Fearwood
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Fearwood

Fearwood est une ville où cohabitent diverses espèces, humains, vampires, loups-garous, sorcières. Attention à vos arrières. Ceci est un RPG.
 
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Jujubes assortis | en cours
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Sam O. Wallace
Alors moi c'est : Samuel-Olivier Wallace; ou juste Sam.
On m'appelle aussi : Azaël Hook, Kelsey O'neil
Je suis agé(e) de : 24 ans
Je suis : un loup garou
Et j'adhère à l'alignement des : neutres
Mon métier c'est : Étudiant, travail à temps partiel comme infirmier
Meh;
Je suis ici depuis le : 28/11/2016
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Sam O. Wallace
Jujubes assortis | en cours Lbrrp
Crédit (c) Azaël


Jujubes assortis

Lia Marshall & Samuel-Olivier Wallace
Ce matin, je n'ai pas vue le soleil ce lever lorsque j'ai quitté pour le travail. Malheureusement, je me suis fait réveiller en sursaut par un appel vers 3h, avant même que l'aube ne se pointe le bout du nez. Au menu, un accident et un manque criant de personnel. Évidement, comme je suis encore aux études, mon nom figure sur la liste des gens à téléphoner en priorité si le besoin de personnel se fait ressentir pour des urgences comme celles-ci. Ça entre dans un concept d'apprentissage, selon eux. Ce matin, je me suis contenté d'une douche rapide puis j'ai vite enfilé mon uniforme bleu avant de me rendre à l'hôpital. Les yeux petits, j'avançais un pied devant l'autre automatiquement, connaissant le chemin par coeur. À mon arrivé à l'hôpital, mon aide fût immédiatement réquisitionné en salle d'opération où une infirmière s'affairait, avec un docteur et ma supérieur, de tenter de sauver la vie de cet homme qui, au premier regard, ne devait pas avoir plus de 45 ans. Ce matin, j'avais également avec l'aide de mes collègues, aidé à sauver la vie de ce même homme. Au bout de quelques heures, exténué mais satisfait, je me permis une petite pause d'une quinzaine de minutes dans un silence le plus totale, ainsi que dans une noirceur la plus totale en salle des internes.

Ce matin, après avoir sauvé la vie de cet homme et avoir permis de stabiliser son état, mon travaille routinier occupa mon temps, tout du moins la plus grande partie de celui-ci. Entre les allez et venus dans les chambres des patients, j'avais tout le temps nécessaire pour songer à cette dernière sorti avec la charmante Lia et notre relation qui, au cours de la dernière semaine, allait bon train, en positif et non en négatif.  Je suis content, d'ailleurs et je crois que ça se reflète dans mon travaille. Habituellement, j'étais joviale et conviviale avec mes patients, mais désormais je crois que mon humeur est beaucoup plus prononcé et même mes collègues me font parfois quelques remarques sur cette fille mystérieuse qui ravive mon état d'esprit. Ce moment passé en sa compagnie, cette légèreté et la chaleur de son contact m'avait grandement manqué, je l'avoue et encore plus que lorsque je m'étais retrouvé dans ce centre de désintoxication. Je n'avais, depuis ce moment, pas même songé une fois à retoucher à l'une de ces saletés de drogues de synthèse.  Et fort heureusement, on va se l'avouer. Qui plus est, nos moments passés ensemble en classes cette semaine ce passaient bien. Sans prise de tête, nous arrivions à collaborer à merveille, ne laissant pas trop mes sentiments prendre le dessus et faire un pas qui pourrait la futé.

« Sami! »

Eliott me tira de mes pensées alors que j'étais à moitié assis sur le comptoir de l'un des postes d'infirmières de mon étage, à manger tranquillement quelques jujubes assortis, en me poussant amicalement pour me faire perdre l'équilibre.  Je lui souris alors que je retomba sur mes pieds et cette dernière me félicita, disant que j'avais l'air beaucoup plus professionnel maintenant que je n'étais plus assis sur le comptoir, à feuilleté mes dossier. Elle me cita tout en accompagnant ses paroles de gestes que pour cette activité, il y a de jolie chaises confortables spécialement conçues. Je tire la langue mais poursuit ma lecture sans broncher jusqu'à ce que l'un de mes patients me sonne. Je dépose la dossier que j'étais en train de consulter puis m'empresse d'aller dans la chambre concerné voir ce qui se passe avec ce dernier. Le vieille homme me dit qu'il aimerait pouvoir redresser un peu la tête de son lit, mais est incapable de le faire comme il a une trop grande douleur dans les bras. Je lui demande s'il a reçu les analgésiques qu'il est supposé recevoir et ce dernier me dit que non, aucune infirmière n'est venu le voir pour lui en donner. J'informe l'homme que je vais lui en apporter tout de suite après avoir remonté la tête de son lit et se dernier me remercie. Je lui souligne que ce n'est que mon boulot et part chercher de l'hydromorphone en comprimé, qui effectivement n'avait pas été administré au client tel que convenu, sa FADM n'ayant pas été complétée. Lorsque je sors de la salle du patient et que je retourne au poste pour ajuster les notes au dossier, Eliott me rejoins pour en faire autant alors qu'elle semble elle aussi arrivé directement de l'une des chambres d'un patient. Sauf que cette dernière opte pour prendre place sur une chaise contrairement à moi. Je me vole quelques jujubes de dans mon petits plats et Eliott me regarde avec une drôle de tête, comme s'il était trop tôt pour se genre de collation. Je l'ignore et nous discutons du cas de l'un des patients qui est désorienté dans les 3 sphères et nécessite une surveillance accrus afin que son état ne dégénère pas, lorsque je reconnais sa voix. Je saurais la reconnaitre même parmi une immense foule. Son odeur s'installe ensuite dans mes nasaux et je sais qu'elle est beaucoup plus proche de moi que ce que je croyais. D'ailleurs lorsque je me tourne, je croise son doux regard océanique et une onde de chaleur me parcours l'échine.

« Excuse-moi, dis-je à Eliott alors que je vais à la rencontre de la jeune femme et de se que j'en déduis est l'une de ses amies. Son visage m'est cependant pas du tout familier, mais je n'y porte pas plus attention. Eliott me fais seulement un signe de la main et continu ses notes au dossier.

« Salut. Tout vas bien ? »

Hasardais-je aux demoiselles qui, assurément, ne se trouvaient pas à l'hôpital pour rien. Je mange le dernier bonbons que j'avais dans mes mains et mes yeux analyse chacune des jeunes femmes. Celle avec Lia présente un plâtre au bras, peut-être a-t-elle un inconfort avec celui-ci ou bien est-il tout simplement le temps de le retirer ? Oui bien elles sont là pour Lia ? Non…j'ai cru comprendre que les lycans préféraient faire affaire avec le véto pour leurs problèmes quelconques… Je joint mes mains ensemble et je leurs fait un sourire d'une façon quasi mécanique, un sourire qui se veut rassurant.
Sam 9 Jan - 16:35
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Lia Marshall
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Lia Marshall
Jujubes assorties. Sam Wallace et Lia Marshall

Alors que l'aube ne va pas tarder à apparaitre je regagne silencieusement mon appartement et vais directement prendre une douche avant de me glisser dans mon lit pour dormir à peine trois petites heures. Je reviens d'une grande patrouille dans les bois pour assurer la sécurité des lieux et vérifier que personne ne s'aventure sur ce territoire que je considère un peu comme étant le mien même si je suis actuellement sans meute. De temps en temps d'autres loups garous passent mais heureusement ne s'arrêtent pas, parfois ce sont des vampires qui passent et je m'efforce d'avoir un œil sur cela. J'espère qu'aucun Alpha ne va arriver avec sa meute car puisque nous sommes plusieurs Omégas dans cette ville et cela pourrait rapidement enflammer les esprits. Il faut également veiller à ce que les chasseurs ne soient pas trop présents et ça c'est de loin la chose la plus compliquée. Rien que cette nuit j'ai pu détruire trois pièges qui avaient été posés pour capturer des surnaturels. Parfois j'aimerais voir le visage de ces fous quand ils viendront vérifier leurs pièges, cela serait assez drôle pour moi mais ce serait bien évidemment trop exposé.

Lorsque le réveil sonne je baille fortement puis me lève avant de prendre un petit-déjeuné conséquent après toute cette énergie dépensée durant la patrouille de cette nuit. Ensuite je me prépare puis il est temps que je me prépare et parte au lycée. Heureusement aujourd'hui j'ai cours uniquement le matin. Le temps passent relativement lentement mais je m'efforce de garder mon attention sur ce que disent les enseignants. Ce matin pas de biologie alors je ne croise pas Sam. Après avoir terminé les cours je déjeune d'un sandwich en compagnie d'une amie et nous discutons de choses et d'autres, elle est humaine donc certaines choses ne peuvent pas être dites mais c'est une amie que j'apprécie. Au fil de la conversation j'en viens à apprendre qu'elle doit ensuite se rendre à l’hôpital pour faire retirer le plâtre qui entoure son bras car elle est maintenant guérie. C'est tout à fait bénin mais y aller seule l'inquiète un peu alors je lui propose de l'accompagner si cela peut la rassurer. Après avoir fini de manger nous nous mettons en route à pieds tranquillement et arrivons une vingtaine de minutes plus tard. Le médecin ne tarde pas à recevoir mon amie et je l'accompagne dans la salle de consultation puis lui parle pour la distraire le temps que le médecin retire le plâtre. Cela se passe rapidement et la jeune femme est soulagée de n'avoir rien senti. Elle doit ensuite passer une radio de contrôle et discuter avec le kinésithérapeute pour savoir quels exercices elle devra faire pour sa rééducation. Nous sortons donc dans le couloir pour que je l'y attende en restant assise sur une chaise.

A peine sorties, une sorte de sixième sens me pousse à tourner la tête et je rencontre directement les prunelles couleur chocolat de Sam. Plusieurs personnes sont présentes dans le couloir et il est assit sur le coin d'un bureau à presque trente mètres de là mais je le repère tout de suite et ne voit plus que lui. Un petit sourire s'épanouit sur mes lèvres pour le saluer. Comme il est sur ses heures de travail je n'ose pas m'approcher, d'autant plus qu'il est en pleine discussion avec une de ses collègues. Mais aussitôt le jeune homme prend congé de l'infirmière et s'approche rapidement de moi. Mon amie le regarde puis m'adresse un regard avec un sourire un coin puis s'éloigne en suivant le médecin pour passer sa radio. L'air inquiet de Sam me touche et je sens également une chaleur m'envahir, comme à chaque fois que nous sommes proches l'un de l'autre.

-Tout va bien, j'accompagne juste une amie qui venait faire enlever son plâtre. Et toi ça va? Ta journée n'est pas trop dure?

Cela fait maintenant une semaine que nous avons eu cette fameuse confrontation pour mettre les choses à plat et faire sortir toutes les rancœurs qui nous empoisonnaient le cœur et l'esprit. Et désormais les chose vont mieux entre nous, en cours nous reprenons l'habitude de discuter un peu. La complicité commence à revenir et j'espère retrouver le Sam que j'aimais tant.

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Mar 12 Jan - 18:07
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Sam O. Wallace
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Jujubes assortis

Lia Marshall & Samuel-Olivier Wallace
Eliott et moi discutons paisiblement de l'état de l'un de nos patient qui nécessite une évaluation de son système neurologique plus approfondi, tandis qu'une collègue nous fais part qu'elle s'en charge lorsque son odeur arrive à mes naseaux. Tel une brise enivrante, elle se glisse dans mes capteurs olfactifs et m'attire comme un chien suivrait l'odeur des croquettes. Lorsque je me retourne pour faire face à la provenance de cette odeur particulièrement agréable, je ne suis pas du tout surpris d'y voir la charmante mademoiselle Marshall. Au bras de son amie, on dirait presque que le destin se met en oeuvre pour nous réunir. Depuis ce jour où nous avons mis nos cartes sur la table, nous avons fait beaucoup de progrès et je crois que, tranquillement mais surement, elle réapprend à me faire confiance. Un morceau de spaghetti à la fois. Mais ce rythme me convient. Tout du moins, s'il lui convient alors ça me va aussi, c'est la seule condition. Je n'ai pas besoin de plus. Je souris alors que naturellement, je vais vers elles. Cependant, son amie nous abandonne avec un regard qui semble en dire long, tout du moins que me semble porter un certain jugement mais je n'y porte pas attention et lui fais un petit signe de la tête alors qu'elle s'éloigne de nous. Lia réponds par la suite à mon questionnement et ça me rassure. L'espace d'un instant, je cru que c'était bien pire. Il n'y pas de quoi déclarer l'urgence, c'est certain. Je soupire de soulagement et porte une main à mon torse, prenant un grand respire. La petite pression qui s'était installée en moi me quitte et aussitôt je me sens plus léger. Cette impression que ma cage thoracique était enchainé, restreinte dans ses mouvements disparait par le fait même et cet atmosphère d'inquiétude qui baignait en moi s'Est tout simplement dissipé.

« Heureusement, j'ai crains quelque chose de plus grave un instant. Je suis content que tu ne sois pas ici pour toi. »

J'hoche ensuite la tête en signe de négation et pointe ma collègue du pouce qui est concentrée dans ses notes. Le poste des infirmières semble bien peu vivant avec seulement nos deux à y prendre place, parfois nous sommes plus d'une dizaines en même temps et j'avoue que, étant en minorité dans mon métier, je me sens parfois pas réellement à ma place. Mais bon, mes collègues sont tous très charmante et ne me mettent pas de côté, heureusement. Ce qui, d'ailleurs, est un excellent moyen de connaitre pleins de potins. Non mais sérieusement, ce que ça peut en savoir des choses sur les autres une femme ! Je me demande si Lia est le genre de fille à aimer potiner, elle aussi. Je garde cette petit pensée pour moi et continue;
« Non pas vraiment, Eliott et moi discutions du cas de l'un de nos patient. Sasha vient de partir lui faire une évaluation. »

À l'entente de son nom, Eliott lève à peine les yeux de son dossier, fait un jolie sourire amicale à la belle lycanthrope et ses replonge aussitôt dans son écriture. Je regarde l'heure sur ma montre et comme il y a déjà un moment que je n'ai pas pris un petit 15 minutes de pause, je pose sur Lia un regard malicieux. Elle est tellement jolie que ça me déstabilise, son charme m'affecte beaucoup depuis qu'elle a accepté de me laisser une chance, je la trouve encore plus belle qu'avant. Peut-être est-ce un signe de mon amour qui ne cesse de croitre pour la jeune femme, qui sait ? Quoi qu'il en soit, on est bien loin des petits papillons dans l'estomac, c'est quelque chose de plus fort encore, indescriptible.

« Est-ce que tu veux m'accompagner pour ma pause ? »

J'affiche un sourire convaincant, dans l'espoir qu'elle me réponde au positif. Après quoi, la salle de pause n'est jamais bien emplit, nous pourrions discuter en toute intimité sans être dérangé par des collègues qui jacassent trop. En même temps, si j'amène Lia en salle des internes, il y aurait trop de rumeurs possible à lancer sur nous, alors en salle de pause c'est mieux, et puis, je sais déjà que je serai bombardé de questions de quelques collègues, à savoir si c'est elle la mystérieuse jeune femme qui a transformé le petit Sammy. Je souris à cette perspective puis désigne un couloir en un mouvement naturelle à la jeune femme si elle désire me suivre.
Sam 16 Jan - 23:21
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Jusqu'à présent je passais une bonne journée, la patrouille de cette nuit s'est bien passée, les cours de ce matin étaient intéressants même si j'étais un peu fatiguée, le sandwich mangé ce midi était très bon, l'amie que j'accompagne est une camarade de cours avec qui je m'entends bien et je suis contente pour elle que son bras soit guérit. Rien de négatif donc. Mais quand Sam arrive près de moi je me sens encore mieux. Réagir ainsi à chaque fois qu'il est près de moi me fais parfois un peu peur car je n'avais jamais ressentit ça encore et je ne me sens pas vraiment prête à en parler à qui que ce soit. Un sourire vient aussitôt sur mes lèvres pour le saluer et je lui trouve tout de même un certain charme dans sa blouse de travail qui n'est pourtant pas très seyante. Son inquiétude quand à la raison de ma présence dans l’hôpital est tout à fait charmante et je me sens un peu gênée qu'il s'inquiète ainsi de ma personne. Heureusement en apprenant que tout va bien, ses traits se détendent immédiatement et nous entamons une petite discussion. Comme nous n'avons pas cours ensemble aujourd'hui ce n'était pas prévu que nous nous croisions alors ce petit imprévu nous donne l'occasion de pouvoir échanger un peu et c'est agréable. C'est un peu comme si nous rattrapions le temps perdu maintenant que nous avons lâché toute notre rancœur et tous nos doutes lors de cette promenade en ville. Je lui demande alors comment se passe sa journée, l'ambiance n'a pas l'air trop survoltée dans les couloirs et il n'y a pas de personnel qui passe au pas de charge avec du matériel de soin dans les mains mais peut-être la nuit a-t-elle apportée son lot de patients à traiter de manière urgente.

Le jeune homme répond de manière négative puis montre de la main sa collègue avec qui il parlait lorsque nous nous sommes aperçus. Apparemment ils faisaient simplement un bilan des soins à faire et des patients dont ils ont la charge actuellement. Dotée d'une bonne ouïe ou d'un bon sixième sens, la jeune femme relève la tête à ce moment précis comme si elle avait senti que l'on parlait d'elle et nous adresse un sourire auquel je répond par un sourire poli également avant qu'elle reprenne son travail sur les différentes feuilles étalées devant elle. Elle semble légèrement plus âgée que nous et dégage quelque chose de gentil. A ce moment, Sam consulte sa montre et je me rend compte alors que même si je prend plaisir à le voir et à parler un peu avec lui cela l'empêche de continuer son travail et qu'il va donc falloir que je m'éclipse. Pourtant, avant que je n'ai pu ouvrir la bouche pour lui souhaiter une bonne journée, le jeune brun propose que je l'accompagne puisque c'est l'heure qu'il prenne sa pause. Je ne peut pas m'empêcher de sourire à cette proposition et je sens un frisson me parcourir quand son regard brun si intense agrippe le mien.

-Avec plaisir! Où veux-tu aller?

Peut-être qu'il souhaite aller boire quelque chose à la cafétéria ou bien sortir sur le parvis pour prendre l'air. En guise de réponse il m'indique un couloir d'un léger mouvement de tête et je lui emboite le pas puisqu'il connait les lieux comme sa poche et que je n'ai pas la moindre idée de l'endroit où il m'emmène. Inconsciemment je glisse ma main dans la sienne et marche à ses côtés, évitant souplement les quelques brancards que nous croisons. Lorsque je me rend compte que nos doigts sont enlacés une légère rougeur vient sur mes joues mais je n'ai pas du tout envie de rompre ce contact. Visiblement cela ne dérange pas le beau brun puisqu'il ne se dégage pas et quelques instants plus tard nous entrons dans une salle pourvue d'une longue table et de quelques chaises.

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Lun 18 Jan - 14:08
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Jujubes assortis

Lia Marshall & Samuel-Olivier Wallace
La jeune louve accepte avec joie et m'accompagner et me demande par le fait même où je désire allez. Oh, bella, j'irais jusqu'au bout du monde pour toi ! Je te décrocherais la Lune, s'il le faut et j'irais même jusqu'à donner ton nom à une étoile ! Mais, malheureusement, comme seulement 15 minutes m'est accordés et que je devrai retourner voir mes patients après cette petite période en ta compagnie, nous n'irons pas bien loins. Je ricane avec légèreté et lui désigne le couloir où nous diriger. Elle me suis sans broncher et une petit frisson me parcours l'échine alors que je sens sa peau chaude venir entrer en contacte avec la mienne. Ses doigts son doux et j'apprécie chaque seconde de se petit touché. Nous marchons ainsi ensemble, mains dans la mains et je ne suis aucunement gêné. Les collègues que nous croisons, enfin, le peu de collègues que nous croisons ne nous portes pas vraiment attention, ce qui m'évitera, je l'espère, une discussion avec celle-ci sur la mystérieuse jeune femme blonde qui m'accompagnait en pause, plus tard dans la journée. Je souris face à la pensée de ces mesdemoiselles avare de potins sur les histoires d'amours/romantique puis pousse la lourde porte vitré pour laisser entré la lycanthrope dans la petite pièce, qui, également est vitré.

Enfin, jusqu'à moitié. La partie du bas est recouverte d'une pellicule opaque qui empêche les plus curieux de voir toux ce qui se trouve à l'intérieur de la petite pièce où nous disposons d'un réfrigérateur, d'une petite télévision d'approximativement 32 pouces, d'une cafetière (oh oui, vivement les cafés!) et quelques commodités pour manger. La pièce arbore également quelques plantes, des petites tables blanche avec des chaises relativement confortable et un sofa pour mieux visionner la boite magique. J'invite Lia à prendre place où elle le désire, c'est pas comme si elle n'avait pas l'embarras du choix, il n'y a que nous deux dans la pièce.

« Installe-toi où tu veux… »

Je me dirige vers le frigo, où, de mémoire j'ai sûrement un ou deux truc à mon nom prêt à être dévorer, puis alors que j'ouvre la porte de ce dernier, enchaine;

« Je me prend une pomme… et j'arrive…ah! Elle est là, murmurais-je à moi-même avant de me retourner, tout sourire et croquer à pleine dents dans le fruit. Est-ce que tu voudrais quelque chose ? »

Je m'installe devant la jeune femme, d'un allure assez décontracté, soit les fesse assis plus sur le devant de la chaise et le dos, en angle, appuyé contre le dossier. Juste assez décontracté, en faite. Je prend une seconde croqué du fruit vert, sûre et délicieux avant de sourire de nouveau à la délicate mademoiselle qui se trouve devant moi.

« Tu crois que ta copine t'en voudras que je t'aie volée pour 15 minutes ?

Mes yeux bruns apprécient chaque parcelle de son petit visage ovale, du bas de son mentons jusqu'au haut de son front, alors que distraitement je termine ma bouché, fait tourner la pomme entre mes doigts afin de choisir l'endroit parfait où m'élancer, puis mords de nouveau dans le fruit. De nouveau, mes yeux se portent sur la jeune femme. C'est étrange de la voir ici, avec moi dans cette salle. Jamais je n'aurais pensé un jour lui montrer cet endroit. Il faut aussi admettre que nos rapports plutôt négatifs des derniers mois n'a pas fait pour, et aussi ma suspension à cause de son charmant ex petit-copain. Ma mâchoire, inconsciemment, se serre à la pensé de Josh que je n'apprécie guère. Mais bon, je fais l'effort de ne pas le démolir et laisser la testostérone faire monter mon égo à ma tête, comme lui et Lia s'entende bien. Pour elle, je le laisse tranquille. Et aussi parce que je vaut plus que des jeux d'enfants. Il m'arrive d'être capable d'agir en adulte, mais comptons les occasions sur le bout de mes doigts, d'accord ? Afin d'alimenter la conversation, et aussi par simple désire d'entendre le doux son de sa voix, je questionne la demoiselle sur sa compagne.

« C'était qui, la fille ? C'est rare que je te vois avec d'autres gens qu'Ayane, Emily ou Josh ahah!  »

L'envie de demander sur le ton de la taquinerie si Lia croit que sa copine accepterait un rendez-vous avec moi me passe par la tête, mais après l'horreur que je lui ai fait avec Sherry, je me retiens et me contente d'ajouté;

« Elle a l'air gentille, en tous cas. »

Je fais un charmant sourire à la beauté devant moi, puis spontanément je m'approche de son visage et vient déposer un petit bisous rapide sur sa joue, l'air malicieux. J'ai l'impression d'être comme un gamin timide qui s'intéresse à une fille, qui a envie de lui faire de mauvais coup mais qui se retient parce qu'il l'aime bien. Un sourire amusé éclairant mon visage, je croque à nouveau dans mon pomme tout en soutenant son regard. Et histoire d'en ajouter une couche, j'hausse vivement les sourcils puis lance à mon accompagnatrice :

« Ça te va bien le rouge. »

C'était faux, évidement. Elle n'avait pas les joues rouges. Mais en général, lorsqu'on fait cette remarque à quelqu'un, ce n'est pas trop long avant qu'effectivement, leurs joues prennent une charmante teinte rosée.
Lun 18 Jan - 20:28
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Accepter de passer quelques instants supplémentaires en compagnie de Sam pour la durée de sa pause m'est apparu comme une évidence. Le sourire qui illumine ses traits me fais plaisir également et j'aime le regard qu'il pose sur moi. Quand je vois tous les efforts qu'il fait pour rattraper le mal qu'il a pu me faire par le passé je suis finalement bien contente que les sentiments que j'ai pour lui n'ai pas disparu malgré tous les tentatives pour les noyer dans le néant. Après tout peut-être que quelque chose est encore possible entre nous et cette perspective fait battre mon cœur un peu plus fort même si la crainte reste présente comme en périphérie de mon champs de vision. Bref, pour le moment je suis simplement bien en sa présence et je lui emboite le pas dans les couloirs. Pour une fois c'est moi qui prend l'initiative de joindre nos mains et c'est un peu comme si un cap était franchis. Les couloirs se ressemblent tous et je me sens un peu agressée au niveau olfactif par les différentes odeurs de produits utilisés. Le trajet est de courte durée et nous entrons dans une pièce portant un petit écriteau où est indiqué "salle de repos", au moins c'est clair. Je ne sais pas bien si cet endroit est pour les visiteurs ou bien réservée au personnel mais puisque personne n'y est présent lorsque nous entrons autant ne pas se poser la question. Puisqu'il y a un frigo, une cafetière et une télévision la seconde hypothèse est probablement la bonne mais ce n'est pas pour autant que je vais faire demis-tour. Et puis, après la virée que nous avions faite sur les toits, ce ne serait qu'une toute petite infraction supplémentaire alors pas de quoi en faire un drame. La salle est lumineuse car majoritairement pourvue de fenêtre et c'est comme une bulle hors de l’hôpital, je m'y sens aussitôt à l'aise. Les vitres sont épaisses et le film opaque qui les couvre en partie atténue les bruits des couloirs et des salles voisines. Décidément le jeune homme a le don de trouver les endroits les plus paisibles de ces bâtiments.

A son invitation j'ôte ma veste et la pose sur le dossier d'une chaise près des fenêtres qui donnent sur l'extérieur puis m'installe sur l'assise et le laisse fouiller dans le frigo à la recherche de son repas ou de son en-cas. Je jette un rapide coup d’œil à sa silhouette qui se dessine sous la blouse un peu large et un léger sourire étire mes lèvres car je peut presque deviner chaque courbe de son dos. Soudain je me rend compte que c'est un peu impoli et je détourne la tête en rougissant légèrement et porte mon attention sur l'extérieur. La vue donne sur une cour intérieure avec des bancs et quelques arbres puis les bâtiments d'une autre aile en face. Rapidement, le jeune homme vient s'installer en face de moi tout en croquant dans une pomme.

-Rien merci je viens de manger, bon appétit!

Le silence s'installe durant quelques secondes, seulement troublé par les dents du jeune lycanthrope qui croquent dans la pomme. A sa question de savoir si l'amie que j'accompagnais va lui en vouloir de m'avoir en quelque sorte volée durant un quart d'heure je ne peut pas m'empêcher de rire un peu. Je crois qu'Alice a remarqué le rapprochement entre Sam et moi car pendant le déjeuné tout à l'heure elle posait quelques questions. Il ne faut pas se mentir, Sam est plutôt attirant et je sais que plusieurs filles de nos classes ne seraient pas contre un rapprochement avec lui. Ces derniers temps j'ai remarqué que cela avait tendance à m'agacer mais je ne me sens pas en droit de "marquer mon territoire" pour qu'aucune autre ne lui tourne autour. Notre relation est assez étrange pour le moment mais ce qui est certain c'est que ce n'est plus seulement de l'amitié qui nous lie. Son regard inquisiteur me ramène à la réalité et je hausse un peu les épaules d'un air détaché.

-Non ne t'inquiète pas, elle doit faire une radio puis voir le kiné pour connaitre le programme de la rééducation de son bras. Le temps qu'elle arpente tous les couloirs on aurait presque le temps d'aller boire quelque chose en ville et revenir!

Ce n'est absolument pas une critique contre mon amie, simplement un constat sur la grandeur de cet hôpital et le nombre de couloirs, d'étages et de demis-étages qui y sont présents. Non mais sérieusement, l'architecte qui a imaginé les lieux avait une passion pour les labyrinthes, ce n'est pas possible autrement. D'accord il faut de la place pour tous les services mais quand même. Je plains sincèrement les équipes de nettoyage, rien que le hall d'entrée pourrait accueillir une piscine olympique, et j'exagère à peine. Bref passons. Son regard sur ma peau fait à nouveau naitre des frissons en moi et je ne peut pas m'empêcher de le regarder à mon tour, de laisser mes prunelles glisser lentement sur chaque millimètre de sa peau de velours. L'examen visuel passe sur sa mâchoire, ses lèvres bien dessinées, son nez fin, ses yeux tellement hypnotiques aux cils fins, et jusqu'à la naissance de ses cheveux bruns. Ce n'est pas dérangeant et cette sorte de contemplation mutuelle ne nous empêche pas de continuer à discuter en même temps.

-Et est-ce que tes collègues vont m'en vouloir de t'accaparer et de les laisser faire le boulot sans toi pendant quelques minutes? C'est Alice, elle n'est pas dans le même groupe de biologie que nous mais j'ai plusieurs cours en commun avec elle, elle est sympa et on s'entend bien.

Cela me fais un peu étrange d'entendre le prénom de Josh sortir de la bouche de Sam mais je suis contente qu'ils aient tous les deux renoncés à se battre, cela rendait encore plus compliquée une situation qui l'est déjà bien assez. C'est vrai que souvent je passe les inter-cours ou les déjeunés avec Josh car on se comprend bien. Et sinon je passe aussi du temps avec Ayane et Emily, avec elles c'est particulier car l'amitié et le surnaturel nous lient et ça c'est encore plus fort, ce sont vraiment des amies en or. Maintenant que nous abordons cette question je me rend compte que je ne vois que rarement Sam en compagnie de d'autres personnes au sein du lycée. Parfois il discute avec quelques uns mais je ne sais pas si il a vraiment des amis ou si il demeure un peu solitaire car son emploi ici est très prenant. Ne voulant pas jeter un froid je ne pose pas de question. Brusquement son visage s'approche du mien et inconsciemment je retiens mon souffle sans bouger. Mon regard oscille entre ses yeux et ses lèvres et je me surprend à avoir vraiment envie qu'il m'embrasse pour voir si la magie est toujours là ou pas. Finalement il dépose un baiser léger sur ma joue puis se recule lentement et je prend une inspiration discrète. Une petite sensation de chaleur demeure sur ma peau pendant quelques secondes puis un léger sourire étire mes lèvres. Son regard devient malicieux et quelque chose me dis qu'une répartie ne va pas tarder à se faire entendre. Et c'est bien le cas, je suis à deux doigts de m'écrier que je ne rougis pas et ne suit pas à ce point sensible à sa présence lorsque je me rend compte que c'est probablement ce qu'il attend. Une lueur taquine vient dans mes yeux et j'esquisse un sourire en coin légèrement provocateur.

-Pas aussi bien qu'à toi en tout cas!

Et je m'approche de lui en sondant ses prunelles chocolat puis, au dernier moment, dévie légèrement pour déposer un petit baiser sur sa joue mais pas au centre de la joue, un peu plus vers ses lèvres. Une fois cela fait je recule ma tête et lui adresse un sourire puis reprend tranquillement la conversation.

-Et toi ça va avec tes collègues? Il y a une bonne ambiance?

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Mar 19 Jan - 12:08
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Sam O. Wallace
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Jujubes assortis

Lia Marshall & Samuel-Olivier Wallace
Sincèrement, même avec une journée pas trop chargé niveau travail, je crois que je n'aurais pu souhaiter mieux. Jamais je ne pensais croiser la charmante louve ici, dans l'hôpital alors que la plupart des êtres surnaturels préfèrent l'éviter. Comble de mon bonheur, cette dernière accepte de m'accompagner à ma pause, avouons-le, ce veut quelque peu improviser pour profiter un peu de la jeune femme. Enfin, pour profiter du fait de passer du temps en sa compagnie, pas profiter d'elle, vous aurez compris! J'hausse simplement les épaules lorsqu'elle me dit qu'elle vient de manger et lui souris. Tant pis, ça en fera plus pour moi ! Tout du moins, il me restera plus de pommes dans le frigo si les autres ne m'en vole pas. La jeune femme m'apprend ensuite que sa compagne a quelques personnes à voir avant de quitter les lieux et donc, pas de danger qu'elle s'inquiète de la disparition de mon amie blondie. Je souris à sa remarque et tente donc de confirmer ses dires entre deux croqués.

« Sortons boire un verre dans ce cas! Mais revenons vite, mes patients ne m'aimerons pas si je ne retourne pas les voir. »

J'accompagne mes paroles d'un clin d'oeil, amusé. Que ne tenterais-je pas pour voir ce si magnifique sourire flotter sur son visage ? La réponse est simple : rien. J'essaierais tous ce qui est en mon possible rien que pour voir se rictus se dessiner, éclairer son regard. La discussion se poursuit et la jeune lycanthrope et je secoue systématiquement la tête de droite à gauche lorsqu'elle me demande si mes collègues vont m'en vouloir. Elles n'ont pas le droit, je me fend en dix pour elles et pour les aides lorsqu'elles ont des soucis. J'ai droit à mon 15 minutes de repos en compagnie de la charmante demoiselle qui illumine mon visage moi aussi. Et puis, elles sont contentes que j'ai l'air plus heureux que lors de mon retour, elles prétendent même que « l'amour me vas à ravir! ». Évidement, je ne me laisse pas faire et les remets rapidement à leurs place, faisant parfois de petites menaces enfantines comme quoi je ne les aiderai plus ou bien n'écouterai plus leurs histoires aux multiples potins. Et puis, je travaille suffisamment fort de long moment et oublie souvent de prendre les pauses qui me sont accordés, je ne suis certainement pas l'un de ceux qui en abuse, ça c'est certain. Mais dans l'espoir, toujours, de taquiner la jeune femme, je lui répond d'un ton sarcastique et amusé :


« Absolument! Tu peux être certaine qu'elles vont te jeter des regards noir si elles te croise dans les couloirs. Tsss, voler le fabuleux Wally!, je feins la désapprobation, c'est honteux, mademoiselle Masrhall. »

Je bouge un peu sur ma chaise, me redresse légèrement et gratte le coin de mon nez distraitement du revers du pouce puis enchaine, fronçant un peu les sourcils en cherchant où est-ce que j'aurais pu voire cette Alice, ou même la croiser dans les couloirs.

« C'est pour ça qu'elle ne me dit rien, je ne dois pas avoir de cours en commun avec elle. »

Je me concentre ensuite sur Lia, tout en mangeant ma pomme distraitement. Puis, sans que je ne m'y attende après avoir été déposer un petit bisous sur la joue de la mademoiselle, cette dernière répond d'une étrange de façon à ma taquinerie. Elle prétend que; à moi aussi, ça me va bien cette couleur. Je porte ma main libre à l'une de mes joues sans comprendre et rapidement, je me surprend à espérer que ses lèvres se dirige sur les miennes alors que le visage de la demoiselle se rapproche dangereusement, affichant un sourire provocateur. Je retiens presque mon souffle, gardant une faible lueur d'espoir mais ce dernier dévie vers ma joue. La tiédeur de sa peau sur le coin de ma joue, qui, de mon point de vue est beaucoup trop près du coin de mes lèvres et me fait frissonner. Je vais attribuer cette sensation agréable dans mon cerveau à la lune qui se rapproche de jour en jour, et également à mes hormones de jeunes adultes en furies, mais ce petit contacte me crée un fourmillement dans le bout des doigts et mon expression change pour un visage légèrement moqueur alors qu'à l'intérieur de moi, je lutte contre l'envie de l'embrasser et de faufiler une main dans ses cheveux, délicatement. Je chasse cette idées inadéquate d'un clignement des yeux et dans ma main libre ma pomme tourne entre mes doigts alors que du coin de l'oeil je suis à la recherche d'un coin à croquer. Son sourire me fait du bien et j'ai l'impression que grâce à ce petit 15 minutes en sa compagnie, le restant de ma journée sera plus joyeux.

« Très drôle, Lia mais ça ne marche pas. Impossible de me faire rougir. »

Je lui fais un petit clin d'oeil alors que ma pomme achève déjà d'être consommée. Je mange le dernier coin encore disponible sur celle-ci puis excuse la demoiselle. Je me penche un peu vers l'avant pour repousser la chaise histoire de me lever plus aisément et me dirige vers le comptoir alors que je lance le coeur de ma pomme dans la poubelle au coin de la pièce. Satisfait d'avoir misé juste, je serre le poings et mime un yes avec la bouche, serrant les dents. Je me retourne pour nettoyer mes mains tout en répondant à la demoiselle.

« Oui, l'ambiance est bonne dernièrement. Elles sont d'humeurs bavardes, un peu trop curieuses. J'essuie mes mains avec une serviettes caché dans un panneau sous l'évier et enchaine en regagnant ma place, le regard ne déviant pas une seule seconde de la petite louve. Elles meurent d'envie de savoir qui est cette mystérieuse demoiselle qui a rendu si mielleux le "petit Samy". Elles te remercieraient, si elles savaient que c'est toi. Et peut-être même que certaines seraient jalouses. Qui sait ? »

J'affiche un air amusé et tend le pouce vers la joue de Lia ou je feins une petite pincette, sans toutefois la pincer, puis glisse subtilement mon pouce derrière son oreille en y apportant une petite mèche de cheveux en même temps avant de venir croiser mes mains ensemble sur la table. Je jette une vif coup d'oeil à ma montre puis reporte mon attention sur la lycanthrope, affichant un sourire heureux. Je suis content d'être en sa compagnie. J'aimerais que ma journée de travaille ce termine tout de suite et me sauver avec la demoiselle, hélas.

« Mais sinon et toi, comment s'est passé ton matin ? Tu as bien dormis ? »

Je change pour de petites questions "banales", si ainsi puis-je dire comme je n'ai pas envie que ce moment ce termine. J'aimerais revivre ce moment où nous avons passons la journée entière ensemble et où nous avons visionné la télévision ensemble, collés sur le sofa, où j'avais tel un gentlemen, conduit la jeune femme dans mon lit et avait, toujours tel un gentlemen, dormis sur ce même sofa. J'aimerais revivre ce même moment où j'avais passé un long moment à glisser mes doigts entre ses cheveux fins, à apprécier cette proximité mais, chaque chose en son temps.
Mar 19 Jan - 22:49
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Lia Marshall
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Ce petit intermède imprévu dans la journée n'est pas pour me déplaire et finalement cela ne me dérange plus tant que cela de devoir attendre mon amie dans cet hôpital le temps qu'elle termine de discuter avec les médecins. Je sais que c'est un peu cliché mais je ne suis pas fan de ce genre d'endroit. Par contre la compagnie en cet instant est tout à fait à mon gout puisqu'il s'agit de Sam. Puisque la salle de pause est déserte nous avons tout le loisir de nous installer où nous souhaitons pour pouvoir continuer à discuter dans un endroit plus calme. Le jeune homme se montre prévenant en demandant si mon amie Alice risque de lui en vouloir pour cette escapade improvisée mais je le rassure bien vite. Il entre dans ma petite blague et continue sur le même ton, ce qui ne manque pas de me faire rire. C'est certain que la jeune humaine ne s'en rendrait probablement pas compte si je disparaissais pendant une heure tellement cet endroit est grand mais ce n'est pas du tout la même chose pour l'infirmier puisqu'il a des obligations envers ses patients. Une fois nous avions séché les cours pour aller nous promener, c'est une chose, mais sécher des visites à des personnes ayant besoin de soins c'est autre chose et ce n'est assurément pas à faire, soyons sages et sérieux. A mon tour je lui demande alors si ses collègues vont être contrariés qu'il ait prit sa pause maintenant, en plus en ma compagnie. Sa réponse est pleine d'humour et je ris de le voir prendre cet air aussi sérieux alors que c'est certain qu'intérieurement il a envie de rire. De ses mots j'en déduis qu'il est le seul homme dans cette équipe mais cela n'a pas l'air de le déranger. J'essaie alors d'imaginer la jeune femme croisée tout à l'heure m'adresser un regard noir et essayer de me lancer un dossier à la figure en guise de vengeance pour avoir subtilisé Sam pendant une quinzaine de minutes. Ce tableau est assez drôle et je feins l'inquiétude.

-Quelle catastrophe, je vais être obligée de partir discrètement en passant par une fenêtre!

Nous parlons brièvement d'Alice puisque le jeune lycanthrope ne semble pas la connaitre puis obliquons sur un autre sujet. C'est à ce moment-là qu'un petit jeu ambigu commence entre nous puisqu'il m'embrasse sur la joue et joue de son intense regard chocolat pour le plaisir de me faire rougir. Et en réponse je l'embrasse également sur la joue mais à quelques centimètres de ses lèvres si tentantes mais inaccessibles pour l'instant. Pendant quelques secondes je le sens un peu déstabilisé et, si ses joues ne deviennent pas rouges, j'entends son rythme cardiaque être un peu plus rapide durant quelques battements. Néanmoins il reprend rapidement la maitrise de lui-même et affiche un air détaché avant de répliquer que c'est impossible de le faire rougir et, sur ce, termine sa pomme en quelques bouchées. Je pensais que cela le ferait tout de même un peu rosir puisque la situation est un peu ambiguë entre nous mais visiblement il en faut plus que cela. Par contre je n'irais pas jusqu'à l'embrasser par jeu, si mes lèvres viennent sur les siennes ce sera délibéré et pas seulement pour le taquiner, il y a des choses à prendre au sérieux, surtout après les heurts que nous avons connus. Pour alors relancer la conversation je lui demande comment cela se passe au travail et si l'ambiance avec ses collègues est plaisante. Quand on passe plusieurs heures par jours et plusieurs jours par semaine avec les mêmes personnes et qu'il faut avoir une certaine cohésion pour le bien-être des patients c'est essentiel de s'entendre au moins un minimum avec ses collègues. Sur ce point là je ne m'inquiète pas trop car le jeune homme a une certaine facilité à se faire apprécier, il dégage un quelque chose d'attirant. Enfin sauf avec Josh, entre eux deux ça a tout de suite été l'hostilité mais ça c'est un autre débat.

Le début de sa réponse conforte cette idée que je me faisais de ses relations avec ses collègues de travail, déjà tout à l'heure en l'ayant brièvement aperçu avec la dénommée Eliott il y avait l'air d'y avoir une bonne entente entre eux. Par contre la suite de sa réponse me surprend beaucoup plus et je me sens un peu gênée et espère que mes joues ne prennent pas cette teinte rosée incontrôlable. Il est vrai que Sam est un peu plus souriant depuis que nous avons effectué cette mise au point haute en couleurs il y a une dizaine de jours mais je n'imaginais pas que son attitude générale était tellement différente, et surtout que j'en étais la cause. Je n'aurais jamais pensé pouvoir avoir une telle influence sur le jeune homme. Mais en même temps, il est vrai que notre réconciliation joue aussi sur mon humeur et je me sens plus apaisée depuis qu'il a dit qu'il m'aimait et qu'il fait tous ces efforts pour que nos rapports s'améliorent. Savoir que ses collègues sont au courant de cela me fais un peu peur soudainement et je ne sais pas quelle attitude adopter. D'après ce qu'il dit elles sont plutôt satisfaites du changement qui s’opère en Sam et quelque part cela me met la pression. Ses doigts sur ma joue et son pouce qui passe derrière mon oreille me ramènent à la réalité et un délicieux frisson parcours mon dos tandis que je lève un peu la tête pour croiser son regard que j'aime tant. Il se rassoit ensuite en face de moi et instinctivement j'avance mes mains sur la table pour attraper l'une des siennes si chaude et sentir à nouveau ces petits picotement sur mes doigts à son contact.

-La nuit a été plutôt courte vu que je suis allée patrouiller dans les environs mais sinon ça a été, les cours étaient globalement intéressants.

Puis je me sens un peu obligé de répondre à ce qu'il a dit précédemment sur ses collègues féminines et j'esquisse un léger sourire.

-Et pourquoi certaines voudraient me remercier tandis que d'autres me jalouseraient?

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Mer 20 Jan - 14:52
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La jeune femme embarque dans mon jeu et continu sur mon hélant en insinuant qu'elle devra quitter l'endroit en se faufilant par une fenêtre. Un rire léger s'échappe alors que j'imagine très bien la louve le faire. Je sais qu'elle en est capable, c'est bien ça le pire! Et je crois que de l'imaginer, essayant de passer incognito en sortant par une fenêtre serait fort très divertissant. Cependant, nous sommes pas au premier étage et je ne crains que cette dernière se blesserait s'il fallait qu'elle sorte ainsi. Je ne crains pas de la vitesse à laquelle elle récupérerait de sa blessure, mais tout de même….ce pourrait être grave et nécessiter des soins adéquats, alors ne faisons rien de stupide. Évidement, ce n'est que taquinerie et aucunes de mes collègues n'agiront ainsi avec la mademoiselle. Bien que quelques unes soient plus, disons, froides à mon égard, je ne crains pas pour Lia. Qui, de toute façon, serait capable de détester ce genre de fille ? Elle est parfaite, que demander de plus ? Elle est attachante, généreuse, souriante, elle a une tête forte et en plus, elle a l'un de ses sourires qui font fondre votre coeur. Alors dites-moi, comment en sachant cela, vous pourriez la détester ? Fin bref, nous poursuivons la discussions et tandis que j'essais de me remémorer où j'aurais pu voir cette dénommée Alice, Lia confirme mes doutes en me disant que nous ne sommes pas dans le même cours de biologie. C'est donc remplit de sens que je n'ai jamais croisé cette mademoiselle. Je dois d'ailleurs avouer, qu'outre Clara et sa clique, quelques mecs à gauche et à droite, je n'ai pas vraiment d'amis comme ceux que j'avais à Riverbend. D'ailleurs, par moment, je me demande bien ce qui est advenu de mon ami Harry, celui dont j'étais le plus proche. Je fais disparaitre ce petit moment de nostalgie avec mon respire et me concentre sur la magnifique demoiselle devant moi qui ne manque pas de répartie.

Après notre petit jeu charmeur de bisous sur la joue dans le but de faire rougir l'autre, je l'emporte haut la main mais ne peut nier que cette petite marque d'affection m'a fait chaud au coeur. Je ne m'attendais pas à ce que la jeune louve me réplique de la sorte, et qui plus est, plus proche de mes lèvres que je n'aurais osé m'y glisser. Une onde de chaleur traverse tout mon corps aux suites de ce contacte que j'apprécie énormément. Il me suffirait de bien peu, juste un petit signe qui me montrerait que la mademoiselle est prête à plus pour que mes lèvres se glisse sur les siennes. Mais tel que promis, je respecte son rythme et tente de ne pas bousculer les choses. Plus tard, je sais que j'aurai droit à ce contacte et je crois que je l'apprécierai beaucoup plus si je suis certain que nous sommes sur le même niveau. Rapidement, nous reprenons notre sérieux et je fais dévier la conversation sur Lia. Cette dernière me réponds qu'elle a bien peu dormit, ayant patrouillé une partie de la nuit. J'affiche une mine un peu attristé, sachant à quel point une bonne nuit de sommeil est récupérateur. Mais, puisque comme moi la charmante jeune femme est lycanthrope, manqué de sommeil ne nuis pas au fonctionnement opportun de son organisme, du moment qu'elle se nourrit convenablement. Mais, alors que j'allais la questionner sur sa patrouille, elle affiche ce qui me parait être un sourire quelque peu distant, attristé et je me sens soudainement mal d'avoir ainsi parlé de mes collègues. En aucun cas mon intention était de lui faire de la peine ou de la mettre mal à l'aise et voilà que j'avais réussit à faire exactement ce que je ne voulais pas. J'expire par le nez plus longuement et presse sa main dans la mienne. Je ne sais pas vraiment ce que je tente de lui montrer par ce contacte resserré, peut-être de lui prouver que je suis là et qu'elle n'a pas à s'inquiéter ?

« Je suis désolé, je disais ça plus sarcastiquement… je ne voulais pas te rendre mal avec ça. Mais en général, les filles seraient reconnaissantes parce que grâce à toi, mes yeux passe d'un iris à l'autre tandis qu'avec mon autre mains, je viens chercher la sienne et la caresse du pouce, tendrement. Je vais mieux. Elles disent que j'ai l'air d'être heureux et elles sont contentes pour moi. Et certaines seraient sûrement jalouse que se soit une personne merveilleuse comme toi qui ait réussit cet exploit, alors qu'elles n'arrivent pas à trouver celui qui les feront briller comme toi tu shine. »

J'accompagne cet explication en penchant mon buste et venant déposer un tendre baiser au milieu de son front. Je crois que c'était la meilleur façon d'expliquer mes paroles afin de la rassurer et de calmer son inquiétude. Je repense ensuite à sa patrouille et tandis que, gardant le contacte avec ses mains, je fais avancer ma chaise à l'aide de mes pieds et m'appuie contre le dossier.

« Et cette patrouille, comment ça été ? La ville peut dormir sur ses deux oreilles sans soucis tu crois ? »

Je l'espère, en tous cas. Je suis impressionné par cette fille, honnêtement. Elle passe tellement de temps à surveiller les bois, son repaire ainsi que veiller à ce que les êtres surnaturels tel que nous soient en sécurité. Je l'aiderai peut-être, un jour. Et peut-être qu'ensemble nous rejoindrons une meute, qui sait. Mais pas tout de suite, oh non… ma dernière expérience au sein de l'une d'entre elle m'a..comment dire, assez futé pour le moment et je refuse de me réunir à nouveau avec d'autres êtres de mon espèce. Mais on est loin de ce que Lia et moi vivons. Cependant, je ne supporterais pas qu'elle soit mon Alpha, et inversement. J'affiche un sourire puis jette un vif coup d'oeil à ma montre à nouveau. Déjà plus que 6 minutes! Zut…
Mer 20 Jan - 17:23
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Une pointe d'humour ne tarde pas à s'insinuer entre nous pour essayer de savoir comment ses collègues et mon amie Alice vont réagir en voyant que nous nous sommes absentés pendant quelques minutes pour une pause bien méritée. L'idée de devoir sortir en douce par la fenêtre est amusante mais pas vraiment réalisable car ce ne serait absolument pas discret et en plus il n'y a que peu de prises sur la façade extérieure et ce serait prendre des risques pour pas grand chose. De toute façon je n'avais pas l'intention de le faire pour de vrai, c'était juste une boutade pour rester dans le même registre humoristique que nous partageons. Et puis j'espère bien que des personnes travaillant dans le domaine médical, et donc au service de la santé des gens, se livrent à une activité comme me courir après pour m'assommer à coup de registres en représailles d'avoir accaparé le jeune homme durant sa pause. L'image me donne envie de rire mais je m'en abstient et échange simplement un sourire complice avec Sam. Suite à cela l'humour laisse place à un petit jeu un peu ambigu et même charmeur entre nous. J'avoue avoir rougit un peu plus que lui mais je veux croire que ce petit baiser ne l'a pas pour autant laissé indifférent. Je crois que le jour où je me sentirais assez bien pour qu'un véritable contact ait lieu entre nos lèvres s'approche doucement mais sûrement. L'attitude du jeune métamorphe à mon égard est celle que j'ai tant souhaitée par le passé et le seul fait qu'il fasse tous ces efforts et accepte de me laisser du temps prouve qu'il tient suffisamment à moi.

Pour que nous reprenions une contenance tous les deux et quittions ce chemin un peu dangereux, nous nous remettons à discuter tranquillement. Le soleil qui tape sur la fenêtre près de nous réchauffe délicieusement la pièce et nous avons de la chance puisque aucun autre soignant ne vient dans cette pièce pour prendre sa pause bien méritée. Décidément on dirait que même l'Univers s'organise pour que nous puissions avoir des moments ensemble et décider de ce que nous voulons réellement. Le jeune brun me questionne alors sur mon début de journée et je me sens presque gênée de cette attention délicate qu'il me porte. Et je dois bien admettre que même lorsque je fuyais sa présence, Sam continuait quand même à me demander comment j'allais malgré le fait que je le rembarrais à chaque fois, alors trop blessée et en colère pour l'apprécier à sa juste valeur. Le jeune homme semble attristé d'apprendre que j'ai passé une partie de la nuit à patrouiller dans les bois mais je ne comprend pas vraiment pourquoi. Cela ne me dérange pas de parcourir différents sentiers pour vérifier qu'aucune menace ne s'y cache, la nuit ce sont des sensations différentes et les bois ont une toute autre apparence que durant la journée. Oui il y a un risque de tomber sur des chasseurs mais le risque n'est pas plus grand au cœur de la nuit. Pour le rassurer j'affiche un sourire et continue notre discussion le plus naturellement du monde. C'est à ce moment que je me perd un peu dans mes pensées à propos des rapports qu'il entretient avec ses collègues et je ne suis pas sûre de comprendre où il veux en venir en déclarant que certaines pourraient être jalouses de moi. Regrettent-elles que le beau Sam m'accorde de l'attention et en ait légèrement moins pour elles? Ses mains chaudes resserrent alors un peu leur étreinte sur les miennes et je me sens aussitôt bien.

Pendant qu'il parle nous restons les yeux dans les yeux et de délicieux frissons parcourent ma peau lorsque son pouce se met à faire de délicates caresses sur mes mains. Au fur et à mesure de ses paroles je me sens rougir et l'intensité de son regard me trouble. Jamais encore un représentant du genre masculin ne m'avais dit de telles choses et surtout regardée ainsi. Son baiser sur mon front est si doux que je le reçois comme si il avait posé ses lèvres sur les miennes et un sourire tendre vient sur mon visage.

-Je n'ai pourtant pas l'impression d'avoir fait quelque chose de particulier mais si tu te sent bien alors j'en suis vraiment contente pour toi

La discussion reprend alors un tour plus anodin mais nos mains restent liées et cela ne me déplais pas le moins du monde. Brièvement je regarde nos doigts enlacés puis reporte mon attention sur son beau visage. En revenir à parler de patrouilles nocturnes me conviens tout à fait car c'est là un terrain sur lequel je ne risque pas de rougir encore une fois et où les battements de mon cœur peuvent continuer à avoir un rythme tranquille. Je ris un peu et hoche la tête.

-Rien de bien extraordinaire durant la nuit mais il faut continuer à être vigilants.

Avec la tranquillité qui se dégage de lui, Sam arrive à banaliser cette situation comme si le seul danger qui menaçait était une trop grande population de lapins ou d'écureuils au cœur la foret. Le voyant regarder l'heure sur sa montre je me rend compte qu'il est probablement temps qu'il retourne auprès de ses patients. Je ne suis pas contre passer encore quelques minutes avec lui mais je ne veux surtout pas qu'il soit réprimandé par ses supérieurs. A mon tour je passe doucement mes pouces sur sa peau douce puis regarde la porte puis son visage.

-Je ne voudrais pas te mettre en retard alors je vais y aller. On se voit demain en cours?

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Ven 22 Jan - 15:41
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Lorsque la charmante demoiselle en ma compagnie me dit que ce serait bien fâcheux de devoir se faufiler par la fenêtre pour sortir, je ricane avec légèreté, tandis que mes épaules s'agitent tout naturellement en rythme avec le ricanement. Par la suite nous discutons de compagnons de classes et de mes collègues. Je sens que la demoiselle ne comprend pas trop le sarcasme que j'utilise lorsque je fais allusion à la jalousie que certaine pourraient entretenir envers Lia et je me sens aussitôt mal. Afin de rectifier le tir, j'explique mes propos à la lady tout en accompagnant mes paroles de tendres attentions. Je vois que mes mots font effet et tout de suite j'ai l'impression que Lia comprend ce que j'ai voulu dire. Elle est importante pour moi et je suis heureux qu'elle ait accepté de me donner une seconde chance.C'est donc logique que sa seconde chance, si ainsi puis-je l'appeler, me rende de bonne humeur. Plus jamais, oh non au grand jamais je n'ai envie de tomber aussi bas que je l'ai été lorsque je l'ai blessé. Il y a eu ce moment dont j'avais fait part à la jeune femme, où j'avais été au bord du précipice une fois, où j'avais été "sauvé" grâce à cette blessée. Eh bien c'était pire que la fois où j'étais prêt à ma laisser tomber dans le vide. Et pourtant, même si la mort était une option, j'avais le sentiments que même ce châtiment n'était pas assez puissant pour mon geste, la méchanceté gratuite dont j'avais fait preuve, faisant ressortir une partie de moi que je ne me connaissais pas.

Ça m'a fait peur, d'ailleurs. Découvrir cette parcelle de moi que je croyais enfouis dix pieds sous terre. J'aurais préféré qu'elle y demeure, mais nul ne sais comment un être avec le sang aussi chaud que nous réagira dans une situation qui lui est jusque là, inconnu. Je me mords la langue dans le but de changer mes pensées, mais je n'y parvient pas. Mon coeur se serre. Il me fait mal. Je continu cependant de regarder la douce demoiselle en avant de moi avec la même tendresse, sans laisser paraitre cette petite faiblesse qui me gagne. Elle ne doit pas savoir que cet événement me brûle encore. Elle a le droit de guérir, d'aller de l'avant sans que je ne lui fasse part de cet oppression qui me coince la poitrine lorsque je songe à ce moment. Je réussis, avec un clignement de yeux et en pressant un peu plus la main de Lia à faire partir cette horrible pensée, mais je dois également avouer que la voix chaude de la louve y est également pour quelque chose. Elle prétend qu'elle ne pense pas avoir fait quelque chose de particulier, devrais-je lui montrer tout ce chemin qu'elle a parcourue depuis cette semaine ? Depuis ma sortie du centre ? Mon sourire s'élargie et je me contente de lui murmurer un merci avant que la discussion ne s'oriente vers ses sorties nocturnes.

J'hoche la tête face à sa réponse pendant que mon pouce glisse sur sa main en un mouvement latérale. La petite louve n'a pas tort. Ce n'est pas parce que c'est plus tranquille dernièrement et qu'il y a moins de chasseurs en ville qu'il faut relâcher notre vigilance. C'est important de rester concentré et surtout de ne pas tomber dans un cercle vicieux où nous pourrions nous croire en sécurité 24/7. Déjà, rien qu'en bossant dans cet endroit je me met en danger, qui sait avec qui je travail ? Si ça se trouve, il y a peut-être des chasseurs de surnaturels parmi les membres du personnel et je ne suis même pas au courant.. ? Dans le but d'en savoir un peu plus, je lui demande des précisions.

« Que veux-tu dire par "rien de bien extraordinaire" ? De petits lapins ? »

J'accompagne ma question d'un petit sourire. Rien de bien extraordinaire, c'est vague. Ce peut être autant un chasseur que l'ébauche d'un d'eux, voir même seulement un piège ici et là à démanteler. J'attends sa réponse avec curiosité, mais elle me prend de court alors que je croyais avoir été subtile en regardant ma montre. Comme je l'ai fait tout à l'heure, son pouce se glisse doucement sur la peau de ma main et j'apprécie se contacte avec joie, encrant mes yeux aux siens. Ça me touche qu'elle s'inquiète de mon éventuel retard, mais il n'y a rien à craindre, ce n'est pas un petit 2 minutes de pause supplémentaire qui vont me valoir des heures de Taff en plus. Je ricane avec légèreté. J'aurais voulu que ce moment ce poursuive mais effectivement, elle a à faire et moi aussi. Nos mains se quittes et nous nous levons de nos chaises dans un bruit de pattes qui frottent au sol alors que je replace la mienne pour qu'elle se moue sous la petite table.

« Ne t'en fais pas, c'est difficile d'être en retard lorsqu'on est déjà au travail.»

Je lui fais un petit clin d'oeil et ensemble nous sortons du petit cocon qui aura su nous garder une certain intimité pour ces 15 brèves, très brèves minutes. À l'extérieur du locale, je place une main dans son dos et effectue un petit mouvement d'haut en bas à répétition. Un geste qui se veut réconfortant. Une petite part de moi est triste de penser que je devrai attendre au lendemain pour voir la charmante jeune femme, mais une autre me murmure que c'est peut-être trop rapide si on se voit deux fois dans la même journée. Avec une petite lueur d'espoir je lui demande ;

« Peut-être après le travail aujourd'hui ? »

Mon regard examine chaque parcelle de son visage à nouveau. Visage que je veux me remémorer pour le restant de ma journée. Un nouveau bref coup d'oeil à ma montre m'indique cependant que mon quart tire déjà bientôt à sa fin, tout du moins d'ici plus ou moins 2h. Je pourrai ensuite vaquer à mes occupations. Ou voir de nouveau la jeune femme, si elle m'accorde cette chance. Je la gratifie d'un charmant sourire et lui indique le couloir;

« Tout droit et puis à gauche 2 fois, tu devrais trouver le kiné assez facilement. »

J'accompagnerai bien la charmante demoiselle jusqu'à l'endroit désigné pour qu'elle y retrouve son amie, mais malheureusement mon département se trouve en sens inverse et les chambres de mes patients, hormis celle d'un monsieur une étage plus haut, sont tous dans le même coin, loin du kinésiologue.
Lun 25 Jan - 20:19
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Lia Marshall
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Jujubes assorties. Sam Wallace et Lia Marshall

La discussion se poursuit agréablement avec Sam dans cette salle de pause tandis qu'il profite d'un repos bien mérité dans sa journée de travail. Jamais encore cette situation ne s'était produite. Quand nous nous rapprochions peu à peu il y a de cela plusieurs mois maintenant nous discutions au lycée ou nous allions nous promener en foret ou en ville, nous allions parfois chez lui, il m'avais emmenée sur le toit de l’hôpital un jour où il ne travaillait pas. Mais jamais encore je ne l'avais vu véritablement dans le cadre de son travail. Cela me donne l'impression qu'un cap a été franchit entre nous, je ne sais pas si Sam voit les choses de la même manière que moi mais je ne me sens absolument pas de formuler cela à voix haute par crainte que cela rende les choses moins réelles. Alors je profite simplement de ce moment et apprécie de sentir ses mains autour des miennes, ses yeux qui ne quittent presque pas mon visage pendant que nous continuons à échanger verbalement. Après avoir abordé quelques sujets plus sérieux par rapport à la relation un peu étrange que nous entretenons et à ce que ses collègues peuvent en penser, nous en revenons à quelque chose qui est moins susceptible de me faire rougir. Le jeune homme se montre curieux à propos des patrouilles que j'effectue régulièrement afin de surveiller ce qui peut se penser aux alentours de la ville. Sa question mêlée à de l'humour me fais sourire et j'acquiesce.

-Oui j'en ai croisé quelques uns! Et sinon deux ou trois pièges.

La deuxième phrase est prononcée presque en chuchotant car brusquement je me rend compte que n'importe qui pourrait entrer dans cette salle et surprendre notre conversation. Nous n'avons pas prononcé les mots de surnaturel, chasseur, loup garou et autres termes qu'il vaux mieux garder secrets mais si un collègue de Sam entre dans la salle de pause il sera certainement surpris de nous entendre parler de pièges disposés en foret et de patrouilles nocturnes. Nous n'avons pas l'occasion de poursuivre sur ce sujet là puisque la réalité se rappelle à nous pour signaler qu'il est l'heure que le jeune infirmier retourne travailler pour prendre soin de ses patients. Je m'enhardis à caresser doucement ses mains avec mes pouces puis indique je ne vais pas le retarder et ne pas non plus faire attendre mon amie Alice plus que de raison. Avec une pointe de regret nos mains se lâchent et je me lève puis attrape ma veste et replace la chaise à sa place tandis que Sam effectue les mêmes gestes. Nous sortons de la salle de pause et je m'apprête à retourner à l'endroit où nous nous étions aperçus tout à l'heure pour ensuite chercher des panneaux indiquant où se situe l'étage des kinésithérapeutes et ainsi attendre la jeune humaine. Sans que je m'y attende, la main de Sam vient caresser mon dos et immédiatement j'ai envie de me blottir contre lui. Une chaleur se répand dans mon corps et une irrésistible envie de sentir sa main sur ma peau et non sur mon pull s'installe. Je me mord l'intérieur des joues pour faire refluer cette pensée déplacée et espère de tout cœur qu'aucune rougeur n'est venue s'installer sur mes pommettes.

Je salue donc le beau brun tout en lui demandant confirmation qu'il sera bien présent en cours demain puisque nous avons biologie durant la matinée. Sa réponse n'est alors pas celle que j'attendais mais est tout à fait tentante. J'esquisse un léger sourire tout en cédant à l'attraction magnétique de ses prunelles couleur chocolat et lui demande à quelle heure il termine. Deux heure, ce n'est pas si loin, je lui propose alors que nous nous retrouvions en ville puisque je dois passer dans une librairie pour récupérer un livre que j'ai commandé. Je ne sais pas encore ce que nous ferrons, peut-être irons nous boire quelque chose ou bien nous irons nous promener. Inutile de tout prévoir à l'avance, c'est aussi bien d'improviser sur le moment. Nos corps sont proches et ses lèvres sont de plus en plus tentantes mais il ne faut pas y céder pour l'heure alors je dépose un rapide baiser sur sa joue puis le salue d'un petit mouvement de la main et part dans la direction qu'il vient d'indiquer. Je ne me retourne pas car cela rendrait les choses encore plus ambigües. En peu de temps j'arrive dans le service occupé par les kinés et j'adosse mon dos à un mur puis entame un jeu sur mon téléphone pour passer le temps. Cinq minutes seulement s'écoulent et une porte s'ouvre à cinq mètres de là et Alice en sort, salue le médecin puis me rejoint. Aussitôt elle demande si j'ai passé un bon moment, son sourire ne laisse pas de doute et elle est parfaitement consciente que je n'ai pas passé vingt minutes à l'attendre dans ce couloir. Je me contente d'éluder la question car je n'ai pas envie de faire face à mes sentiments maintenant. Nous sortons de l’hôpital puis ne tardons pas à nous séparer pour vaquer chacune à nos occupations. Tournant le dos à l'abri-bus je me rend à pieds dans le centre-ville tout en flânant tranquillement puisque j'ai deux heures à occuper. Je m'installe sur un banc dans un parc et profite du temps doux je reste au soleil pour relire quelques cours et écrire au brouillon quelques idées pour une dissertation à rendre dans quelques jours. Lorsque Sam me prévient qu'il a terminé sa garde je range mes affaires puis prend la direction de la librairie.

J'adore ce genre d'endroit et récupère l'ouvrage commandé puis prend le temps de me promener dans les rayonnages pour lire quelques quatrièmes de couverture, et peut-être découvrir des auteurs que je ne connais pas encore en attendant l'arrivée du jeune homme qui occupe de plus en plus de place dans mes pensées et dans mon cœur.

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Jeu 28 Jan - 12:27
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Sam O. Wallace
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Jujubes assortis

Lia Marshall & Samuel-Olivier Wallace
Dans cette bulle, rien que nous deux : c'est quasi trop parfait pour être réel. C'est comme si personne n'avait la permission de venir déranger notre petite moment. Loin de m'en déplaire, je l'admets sans gênes. Lorsque je demande à la douce petite louve d'élaborer un peu plus sur sa balade nocturne, elle me confirme accompagné de l'un de ses sourire qui font fondre mon coeur que oui, effectivement elle a bien croisé un ou deux petits lièvres, mais également quelques pièges. Son ton de voix baisse d'un octave et sur le coup je ne comprend pas pourquoi elle se met à pratiquement chuchoté. Je mets bien peu de temps à réaliser que c'est parce que nous discutons de chasseurs. Cela dit, oui nous sommes seuls dans la pièce, mais qui sait s'il n'y a pas un micro d'installer subtilement dans un coin avec quelqu'un qui écoute chacune des conversations dans cette pièce ? Cette pensée soudaine me pince un peu l'estomac mais rapidement je la chasse alors que mes yeux croisent les siens. Ils ont se pouvoir libérateur, attendrissant que je ne leur connaissaient pas, ça me plait. Nous poursuivons noter discussion et finalement vient le temps pour moi de retourner vaquer à mes occupations, c'est-à-dire aller faire la tourner de mes patients. Il y a ce monsieur dans la 436-B, qui d'ailleurs nécessite un suivis par apport à un analgésique que je lui ai donné sous-cutané il y a de cela déjà 45 minutes. Je vais devoir aller voir si le calmant a bien fait son effet, sans quoi je trouverai autre chose pour le soulager.

J'indique à Lia le chemin à prendre pour retrouver son ami Alice et je suis un peu triste de la regarder ainsi partir. Mais je me console par le petit bisous auquel j'ai eu droit avant qu'elle ne s'éclipse et également par le fait que j'irai la retrouver après mon quart de travaille qui, en temps normal, doit se terminer dans deux heures. Je dis en temps normal puisque dans ce domaine, on ne sait jamais lorsqu'on aura pas le choix de faire du temps supplémentaire obligatoire si personne ne rentre prendre notre place. J'espère de tout coeur que je n'aurai pas à faire patienter ma charmante amie, puis tout sourire à l'idée de la retrouver en ville, je retourne à mon poste, où je me bute à Eliott, Sasha et une autre collègue qui cessent de discuter lorsqu'elles me remarquent. Je suis à deux cheveux de tourner les talons et partir dans le sens d'où je viens pour ne pas avoir à faire à leur incessant blah blah sur ma pause en compagnie de cette charmante jeune fille qu'elles n'ont jamais vue. Sasha ne passe pas par dix chemins et me demande tout de suite qui c'était, alors que Eliott lui donne une petite tape sur l'épaule, soulignant son manque de délicatesse. Je ricane et réponds par le mystère avant de m'approcher de mes collègues pour voler le dossier de mon patient auquel je dois aller faire un suivis qui traine là où je l'avais laissé. Je leurs fais un charmant sourire malicieux accompagné d'un vif haussement des sourcils puis tel une vipère, m'éclipse dans le couloir en marchant à reculons pour faire durer le suspense.

« Mystère, mesdames. À suivre! »

J'entre dans le chambre de mon client et ce dernier semble ravis de me voir. Dans la même chambre que lui, il y a une vieille dame qui est ici depuis plus d'une semaine déjà et qui me salut également lorsque je demande à mon patient comme il se sent. Je discute avec ce dernier un instant, lui pose les question habituelles afin de cerner si sa douleur à diminuer et discute un peu avec la dame dans le lit voisin. Les deux patients s'entendent bien et je me retire alors qu'ils argumente sur la discussion que nous venons d'avoir. Histoire de ralentir le moment où j'aurai à raconté ma version de l'histoire à mes collègues, je passe directement dans la chambre de Mr. Holt, où je viens noter ses signes vitaux. Heureusement, la tendance ce maintient et ses valeurs restent stable. Je lui demande comment il se sent et il me dit qu'il a un petit peu mal à ses jambes mais que c'est tolérable. Je l'informe que je vais repasser d'ici une vingtaine de minutes pour voir si la douleur passe ou non après avoir palper ses jambes et l'avoir questionner sur les endroits douloureux. Mes deux dernières heures passent très vite. Entre les patients, les notes au dossier et les interminables 100 pas pour passer d'un endroit à l'autre de l'hôpital, je ne vois pas les minutes passer. Celle qui doit prendre ma place est arrivé et je vais à sa rencontre pour lui faire part de ce qui s'est passé dans la journée avec les patients qui nous sont attribués. Enfin, je réussis à me sauver sans que mes autres collègues ne m'harcèlent sur Lia et j'en suis bien content. Je n'avais pas du tout envie de faire la conversation avec les mademoiselle alors que la plus importante m'attend. Je fais un rapide détour par chez moi pour prendre une douche rapide et enfiler des vêtements décontractés puis me dépêche d'aller rejoindre Lia à la librairie.

L'odeur de la poussière s'empare de mes nasaux et aussitôt je me souviens pourquoi j'évitais ce genre d'endroits. Mais que ne ferait-ont pas pour plaire à celle qui a une place importante dans notre coeur ? Comme elle n'est pas dans le hall, je parcours les rangés à sa recherche. Je le trouve concentré dans une rangé, un livre en main. Elle me semble perdu dans ses pensées, tellement paisible. Elle a pratiquement l'air d'un ange, si ces derniers existaient. Je m'approche sans un bruit et glisse mes mains sur ses hanches, venant lire par dessus son épaule ce qui occupe ses pensées.

« Bonjour, je t'ai manqué ? Qu'est-ce que tu lis ? »

Je tourne mes yeux vers elle et me retiens de venir déposer un petit baiser sur ses lèvres. Faut m'excuser, mais cette proximité ne fait qu'augmenter ma tentation. Comme je me suis dépêcher pour prendre ma douche et de venir la retrouver le plus rapidement possible, mais cheveux encore humide me donne un aspect un peu fou, en bataille. Mes petites joues sont rosés dû à la température relativement frisquet de l'extérieur, mais mes mains sont demeurés chaude : heureuse particularité d'être un lycan. Je savais que Lia aimait les livres, mais je n'ai aucune idée de quel genre de bouquins elle raffole. Je me décolle d'elle afin de lui laisser de l'espace, de l'air. Je prend un bouquin sur l'étagère, le feuillette rapidement, lis en Z la quatrième de couverture puis demande à Lia tout en le replaçant ;

« Qu'aimerais-tu faire maintenant que je suis 100% à toi ? »

Je lui fais un petit clin d'oeil, curieux de savoir si elle a quelque chose en tête où si nous allons tout simplement improviser. Du moment que nous sommes ensembles, peu m'importe : tout me convient.
Dim 31 Jan - 16:28
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Lia Marshall
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Ce début d'après-midi est un contexte assez ordinaire pourtant, quelques minutes de discussion entre Sam et moi pendant qu'une amie est en consultation auprès de son médecin et que le jeune homme prend une pause dans sa journée de travail. Mais pourtant cela semble marquer un tournant dans la relation qu'il peut y avoir entre nous. Je ne sais pas si c'est parce que nous sommes véritablement seuls et non pas entourés de passants comme lorsqu'il nous arrive de nous promener dans les rues de Fearwood. Mais je perçois qu'il se passe indéniablement quelque chose, une avancée. Nous avons le temps d'aborder quelques sujets puis de parler brièvement de la situation surnaturelle qui est plutôt calme ces temps-ci. Mais ensuite cette parenthèse très agréable prend fin, le jeune brun retourne travailler et je vais rejoindre Alice qui termine son rendez-vous médical quelques minutes plus tard. Nous nous séparons sur le parvis de l’hôpital puisque la jeune femme est attendue et j'oriente tranquillement mes pas vers le centre-ville. J'aurais pu rentrer à l'appartement pour travailler quelques cours ou bien proposer à Emily, Ayane ou encore Luna que nous allions boire un verre mais un certain lycanthrope s'est proposé de se rajouter à mon emplois du temps et ce n'est pas pour me déplaire. Puisque sa garde ne se termine que dans deux heures il n'y a pas tellement à attendre alors j'en profite pour flâner au soleil. Il est vrai que j'aurais aussi pu lui proposer de passer à mon appartement puisqu'il connait le chemin désormais mais je ne me sens pas encore vraiment prête à cela. Nous avons convenus de nous retrouver à la librairie alors lorsque Sam me préviens par téléphone qu'il quitte l’hôpital je me rend dans cet antre de la littérature. Tout d'abord je récupère un ouvrage que j'avais commandé, il s'agit d'une lecture imposée par le cours de littérature pour le mois prochain, il reste donc du temps et je crois que je le commencerais ce soir ou demain. Ensuite je me met à déambuler entre les divers rayonnages. L'odeur des livres neufs est plaisante à mes narines et je me sens un peu chez moi ici. Il n'y a que quatre autres clients alors c'est calme, le bruit de l'extérieur est amoindri grâce aux vitres à double-vitrages et c'est un petit monde à part.

Je ne sais pas trop combien de temps s'écoule tandis que je laisse mon regard courir sur les étagères à la recherche d'un titre ou d'une première de couverture qui attirerait mon attention. J'aime bien fonctionner ainsi à l'instinct, parfois cela fonctionne et permet de découvrir des pépites tandis que d'autres fois ce n'est pas le cas, c'est la beauté de ce petit jeu. De temps en temps je m'empare d'un livre et lit le résumé au dos pour en connaitre les grandes lignes. Cela fait déjà deux livres que j'ai bien envie de lire. Puisque ce n'est pas le but de ma visite je tente de me réfréner mais finit tout de même par en garder un en main pour l'acheter lorsqu'il sera temps de quitter la boutique. J'aurais tout le loisir de revenir une prochaine fois pour agrandir ma liste de lectures. Subitement deux mains chaudes se posent sur ma taille et me ramène à la réalité. Un souffle chaud vient effleurer mes cheveux et ma nuque, me faisant frissonner légèrement. Je sais déjà que c'est Sam alors je ne cherche pas du tout à échapper à cette douce étreinte. J'esquisse un sourire en tournant un peu la tête vers lui et oriente mieux le livre pour qu'il puisse en lire le titre et l'auteur.

-Peut-être...qui sait!

Oui il m'a manqué mais au stade où en est notre relation je me sentirais un peu gênée de le lui dire. Je me retourne totalement pour être face à lui et ses mains glissent sur ma taille sans la quitter, déclenchant de nouveaux frissons de bien-être dans mon corps. Nous nous retrouvons très près l'un de l'autre et en levant un peu les yeux je me prend de plein fouet ses prunelles chocolat si intenses. Ses mèches encore un peu humides indiquent un passage sous la douche il y a peu et lui donnent un charme supplémentaire. Également cela a effacé toutes les odeurs de l’hôpital et ne restent que la fragrance de son gel douche et l'odeur naturelle de sa peau que j'arrive à reconnaitre entre mille. Quelques secondes passent ainsi et j'ai tellement envie de sentir ses lèvres sur les miennes que je dois me retenir de rougir. Finalement le jeune homme s'écarte de quelques pas et saisit lui aussi un livre sur les étagères pour le feuilleter. Ma gorge est sèche et j'avale ma salive pour reprendre contenance. Sa voix chaude est une musique à mes oreilles et je me sens à nouveau parfaitement bien en sa compagnie. Depuis que j'ai accepté de lui laisser une deuxième chance je me suis promis de ne pas aller trop vite, d'être bien certaine qu'il ne me trahira pas une seconde fois. Et il ne s'y est pas opposé, il a fait tous les efforts possibles. Si j'en crois l'intensité de ses regards et les petites caresses sur mes mains tout à l'heure ses sentiments sont toujours là. Je ne sais plus si je dois attendre ou si je dois céder à ce besoin de le savoir véritablement près de moi. Sa question me sors de mes pensées et ma réaction est instinctive.

-Sam...

J'avance d'un pas vers lui et pose ma main libre sur son torse puis avance encore d'un pas pour être à quelques petits centimètres de lui. Sans lui laisser le temps de réagir je presse délicatement mes lèvres contre les siennes si tentantes. Si tu dois changer d'avis Sam c'est maintenant. Si tu m'aimes toujours comme je t'aime alors surtout n'arrête pas ce contact si doux.

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Mar 2 Fév - 17:34
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Lia Marshall & Samuel-Olivier Wallace
Lorsque je termine mon quart de travail, j'envoie un bref message à ma charmante amie pour le lui signifier avant de faire un détour par chez moi histoire de me nettoyer de toutes ces odeurs de l'hôpital. Je n'ai rien contre les charmantes odeurs d'asepsies et de matériels médicales, mais ce n'est pas tellement winner pour aller rejoindre la fille qui fait battre notre coeur. Je retrouve d'ailleurs la jeune femme à la librairie du centre-ville, un endroit où je ne vais que très peu, pour ne pas dire jamais. Je ne suis pas un très grand liseur pour le loisir et je crois que j'ai assez, pour le moment, de lire mes livres de médecines sans avoir à me bourrer le crâne de d'autres romans. Pas que je n'aime pas, non pas du tout. Disons seulement que lorsque j'ai du temps libre, je fais autre chose que de lire un livre. Cependant je sais que la jeune femme est une grande liseuse et je suis d'autant plus curieux de découvrir quel genre de bouquin est-ce qu'elle préfère. Un coup arrivé à destination, je part à la recherche de la jeune louve qui doit être absorbé par les livres. Je mets bien peu de temps à la trouver; il me suffit de suivre son odeur corporelle merveilleusement agréable, ce petit parfum fleurit qui me permet de la reconnaitre parmi tant d'autre.

Mes mains viennent naturellement ce nicher sur ses hanches et je me glisse derrière elle, lisant par dessus son épaule ce qu'elle lis. Je lui demande si je lui ai manqué et sa réponse étire un sourire sur mes lèvres tandis que la jeune femme prend plaisir à laisser planer le doute. Je me percute à sa beauté lorsqu'elle me fait face, un petit sourire amusé avant de me détacher et d'accorder de l'importance aux livres autour de nous. Celui que j'ai tiré au hasard pour en lire le résumé m'est à 100% inconnu. Je n'en ai même jamais entendu parler et je ne connais même pas l'auteur. La voix de Lia me tire hors de ma lecture. Elle prononce mon nom avec particularités, gagnant un « hm ? » De ma part. Et alors que je me repose le livre sur l'étagère tout en gardant les yeux curieux sur la jeune femme, sa main vient se poser avec délicatesse sur mon torse. Un frisson me parcours l'échine, mon pouls s'accélère. Instinctivement, mes mains viennent retrouver sa taille tandis que mes yeux observe chacun de ses iris tour à tour. Et soudain, je crois rêver. Ses douce lèvres tièdes viennent rencontrer les miennes avec aisance, fluidité. Est-ce que c'est vraiment en train d'arriver ou je me fais un film, là maintenant ? Je préfère l'option où c'est réellement en train de se produire et je ne suis pas en train d'halluciner. J'accepte avec joie ce que, d'une certaine façon je peux appeler l'aveux de ses sentiments. Puis ce baiser qui se veut si délicat, si fragile fait jaillir une flamme en mon sein. Alors doucement, tandis que je serre un peu plus la jeune femme dans mes bras pendant que l'une de mes mains vient s'installer au creux de sa nuque, caressant délicatement le fond de sa tête du bout des doigts, je tente de faire durer ce doux baiser le plus longtemps possible. Je savoure l'instant, profite de chaque seconde avant que ce moment ne se brise, se termine.

« Je vais prendre ça pour un oui »

Un sourire malicieux se dessine sur mon visage. Seul un fin murmure entre deux baiser s'échappe. Le souffle court je crée une mince distance entre nos deux têtes. Bien que j'adore l'embrasser; j'ai besoin de savoir si elle est certaine de son choix, si elle ne le regrettera pas tout à l'heure. Mentir serait de dire que mes hormones masculines ne pourrait s'enflammer si ce baiser perdure encore, cependant bien loin de ce moment nous sommes. Et j'ai l'intention de la respecter. Mon autre mains vient caresser délicatement son bras et mes yeux cherchent les siens. Profond. Intense. Et je me perd dans celui-ci. J'ai l'impression que Lia m'ouvre à nouveau son coeur et crois que je vaux le coup d'essayer même sachant le mal que je lui ai fait. Je me sens choyé, en fait d'avoir de nouveau cette chance. J'étais heureux avant, à passer du temps en sa compagnie, à nous partager des moments antérieurs de nos vies, parler de tout et de rien… Et puis j'ai tout gâcher. Mais voilà que de nouveau; l'occasion s'offre à moi de pouvoir ravoir ce bonheur et d'en faire profiter la petite louve par le fait même. Si je le pouvait, je lui décrocherait la Lune, malheureusement elle est trop haute et je suis trop petit. De brèves seconde s'écoule mais je refuse de faire perdurer cette attente plus longtemps. Nous discuterons plus tard, nous aurons amplement le temps. Puis de nouveau avec délicatesse, ensuite avec sensualité mes lèvres rencontrent les siennes. Je ne veux être celui qui mettra fin à cet échange, je ne peux pas. Après un instant cependant, j'y met fin. À mon plus grand désarrois. Ais-je oublié de mentionner que je ne suis pas de ceux qui aime ce montrer en publique ? Et le carillon retentissent de la porte m'annonce soit des gens qui entre, ou des gens qui sorte, cependant avec les odeurs humaines qui augmente, je parierait que c'est parce qu'il y a de plus en plus de gens dans la boutique. Pas que je sois mal à l'aise, cependant je crois que ces moments d'affections se partagent mieux seul à seul, vous ne pensez pas ? Je déglutis et prend un grand respire pour calmer mon rythme cardiaque.

« Et si on sortait ? »

J'haussa les sourcils rapidement, tout sourire et fit mine de m'étirer pour pouvoir venir apposer mon bras sur la nuque de la jeune femme. J'attrapai d'un geste vif le bouquin que j'ai replacer tout à l'heure; si ça se trouve, il sera bon et je le lirai lorsque j'aurai le temps ! Et puis, il faut aussi dire que je n'ai pas envie de quitter la boutique sans rien acheter; je ne serais pas tellement à l'aise. Je rapprocha la jeune femme et vint déposer un bisous sur le coin de son front, au dessus de son sourcils.

« Tu as de choses à payer ? »
Jeu 4 Fév - 2:58
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Lia Marshall
Jujubes assorties. Sam Wallace et Lia Marshall

Alors que je suis dans la librairie en train de parcourir différentes étagères pour dénicher de nouvelles potentielles lectures je suis dans ma bulle et ne prend pas vraiment garde à ce qui peut se passer autour de moi. La présence de Sam qui se matérialise comme par magie à mes côtés me ramène à la réalité et je suis vraiment contente de le voir. Pourtant nous nous sommes quittés il y a un petit peu plus de deux heures, ce n'est pourtant pas très loin. Ses mains posées sur mes hanches ne sont pas du tout baladeuses et je me sens bien ainsi. La proximité entre nous et son visage aux yeux doux et aux cheveux encore un peu humides me fascine. Le temps se suspend pendant quelques secondes puis le jeune homme s'écarte pour lui aussi s'emparer d'un livre. Je sens mon cœur battre un peu plus vite et le sang pulser un peu plus rapidement dans mes veines et je ne peut pas m'empêcher de le regarder. Je n'arrive pas bien à savoir quel est l'élément déclencheur de mon geste mais je suis envahie par la certitude que c'est ce qu'il faut faire. J'ai terriblement envie de sentir à nouveau ce contact. Sam affiche un air surprit lorsque je pose une main sur son torse mais je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et pose mes lèvres sur les siennes. Je me sens parcourue d'un courant électrique tellement ce simple contact est grisant. Je sens ses mains revenir sur mes hanches mais le temps me semble tellement long à attendre de savoir si il accepte ce baiser ou non. Peut-être n'en a-t-il plus envie, peut-être que cette attente l'a détourné de moi. Mon pouls s'emballe face à ces horribles perspectives et je m'apprête à m'écarter.

Mais soudain ses lèvres répondent aux miennes et ses doigts sur ma nuque m'arrachent un frisson. Je me sens euphorique et me rapproche encore plus de lui pour que mon buste touche le sien. Ma main posée sur son torse glisse le long de ses côtes sous sa veste pour venir se caler dans son dos sur son pull. Nos lèvres bougent en harmonie et je ne veux pas que ce moment se termine, plus rien n'existe autour de nous. Néanmoins il nous faut bien pouvoir reprendre notre souffle et quelques centimètres d'espace sont nécessaires. Sa répartie me fais sourire et dans un léger rire je réponds en murmurant.

-Oui je crois que tu peux!

Son regard percute le mien et je me sens mise à nue face à l'intensité de ses prunelles, je crois que jamais encore il n'avait eu un tel regard. Et cette fois-ci c'est le beau brun qui prend l'initiative d'un baiser entre nous et je m'embrase. Mes doigts resserrent tendrement leur emprise sur son dos et mes paupières se ferment pour savourer ce moment simplement avec mes sens. Je ne veux pas que cela s'arrête je suis avide de plus mais en même temps il est un peu trop tôt pour cela. En plus nous sommes dans un lieu public mais mon esprit a totalement occulté cette donnée. Sa main sur mon bras déclenche de délicats frissons de bien-être sur leur chemin et je me sens vivante. Puis finalement nous sommes ramenés à la réalité par le bruit de la porte de la boutique qui s'ouvre afin que quelqu'un puisse entrer ou sortir. Nous reprenons contenance et une distance plus acceptable en public se creuse entre Sam et moi. Je me mordille la lèvre, un peu gênée d'avoir ainsi fait étalage de mes sentiments et d'avoir cédé à cette pulsion de l'embrasser. D'un hochement de tête j'acquiesce à sa proposition et vérifie qu'aucune de mes affaires n'est tombée au sol. Son sourire me rassure au moins sur une chose, il ne regrette pas ce qui vient de se passer et ses sentiments sont toujours là. Je sais que c'est horriblement cliché mais la journée me semble alors plus lumineuse que précédemment. Heureuse je lui sourit un peu puis prend la direction de la caisse pour régler mes achats. J'ai à peine le temps de faire deux pas qu'un bras vient se poser sur mes épaules et la présence du jeune homme se fait très perceptible et je me sens tout simplement bien, en sécurité, apaisée. Son petit baiser sur mon front est tout à fait agréable et je dépose brièvement mes lèvres sur l'arrête de sa mâchoire.

Nous ne tardons pas à arriver à la caisse et je présente mes achats à l'employée et les règle rapidement avant de tout ranger dans ma sacoche de cours. C'est ensuite au tour de Sam de régler son achat et puisqu'il est venu les mains dans les poches je lui propose de mettre son livre avec les miens puisqu'il reste de la place. Après quelques salutations aimables Sam et moi prenons congé des lieux et retrouvons l'air frais de l'extérieur que j'inspire à pleins poumons pour retrouver une contenance. Je finis par faire à nouveau face au jeune homme et me mordille à nouveau la lèvre.

-Désolée ce n'était peut-être pas le bon moment....mais en tout cas je ne regrette pas.

Après ces mots je redresse la tête et ancre mon regard au sien de façon franche pour essayer de déchiffrer ses émotions et ce qui se passe en ce moment dans sa tête. Que va-t-il se passer maintenant?

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Mer 10 Fév - 18:14
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Sam O. Wallace
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Lia Marshall & Samuel-Olivier Wallace
Je me sens extrêmement bien, en ce moment. Vous savez cette impression de flotter, celle qui vous dit : « je crois que j'ai des ailes! Je vole. » ? Eh bien c'est ainsi que je me sens en ce moment. Léger, apaisé, très calme. Peut-être même trop. Cependant, inutile de vous dire que mon coeurs pulse à une vitesse incroyable, menaçant presque de sortir de mon thorax. Mais malgré tout, je suis bien et surtout : je suis heureux. Mes lèvres sur les siennes, c'est impossible de ne pas ressentir un sentiment d'euphorie. Hélas, de nous deux, je suis celui qui brise ce moment. De un : parce que nous sommes en publique et que ce n'est pas mon genre les grosse marque d'affection en publique. Et de deux : cet endroit où il pleut des livres commence à me faire étouffer. Je sais qu'en théorie, je devrais être bien peut importe où je suis tant que j'y suis avec la charmante louve, mais c'est impossible. Tout du moins, pas dans cette place où l'odeur des arbres compactés en simple feuille me remplit les nasaux, mélangés au doux parfum de Lia à chaque respire. D'un accord commun nous réglons nos achats et quittons le magasin après que j'eu mis mon livre dans le sac de la jeune femme. Je suis arrivé les mains vides et je repars les mains vides, quel manque de galanterie.

« Oh laisse, je vais le trainer. »

Sans attendre une réponse je prend sans brusquerie le sac contenant nos achats et glisse les poignées sur mon poignet afin de pouvoir cacher cette main dans la poche de mon pantalon. À l'extérieur, l'air frais emplis mes poumons et mes alvéoles me disent merci. De l'air frais, pure, c'est un extase pour ces petites merveilles qui aide à faire l'échange gazeux dans notre sang. Nous nous installons naturellement un peu à l'écart de la porte afin de ne pas nuire à la circulation dans la boutique et la jeune femme me fais face. Mes iris observe chacun de ses yeux à tour de rôle, ne sachant sur lequel s'arrêter et cette dernière se mordille la lèvre. Quelque chose ne va pas ? Mon coeur s'accélère un peu. Ai-je fais quelque chose qu'il ne fallait pas ? suis-je aller trop fougueux ? Trop brusque ? Je songe rapidement à notre baiser mais n'arrive pas à voir ce que j'aurais pu faire de déplacer, si ce n'est le baiser lui-même. Mes sourcils se courbent, mon expression ce veut un peu inquiète et alors que j'allais lui demander si tout va bien, cette dernière me devance. Son regard se redresse et j'ai l'impression que je n'aurais pas du mettre fin à se baiser. Immédiatement, ma main libre se niche sous l'arc de sa mâchoire tandis que mon pouce glisse délicatement sur sa joue en un mouvement qui se veut réconfortant. Je penche un peu mon buste vers elle pour me rapprocher et glisse un bisous sur ses fines lèvres avant de lui répondre.

« Pas du tout. Il n'y a pas de mauvais moment. Je suis désolé si je t'ai fais sentir que ce n'était pas approprié, ce n'était pas du tout mon intention. J'ai adoré se baiser et je recommencerais volontiers, je t'assure. Je marque une pause, prend un grand respire. Seulement, je ne suis pas un fan des foules. Cela dit, ce genre d'affection est plus approprié en privé, à l'abri des regards curieux. »

Ma main descend jusqu'au creux de son cou, je l'observe quelques brefs secondes avant de lui sourire et de m'approcher de nouveau afin de l'embrasser délicatement, un doux baiser loin d'être déplacer.

« Mais jamais je ne regretterai, Lia. Je ne veux juste pas te brusquer. Ou faire quelque chose que tu ne voudrais pas. »

Je lui fais un petit clin d'oeil, et glisse ma main dans la sienne. Je fais un pas vers l'avant, n'ayant aucune idée d'où nous irons et je m'en fiche. Du moment que je suis à ses côtés, j'irai n'importe où, je l'ai dit. Le contacte de sa peau est chaud, apaisant. Un sourire étire mes lèvres alors que j'apprécie se contacte agréable tandis que nous marchons sans réelle destination dans les rues de Fearwood. À peine avons nous passés la librairie que mon regarde dévie vers la jeune femme et qu'un sourire malicieux étire mes lèvres. Rapidement, je me faufile dans la petite ruelle entre les deux bâtiments en entrainant la jeune femme avec moi. Mon dos s'appuie contre le mur de briques rouge froid et mes mains viennent caresser le dos de la petite louve, la serrant contre moi. Mes lèvres rencontre les siennes cette fois-ci avec fougue. Tant pis, j'avais beaucoup envie de recommencer, mais cette fois, un peu plus à l'abris des regards. Le souffle court, je lèves mes yeux vers la magnifique louve, la regarde comme si je regardais l'oeuvre d'art la plus hypnotisante jamais faite et lui murmure ;

« Tu n'as pas idée à quel point je t'aime, Lia Marshall. »
Ven 19 Fév - 17:32
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Dans cette librairie entre les rayons qui nous cachaient quelques peu au regard des autres personnes présentes dans la boutique, les mains de Sam sur ma taille et mon visage, ses lèvres sur les miennes, la chaleur de son corps contre le mien je me sentais divinement bien. Toutes les pensées qui occupent d'ordinaire mon esprit se sont volatilisées d'un coup comme sous l'effet d'une intervention magique. Plus rien n'existait en dehors de cette bulle où nous étions tous les deux. C'était un moment hors du temps et en même temps délicieusement réel. L'attente de ces quelques temps où le jeune homme devait me prouver qu'il était véritablement digne de confiance n'a fait que rendre ce moment de tendresse encore plus magique et intense. C'était une pulsion de l'embrasser, je n'en pouvais plus d'être auprès de lui et que nos peaux se frôlent sans pouvoir goûter à sa chaleur. Finalement ce moment prend fin lorsque le beau brun me rappelle que nous sommes en public et je reprend contact avec la réalité, c'est sur que la gérante des lieux ne va peut être pas apprécier de nous voir nous embrasser dans sa boutique alors que les gens viennent ici pour chercher des livres. Après un rapide passage à la caisse pour régler nos achats nous voici dans la rue où l'air frais me fais le plus grand bien et apaise ma peau devenue brulante. En parfait gentleman, Sam se propose pour porter les livres achetés à l'instant et les prend sans se formaliser de ce que je pourrais répondre. Ce n'est pas cela qui va être trop lourd si l'on tient compte de ma force surnaturelle mais c'est gentil de sa part et je ne proteste pas. Ressentant néanmoins le besoin de clarifier la situation je déclare au lycanthrope que ce n'était peut-être pas le bon endroit ne le bon moment pour l'embrasser sans lui demander ce qu'il en pense et si ses sentiments sont toujours les mêmes à mon encontre mais que je ne regrette pas de l'avoir fait. Pendant quelques instants j'appréhende sa répondre car craint que nous ne soyons pas sur la même longueur d'ondes. Pourtant sa réaction et la ferveur qu'il mettait en faisant danser ses lèvres contre les miennes étaient déjà une réponse en soi.

En voyant ses sourcils se froncer mon cœur et ma gorge se serrent, le doute se fraye un chemin dans mes pensées bien que je tente de le tenir à l'écart. Les quelques secondes qu'il met avant de répondre me paraissent longues mais sa main chaude qui trace de délicats sillons sur ma mâchoire et ma joue me rassurent tout de suite. Le chaste baiser qu'il dépose sur mes lèvres est tout aussi savoureux et un frisson de bien-être parcours mon dos. Au fur et à mesure qu'il parle un sourire prend place sur mes lèvres et s'agrandit en le voyant aussi réceptif. Le bout de ses doigts descendant dans mon cou enflamme ma peau et je me sens aussitôt à nouveau sur un petit nuage. Ses paroles en forme de promesse de nouveaux baisers me provoquent de nouveaux frissons et quand nos mains s'enlacent pour nous mettre en route je presse délicatement ses doigts entre les miens. Je ne sais pas trop où nous allons et cela importe peu, la ville est de toute façon bien assez grande pour que nous avancions au hasard pendant quelques instants et il sera toujours temps de choisir une destination par la suite. Sa prévenance à ne pas vouloir me brusquer est une preuve supplémentaire que lui accorder une deuxième chance était bien la chose à faire et je me sens en confiance, je sais qu'il ne me forcera à rien même si les loups-garous ont parfois le sang chaud.

-On a tout le temps devant nous pour y aller doucement mais je t'assure que tu ne m'a aucunement fait de mal avec ces baisers...

Une légère coloration rosée se fait sur mes joues et je me mord la langue d'avoir dit cela à voix haute. J'espère que mes cheveux arrivent à me dérober au regard si intense de Sam qui parvient toujours à lire en moi comme dans un livre ouvert. Une insidieuse petite voix se fraye un chemin dans mes pensées pour me rappeler que la dernière fois que nous nous sommes embrassés cela a été suivi de cette horrible trahison qui s'est glissée dans tant de mes cauchemars dans les semaines qui ont suivies cet évènement. Oui la crainte de voir à nouveau le jeune homme que j'aime briser mon cœur est présente mais je veux croire que cela est derrière nous et qu'il ne commettra plus jamais un tel acte. L'air frais m'aide à reprendre mes esprits et je me questionne pour savoir ce que nous pourrions faire maintenant. Peut-être aller boire un verre ou manger quelque chose car sa journée à l’hôpital a du être fatigante. Je m'apprête donc à lui proposer que nous dinions ensemble ce soir pour pouvoir continuer à profiter d'être ensemble mais je n'en ait pas le temps puis Sam m'entraine dans une ruelle peu fréquentée. Ma curiosité est soulevée et je me demande si une nouvelle balade sur les toits de la ville est à l'ordre du jour. Au bout de quelques mètres le jeune homme s'arrête et appuie son dos contre un mur avant de m'attirer délicatement à lui. Un peu surprise alors qu'il semblait si gêné d'être en public tout à l'heure je me laisse faire et avance jusqu'à ce que nos torses se touchent. Ses bras qui m'enlacent me font me sentir en sécurité et je glisse délicatement mes mains sur ses côtes sous sa veste pour sentir sa chaleur et les mouvements de sa cage thoracique tandis que son rythme cardiaque s'accélère, amenant cette musique à mes oreilles. Ses mains placées dans mon dos sont agréables et se font tendres mais sans être intrusives. Il prend l'initiative du baiser et ses lèvres s'emparent des miennes avec fougue. Je tressaille puis répond à son baiser sans plus me poser de questions. A bout de souffle nos lèvres se séparent de quelques centimètres et son souffle qui vient caresser ma peau embrase mes sens. Ses mots font battre mon cœur plus vite et je murmure à mon tour.

-Je t'aime Sam Wallace...tellement...

Délicatement je dépose quelques tendres baisers dans son cou puis sur sa mâchoire jusqu'à ses lèvres si tentantes. Une de mes mains remonte jusqu'à sa nuque et s'y glisse comme pour lui dire de ne surtout pas partir loin de moi.

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Ven 19 Fév - 18:45
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Lia Marshall & Samuel-Olivier Wallace


Dans ce milieu d'après midi relativement froid à Fearwood, j'avais été rejoindre ma bonne amie Lia à la librairie tel que convenu après avoir passé chez moi prendre une douche rapide après avoir passé la matinée à l'hôpital. Lorsque nous quittons ensemble la boutique et que je lui offre de trainer le sac avec nos livres, je ne lui laisse pas le temps de répondre et le lui prend, histoire d'être un peu galant. Elle ne me réplique pas et j'accepte cette petite victoire personnelle sans en ajouter, de toute façon ce n'est pas vraiment nécessaire d'ajouter quoique ce soit par apport à ce petit geste. Cependant, la jeune femme me questionne par apport et mes sentiments et je crois, l'espace d'un instant qu'elle doute un peu des miens. J'arrange le tout en parlant avec véracité, lui avouant le fond de ma pensée. La jeune femme suit mon mouvement et semble, d'une certaine façon, confirmer mes dires et m'assure également que je n'ai rien fait de déplacer pendant se baiser, Je sens mon coeur descendre d'un rythme et déjà me voilà un peu plus soulagé. C'est vrai, imaginé si elle avait dit en sens contraire et m'avait confié que j'avais fait quelque chose de désagréable, déplacé pendant se baiser! Je ne sais pas trop ce que j'aurais fait, sûrement m'excuser cela va de soit, mais peut-être aurait-elle voulut mettre fin à cette rencontre ?

Cela dit, la jeune femme ne nie pas avoir apprécie et je suis content parce que moi aussi, j'ai très apprécier ce baisé, peut-être un peu trop même. Mais c'est normal, non ? Lorsque vos sentiments vers quelqu'un sont forts, n'est-ce pas plus que des papillons qui tente de s'envoler dans votre estomac ? Faudrait que je fasse une recherche, j'imagine. Bref, nous faisons quelques pas vers l'avant mais à la première occasion, je nous entraine dans une petite ruelle afin de sentir de nouveau la chaleur de ses lèvres sur les miennes. Ça fait très adolescent qui n'arrive pas à se contrôler, je sais, mais c'est plus fort que moi. J'ai envie et je désir ardemment y gouter à nouveau, les avoirs rien que pour moi.  Je chasse d'un clignement de yeux l'image horrible de Josh et Lia échangeant leurs salive et jalouse quelques secondes vis-à-vis cette image. Ce fut une passe difficile pour moi d'avoir à assister à ce spectacle et je ne veut en aucun cas avoir à le revivre de nouveau. Peut-être également est-ce possessif de ma part mais je la désire rien qu'à moi, juste pour moi. Je refuse de devoirs la partager avec ce petit débile. Bon, ressaisis-toi Sam, cette méchanceté gratuite ne t'est utile en rien.

J'appuie mon dos contre le mur et attire la petite louve vers moi, plus près. Ses doigts chauds se faufiles sous mon manteau et viennent frôler mes côtes avec satisfaction. Un frisson me parcours l'échine et j'en veux plus. Entre deux respire, haletant et l'air fougasse, je lui murmure qu'elle n'a aucune idée à quel point mes sentiments pour elle son fort et elle ne tarde pas à en dire autant. Un sourire étire mes lèvres entre-ouverte et cambre ma tête jusqu'à ce qu'elle se heurte au mur alors qu'elle glisse quelques tendre, délicats et frissonnants bisous dans mon cou avant de venir à la rencontre de mes lèvres. Sa main sur ma nuque me procure un nouveau frissons et je resserre un peu ma prise sur la jeune femme tandis que l'une de mes mains passe sous son chandail, venant chercher la chaleurs tièdes de sa peau. Je me glisse au creux de son rein et accepte ce nouvel échange avec joie. Ma main sur sa peau descend au bas de son dos juste en haut de son fessier sans que ce geste ne soit déplacé et la main qui tenait le sac le dépose au sol avant de venir à la recherche de sa nuque.

« Tu joues avec le feu, petite louve », lui murmures-je entre deux respire. Je tente de contrôler mes hormones masculines du mieux que je le peux mais j'avoue que les embrassades de la petite blonde ne m'aide en rien.  J'observe mon amie avec un sourire toujours accroché aux lèvres alors que je passe d'un iris à l'autre. Après quelques secondes à nous observer;

« À quoi penses-tu ? »

Je lui demande. Je ne saurais décrire son expression actuellement. Et je crois que j'ai eu suffisamment de baiser torrides pour la journée sans que certaines envies ne prennent le dessus dans mon esprit. Je replace une mèche de cheveux derrière son oreille puis penche un peu ma tête sur le côté avant de murmurer, les joues rosés ;

« Tu es tellement belle… »

Du bout des doigts, je caresse le creux de son cou et me penche pour ramasser le sac sur le sol, gardant la proximité entre elle et moi avant ma main toujours au bas de son dos.
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Sam 20 Fév - 2:42
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Lorsque cette journée a débutée je ne m'attendais pas à voir Sam puisque nous n'avions pas de cours en commun aujourd'hui. Puis je ne m'attendais pas à ce que nous nous retrouvions en ville à la fin de ses heures de service à l’hôpital pour passer un peu plus de temps ensemble en cette fin d'après-midi. Et surtout je ne m'imaginais pas que précisément en ce jour un nouveau baiser allait avoir lieu entre nous. Enfin plusieurs pour être exacte. Parfois il faut arrêter de penser et mettre la tête de côté pour laisser parler le cœur. Tant Sam que moi nous avons évolué au cours des derniers mois et j'espère de toute mon âme que les erreurs commises précédemment ne vont pas se répéter à nouveau. Mais visiblement nous sommes sur la même longueur d'ondes car son regard si hypnotique ne peut pas mentir et cette étreinte a compté autant pour lui que pour moi. Afin de ne pas non plus nous faire remarquer nous sortons de la librairie et nous mettons en marche main dans la main pour simplement profiter d'être ensemble et garder en tête ces douces sensations lorsque nos lèvres étaient en contact. L'air frais aide à avoir l'esprit plus clair et nous sommes d'accord sur le fait que les démonstrations d'affection sont plutôt à faire en privé que dans le domaine public. Je suis résolue à être sage et à simplement profiter de pouvoir passer du temps avec le jeune homme qui occupe mon cœur. Mais finalement c'est lui qui se montre le plus entreprenant puisqu'il m'entraine dans une ruelle où il n'y a que peu de passage et il prend l'initiative d'un nouveau baiser. Enivrée par son contact je ne me pose pas plus de questions et répond à cette douce invitation.

Au creux des bras de Sam je me sens tout simplement bien et la chaleur qui émane de son corps appuyé contre le mien me réchauffe délicieusement. Pendant un instant j'ai une brève pensée pour Josh. Avec le jeune humain je me sentais relativement bien mais lorsque nous nous embrassions cela ne m'a jamais transportée comme c'est le cas avec Sam. C'est pour lui que mon cœur bat, c'est lui que je souhaite et personne d'autre. Je ne sais pas comment vont se passer les jours suivants, au lycée un geste tendre ou un regard un peu appuyés vont finir par trahir qu'il se passe quelque chose entre nous qui est bien plus qu'amical mais je ne veux pas y penser pour l'instant. A l'heure actuelle rien ne compte. J'aime sentir le beau brun frissonner lorsque mes mains se posent sous son manteau. Bien que le pull face obstacle je peut imaginer la sensation de sa peau douce sous mes doigts, je peut sentir ses muscles se contracter lorsqu'il resserre son étreinte autour de moi et cela suffit à me ravir. A bout de souffle nous devons séparer nos lèvres quelques instants mais c'est impensable pour lui comme pour moi de nous éloigner de plus de quelques centimètres. L'aveu de ses sentiments à mon encontre font battre la chamade à mon cœur et un sourire prend place sur mes lèvres sans que je puisse le contrôler. Ces mots sont tellement doux à entendre que je ne m'en lasse pas. Sa réaction est la même lorsque à mon tour je lui confie à quel point il est important pour moi. Puis je m'enhardis à déposer de tendres baisers dans son cou puis sur sa mâchoire pour enfin m'emparer délicatement de ses lèvres. Je ne me savais pas capable de cette attitude entreprenante et sensuelle, c'est Sam qui me transforme, ou plutôt les sentiments que nous éprouvons l'un pour l'autre.

Au moment où le jeune homme passe le bout de ses doigts sous mon pull pour entrer en contact direct avec la peau de mes reins je me sens comme électrisée et mordille délicatement sa lèvre pendant notre baiser. Il est en train d'allumer un brasier en moi et je ressens de plus en plus le besoin de toucher sa peau à mon tour. Sa caresse descend un peu plus et je me cambre légèrement pour être au plus près de son corps. Un léger bruit mat vient à mes oreilles et signale que le sac des livres est tombé au sol mais cette information ne vient pas jusqu'à mon cerveau. Ce dernier est comme court-circuité et je flotte sur un petit-nuage sans parvenir à faire preuve de réflexion. Je ne ma lasse pas du goût de ses lèvres et finit par céder à cette pulsion et passe le bout de mes doigts sous son pull pour entrer en contact avec sa peau. J'effleure ses côtes puis part à la découverte du bas de son dos, satisfaite des sensations qui explosent en moi comme un feu d'artifice. Nos respirations sont un peu plus rapides lorsque nous échangeons quelques mots et un sourire en coin vient sur mon visage tandis que je murmure.

-Tu vas te faire manger tout cru petit loup...

Sa voix rendue légèrement rauque par la situation est une musique à mes oreilles et je me perd dans la contemplation de son visage durant plusieurs secondes. Je scrute chaque détail de ses yeux à ses lèvres alors que je connais déjà son visage par cœur mais je ne peut pas m'en empêcher. C'est sa voix qui me ramène à la réalité et un tendre sourire se loge sur mes lèvres.

-A toi...tu es magnifique...

C'est la pure vérité, il occupe mes pensées et je le trouve absolument magnifique. J'aime son allure physique, son caractère à la fois dévoué aux autres et à la fois sauvage quand quelque chose le contrarie. Il m'a brisé le cœur mais a su le réparer et faire disparaitre la douleur qui me faisais mal à chaque inspiration quand les cauchemars revenaient me hanter. Son compliment fait apparaitre une légère teinte rose sur mes joues et ses doigts ramenant mes cheveux en arrière sont la cause de délicats frissons. Il faut que nous quittions cette ruelle avant qu'il ne me fasse perdre la tête et que cette étreinte aille beaucoup plus loin mais c'est hors de question de ne pas avoir encore un baiser. Quand il se redresse après avoir récupéré le sac contenant les livres je ne lui laisse pas le temps de dire quoi que ce soit et engage un nouveau baiser très doux en pressant légèrement plus fort mes doigts sur sa peau. Au bout de quelques secondes il devient impératif de revenir à plus de sagesse et je recule d'un pas à contre cœur. Tout à coup j'ai l'impression d'avoir froid et toussote pour reprendre contenance puis lui glisse un regard sur le côté pour guetter sa réaction et tenter de deviner si il désapprouve cette attitude plus fougueuse qu'il me fait avoir inconsciemment. Nous retournons dans la rue principale et machinalement je joue du bout des doigts avec le bracelet qui orne l'un de mes poignets, une façon de m'occuper pour ne pas me poser un milliard de questions

-Et heu...ça a été la fin de ta garde?

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Sam 20 Fév - 15:47
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Lia Marshall & Samuel-Olivier Wallace
Dans un élan de vivacité, de fougue et de partage de baiser plus ou moins intense, la tension grimpe entre moi et la jeune louve. Ce qu'elle me murmure en réponse à mon commentaire me tire un bref rire alors que j'en désire plus, en nécessite plus. C'est probablement égocentrique et avare que d'en vouloir toujours plus, mais c'est qu'elle sait ce montrer convaincante la jeune dame. Nous nous engageons dans un moment d'exploration de chacun, même si je me doute que nous nous connaissons déjà par coeur ainsi que chaque petites imperfections. Obnubilé par son regard à la fois sauvage et délicat, je lui fais part de sa beauté et elle ne manque pas de me le renvoyer. Un sourire sincère prend place sur mes lèvres et du bout des doigts je caresse sa peau au bas de son dos. Après m'être penché pour ramasser le sac contenant nos livre sur le sol, je n'ai guère le temps de placer mot que cette dernière me gratifie de nouveau d'un baiser, beaucoup plus tendre cette fois. J'apprécie chaque seconde de ce contacte et me retiens d'y aller plus fougueusement. Horrible mais raisonnable est-il que nous devons mettre un terme à ces échanges avant que cette ruelle ne se transforme en chambre close. C'est Lia la première à rompre le charme cette-fois et ci et elle toussote un peu. Les joues rosés, l'allure plus fringuante qu'à l'entrée dans cette ruelle je porte une main à ma nuque et souris, amusé.

« Ah-em.»

De mon point de vue, Lia étant autant enflammé par cet échange et au fond, ça me fait chaud au coeur. J'ai le sentiments que malgré l'affreuse et douloureuse peine que je lui ai causé, j'arrive toujours à faire battre son coeur avec force et rapidité. Une raison de plus pour moi de prendre soin d'elle et de lui faire attention, d'être à l'écoute de ses besoins. Nous regagnons la rue plus fréquentés et la petite blonde me questionne sur ma garde. Du coin de l'oeil je remarque qu'elle semble s'attaquer à quelque chose à son poignet et naturellement je viens mettre une main dans son dos, me voulant réconfortant.

« Ça été, j'ai été appelé pour un accident tôt ce matin, mais je crois qu'on s'en est bien sortis. Et toi, tu as fais quoi ? »

C'est vrai, ça n'a pas été une grosse journée comme lorsqu'il y a un énorme accident avec plusieurs personnes à gérer à la fois, ou bien des cas plus lourds psychologiquement. Enfin, ce matin ce fut plus difficile. Me faire réveiller parce qu'il y a un manque de personnel et un homme entre la vie et la mort ce n'est jamais super agréable : l'important demeure que cet homme repose actuellement dans un état stable et qu'il s'en sortira indemne grâce à notre excellent travail. Mes yeux se rive sur Lia mais ma tête demeure vers l'avant. Je ponctue ma question d'un petit sourire alors que ma main qui se trouvait dans son dos retourne dans sa tanière, dans la poche de mon manteau. Pas que j'ai froid, mais inconsciemment je crois que le bout de mes doigts commence à ressentir les effets de l'hiver. Autour de nous, les gens semblent, pour la plupart, être absorbés par l'écran de leur téléphone tandis que d'autres marchent doucement dans cet ensoleillé milieu d'après-midi. Un flash par apport à un cours en commun me traverse l'esprit et spontanément je lui en fais part, tout sourire, en me tournant légèrement vers elle et posant une main sur son bras.

« Oh d'ailleurs! Pour le prochain cours de bio de la semaine prochaine tu crois que tu pourrais me garder tes notes ? Je ne pourrai pas être là… »

Je lui fais un petit sourire charmeur et suppliant à la fois. S'il te plait ma douce Lia, je te promet de t'être redevable. Intérieurement je me dis : « Je te donnerai pleins de bisous, on pourra regarder pleins de films collés-collés ou même prendre un bon petit déjeuner au resto ensemble s'il le faut! Du moment que je serai avec toi, ça m'ira ». J'idéalise quelques petits moments parfaits en sa compagnie pour la remercier si jamais elle accepte -bien que je ne vois pas de raisons qui la pousserais à refuser, mais les garde pour moi sans les partager.
Mar 23 Fév - 19:16
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Lia Marshall
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Sam Wallace et Lia Marshall


Au cours des derniers jours j'avais eu plusieurs fois envie de sentir les lèvres de Sam sur les miennes, savoir si malgré tout ce qui s'est passé quelque chose est tout de même possible entre nous. La sagesse recommandait d'attendre, de laisser du temps passer pour voir si une alchimie pouvait renaitre entre nous. Et cela a bel et bien été le cas, une nouvelle amitié s'est nouée entre nous. Mais désormais c'est plus que de l'amitié que je souhaite avec le beau brun, je le sent. Et finalement c'est aujourd'hui que les barrières tombent. Je vais finir par croire qu'il a une alliance avec un sorcier ou une sorcière qui m'a jeté un sors pour que j'ai pris cette initiative dans la librairie. C'était très intense et pourtant ce n'était qu'une introduction puisque dans cette ruelle nos baisers étaient beaucoup plus passionnés. Le simple contact du bout de ses doigts sur la peau de mon dos était d'une telle intensité que j'aurais pu en perdre la tête. Mais je n'était assurément pas la seule dans cet état si l'on en juge par l'augmentation du rythme cardiaque du jeune homme et par son attitude. Néanmoins il faut bien revenir à plus de sagesse et nous en tenir à quelques baisers, d'autant plus que quelqu'un pourrait passer dans cette ruelle et nous surprendre en train de nous embrasser, ce qui serait pour le moins gênant. Nous nous montrons donc sages en mettant fin à cette délicieuse étreinte et en décidant d'un commun accord de reprendre notre promenade dans les rues de Fearwood comme c'était prévu. Cette parenthèse était enivrante mais déjà être en sa compagnie et nous promener ensemble est quelque chose que j'aime.

Nous nous mêlons une nouvelle fois aux passants dans les rues commerçantes et je relance la conversation pour savoir si la fin de sa journée de travail s'est bien passée. Mon regard reste fixé devant nous, ne sachant pas exactement ce qu'il pense de ce qu'il vient de se passer. L'une de ses mains vient se poser sur ma veste au niveau de mon dos et immédiatement je me sens apaisée. Je finis par arrêter de manipuler ce pauvre bracelet à mon poignet et adopte une posture plus détendue. Me doutes s'évaporent et je me sens enlacée par la chaleur qui se dégage de son métabolisme de métamorphe. Visiblement sa journée s'est bien passée et j'en suis contente pour lui. Apprendre qu'il y a eu un accident ce matin et que plusieurs personnes ont été emmenées aux urgences m'attriste et j'espère que tous pourront rapidement rentrer chez eux et reprendre leur vie paisiblement.

-Oh simplement quelques heures de cours, c'était bien plus calme pour moi que pour toi.

Demain s'annonce une journée un peu plus remplie puisqu'il y a plus de cours qui sont programmés mais la plupart comptent parmi ceux que j'affectionne alors cela aide à ce que la journée passe rapidement. Puisque dans l'après-midi j'aurais une heure de libre entre deux cours ce sera l'occasion d'aller travailler un peu à la bibliothèque afin de prendre de l'avance et ne pas être obligé de travailler toute la soirée. Machinalement mes mains prennent place dans les poches de ma veste et nous continuons à avancer quelques minutes ainsi sans parler mais en nous laissant porter par l'activité qui règne autour de nous. A un moment la main chaude de Sam quitte mon dos pour aller se placer dans l'une des poches de son manteau mais nous marchons épaule contre épaule autant que cela est possible, comme une façon de garder un certain contact entre nous. Quelques minutes plus tard c'est le jeune homme qui reprend la parole et fait alors la demande que je lui prête mes notes de cours lors du prochain laboratoire de biologie puisqu'il ne pourra pas s'y rendre. J'en déduis que c'est à cause de son emploi du temps à l’hôpital et, bien que je sache pertinemment que c'est important pour ses études, mon cœur se serre un peu à la perspective de passer ce cours sans lui. Depuis que nous nous entendons mieux c'est devenu une sorte de rituel pour nous de nous retrouver pour la biologie et cela va être bizarre qu'il ne soit pas là. Mais bon c'est seulement pour une petite heure et nous aurons certainement l'occasion de rattraper ce temps là à un autre moment. Je lui adresse un sourire pour le rassurer.

-Oui sans problème, ne t'en fait pas pour ça!

Son petit sourire charmeur me fais légèrement rougir, j'espère bien qu'il use de cette méthode peu commune uniquement avec moi et que ce n'est pas de cette manière qu'il demande les cours manqués aux autres étudiants! Décidément je me pose des questions vraiment étranges lorsque je suis au contact du jeune homme et cela devient inquiétant, je ne tiens pas à devenir parano! La fin d'après-midi poursuit sa route et le soleil décline, retirant peu à peu sa chaleur.

-Ça te dis qu'on aille boire quelque chose?

La perspective d'un bon chocolat chaud dans un gobelet faisant office de bouillotte est tentante. Et en plus en compagnie du jeune homme que j'aime, c'est le combo gagnant.

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Ven 26 Fév - 16:57
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Sam O. Wallace
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Jujubes assortis

Lia Marshall & Samuel-Olivier Wallace
La température grimpe d'un bond entre nous et je ne peut nier l'effet qu'a la demoiselle sur moi. C'est certain, elle me plait et d'ailleurs : un peu trop. Je suis beaucoup trop docile, beaucoup trop manipulable en sa compagnie. Elle a réussit, en addition avec mon séjour au centre, à me faire faire à peu près tout pour obtenir son pardon. Et même depuis que nous avons fait quelques pas ensemble vers un avenir qui me semble prometteur, je me sens encore à sa merci. Enfin, façon de dire que je ne ferais rien à l'encontre de ce qu'elle veut et que je vais continuer de tout faire pour que nous deux sa fonctionne et qu'elle soit heureuse. Son regard brillant qui m'observe, me provoque une intense chaleur à l'intérieur, me fais frissonner tout entier. Nous regagnons la partie vivante de la rue, abandonnant notre petit coin sombre à l'abris des regards d'un commun accord et je sens mon amie légèrement triste lorsque je lui fais part de ma matinée à l'hôpital. J'accentue mon frottement dans son dos pour la rassurer et lui souris.

« Oh t'inquiète, il va bien et dit toi que c'était aussi tranquille que si j'avais passé la matinée en classe. »

Je lui fais un petit clin d'oeil. L'école n'a jamais été un problème pour moi, j'ai d'ailleurs toujours été relativement bon et souvent dans les premiers de classes. Ce qui, d'ailleurs, n'impressionnât points ma mère qui, ont va se l'avouer, avait mis au monde que des enfants doués en cours. Le seul qui, si je me souviens bien, avait un peu plus de difficulté en classe (et par difficulté je veux bien évidement dire que ses résultats se situaient entre 70-80%) c'était Cody mon frère ainé. Je chasse cette pensée d'un clignement des yeux et porte mon attention sur la jeune femme à mes côtés qui fait battre mon coeur avec vivacité. Elle me confirme qu'elle pourra me prêter ses notes pour le cours auquel je ne pourrai assister et aussi ridicule cela puisse-t-il être, je sens mon coeur sauter un battement. Il y a de cela quelques semaines, je me souviens que je lui avais demander ses notes dans le simple but de pouvoir lui adresser la parole, me rapprocher un peu plus d'elle et faire jalouser ce crétin de Josh. Et nous voilà, quelques semaines plus tard, quelques bagarres plus loin avec Josh, à proximité agréable, à discuter comme si de rien n'était et à ressentir une étrange satisfaction alors que la fille qui me plait accepte de m'aider. Mon sourire s'élargis lorsque je remarque la teinte à peine rosé de ses joues. Mon regard charmeur a-t-il autant d'effet sur elle ? Quoiqu'il en soit, c'est loin d'être désagréable. Nous continuons quelques pas. Un. Deux, peut-être et déambulons sans réelle destination lorsque la voix de la douce louve se trouve un chemin jusqu'à mes oreilles. Je botte une petite roche au sol en avançant et tourne légèrement mes épaules vers elle.

« Avec plaisir ! Là, là, tout de suite ? »

Lorsqu'on me parle de boire quelque chose, immédiatement l'idée d'une bonne bière me vient en tête, mais vue l'heure je crois avoir mal compris l'offre de la charmante jeune femme et me sens rougir légèrement alors que j'ai mal interprété ses paroles. Je me gratte le derrière de tête et ajoute rapidement afin de ne pas lui laisser paraitre que j'ai mal compris ses intentions ;

« Ce serait où le meilleur café, et qui serait équitable, selon toi à Fearwood ? »

J'accompagne ma question d'un sourire et reprend l'assurance qui s'était à peine effritée avec ma mauvaise interprétation. Un café en bonne compagnie, ce sera génial ! Ou un café avec un peu de Chemineaud* dedans tiens, pourquoi pas eheh ! Ah non, il est encore tôt pour ça, et je crois que c'est préférable de rester sobre en sa compagnie, je ne me pardonnerais pas de la blesser à nouveau. Ma main par à la recherche de la sienne, l'enrobe et la presse légèrement. Mes iris s'encre à nouveau aux siens. C'est fou à quel point cette femme est parfaite! Un café, je n'aurais pu offrir mieux!



*C'est un fin Brandy.
Lun 8 Mar - 19:01
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Ces quelques minutes dans la ruelle lorsque nous nous sommes embrassés c'était véritablement une parenthèse hors du temps. C'était assurément très agréable et conforte le fait que nous sommes toujours sur la même longueur d'onde. Mais nous ne pouvons pas rester trop longtemps à nous embrasser, quelqu'un pourrait nous surprendre et ce serait très gênant. Et en plus je préfère que nous y allions doucement, je crains que la précipitation ne nous fasse commettre des erreurs comme par le passé. En tout cas je soupçonne fort que le souvenir des baisers de Sam et de ses mains chaudes sur la peau de mon dos viendra rendre ma nuit très paisible et me mettra d'excellente humeur pour aller en cours demain matin. Nous reprenons une place dans le cours de cette après-midi en nous mêlant à nouveau aux passants qui arpentent les rues commerçantes. Après un cours instant de silence un échange verbal ne tarde pas à reprendre place entre nous. Le jeune homme s'enquiert de ma matinée et je lui retourne naturellement la question. Même si il n'a pas eu affaire à des cas très grave et qu'il n'a pas eu à faire face à la perte d'un patient sa journée a tout de même été plus riche en émotions que la mienne puisque j'ai simplement eu cours, plus calme comme programme ce n'est pas possible. Parfois je me demande comment il fait pour arriver à toujours garder le sourire malgré ce qu'il peut voir dans le cadre de son travail à l’hôpital, peut-être que c'est comme ça qu'il arrive à décompresser et à cloisonner le travail d'un côté et la vie courante de l'autre. En tout cas je l'admire pour cette faculté. C'est même lui qui en vient à me rassurer en disant que c'était à peine plus animé que si il avait eu cours. A cela je ne peut pas m'empêcher de sourire un peu, certains cours ont beau être intéressants ce n'est pas non plus quelque chose qui sort de l'ordinaire. Pour le rassurer je lui adresse un petit sourire puis n'aborde plus le sujet.

Nous restons sur la thématique des cours et il est maintenant question du prochain cours de biologie que nous avons en commun. Le beau brun ne pourra pas s'y rendre puisque parfois ses heures de présence à l’hôpital chevauchent les heures de cours et j'avoue que cette fois-ci cela me fais un léger pincement au cœur. Au cours des deux dernières semaines nous nous sommes rapprochés et sa présence redevenait peu à peu agréable mais maintenant que nous avons franchi une nouvelle étape dans notre relation c'est encore plus vivace. Mais je ne veux surtout pas devenir niaise comme ces filles qui sont au désespoir quand leur copain n'est plus à leur côté pendant quelques minutes, pitié tout mais pas cette attitude! D'ailleurs en parlant de ça, que sommes nous exactement Sam et moi? Je suis toujours amoureuse de lui et vu sa réaction pendant ces quelques baisers j'en déduis sans peine que ses sentiments sont toujours présents. Donc sommes-nous un couple ou est-il trop tôt pour parler de ça? Tout cela me met un peu mal à l'aise puisque je suis quelque peu ignorante dans ce domaine alors je préfère attendre et laisser venir les choses. Je profite de ce bonheur simple de faire une promenade en compagnie de Sam. Le vent se fait un peu plus frais et me donne une occasion pour proposer que nous allions boire quelque chose ensemble. Bien que ce soit agréable de marcher dans les rues sans véritable but nous n'allons tout de même pas faire le tour de toute la ville en marchant, il faut bien avoir un but. Sam accepte et je me sens contente alors que ce n'est pas grand chose, ce sont les sentiments qui parlent. Une légère coloration rosée vient sur ses joues et je me demande ce qui est passé dans sa tête pour causer cela. Afin de ne pas le mettre mal à l'aise je fais comme si je n'avais rien vu et lui adresse tout simplement un sourire tendre.

-Un café ou autre chose, qu'est ce qui te ferais plaisir?

En même temps que ces échanges de paroles pour savoir où nous allons nous rendre nous continuons à marcher tranquillement côte à côte. Sa main chaude vient chercher la mienne et je ne me dérobe aucunement, ravie de ce geste tendre. Une boisson chaude cela me conviens ou autre chose, nous pouvons également aller nous prendre un petit quelque chose à grignoter. Ce sera une belle façon de terminer cette journée riche en rebondissements affectifs.

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Dim 14 Mar - 16:31
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Sam O. Wallace
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Lia Marshall & Samuel-Olivier Wallace
Même si mon corps est à ses côtés et que nous marchons mains dans la mains, mon esprit ne cesse de repenser à se moment torride entre les deux murs froids, tapis dans l'ombre. Est-ce malsain ? Je n'en sais rien. J'espère que nous. Je balais d'un mouvement de yeux vers Lia ce souvenir encore tiède sur mes lèvres et lui donne une bonne part de mon attention alors que je réfléchis en fronçant les sourcils à sa question. C'est vrai qu'autre chose peut être invitant, tout dépend de ce qu'"autre chose" veut dire pour la jeune louve. Coquin Sam, va! Je me doute bien que par autre chose elle veut dire que nous ne sommes pas obligés d'aller prendre un café, que nous pouvons trouver autre chose à nous enfiler dans l'oesophage ou encore dans l'estomac. À ce moment ce dernier grommelle un peu en me montrant son mécontentement, signal désagréable qui me rappel que ma collation prise en compagnie de la jeune femme est bien loin. Tout sourire, je fini par trancher.

« Un café ce serait bien. Pour commencer, qu'en dis-tu ? »

Instinctivement, l'un de mes yeux se ferme pour former un charmant petit clin d'oeil spécialement dédié à la petite louve tandis que nous continuons notre ascendance sur le trottoir. Pas à pas, nous avançons doucement vers notre destination, sans savoir encore où nous allons. Peut-être choisirons nous au hasard ? Ou peut-être la demoiselle saura me donner, selon elle, le meilleur café qui saura m'offrir une boisson chaude, juste assez forte et qui provient d'une source de commerce équitable ? Je souris à cette perspective et presse mes doigts un peu plus fort au sien. Peut-être par crainte qu'elle ne change d'idée et décide de rentrer chez elle ? Je ne sais pas trop. J'avoue que ces dernières semaines…enfin ces derniers jours nous nous sommes beaucoup rapprochés et nous avons franchis beaucoup de pont un coup arrivé devant la rivière mais, je ne suis pas prêt de dire à 100% que je respecte le rythme de la petite louve. Une part de moi craint que ce ne soit trop rapide et que cette dernière change d'idée à tout moment, ce que je respecterais à cent pour cent, évidement. Je crois simplement que cette petite part de moi craint de la perdre de nouveau et refuse cette image triste de la vie. Que serait une vie sans Lia à mes côtés ? Je n'ose pas tellement y pensé, mais indéniablement…le scénario m'est bel et bien venu en tête à plusieurs reprise ses derniers jours. Je n'ai pourtant jamais été le genre de garçon à manquer de confiance en lui, et pourtant, avec elle c'est totalement différent. Cette confiance que j'ai toujours eu semble plus fragile en sa compagnie, comme si elle était capable de la briser en un claquement de doigts.

« Au faite Lia ? Tu veux qu'on prenne une selfie ? »

Je lui souris de pleine dents. Oh-là, un selfie! Habituellement je ne suis pas fringuant des photos de moi-même, mais pour Lia, rien ne me dérange. Je ferais tout ! Enfin, presque. Mes yeux cherchent les siens à la recherche d'une quelconque réponse que pourrait me donner son regard, mais je ne saurais décrire son expression. Est-ce un oui, est-ce un non ? Peut-être va-t-elle me trouver ridicule de vouloir prendre une photo et immortalisé cette journée totalement improvisé ? Je n'en sais rien, mais je ne crains pas son jugement. Tout du moins j'espère qu'elle ne me jugera pas. Et puis, se sera une bonne raison de vouloir regarder mon téléphone pour l'avoir toujours avec moi, à mes côtés, non ? Alors que je ne regarde pas où je me dirige, je me heurte à un passant et m'excuse brièvement tout à continuant la marche.

« Oh pardon !»

« Regarde où tu vas, crétin. »

Le vieux monsieur ronchonne un peu et je regarde Lia en riant. J'hausse les épaules et me concentre sur celle qui fait battre mon coeur dans l'attente de sa réponse.
Jeu 18 Mar - 2:06
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