute, mais c’est impossible. Cependant, je me contente de l’ignorer et tente de raisonner la demoiselle.

Voyons, Luna. C’est ridicule. Ce n’était qu’une mauvaise blague à cause des rumeurs sur ce lieu. Calme-toi s’il te plait.

Si si, j’utilise même le mot s’il vous plait, maintenant. C’est supposé être le mot magique, c’est ça ? Enfin, je l’espère. Mais la jeune femme qui d’abords me semblait en fureur me parait désormais en colère. Une rage l’anime, et j’avoue ne pas comprendre. Je fronce les sourcils et l’observe alors qu’elle fait un vif demi-tour vers moi, encore avec quelques attribuas canins, me pointant du doigt. Non mais quelle enfant impolie! Mon visage se détend et n’affiche, à l’instant, plus vraiment d’expression si ce n’est que mes sourcils sont légèrement haussé, à peine.  Elle me donne des ordres, really ? Je me mords la lèvres et baisse les yeux un instant, le temps d’assimiler ce qui viens vraiment de se produire. Oui elle a beau être à moitié louve en ce moment et avoir la trouille des fantômes, ce n’est pas une raison de, un; me donner des ordres et deux; me menacer de s’en aller. Je ne fonctionne pas aux menaces, même si en contre partie j’aime bien menacer les autres. La Luna qui m’excitait sans fond il y a quelques instants me semble désormais loin et j’y suis à deux cheveux de voir en elle une nuisance à mon divertissement de la journée. J’ai l’impression que même Astharoth s’est en rendu compte comme il a finalement fermé son clapet. Je lâche un bref rire, tentant de détendre la situation et roule à nouveau des yeux, les bras toujours croisés.

Luna, Luna… ma belle Luna. Je prend une grande inspiration. C’est que tu en as vachement de l’imagination, tu le sais ça ? Un vampire qui peut voir les morts ? Mais que Diable te fait croire ça ? C’est impossible, tu le sais bien.  

J’humidifie mes lèvres et fais un pas vers elle, laissant retomber l’un de mes bras le long de mon corps alors que l’autre repousse son doigts pointé vers moi.

Ensuite, je ne suis pas à tes ordres, Lady. J’hoche faiblement la tête à plusieurs reprises de gauche à droite avant de poursuivre; Et puis, même si je le voulais, je ne peux pas les faire fuir.  Je fais un pas de plus, brisant la distance entre nous et replace une mèche de cheveux derrière son oreille sans aucune intentions alors que mon sourire s’élargie, un sourire légèrement sombre. Et tu sais pourquoi ? Parce que je te le répète, je ne peux pas les voir. Alors s’il te plait, cesse ton numéro, je ne pensais pas que tu réagirais ainsi. Ce n’était qu’une mauvaise blague, je t’assure. Tu sais comme moi ce qu’on raconte sur ces lieux.

Je soupire et serre la mâchoire. Ma belle Luna, tu viens de briser mon plaisir, et j’espère pour toi que tu trouveras un moyen de me divertir un peu sans quoi je ne sais pas quel village je pourrais brûler rien que pour m’amuser.

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Mer 23 Fév - 0:46
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Je le hais de faire naître en moi ce genre de réactions. Enfin, j'aurai tout le temps de le haïr plus tard, là je ne veux qu'une chose : lui en moi. Moi qui pensais qu'on ne reverrait plus, nous voilà à nous chercher encore une fois et à jouer au chat et à la souris. Il est excité tout comme moi. Je le sens et je le vois. Je lui procure ces mêmes sensations qu'il y a quelques années et je prends un malin plaisir à prendre mon temps. Mais, alors que j'étais prête à faire ça sur la moto, il mentionne les fantômes. Et là, c'est la douche froide. Bien sûr, le vampire essaie de me calmer, disant que c'est une blague. Mais avec lui, je ne suis jamais sûre de rien. Et je ne veux pas prendre de risques. J'enclenche même ma transformation tant les émotions que je ressens sont fortes. Il y avait le désir qui a donc été remplacé par la peur et la colère. C'est un mélange explosif. Azaël ne semble pas vraiment se préoccuper de cela. A vrai dire, ce n'est pas contre lui que j'en ai, donc j'ai aucune raison de le blesser.

Le voilà adossé à la moto que j'étais venue dépecer, me regardant faire ma crise. Pour le moment, je ne m'occupe même plus de lui. Tout ce qui compte, c'est ce maudit fantôme. Je ne sais même pas s'il m'entend, me voit ou même s'il est là. Le vampire finit tout de même par s'adresser à nouveau à moi. Mon coco, tu as choisi la mauvaise blague. Peut-être que tes conquêtes habituelles trouvent ça excitant mais pas moi, au contraire. Il me demande gentiment de me calmer, il essaie de m'apaiser, et c'est tout à son honneur. Malheureusement pour lui, je suis devenue légèrement incontrôlable.

Je m'adresse à nouveau à lui, sans vraiment réfléchir au préalable, j'en suis bien incapable actuellement. Et, évidemment, il ne prend pas bien ce que je lui dis. Forcément, je le pointe du doigt, je lui donne des ordres et je le menace de me barrer. Si j'avais un minimum de lucidité, je n'aurai fait aucune de ses choses à Azaël. Mais je ne suis pas moi-même donc... Il rit et commence à me répondre. J'arrive à faire l'effort de l'écouter jusqu'au bout sans l'interrompre. Il s'avance pour repousser le doigt que je pointais sur lui et je le laissais faire, mes bras retombant le long de mon corps alors que, lentement, je reprends une apparence normale. Il s'avance à nouveau et je le regarde dans les yeux alors qu'il replace une mèche de cheveux. Mes yeux bleus sont plongés dans les siens alors que je l'écoute, toujours silencieuse.

Lorsqu'il a fini de me parler, je me détourne, cachant mon visage et je me dirige vers la moto, posant mes mains à plat dessus pour me soutenir. Je suis dos à lui. J'essaie de reprendre mon souffle, de me calmer, mais je n'y arrive pas. Les souvenirs remontent, je suffoque. Finalement, je me retourne et me laisse glisser contre la moto. Une main sur la poitrine, ayant l'impression que mon cœur va en sortir, l'autre essuyant les larmes qui coulent à présent sur mes joues.

"Tu ne comprends pas... Tu ne sais pas..."

J'ai maladroitement sorti ces mots alors que je suis agitée de sanglots que j'essaie de réprimer. Je parais tellement faible comme ça, à pleurer devant lui. J'ai honte et je suis en colère contre moi. Mais tout ce que je veux, c'est qu'il comprenne pourquoi j'ai réagi comme ça. Après quelques instants à essayer de me calmer pour pouvoir lui raconter un peu plus calmement, je reprends.

"Ils existent. Je le sais car j'en ai vu un. Particulièrement... méchant. Il... Je..."

Je reprends un instant ma respiration alors que tous les souvenirs affluent à nouveau. Je ramène mes genoux à moi, repensant à la peur que j'avais ressentie à ce moment-là. Je ne veux plus jamais revivre ça. Jamais.

"Il a pris possession de moi... Je voyais tout ce qu'il faisait sans pouvoir l'arrêter... c'était... horrible... Je... Je suis désolée d'avoir réagi comme ça mais... Je ne veux plus revivre ça. J'ai fini par lui résister et on a réussi à le faire partir mais... ce souvenir m'oppresse, je n'arrive pas à me débarrasser de cette sensation. J'ai réagi au quart de tour quand tu as dit ça car tous mes souvenirs sont remontés d'un coup..."

Je ne le regarde pas. Je crois que j'ai bien trop peur de ce qu'il pourrait penser de moi. Il pourrait même se moquer, s'il ne me croit pas. Et ce serait la goutte d'eau de trop. Là je partirais, même sans les pièces tant pis, je reviendrai plus tard. S'il-te-plaît, ne me juge pas... Tu es seulement la deuxième personne à être au courant de ça...
Mer 23 Fév - 21:26
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Dans toute l’imperfection du moment, toute son absurdité, seule ma voix brise le silence ainsi que quelques cris stridents d’oiseaux. Et elle m’écoute sans me quitter des yeux, sans m’interrompre. Mais sa réaction.. elle se détourne, comme si elle voulait fuir mon regard. J’entend son coeur battre à mille à l’heure, manquer sauter quelques tours tandis que ses poumons tambourinent sa cage thoracique à chaque respire. Du calme, jeune chiot, n’abime pas ton enveloppe corporelle tout de suite. Après s’être finalement retourner, je pose mon regard sur Astharoth tandis qu’elle s’appuie contre la moto et se laisse glisser contre cette dernière. Je roule des yeux et prend une grand inspiration alors que les larmes perlent sur ses joues. Ah non! Tout sauf ça, s’il vous plait. Mais soudains, les mots qu’elle prononce me semblent insensé. Comment peut-elle croire que je ne comprends pas, que je ne sais pas ?! Une lueur de haine s’allume dans mon regard. C’est vrai, comment pourrais-je comprendre tandis que je ne vis que depuis ma plus tendre enfance avec cette malédiction ?! Fût un temps où je fus également un jeune Azaël effrayé, apeuré par ces choses que lui-seul pouvait voir. Que tout le reste de sa famille le traitait de fou, de désaxé.

Je la laisse continuer son récit sans dire mot. Alors qu’Astharoth en commente chaque partie, se divertissant à répéter ce que la louve dit et à y répondre comme si pour lui tout ceci n’était qu’un jeu. Un peu comme je devrais le voir en fait. C’est vrai, après tout, je n’ai pas fait taire mes sentiments mais je m’y suis tellement détaché que je ne devrais pas me soucier de voir une louve pleurer. Cependant, une partie de moi éprouve un certain respect pour cette même louve en pleure. Je croise les bras et la regarde avec un sourcils arqué, légèrement agacé par la situation. Aller, continu… Tu ne peux pas simplement dire que je ne comprend pas et rester là à pleurer, vilaine chipie.

Ils existent. Je le sais car j'en ai vu un. Particulièrement... méchant. Il... Je…

« Évidement ! » Rétorque Astharoth en choeur avec ma pensée. Évidement qu’ils existent. Jamais je n’ai nié, simplement ai-je prétendu ne pas les voir, nuance. Je roule des yeux alors que sa voix transpire la peur, mais je continu tout de même l’écoute de son récit. Je suis tout de même curieux de savoir comme il se poursuit, peut-être que ce sera ce qui me divertira un peu et m’empêchera d’aller mettre sur le bûcher une ville en entier ? Aaah, cependant l’odeur des corps calciné, le son de leurs cries me supplient de ne pas le faire… hmmm. Il n’y a rien de plus enivrant. Ah si, un bain de sang. L’odeur métallique de se merveilleux liquide…. Miam. Pendant que je songe à toutes ces choses j’avoues avoir manquer un petit bout de son histoire. Je capte vite cependant lorsqu’elle dit qu’elle a réussit à lui résister et le faire partir qu’elle veut bien sûre dire qu’elle a été possédé.

« Je peux le faire, moi aussi ? » Demande mon fantômes de compagnie avec un sourire sadique sur son pseudo visage. Installer aux côtés de la jeune femme, ses long doigt filiformes bougent en vagues comme s’il allait la touché et je fronce les sourcils en le regardant. C’est comme si je regardais la moto, en fait. Je m’approche de la louve alors qu’une fois de plus, celle-ci évite mon regard. Je te fais honte maintenant, Bella ? Je soupire et lui tend une main. Que dire ? Que faire ? Ça y est, je suis pris au dépourvu.

C’est comme si ont envoyait un oiseau dans une cage alors qu’il n’y est jamais été et qu’on lui coupais les ailes pour s’assurer qu’il y demeure. Comment ce dernier réagirait-il ? D’abords il tenterait la fuite, remarquerait que c’est impossible. Peut-être même que cet oiseau ferait une dépression, se sentirait opprimé ? Dans une profonde détresse, ce dernier commencerait à gruger les barreaux, à vouloir s’enfuir de sa prison duquel il ne pourra plus jamais partir. Parce que oui, même libre l’oiseau aurait encore les ailes coupés, il ne pourrait plus jamais volé. Disons que je suis cet oiseau, et que Luna à pris part au même expérience que moi l’espace d’un instant. Dis un truc sympa. Un truc sympa Azaël ! Allons, tu as quand même du respect pour cette demoiselle, n’oublie pas!


Allez, relève-toi. Tu ne devrais pas te montrer si fragile devant moi. Le Za de notre nuit ensemble est bien loin.

Well…. Ça aurait pu être mieux, mis ça aurait pu être pire.

Je veux dire, ce n’est pas grave. Je ne pensais pas que tu le prendrais ainsi, je ne pouvais pas savoir. Ça va mieux ? Est-ce que de m’en parler a aidé ? Voyant que la jeune femme ne prend pas toute de suite mon aide, je la relance sous les yeux amusé du spectre. Allez, Luna, relèves-toi. Le sol est froid, tu vas tomber malade. Enfin, vous pouvez tomber malade, si ?

Je fronce les sourcils, le bras toujours tendu vers la louve et pose mes yeux sur mon fantôme encore installé sur la moto aux côtés de Luna. Ce dernier hausse les épaules, me répondant qu’il n’en sait que dalle. « Foutrement d’idées, Aze », pour être exact. Cette dernière me partage un souvenir important pour elle, et moi tout ce que je trouve à focuser sur; c’est si ces derniers peuvent tomber naturellement malade ou non. Eh là là! Inéchangeable ce mystérieux psychopathe d’Azaël, n’est-ce point?

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Jeu 24 Fév - 3:44
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Luna Silver
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Il fallait bien que ça arrive. Je n'en ai parlé à personne depuis que ce fantôme a ... bref. Par contre, autant que je sois en rogne, ça ne m'étonne pas plus que ça. Etre énervée, ça me permet de faire face à tout. Une belle carapace qui me permet de tout surmonter. Je ne m'attendais vraiment pas à que cette belle carapace se fissure si vite, et surtout pas devant lui. Bien sûr, je me détourne de lui, je ne veux pas qu'il voit ça. Je ne veux pas qu'il me voit faible. Je reste un instant dos à lui mais je finis par avoir besoin de m'assoir, de reprendre ma respiration. Je fais une crise de panique. Cela ne m'était pas arrivée depuis ma première année de transformation. D'habitude, je gère très bien mes émotions. Mais là, impossible. Et franchement, ça me fait paniquer encore plus.

Je finis par lui dire ce qu'il m'arrive. Il pourrait être furieux que je lui dise qu'il ne peut pas comprendre sans lui donner plus d'explications. Et puis, je suis lancée, autant finir mon histoire. Qu'il s'y intéresse ou pas, je déballe tout. Sans me préoccuper de savoir s'il m'écoute non plus, je ne le regarde même pas. Je ne veux pas affronter son regard. Je ne veux pas voir de colère ou de pitié dans son regard. Je préfère encore rester dans l'ignorance, croire juste qu'il s'en fiche à la rigueur ça me va. En parler me libère, que quelqu'un m'écoute ou pas. Malgré tout, il ne m'interrompt pas. Soit il ne m'écoute pas, soit il s'intéresse vaguement à ce que je dis et veut savoir la suite.

Je réprime un frisson à la fin de mon récit. Toujours le regard dans le vide. Ai-je ce frisson car mon histoire me fait repenser à tout ça ? Est-ce parce qu'un esprit est dans le coin ? Ou est-ce tout simplement parce que j'ai honte d'avoir pleuré devant lui ? Je ne saurais jamais je crois. Je le sens qui s'approche de moi mais je ne veux toujours pas le regarder. Je ne peux pas, c'est au-dessus de mes forces. Lui qui change d'humeur si rapidement... Peut-être serait-il même capable de me mettre une baffe pour me faire réagir ? Je n'en sais rien. D'un geste, j'essuie les larmes qui perlent encore au coin de mes yeux. Je vois vaguement qu'il m'a tendu la main mais je suis incapable de la saisir. Je ne peux pas affronter son regard. Mais ce qu'il me dit rallume un éclair en moi, un bref instant.

"Tu crois que je ne le sais pas ? Tu crois que ça me fait plaisir que tu me vois comme ça ?"

J'avais relevé la tête vers lui et je garde mon regard dans le sien en l'écoutant. Je me radoucis finalement et calme ma respiration. Il n'y ait pour rien, et il a raison mais pas la peine de lui parler comme ça.

"Désolée... J'ai une sainte horreur de paraître aussi faible devant les autres, peu importe qui. Tu ne pouvais pas savoir ce qu'il m'est arrivé, qui le pourrait... Oui, ça va mieux merci. Je... Je crois qu'il fallait que ça sorte. Même si c'est pas sorti de la bonne manière de prime abord.Je ris un instant. Non, je ne peux pas tomber malade de quelque chose d'aussi futile qu'un rhume. Mais merci de t'en inquiéter."

Je saisis finalement sa main et il m'aide à me relever sans aucun effort. Je dois être si légère pour lui. Peut-être un peu trop car je suis emportée dans mon élan et me retrouve coller à lui. Je le regarde dans les yeux, sans bouger. Cette proximité... Après tout ça, comment ça peut me faire encore quelque chose ? Je n'en sais rien. Toujours est-il que j'ai de nouveau chaud aux joues. Je souris un instant avant de déposer un baiser sur sa joue suivi d'un merci murmuré à l'oreille. Je me recule finalement et frotte mes fesses pour enlever la saleté. Je me mets dos à lui.

"Je n'ai plus rien ? Ca m'embêterait qu'il y ait encore des saletés..."

Est-ce que je cherche quelque chose ? Je ne sais pas. J'ai juste envie qu'on oublie cette conversation, qu'on parte sur autre chose, n'importe quoi. Quitte à parler de mes fesses pour commencer.
Ven 25 Fév - 20:35
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Nous deux, seuls au milieu de tûtes ces ferrailles; qui l’aurait cru ? Et pourtant alors que la rencontre s’annonçait des plus intéressante, la voilà au sol à pleurer à chaude larmes, gisant au sol les jambes repliées contre son torse. Mon commentaire sur sa faiblesse semble raviver sa colère l’espace d’un instant alors que tout son organisme s’accélère, puis redescend suite à une respiration. Comment pourrais-je savoir que tu n’es pas une attention whore ? Dans les temps actuels, il y en a tellement plus qu’à mon époque.. Je ne dis rien, et ne cesse de la regarder alors qu’elle s’excuse. Ont passe de la colère aux pardon, maintenant ? Ont est ici là, également bien loin de la Luna que j’ai connu dans le passé l’instant d’une nuit. Mais ça, pour le moment je le garde pour moi. Inutile de la faire pleurer encore plus. J’hoche la tête lorsqu’elle me mentionne que ça va mieux maintenant qu’elle en a parlé. Eh bien tant mieux, jeune louve! Qu’il en soit ainsi, alors! Elle fini par rire face à ma question un peu stupide, ce qui, nécessairement détend légèrement l’atmosphère.

Je ne m’en inquiète pas, c’était seulement pour que tu te relèves. Et aussi parce que je ne savais pas.

La demoiselle attrape finalement ma main, thanks Hell. C’est à peine si je sens son poids au bout de mon bras et la relève comme si je venais de ramasser une feuille au sol. Dans son élan, elle se retrouve collé contre moi et j’hausse les sourcils D’un geste vif, l’air de dire « tu ne te fais pas prier pour être de nouveau dans mes bras ». Nous demeurons quelques secondes ainsi, qui semblent s’éterniser, à se regarder yeux dans les yeux. J’aimerais bien savoir ce dont à quoi elle pense, mais je n’y arrive pas. C’est comme si quelque chose me bloquait tout accès à son esprit et ça m’agace. Notre moment ainsi se termine finalement par un petit baiser sur la joue, alors que mon expression ne change pas. La louve murmure un merci à mon oreille sans que je ne trouve nécessaire d’y répondre. Je ne vois pas trop ce que j’ai fait, honnêtement, qui mérite reconnaissance. Je demeure droits, l’observant s’éloigner un peu et frotter ses fesses. Hmm, ça devient intéressant tout ça, surtout qu’elle me fais désormais dos et me demande s’il y a encore de la saleté. Je recule un peu la tête et la penche légèrement sur le côté, observant ses fesses sous quelques angles. C’est qu’elle a tout qu’un cul, dans ces pantalons, on ne se le cachera pas! Le bout de mes doigts bouge un peu, mimant la forme ronde et bombé de celles-ci. D’abords, il n’y a seulement ma tête qui fais un signe de non, les lèvres un peu pincés, pour ensuite laissé sortir quelques mots.

Nop, juste ton joli p’tit cul. Que dalle…. D’ailleurs, ces pantalons…. Putain.

Je porte un poing à ma bouche et le mords, faisant rouler mes yeux, penchant un peu mon corps vers l’arrière en laissant sortir un petit grognement.

Ils te font de sacré fesses!

J’hausse les sourcils d’un geste rapide pour accompagner mes dires. Prenant appuie contre la moto, j’enfonce mes mains dans les poches de ma veste dont la fermeture éclaire n’est pas fermé, puis sent du bout des doigts un petit joints roulé dans le fond de l’une d’elle. Je fais rouler le mégots entre mon pouce et l’index puis le sort de ma veste, le porte à mes lèvres où ces dernières le tiennent en place le temps que je l’allume. Après avoir tiré une bonne bouffé d’air de drogue et l’avoir gardé assez longtemps, je baisse la tête pour rejeter ma fumer vers le sol puis demande à Luna, laissant sortir le reste du fumé les sourcils froncé ;

Qu’est-ce que tu fais à dépouiller une moto, tu conduis ce genre d’engin ? Tu joues bien ton rôle de louve dur à cuire en tous cas.

Je lâche mon appuie contre la machine, tire une nouvelle fois sur mon mégots, laissant entré la drogue dans mes poumons en regardant au loin, puis tourne lentement pour observer un peu mieux la ferraille de la moto. Elle est encore en ordre, y’a des choses à récupérer dessus, c’est certains. Aux côtés de la louve, à une dizaine de centimètres peut-être entre nos deux épaules, je lui demande, tout en lui offrant silencieusement de la drogue en dirigeant le joint devant elle;


Ce serait un lit convenable ça, pour une mannequin capricieuse où s’y étendre nue ?

Je ne fais que glisser mes yeux vers elle, amusé. Je fais un clin d’oeil et laisse sortir la fumé de nouveau vers le sol, faisant de petits rond avec celle-ci.

« Toi et le sexe… Tu n’en manques pas une! » Le spectre roule des yeux et disparait, lassé.

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Dim 27 Fév - 23:16
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Cette journée est vraiment des plus étranges. Je suis passée par toutes les émotions, c'en est fatigant. D'abord le désir, suivi d'une intense colère et voilà maintenant que je pleure, recroquevillée sur moi-même au sol. Le même sol où je ne voulais pas être tout à l'heure pour la proposition de partie de jambes en l'air. Et me voilà à m'excuser auprès de lui ? Sérieux, qu'est-ce qu'il m'arrive. Je hausse les épaules à sa remarque. Bien sûr, tu ne t'inquiètes pas.

"Toutes les excuses sont bonnes. Mais je suis déçue."

Je fais une petite moue boudeuse le temps qu'il m'aide à me relever. Mon expression change alors que je suis à nouveau dans ses bras. Il hausse les sourcils et je souris. Quoi ? Ce n'est pas de ma faute s'il a trop de force. Je n'y peux rien si mon élan m'a entraînée sans que je ne puisse contrôler. Yeux dans les yeux, le temps semble s'arrêter. Quelle atmosphère étrange... Finalement, je le remercie d'un baiser et m'éloigne. Pourquoi je l'ai remercié ? Bonne question.. Pour ne pas s'être moqué, pour avoir fait "semblant" de s'inquiéter, pour m'avoir écouté ? Aucune idée. Il ne bouge pas alors que je m'éloigne pour me nettoyer les fesses. Ca détourne l'attention ? Ah bon ? J'en profite pour lui demander s'il reste quelque chose. Je l'observe, il en profite pour bien mater mon cul, mimant jusqu'aux formes. Je souris alors qu'il finit quand même par sortir quelques mots. Bah alors petit vampire, on a du mal à s'exprimer ? Oh, mais c'est que mon cul moulé dans ce jean fait son effet... Le désir remonterait-il ? Ca devient intéressant... Le petit grognement qu'il lâche me fait, je l'avoue, de l'effet. Mais je reste neutre, seulement mon sourire.

"Oui, je sais. J'adore ces jeans, ils valent le coup d'œil Enfin, elles valent le coup d'œil, même sans jean."

Je ponctue ma phrase d'une claque sur mes fesses. Je suis consciente de mes atouts, autant en profiter. Et concrètement, mes fesses et ma poitrine sont de très beaux atouts dans mon corps. Finalement, il s'approche et se pose nonchalamment contre ma moto. Le temps qu'il fouille ses poches, je m'accroupis et regarde rapidement la moto histoire de trouver les pièces qui pourraient m'intéresser. Le vampire me pose des questions sur cette fameuse moto.

"Oui, j'ai une moto que j'adore conduire. Et j'aime bien m'en occuper toute seule. Je la répare, l'améliore. Donc j'étais venue récupérer des pièces ici pour la mienne. Et franchement, celle-là a des pièces intactes que je pourrais récupérer."

Je grimace un peu. Ouais, la louve dure à cuire elle pleurait il y a deux minutes.

"Je fais de mon mieux, il faut bien survivre."

Je me relève pour être à sa hauteur. Je le dépouillerai plus tard, je sais à présent ce que je veux prendre dessus. Il me tend son joint et je lève un sourcil. Oh, et puis pourquoi pas. Je récupère son mégot et le porte à mes lèvres alors qu'il reparle de sexe. Je souris. Je m'y attendais. Je lui ai montré mes fesses, j'ai vu à son expression et au grognement qu'il a lâché qu'il était très intéressé. On va pas se mentir, son corps m'appelle depuis le début. Malgré cet épisode de fantôme, j'ai bien envie de me laisser tenter... Je souris de plus belle à son clin d'œil. Je me place à côté de lui et passe un bras autour de ses épaules. De l'autre main, je prends une nouvelle latte avant de lui rendre le mégot.

"La mannequin capricieuse aimerait beaucoup s'étendre nue avec toi. Mais tu connais notre force quand on s'y met, on va abîmer ce beau bébé, et je compte bien récupérer des pièces dessus. Alors..."

Je laisse sortir de la fumée de ma bouche et vient murmurer à son oreille.

"Emmène-moi dans le bus et essayons toutes les banquettes... ou ailleurs si tu as d'autres idées mais ici, cela me semble compliqué..."

Je me mets ensuite face à lui et m'approche tout doucement, en le regardant dans les yeux. J'attends un peu. Puis, je viens poser mes lèvres sur les siennes. Je viens ensuite poser délicatement mes mains de part et d'autre de son visage pour approfondir le baiser.
Mar 1 Mar - 21:37
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Toutes les excuses, really ? C'était loin d'être une excuse, mais bon, si elle prend ainsi, alors c'est tant mieux pour elle. Comme ça, ainsi, puis-je oser y gagner quelques points, remonter légèrement dans son estime ? Je souris face a sa reprise de phrase quant à ses fesses. Elle a tout à fais raison, elles valent le coup d'oeil. Le tape qu'elle y donne anime un peu plus le feu dans mon corps, mais je met de côté cette idée pour l'instant, curieux de savoir ce qu'elle a à faire d'une moto. Sa réponse me surprend peu, pour pas dire pas du tout. Elle a en effet les allures d'une mannequin fougueuse et rebelle, filant à toute vitesse sur une moto.

Je vois. Donc en plus d'être mannequin, sexy, de savoir conduire une moto..tu fais même de la mécanique ? Impressionnant, j'en conçois.

Sa grimace me fait rire. Il faut survivre oui, elle n'a pas tort la loupiote. Mais à quel prix doit-on notre survie ? Pour ma part, je n'ai pas trop à m'en faire. Je ne manque de rien, à proprement parler, mais pour la demoiselle, comment savoir ? Être mannequin est-il une vocation si payante que ça ? Probablement, oui. Il faut dire que dans ma jeunesse, ma véritable…avant ma mort, il n'y avait pas de ce genre de profession. Il y avait plutôt… les filles en maison close, si je peux comparer. Je détourne mon attention de sur la dame un instant alors qu'elle se relève pour être à ma hauteur. Du coin de l'oeil, je remarque son air surprise lorsque je lui tend mon petit bout de cannabis roulé dans du papier, cependant elle ne semble pas hésiter plus longuement et attrape entre ses doigts ce dernier. Désormais collé l'un à l'autre, attiré par son bras qu'elle passe par-dessus nous, un sourire éclaire mon visage alors qu'elle me rend le joint. Tandis que la charmante dame fait ressortir sa fumé après avoir laissé sa phrase en suspend, j'ajoute à sa suite ;

Alors…

Et cette même phrase qu'elle avait laissé en suspend, est suffisante pour faire brûler mon regard d'envie, de désir. Devant moi, à m'observer, je sens la tension monter entre nous comme si plus rien d'autre n'existait. Ses mains farfouilles mon visage de part et d'autre alors que notre baiser ce veut de plus en plus fougueux, sauvage. En l'espace d'une seconde, nous voilà désormais face à se bus où, d'une main, j'en ouvre la portière pour nous y faire entrer. Luna dans mes bras, je l'étend sur l'une des banquettes de cuirs froide puis la détaille, non, la dévore du regard alors que l'une de mes mains farfouille son corps, tandis que l'autre se promène dangereusement aux alentours de la zone érogène. Cette dernière s'immobilise dans le creux de sa cuisse avant de la redresser d'un geste rapide, l'obligeant d'une certaine façon à être par dessus moi à califourchon. Et alors que je caresse son dos sous son chandail et que j'embrasse chaque parcelles de sa peau dans son cou, je murmure en me perdant dans ses yeux ;

Et maintenant ?

Je sais que je devrais la déshabiller, essayer chacune des banquettes dans toutes les positions possibles, mais quelque chose m'empêche d'être brusque. Peut-être est-ce les larmes que j'ai vue couler tout à l'heure ? Qui sait. Le souffle plus court, je n'attends pas de réponse et l'embrasse sensuellement avant de doucement lui retirer son haut. Qui aurait cru qu'après toutes ces années, mon désir pour cette louve aurait brûler de la même façon que lors de notre rencontre dans ce bar ? Rien, rien ne laissais croire à se présage. Mais comme la toute première fois, je n'ai pas l'intention d'aller contre sa volonté, elle pourra dire stop à n'importe quel moment et j'arrêterais. Mais s'il te plait… laisses-nous nous amuser jusqu'à la fin, petite louve.

Mar 1 Mar - 23:09
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Je sais très bien que je lui fais encore de l'effet mais il le cache pour le moment, s'intéressant à ma passion pour la moto. Une conversation que je n'aurais jamais cru avoir avec lui un jour. Une conversation qui ne tourne pas autour du sexe, je pensais que ça ne nous arriverait pas, et pourtant on les enchaine.

"Que de compliments, dis-moi. Je suis flattée. Donc oui, j'adore la mécanique. Et je t'assure que je peux être sexy même avec des taches d'huile sur le corps..."

Il rit à ma grimace. Bah oui, lui ça fait des centaines d'années qu'il survit, il a de la pratique. Moi, ça fait dix ans que je connais ma condition de louve-garou, et peut-être six que je vis seule, sans ma famille pour m'aider à gérer tout ça. Alors oui, ça s'appelle encore de la survie et c'est franchement pas une partie de plaisir des fois. A Fearwood, je commence à voir une échappatoire pour me reposer sur d'autres comme moi. J'ai retrouvé Lia, j'ai rencontré Sam il y a quelques temps. Je peux espérer compter sur d'autres loups pour que l'on survive ensemble.

Je finis par accepter ce qu'il me tend. Peut-être que ça aura plus d'effet que l'alcool, autant s'amuser... Je finis par lui rendre tout en étant plus tactile avec lui. Il ne repousse pas mon bras autour de lui, c'est qu'il accepte de rentrer dans mon jeu. Parfait... Il essaie de savoir ce que j'ai en tête mais le simple fait d'avoir laissé ma phrase en suspend rallume la flamme qui brûlait au début de cet après-midi. A partir de là, plus rien n'existe. Il n'y a plus de ferraille, plus de fantôme. Juste nous deux, prêts à tout casser en faisant l'amour. Mon baiser déclenche tout. Me voilà dans ses bras alors qu'il nous emmène au niveau du bus. Je souris, je savais qu'il ferait ça. Et cette vitesse m'excite beaucoup trop. Me voilà déjà allongée sur une banquette alors que le vampire me caresse. Mon souffle laisse planer de la buée dans ce bus froid. On va réchauffer tout ça en un rien de temps. Bientôt, la buée sera sur toutes les fenêtres du bus et on verra la marque de nos mains et nos corps sur ces vitres.

Il arrête sa main près de ma cuisse pour me redresser sur lui. Je suis assise sur lui, ma tête légèrement au-dessus de la sienne vu que je suis sur ses genoux. Ses caresses et ses baisers m'électrisent. Des frissons parcourent mon corps alors que je lui offre l'accès à mon cou. Je reviens finalement vers lui, mes yeux plongeant dans les siens. Et maintenant ? Oh si tu savais ce que j'aimerai que tu me fasses... J'en rougirais presque. J'ai dit presque. J'ai perdu ma position de sainte nitouche il y a bien longtemps. Maintenant j'assume mes désirs et ce que je pense. Et mes désirs avec lui hm...

Je n'ai même pas l'occasion de répondre, à croire qu'il lit dans mes pensées. Il revient sur mes lèvres et je passe mes mains derrière son cou pour le rapprocher encore plus de moi. Nos corps sont collés, nos sexes aussi malgré nos vêtements et je sens sa bosse à nouveau formée. Il me déshabille délicatement, comme à notre première rencontre, il semble se retenir. M'autorisant implicitement à le repousser si je change d'avis. Il y a quelques années, j'avais hésité. Mais pas aujourd'hui, et plus jamais. Je l'observe alors que mon haut se retrouve je ne sais où. Je suis bien contente qu'il ne puisse pas m'hypnotiser. Je peux profiter de tous nos moments. Mais je me perds dans son regard alors que mes mains se mettent en action. Elles passent sous son tee shirt alors que mes yeux restent accrochés au sien. Je me mords la lèvre, il est beaucoup trop sexy... Je me penche finalement vers son oreille et l'effleure de ma langue. Je chuchote.

"Oublie les préliminaires..."

Et je lui retire son haut pour qu'il rejoigne le mien alors que je viens l'embrasser dans le cou. Mes mains caressent son torse du bout des doigts alors que mes baisers descendent. Toujours assise sur ses genoux, je viens saisir son téton gauche dans ma bouche et le lèche tout en laissant glisser mes mains vers ses cuisses. Je passe à l'autre téton alors que je saisis son pantalon au niveau de la ceinture. Je remonte pour l'embrasser sans retenue et commence à défaire la boucle de sa ceinture. Je le mordille dans le cou jusqu'à laisser une belle marque. Le pantalon totalement déboutonné, je descends sensuellement pour lui enlever. Me voilà à genoux devant lui alors qu'il est nu. Je souris. Amusons-nous alors...
Mer 2 Mar - 10:49
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Azaël Hook & Luna Silver

Une vieille histoire refait surface ft Azaël Uky1


J’étais parti de chez moi avec une seule idée en tête : me divertir. Je dois dire que pour le moment, je suis gâté. Mademoiselle Silver, de toute ma surprise, était présente elle aussi dans cette cours à ferrailles. Qui plus est, la tension et le désir sexuel entre nous étant toujours présent, il est évident que j’ai tenté de la titiller un peu. D’abords elle me semblait plus, distante, puis finalement à l’aise à l’idée avant que je ne gâche tout. Mais ça, c’est du Azaël tout craché que de tout gâcher en disant ce qu’il pense. Mais maintenant, dans se bus qui se réchauffe déjà rien qu’avec la chaleur de nos deux corps, je ne peux m’empêcher de me dire que j’ai finalement bien fait de diriger mes pas dans cette direction. Sur mes cuisses, à glisser ses mains sous mon chandails me donnant des frisons hérissant un peu plus mes cheveux.

Faisant changer mon regard noisette en un regard ambré de désir aux joues d’une teinte légèrement rosé, il va sans dire que l’atmosphère est brulante, ardente d’envie et d’interdit. Et ses mots. Oh putain, ses mots qu’elle murmure à mon oreille et qui, inévitablement, allume de plus belle la flamme alors que mes mains caresse son corps frêle et délicat avec à la fois douceur et passion, que ma bouche embrasse d’abords le haut de ses sains, remontant vers sa bouche. Mais cette dernière n’a pas l’intention de me laisser mes vêtements et je met peu de temps à arborer la même tenue qu’elle. J’apprécie les sensations qu’elle me procure alors qu’une main se glisse dans sa chevelure alors qu’elle s’affaire à me faire une sucette bien visible dans le cou. Et tandis qu’elle défait ma boucle de ceinture, descendant lentement pour se retrouver à genou devant moi, ma main relève son menton. Avec un regard braisé de désir, je marmonne;

Je croyais qu’on avait dit pas de préli…

En un clignement des paupières elle se retrouve désormais sans pantalons et déjà je me hisse en elle. Mes mains se calent sur ses hanches, mes doigts agrippant ses fesses avec force, mais modération. Je ne veux tout de même pas la blessé et la futée. Je n’ai pas nécessairement besoin d’elle pour avoir du plaisir, mais à l’heure actuel c’est avec elle que j’en ai et je la respect. Bougeant en rythme sur cette banquette qui tantôt était froide maintenant est bien réchauffer, aux fenêtres embuée de l’émanation de notre passion sexuelle, alors que j’entends son coeur battre à un rythme effréné, l’une de mes mains se pose entre ses deux sains, attirer par le son tambourinant de celui-ci. Du sang qui y pulse à bon escient à l’intérieur. Oreillette, ventricule, veine cave supérieur… je pourrais presque entendre le chemin emprunter par ce doux liquide si je me concentrais. Les iris rougeâtres, je me perds dans le bleu des siens quelques secondes entre deux respires avant de l’embrasser fougueusement. Lentement, je commence ma descente dans son cou où je laisse ma marque à quelques endroits, faisant affluer le sang à la surface de la peau, pour finalement venir glisser le bout de ma langue juste un peu plus haut que le creux de sa clavicule. Je remonte jusqu’à son oreille, frôlant sa peau des lèvres afin de lui murmurer ;

Et si ont refaisait l’expérience ?

L’expérience. Celle de la morsure. Du sang au goût velouté dans ma bouche qui roule sur mes papilles, a un goût difficile à vaincre. Le meilleur sang que j’avais bu jus’à date était celui de jeunes femmes encore pures, neuves, non-profanées. Mais le siens… et les sensations qui l’accompagne actuellement, argh. Je peux difficilement résister à son appel. Et tandis qu’une main relève à nouveau son mentons et que la seconde s’est niché sous son sain, je m’élance dans un baiser langoureux. Tu n’as qu’as murmurer oui, et le sang coulera à flot dans ma bouche.

Ven 4 Mar - 16:12
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Luna Silver
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Luna Silver
Je ne pensais pas que mon dimanche tournerait ainsi. Je pensais juste venir dépouiller une moto pour m'amuser cet après-midi à améliorer la mienne. Mais je garde ce programme pour un autre dimanche du coup. Autre chose va m'occuper aujourd'hui. Et cette autre chose est un vampire très sexy. Le milieu désastreux de cette rencontre à parler fantôme est loin derrière nous. Plus rien ne compte à part le sexe dans ce bus. Si quelqu'un ose se promener par ici, il risque d'avoir peur en voyant le vieux bus bouger dans tous les sens. Pour le coup, il risque vraiment de croire à cette histoire de fantôme.

Son regard change. Oh, monsieur s'amuse à changer de couleur... Je souris alors que ses joues prennent une teinte rosée. Le désir est présent entre nous, il n'y a plus aucun doute là-dessus. Nos souffles se mélangent. Et je le déshabille sans aucun complexe. Je ne me gêne pas non plus pour le reluquer alors que mes doigts glissent sur son corps. Je me retiens de le griffer mais j'en meurs d'envie... Laisser de belles marques... Je lui en fais quand même une belle dans le cou. Pas sûre qu'il la garde longtemps, avec les processus de guérison rapide, alors je souris de plus belle en admirant mon œuvre. Ses mains dans mes cheveux glissent et les caressent alors que je descends lentement le long de son torse. Je descends tout en bas, mais le vampire n'est pas de cette avis. Il saisit mon menton et je plonge mon regard dans le sien. Oh mon dieu, cette main sous mon menton, alors qu'il me fait lever la tête vers lui... On dirait le prédateur qui parle à sa proie, et j'adore ça... Ma respiration s'accélère d'excitation alors qu'il me rappelle que j'ai dit qu'on devait oublier les préliminaires. Oui, c'est vrai, j'ai dit ça... Je souris d'un sourire carnassier. Passons de suite aux choses sérieuses alors...

Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, me voilà déjà nue, de nouveau allongée sur la banquette, et le vampire qui ne perd pas de temps à entrer en moi. Je crie, de douleur et de surprise. Mais cette douleur laisse bien vite place au plaisir. Ses mains sur mes hanches retiennent mon corps qui encaisse les coups rapides du beau vampire qui me pilonne sans discontinuer. Le bus est bien réchauffé alors qu'il vient poser l'une de ses mains entre mes deux seins. Mon coeur bat vite et je le sais. D'excitation, de passion, de désir, mais aussi du rythme de notre passion sexuelle. Un rythme surnaturel. Mais tellement excitant.

Je vois que son regard est devenu bien rouge, il a envie de sang et d'aller plus dans le sexe. Il y a tellement de choses que l'on peut envisager avec nos pouvoirs... Il vient m'embrasser fougueusement et j'en profite pour m'accrocher à son cou pendant notre baiser, l'une de mes mains tirant légèrement sur ses cheveux. Il descend dans mon cou, mes bras glissent dans son dos et je le griffe légèrement alors que je sens ses canines qui s'enfoncent un peu dans ma peau, mais seulement assez pour faire perler quelques gouttes de sang. Quelques gouttes qu'il récupère en me léchant le cou. Je gémis en sentant sa langue. Mais je frissonne encore plus alors qu'il me propose dans un murmure de retenter l'expérience. Cette expérience. Celle que je lui ai demandé et pour laquelle il était d'abord réticent avant de devenir accro , comme moi.

Il revient saisir mon menton et je gémis à nouveau. J'aime beaucoup trop lorsqu'il prend le contrôle de moi comme ça. Nous échangeons un long baiser, entremêlant nos langues. Il n'y a aucune retenue et j'adore ça. En un éclair, j'utilise ma force et nous voilà sur la banquette en face. La vampire est assis et je viens m'assoir sur lui. Je laisse échapper un gémissement lorsque je sens son sexe qui s'enfonce en moi. Pourquoi je retiendrais mes cris ? Il n'y a personne et je suis sûre que ça l'excite de m'entendre gémir... Je viens l'embrasser à nouveau alors que j'ondule des hanches sur lui.

Je finis par mettre fin à notre baiser et je plonge à nouveau mon regard dans le sien, toujours rouge. Le mien brille légèrement de jaune. La louve en moi veut ressortir pour utiliser toute sa force et sa vitesse. L'animal veut continuer à baiser sur toutes les banquettes de ce bus et je ne vais pas l'arrêter. Mais d'abord... Je fais glisser mes cheveux sur le côté et rapproche mon cou de sa bouche en murmurant à son oreille.

"Oh oui, vas-y, mords-moi..."

De ma voix la plus sensuelle. Je veux sentir ses crocs qui s'enfoncent et me procure un plaisir inexplicable alors que mon sang emplit sa bouche. J'ai confiance en lui, je sais qu'il s'arrêtera. Je sais aussi qu'il gèrera ça mieux que moi, je ne contrôle pas, je suis accro à cette sensation. Si je m'écoutais, je voudrais qu'il me morde souvent... Alors, pour le moment, je vais me laisser aller à sa morsure, sans contenir aucun cri de plaisir et laisser ma voix remplir ce bus vide. Toujours assise sur lui, j'en profite pour continuer à bouger sur lui, sentant son sexe dur en moi. C'est beaucoup trop bon de faire l'amour avec lui...
Lun 14 Mar - 21:21
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Azaël Hook
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Azaël Hook & Luna Silver

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Le bus dans lequel nous nous trouvons baigne dans une atmosphère de chaleur et d’humidité, laissant chacune des fenêtres rectangles en sueur, tout comme possiblement nos deux corps si j’avais encore été vivant. Malheureusement, plus grand chose ne m’affecte outre une morsure de loup garou ou que quelqu’un m’arrache le coeur. Oh, et sans oublie la verveine, également. Bref. Nous baisons comme c’est presque interdit sur ses bancs froid et en cuire d’un gris affreusement laid lorsque je m’approche de cette magnifique veine qui pulse dans son cou et qui m’appelle à grand coup  d’hémoglobine. Lorsqu’elle me donne plein feu vert, je ne me fait pas prier trop longtemps et croque approximativement là où j’avais mordu il y a quelques années de cela. Le goût est… exquis. Velouté à souhait. Ce dernier me roule sur la langue, coule dans mon oesophage et agencé au va et viens de nos ébauches sexuelles, c’est….jouissif. Presque un orgasme, à dire vrai. J’avale, presque sans avoir de fond, chaque goûtes qui sort de sa veine. Mais alors que j’ai l’impression qu’elle réagis de moins en moins et qu’elle ne bouge presque plus sur moi, j’aurais dû savoir que c’était le moment de m’arrêter. De lui laisser le peu de sang qui contribue à la garder en vie. Seulement….. c’est tellement bon que j’en ai énormément de difficulté. Mon cerveau me hurle d’arrêter, tandis que mon corps me supplie de continuer. J’en veux plus. J’ai besoin de plus. Mais alors que je sens son coeur ralentir, un signal d’alarme sonne dans ma tête. Il faut que j’arrête. Tout de suite sans quoi je risque de la vider. Mais malgré l’alarme qui sonne en boucle dans mon esprit, je met quelques secondes supplémentaire à m’emplir de son sang. Lorsque j’ouvre mes yeux et la regarde enfin, son teint livide me fait légèrement paniquer. Oh non. Oh non. Merde, merde, merde…. Qu’est-ce que tu as fait, petit crétin ?!

L’excitation qui habitait le bus est complètement disparu et en une vitesse inimaginable, je suis déjà sortis d’elle et ait remis mon pantalon. Inerte dans mes bras, je la secoues un peu, lui donne de petites claques au visage. Je murmure son nom, de plus en plus fort tout en tenant de la réveiller.

Luna. Luna ! … Luna, hey. Luna, réveilles-toi !

Je la secoue encore et encore, essuie le coin de ma bouche et mords mon poignet pour lui donner un peu de mon sang. Je la presse contre moi tout en laissant sortir le sang de ma morsure tandis que le liquide coule lentement entre ses fines lèvres à peine entre-ouvertes. Je tente d’attraper son chandail de la main qui la tiens contre moi et l’habille un peu, lui vouant un respect que je ne me connaissait pas. J’essuie le sang qui a coulé aux côtés de ses lèvres, le regard inquiet. Son corps chaud collé contre mon torse nu, je patiente, caressant son délicat visage dans l’espoir qu’elle reprenne un teint plus… normal. Plus vivant. J’entend son coeur battre avant d’entendre ses poumons venir chercher de l’air. Un soupire de soulagement s’échappe, et je colle mon front contre la joue de cette dernière.

Putain… Luna. J’ai cru que je venais de te tuer.

Je lui balance ses mots alors qu’elle viens à peine de se réveille. Le regard fou, les cheveux en bataille, je plonge mon regard dans le siens. Je suis incapable de m’excuser pour le moment, mais je crois que mes yeux le font à ma place. Je replace une mèche de cheveux sauvage derrière son oreille et passe d’un oeil à l’autre, l’expression affichant toujours une légère inquiétude. Je ne peux m’empêcher de songer à cette fois où j’avais presque vider complètement Marwa de son sang…. Et un noeud se forme dans ma poitrine. J’ai l’impression de revivre à peu près la même scène et l’idée de faire du mal à une femme pour qui j’ai du respect ne m’enchante guère. Bien que c’était différent pour Marwa, Luna ne mérite aucunement de mourir entre mes mains… je devrais m’en éloigner, tenter de l’éviter au maximum. Parce que je sais pertinemment que j’aurai encore envie d’elle, envie de son sang. Je sais aussi, pertinemment, qu’elle sera bien mieux si je ne suis pas dans les parages. Au même moment, Astharoth décide de faire son retour. Juché dans le haut du bus, ce dernier juge la situation d’une manière qui m’agace un peu.

Tu aurais dû achever ce petit chiot. Tu aurais rendu un fière service à l’humanité. Tu sais comme moi que ces machins empestes comme pas possible et pourtant c’est la deuxième fois que tu t’acharnes sur cette gonzesse…

Je me concentre pour l’ignorer, mais je ne peux pas m’empêcher de froncer les sourcils. Ce spectre, parfois…. J’aurais aimé ne pas m’en être fait un ami. Si il est ce que je peux en appeler un. Je m’éloigne un peu de Luna sur le banc deux places puis étire mon bras pour atteindre mon chandail, ma veste et le reste des vêtements à Luna que je lui tend. Rapidement, j’enfile les miens et me relève.

Je crois que je devrais y aller…

Le regard sombre, je songe encore à son teint terne, sa peau froide et son coeur à peine perceptible, par ma faute. Incapable de la regarder à nouveau, je reste debout à fixer le vide.

…Je …je n’aurais pas pu me le pardonner.

Dim 10 Avr - 21:27
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Luna Silver
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Luna Silver
L'atmosphère glaciale qui régnait entre nous au début de l'après-midi, mais aussi dans ce bus avant notre arrivée, n'est plus qu'un mauvais souvenir. Nous revoilà comme il y a quelques années à baiser jusqu'à n'en plus pouvoir. Deux animaux en manquent seraient moins productifs que nous. Je pense que toutes les banquettes vont en voir de toutes les couleurs jusqu'à tard dans la nuit. Il faudrait juste éviter de trop secouer ce bus, j'ai bien peur qu'il ne tienne pas le choc.

Nous nous calmons un peu lorsqu'il me demande l'autorisation de refaire cette expérience qui avait été si exquise la première fois : sa morsure. J'avais été comme transportée dans un autre monde de plaisir la première fois. J'en aurai redemandé si cela ne m'était pas fatal qu'il me suce le sang. Et il a su rester sage en n'en prenant qu'une quantité raisonnable. Alors il est évident que je ne vais pas refuser de recommencer. Je lui fais pleinement confiance, il saura s'arrêter. Je lui dégage mon cou de mes cheveux pour qu'il puisse venir y loger ses canines pointues. Un soupir m'échappe lorsque je les sens s'enfoncer. Je sens ce liquide indispensable à ma vie qui coule vers sa bouche et je ressens le même plaisir que la première fois. Je me demande comment les petites humaines le ressentent. Mais je pense que c'est moins fort que ce que je ressens moi. Et bordel qu'est-ce que c'est bon.

Au fur et à mesure qu'il boit, je me sens de plus en plus faible, je n'arrive plus à bouger comme avant. Les battements de mon cœur ralentissent. Ma tête me semble si lourde. Qu'est-ce qu'il m'arrive ? Ca ne doit pas se passer comme ça... Est-il allé trop loin ? Il faut que je lui dise, il faut... Je n'arrive même pas à le repousser.

"Az..."

Ce sera la seule chose que j'arriverai à dire avant de sombrer dans l'inconscience. Il fait si noir, j'avance doucement, essayant de me repérer mais je ne reconnais rien. Je me sens lourde, j'avance très lentement. Une petite lumière semble m'appeler au loin. Je ne contrôle pas mes mouvements et mon corps s'y dirige tout seul. Je n'entends rien autour de moi, ce silence est pesant. J'avance encore, une larme coule le long de ma joue, sans que je sache pourquoi.

Des souvenirs m'assaillent et je me force à m'arrêter. Azaël. Le bus. Le sexe. La morsure. Trou noir. Il m'a vidé de mon sang... Alors il n'a pas su s'arrêter cette fois ? C'est comme ça que je vais finir ma vie ? Morte, vidée de mon sang dans un bus ? Pourtant, je ne me sens pas en colère. Je sais qu'il ne l'a pas fait intentionnellement et je ne peux pas lui en vouloir. Lui demander d'arrêter de boire mon sang c'est comme me demander d'arrêter de chasser ce gros lièvre qui n'est qu'à quelques millimètres de mes crocs. Je souris. J'ai été ravie de le connaître malgré tout. Mais je ne vois pas comment je pourrais revenir maintenant.

Alors que je recommençais à marcher en direction de la lumière, j'entends une voix qui m'appelle. Sa voix. Je me retourne, essayant de chercher d'où cela provient. Puis, d'un coup, je sens un goût métallique dans ma bouche. Du sang ? Pourquoi ? Soudain, ma poitrine se serre et je porte une main sur mon cœur. Je  me mets à tousser et je me sens happée vers ailleurs.

Me revoilà dans le bus. Avant que je n'ai pu comprendre ce qui m'arrivait, je sens des bras qui me serrent et une tête contre la mienne. Les paroles que j'entends ne me percutent pas tout de suite. C'est alors que je le vois, il me regarde et semble désorienté. Il ne dit plus rien et se contente de replacer mes cheveux comme il le fait si bien. Il n'a pas besoin de parler, je sais qu'il s'en veut et son expression parle d'elle-même. Il est désolé et inquiet. Alors que je cherchais encore mon air jusqu'à présent, je sens que ma respiration redevient calme et que mon cœur a repris un rythme à peu près normal.

Je me rends alors compte qu'il est torse nu mais qu'il a son pantalon, alors que moi je ne suis habillée que de mon tee-shirt. L'odeur du sang empeste dans le bus. En regardant le vampire, je me rends compte que du sang s'écoule de son poignet. Je le prends et regarde de plus près. Il s'est mordu ? Mais pourquoi ? M'a-t-il donné son sang ? Est-ce que ça va changer quelque chose en moi ?

"Que... ?"

Avant que je n'ai pu dire quoi que ce soit, Azaël s'est déjà écarté de moi pour récupérer ses habits et me donner les miens. J'ai à peine cligné des paupières et le voilà déjà rhabillé entièrement. Ma tête tourne, j'ai trop d'informations d'un coup et mon corps est bien trop faible. Ses paroles sonnent comme une douche froide et je réatterris enfin sur Terre. Il fixe le vide, disant qu'il n'aurait pas pu se pardonner. Avant qu'il ne puisse s'enfuir et qu'il me laisse seule ici, je me lève et attrape son poignet. Manque de bol, je n'ai pas vraiment d'équilibre et je manque de tomber. Je me rattrape à lui, le souffle court.

"Excuse-moi... S'il-te-plaît, reste et viens t'asseoir..."

Je cherche son regard mais il m'évite. Je viens placer une main sous son menton et le relève vers moi, toujours pas de contact visuel. Alors je saisis son visage de mes deux mains et le force à me regarder. Je peux y lire une certaine tristesse et encore de l'inquiétude. Je le pousse doucement vers le siège le plus proche. Il se laisse faire mais cela semble être à contrecœur. Le temps qu'il ne dise rien, j'en profite pour m'habiller à mon tour des vêtements qu'il me manque et je vais m'asseoir près de lui, lui laissant quand même de l'espace. Quelques secondes passent, et aucun de nous ne dit rien. Il faut que je dise quelque chose, sinon il va s'enfuir et cette fois, je sais que je ne le reverrai pas. Et ce n'est pas ce que je veux. Je prends une grande respiration et me tourne vers lui. Ma main gauche sur sa joue droite pour qu'il tourne sa tête vers moi.

"Je sais que j'ai failli y passer... J'étais... proche de la lumière blanche et pourtant, tu as tout fait pour me ramener. Je sais que tu ne l'accepteras pas, mais merci de m'avoir sauvée. Tu aurais pu me laisser mourir et tu ne l'as pas fait. Tu m'as donné ton sang... Je ne sais pas ce que ça implique pour une louve comme moi mais, sans toi, j'aurai traversé ce tunnel de lumière. Peu importe ce que tu penses, je ne t'en veux pas, je sais que tu ne voulais pas me tuer... Je..."

Je ne sais pas quoi dire de plus, ma voix s'éraille et se bloque dans ma gorge. Je n'ose plus bouger, mon regard dans le sien, j'attends une réaction. Je me rends compte que ma main est toujours sur sa joue, je l'enlève, de peur qu'elle ne le dérange et baisse à mon tour la tête...
Lun 11 Avr - 21:05
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La situation aurait difficilement être plus awkward, étrange. C’est elle qui s’excuse, alors que ça devrait être à moi de lui demander pardon. Lui demander de me pardonner de l’avoir quasiment vidé de son sang, en entier. J’évite à tout prix de la regarder. Je refuse. Je ne veux pas voir son visage, celui que j’ai failli ne plus jamais voir sourire, par ma faute. Pourtant, je suis habitué, j’aurais dû savoir m’arrêter. Mais non, j’en ai été incapable. Ses yeux cherchent les miens, je le sais et son contact sur mon menton ne me le prouve qu’encore plus. Malgré tout, je me refuse de tourner la tête vers la jeune louve. Je ne peux pas encore. Le mieux, et nous le savons tous les deux, c’est que je la laisse et que je gagne le plus de distance possible entre nous. Mais la jeune femme est entêté et se sont désormais ses deux mains qui s’agrippe de par et d’autre de ma tête pour m’obliger à la regarder. Son expression me percute de plein fouet. Je ne saurais décrire quel étrange cocktail s’empare de moi à l’instant. Mélancolie, tristesse, crainte peut-être ? Chose certaine, j’aurais eu de la difficulté à me pardonner l’assassinat de ce petit caniche.

Je me laisse pousser sans broncher sur un siège, probablement le prochain qui aurait suffoqué sous nos ébauches torrides il y a de cela quelques minutes si j’avais su me contenir, et cette dernière prend la peine de rester à une certaine distance de moi. Bien qu’elle ne soit pas énorme, cette distance, elle me laisse une drôle d’impression de déjà vue, comme si un froid venait de s’installer entre nous alors que rien en elle me l’indique un coup les vêtements enfilés. Je ne parle pas, et elle non plus. Les secondes s’écroulent dans un silence de mort, avec comme seul bruit de fond le sifflement du vent et le croassement lointain d’un corbeau. Le spectre, dans son coin, continue de se faire tout petit tout en assistant à la scène avec désintérêt. Je ne lui donne pas plus de 2 minutes si nous restons en silence et il nous aura abandonné. J’étais sur le point d’imiter Astharoth et m’enfuir à une vitesse vampirique afin qu’elle ne puisse pas me voir partir, mais cette dernière prend la parole et naturellement je glisse mes yeux sur elle lorsqu’elle parle. Sa main chaude sur ma joue me laisse une désagréable sensation mais je ne dit rien, refusant de la vexer. Ses paroles sont tendres, douces et mon regard, désormais calme.

Et si, au contraire, j’avais voulu la tuer ? Peut-être que c’était ça, mon ultime but. Tuer une louve et ainsi pouvoir me vanter auprès de mes confrères suceur de sang que j’ai eu la chance d’affronter un lycan et d’en sortir vainqueur, sans morsure. U beau mensonge pour les faire jalouser un peu. Après tout, c’est la nature première du vampire que de s’en prendre à des innocents pour se nourrir et les vider de leur sang. N’est-ce pas l ce dont je m’apprêtais à faire ? Évidement que non, mais quelque chose me dit que j’étais très près de la limite pour la ramener parmi nous. Je soupire et ferme les yeux alors que sa main qui s’enlève me donne un frisson. Et tout me ramène encore une fois à ma charmante, ma douce et ma si pure Marwa…

Nous sommes environs à la même distance la première fois qu’elle accepte que je m’abreuve à elle, alors qu’elle a appris pour ma condition il y a quelques jours. Les vietkongs surplombe les allés alentours de la nôtre et pour l’instant j’ai sue me sourire de soldats ou de civils décédés, mais à moins d’être une mort récente, très récente… leur sang me rendais malade. Le sang des morts est nocif pour un vampire, je l’ai appris à mes dépends. Mais cette journée là… celle où Marwa m’a dit oui, j’ai eu de la difficulté à me contrôler. Je tenais son petit corps frêle entre mes doigts, cette dernière gémissant sous la douleur ou l’extase, je ne saurais dire lequel des deux, j’étais hélas un bien jeune vampire encore à l’époque et j’avais encore beaucoup à apprendre. Mais… mais lorsque son corps se raidit dans mes bras, que son coeur ne battait presque plus, j’eu l’une des peurs les plus terrible de ma vie et je m’étais juré que plus jamais je ne m’abreuverais d’elle. Évidement, ce ne fût pas le cas. Je me suis nourris à maintes et maintes reprises de l’adorable Marwa, l’amour de ma vie. Mais de voir Luna dans cet état me la rappel trop, et je refuse de me laisser submerger par les sentiments à nouveau. Je m’en sortais très bien sans.

Cesse de dire que tu me pardonnes. Je suis un vampire, Luna. J’aurais aisément pu te tuer et n’avoir aucun remords… Je me sens mal parce que j’ai du respect pour toi. J’étais à deux doigts de te perdre… de te laisser mourir dans mes bras et je ne pouvais simplement pas décrocher. Je crois qu’on aurait dû en rester au simple flirt de bar et ne jamais aller plus loin que du sexe.

Je marque une pause, regarde en avant de moi.

J’aimerais te dire que je n’en ai rien à foutre de toi, je t’assure… mais étrangement, ce n’est pas le cas. Ton sang à un petit plus que je n’ai pas réussit à trouver ailleurs et je pourrais facilement en devenir accro. En demander toujours plus. Tu comprends ?!

Mon ton est froid, dure mais cache une certaine délicatesse. Je sais que je ne l’aime pas. C’est certain j’en suis incapable de toute façon. Mon coeur endurcis à été trop blessé par le passé. Mais sa ressemblance avec celle qui autrefois le faisait vibrer me fait trop mal, que parfois je crois que je me perd entre la réalité et la fiction. Je garde ensuite le silence, jugeant que c’est mieux si je n’ajoute rien de plus.

Mar 12 Avr - 3:54
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J'en ai sérieusement marre d'être l'objet de toutes les expériences du monde en ce moment. Je ne peux pas vivre ma vie de surnaturelle tranquille, merde ! D'abord la possession il y a quelques jours, maintenant une mort imminente à cause d'une morsure. Alors je sais, on va me dire que c'est entièrement ma faute. De un, le chasseur m'a demandé quarante fois (au moins) de partir et j'ai refusé et là c'est moi qui ai accepté qu'Azaël me morde, en toute connaissances des risques que cela impliquait. Mais naturellement, en gentille louve, j'accepte la responsabilité et je m'excuse. Ca doit être naturelle chez moi, il faut que je change cela.

Il refuse de me regarder mais moi je cherche le contact visuel. Je ne veux pas le laisser partir comme ça. Pourtant, il faudrait. Après tout, il pourrait me sauter dessus à tout moment et recommencer sans me sauver cette fois. Malgré tout, je m'approche de lui sans crainte et l'oblige délicatement à me regarder. Beaucoup d'émotions me percutent de plein fouet. Il s'en veut, il a peur, et il semble triste. Est-ce à cause de la jeune femme qu'il a connu ? Celle qui me ressemble. A-t-il failli lui faire pareil ? Je ne me risquerai pas à lui demander. Je ne sais que trop bien à quel point les souvenirs sont difficiles à surmonter quand ils sont tragiques, alors les rappeler à quelqu'un sont la pire des choses à faire.

Je choisis de laisser une distance. Non pas que j'en ai envie, mais j'ai l'impression qu'il en a besoin. Il serait probablement mal à l'aise si je m'approchais. Et peut-être que moi aussi après tout. Il a quand même failli me tuer. Nous deux, c'est compliqué. De base, ça ne devait être que du sexe, un coup d'un soir. La soirée d'il y a quelques années aurait dû se finir sur du sexe et uniquement cela. Mais cela s'est avéré plus... intime. Emotionnellement parlant. Nous avons parlé de nos passés. Chose dont je ne discute avec personne généralement. Trop douloureux. Et pourtant, on s'est confié l'un à l'autre. C'est ce qui rend notre relation bien étrange.

Aujourd'hui, ça aurait pu reprendre des proportions normales. Après le temps du froid et de la dispute que j'avais volontairement mis en place pour ne pas aller trop loin, nous avons fini par replonger dans les bras l'un de l'autre, réchauffant ce bus glacial. Le sexe entre nous est tellement bon qu'on n'a pas pu y résister. Et la morsure, c'était le summum de l'extase. Mais ça ne s'est pas fini comme il fallait et nous voilà assis à distance sans parler. Ce silence est pesant. Je devrais le briser, car je sais qu'il ne le fera pas. Il était prêt à s'enfuir et ça nous aurait laissé un sacré goût amer. Je le laisserai faire ce qu'il veut après, mais je voulais qu'il m'écoute d'abord. Et il l'a fait. Son regard est calme, je ne sais pas trop ce que cela signifie. J'ai enlevé ma main et il me semble apercevoir un frisson chez le vampire. Il ne dit rien pour le moment, comme plongé dans ses pensées. Je me contente de le regarder, attendant une simple réaction.

Je ne l'interromps pas lorsqu'il me répond. Son ton est froid, il fait taire ses émotions et ses sentiments. Le vampire de notre début de soirée. En même temps, je m'attendais à quoi ? Je ne m'énerverai pas, aucun intérêt. Je suis un peu blessée sur le moment mais je ne le montre pas. J'ai toujours été ainsi, à m'attacher aux gens et à être aussi très vite déçue. J'avais réussi à m'écarter un peu de cette image, cela m'évitait de croiser des gens nocifs. Mais une fois que j'ai confiance en une personne, je recommence, c'est plus fort que moi. Et malgré son caractère de vampire sans cœur qui veut juste du sexe, j'ai appris des choses de lui qui ont fait que je lui ai accordé ma confiance et que je me suis attachée à lui. Je n'ai pas de sentiments amoureux pour lui. Lui et moi, c'est surtout du sexe, le genre dont on ne peut pas se passer. Et une part de confidence.

Durant le silence qui suit, il regarde devant lui et moi, je le regarde lui. Il n'ajoutera rien, c'est à moi de parler.

"Tu crois que je ne le sais pas ? Tu n'es pas le premier vampire que je croise. Tu aurais pu me tuer, mais tu ne l'as pas fait. Et si tu l'avais fait, tu l'aurais regretté. Peut-être qu'on aurait dû. Mais tu sais comme moi que ce qu'il s'est passé ne peut pas être effacé. Si tu veux l'oublier, c'est ton choix."

Je fais à mon tour une pause et regarde devant moi.

"Ce serait tellement plus simple hein, de se foutre de tout. Malheureusement, on n'a pas d'emprise sur tout. Je suis une louve Azaël, ce n'est pas tous les jours que tu peux boire du sang de loup. Ni tous les jours que tu peux coucher avec. C'est... un genre de relations interdites, qui rend cela d'autant plus excitant. Alors oui, je comprends. Etre accro à cela, ce n'est pas bon, et pourtant on ne peut pas s'en empêcher. Est-ce qu'on recommencera ? Rien n'est moins sûr. Sache une chose : je ne te déteste pas. Mais tu es libre de faire ce que tu veux me concernant : ne plus jamais me voir ou que l'on se croise à nouveau. Pour ma part, je préfèrerai la deuxième. Mais si tu ne veux pas, je comprendrai."

Ou pas. Mais je ne veux pas le retenir, je n'en ai pas le droit. Nous ne sommes rien d'autre que des partenaires de sexe. Je n'ai pas à lui dicter sa vie, tout comme il n'a pas à me dicter la mienne. Mais lui et moi, on ne s'oubliera pas comme ça.
Mar 12 Avr - 18:46
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Azaël Hook
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Azaël Hook


Azaël Hook & Luna Silver


Je refuse d’ajouter quoique ce soit à cette conversation. À dire vrai…c’est qu’il n’y a plus rien à dire. Plus rien à argumenter. Je suis un vampire. Un buveur de sang. Un récolter d’âme. Enfin… presque. Je ne suis pas gentil, à ça non. Je suis vil et j’aime m’en prendre à plus faible et je le sais. Ai-je donc profité de la faiblesse de Luna pour m’en prendre à elle, inconsciemment tellement j’en suis habitué ? Je n’en sais rien, et je m’en fiche un peu. Ce qui compte pour le moment, c’est qu’elle soit toujours parmi les vivante et non à viser au sol, rigide et froide, sans vie, dans l’attente d’être déposer dans la tombe que je lui aurait généreusement creusé. Et aussi parce que j’imagine… j’imagine que j’aurais eu un peu de respect dans sa mort pour lui offrir une épiphanie digne de se nom. Sans éloge funèbre, pas mon fort.. si ont se fit aux funérailles du bon vieux Jim.

Nous baignons dans le silence du printemps, dans une journée relativement froide où quelques spot de neige parsème toujours le sol lorsqu’elle se décide à briser le mur du son. Elle m’offre l’option d’oublier, ce qui est une excellente idée. Un claquement de doigts et pouf, plus aucuns sentiments. Plus rien, que le vide. Un vide sombre et absolument, créant ainsi une bête, un monstre qui ne songe qu’à se nourrir des manières les plus intelligentes et sadiques à la fois. Mais non, je ne le fais pas. Pas tout de suite en tout cas. La suite de ses mots, étrangement, me font légèrement réfléchir. Je me dit qu’en fait, elle n’a pas tort… je hais les loups, mais ce n’est effectivement pas tous les jours que j’en croise. Mais si… si je les assassinais pour boire leur sang ?! WOW, idée de génie, je sais je sais. Dans mon esprit, mes propos sont froids, tendus. Je sais que lorsque je vais lui répondre, parce que je vais le faire, ce ne sera pas joyeux.

Facile… ce serait si facile. Et pourtant je suis encore assis à côté de toi. Avec toujours mes sentiments. Pourquoi, crois-tu ?

Je lève finalement les yeux vers elle, les sourcils légèrement froncé, le regard quelque peu distant. Pas de manière physique, disons plutôt d’une façon psychologique. Quelque part, à l’intérieur, bien que je prône que ce serait si facile, j’en suis à 2 cheveux de le faire. De me tourner à off. Ne plus rien ressentir. Mais je reste latent, à peser les pour et les contre dans la situation actuellement. J’humidifie ma mère inférieur, laissant paraitre qu’à peine mes dents blanches du bas en laissant ma bouche entre-ouverte dans l’attente de poursuivre. Une. Deux. Trois secondes passent. Un bref soupire suit le tout.

Je t’aime bien, petite louve. Enfin, si tant soit-il puisse être un minimum d’appréciation, voyez ? Donc non, je n’ai pas nécessairement envie de ne plus te voir. J’apprécie ces moments, j’ai su apprécier ces moments malgré tout.

Je porte mes doigts à ma lèvre du bas, jouant distraitement avec celle-ci du pouce et l’index. Rapidement, j’attrape sa main et la porte sur mon buste, directement sur mon coeur, passant d’un oeil à l’autre.

Tu sens, ça ? Il n’y a rien. Que dalle. Je suis mort, petite louve. Un cadavre déambulant. Tu veux vraiment continuer de faire comme si il y avait un semblant d’amitié avec ça ? Je suis tout sauf gentil, Luna. Et je n’ai jamais été bon que pour le drama.

Je rejette sa main, retourne jouer avec ma lèvre en glissant d’abord mon pouce dessus, claquant ma langue contre mon palais. Je me lève lentement, comme si j’étais toujours humain et que déplier mes jambes après un long moment sans bouger m’apportait un certain inconfort. Descendant le visage vers elle, j’ajoute en terminant;

Je refuse de prendre cette décision à ta place. Je ne peux simplement pas choisir.

Non, peu importe combien de fois je retourne la question dans me tête, je n’y arrive pas. Je sais que je devrais rester loin, ce serait le meilleur pour tout le monde. Elle y gagnerait et moi donc. Mais non… non. Entendre son coeur battre, le son de l’air pénétrer dans ses poumons avec fougue, tandis que le liquide rouge parcours chacune des artères, veines et veinules… Ressentir la chaleur de son corps, même à cette distance. À cet instant, l’espace d’une fraction de seconde, être humain me manque.

Dim 17 Avr - 21:48
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Luna Silver
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Luna Silver
Le vampire sans cœur semble avoir à nouveau revêtu son masque. Je n'y fais pas attention, l'atmosphère est déjà bien assez tendue comme ça. Le bus est redevenu froid, même pire que froid. L'ambiance est glacial. Pourtant, je me risque à dire ce que j'ai sur le cœur. Je ne sais pas ce qu'il se passe dans sa tête. A vrai dire, ai-je vraiment envie de le savoir ? Rien n'est moins sûr. Il est toujours froid et distant lorsqu'il me parle. Dans ses paroles, ses gestes, ses expressions. Mais je n'y prête aucune attention, me contentant de l'écouter. Aucun jugement de ma part.

"Seul toi peux le savoir."

Réponse simple, certes. Mais vraie. Seulement lui peut réellement savoir pourquoi il est encore assis à côté de moi dans ce bus lugubre. Je ne peux faire que des suppositions sur les raisons qui le poussent à rester avec moi. Il semble encore réfléchir à ce qu'il va dire. Je me contente de le fixer, sans aucune expression précise.

"Et tu n'es pas le seul, crois-moi."

Moi aussi, je l'apprécie et j'apprécie les moments passés avec lui. Malgré ce petit incident, je n'ai pas envie que tout cela s'arrête. Du moins, pas aussi brutalement. Je suis surprise lorsqu'il prend ma main et la pose au niveau de son cœur. Enfin, là où il devrait y en avoir un. Mais je ne sens absolument rien. Alors ce n'est pas un mythe ? Je ne dis rien, me contentant de regarder ma main sur lui. Je ne pensais pas que le cœur d'un vampire ne battait pas. Encore une chose qui montre à quel point je suis novice avec tout ça... Je soupire.

"Ce n'est pas parce qu'il n'y a rien là. Je montre son cœur. Qu'il n'y a rien là. Je montre sa tête. Les sentiments, que ce soit l'amitié, l'amour, la colère ou la haine n'ont rien à voir avec le cœur. Tout se passe dans la tête. Et, sans vouloir t'offenser, le drama, c'est la vie."

Je souris avant de redevenir sérieuse. Je le regarde descendre son visage du mien et je rapproche le mien du sien, le fixant droit dans les yeux. Je chuchote.

"Sauf que j'ai déjà pris ma décision..."

Je pose mon front contre le sien, les yeux fermés, et je souffle. Je m'attends à ce qu'il parte d'un instant à l'autre. Je me suis préparée à cela mais je sais que je ne l'accepterai pas. Moi, j'aimerai qu'il reste. Allez savoir ce qu'il va faire maintenant que je lui ai dit ça...
Lun 18 Avr - 20:42
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