Je déguste tranquillement mon verre avec mon cerveau qui tourne à plein régiment pendant que mes yeux se relaxe sur le spectacle quand l’alarme incendie se déclenche. Les filles crient paniqué et se tourne vers moi avant de descendre de leur perchoir. Je me redresse et les fixes sans broncher. J’analyse la situation et leur fait un léger signe de tête. Elles soupirent soulager et je les regardes partir en courant pendant que mes hommes arrivent au même pas de course.

Voilà la joyeuse bande de gorille que je pense payer à brasser de l’air au vu de la situation. Une main sur l’oreillette le chef de la sécurité semble faire le point de la situation. Note à moi même, viré ce type. Il n’y a pas d’incendie… cela me semble évident. Quelqu’un à délibérément actionné l’alarme. Ce n’est qu’une diversion. Une diversion certes, mais pourquoi ? Un cambriolage ? c’est vrai que l’on fait pas mal de recette mais j’en doute. Une tentative de saccage ou d’intimidation ? Il faut dire que le club n’a pas suscité que de l’approbation en ville pour beaucoup c’est une antre de la perversion… que les gens peuvent être coincé.

Il y aurais bien d’autre hypothèses mais… Le chef de la sécurité donne ses directive et les hommes se répartisse la fouille du Club, me laissant seul dans la grande salle. Je lâche un soupire exaspérer et me masse la tempe.

- Amateur…Je suis entouré d’incapable... Ce n’est pas vous qui me direz le contraire hein ?

Je regarde autour de moi en cherchant un signe distinctif, un indice pour trouver qui est là, ou est il. J’essaye de me concentrer et d’étendre mes sens autours de moi. Ce qui me reviens est plutôt flou… ce gars ou ces gars ne sont pas des personnes lambda.

- Je sais qu’il y a quelqu’un inutile d’être timide. l’alarme incendie c’était pour évacuer le bâtiment n’est ce pas ? Mais la vrai raison est de savoir pourquoi ?

Je me lève et prend un autre verre par dessus le bar, je vois par la même occasion le couteau de cuisine servant pour les cocktails à porté de main. Connaître son terrain et tout ses atouts.

- Cela vous ennuierais de vous montrer ? J’aime bien les monologues mais je trouve que ça manque un peu de piquant et de panache quand on a pas de publique.

Je scrute l’obscurité de mon œil de glace en tapotant ma chevalière sur le bar, seul bruit tranchant le silence comme un coup de masse, comme le bruit d’une épée de Damoclès menaçante.La lame du couteau toujours en visuel du coin de l’oeil, je reste sur le qui vive près à réagir au moindre instant, les muscles de mon corps tendu et mes sens aiguisé au maximum. J’ai l’impression de jouer au chat et à la souris mais il semblerais que l’on m’ai pris pour une gentille petite souris. Erreur.

Je perçois enfin du mouvement, je me redresse un peu plus et braque mon regard vers le fond de la pièce près de la porte. Un homme, assez grand, une belle gueule et une carrure bien dessiné sort alors de l’ombre.

- inspecteur sanitaire et de répression des fraudes.

Tu m’en dira tant… Je le regarde s’avancer vers moi lentement en brandissant une carte pour se justifier comme un flic avec sa plaque. Ce petit geste que je trouve pathétique chez les humains, se caché derrière un bout de plastique ou un bout de métal pour se donner de l’importance…

Je souris un peu plus même si je reste sur mes gardes, la main toujours sur le bar près à attraper couteau ou bouteille pour me défendre ou bien pour prendre appuie et sauter derrièere le bar pour me mettre à couvert au besoin. Je scrute l’homme et plisse un peu le nez. Cela fait un moment que je n’ai pas eu d’embrouille et je sent que cet homme ne va pas être simple à gérer… et puis… Il ne m’inspire pas… il y a quelque chose de louche chez lui… Dit le vampire un poil maffioso .

C’est peut être simplement parce que c’est un contrôleur voilà tout…Quoi qu’il en soit il ne faut pas en oublier les bonne manière…

- Bonsoir monsieur l’inspecteur. Que me vaut le … La surprise ? Oui en général lorsque l’on a la visite de gens de votre milieu cher inspecteur nous ne pouvons pas vraiment parler de plaisir vous m’en excuserez.

Il me parle alors d’irrégularité et de contrôle, des termes qui me font légèrement grincer des dents. Je penche la tête de coté et tire un tabouret à une distance raisonnable de moi, assez près pour entretenir un contacte mais assez loin pour ne pas être familier et surtout garder un œil attentif à chacun de ses geste.

- Venez vous asseoir inspecteur. Il est tard, votre journée à du être longue et fastidieuse. Vous prendrez bien un verre avec moi, ne soyez pas grossier en refusant mon offre c’est très peu courtois, juste un verre pour laisser glisser tout le fiel que vous aller déverser sur mon établissement.

Je nous serre deux verres, un de gin pour moi et après avoir regarder l’homme qui semble être un pur produit Américain j’opte pour un bon whisky pour lui. Je lui pose juste devant lui sans la possibilité de broncher. Je porte le verre à mes lèvres après l’avoir légèrement lever vers lui pour trinquer. A aucun moment mon regard n’à dévié de lui.

- Alors… Monsieur l’inspecteur… Non, quel est votre nom Sir ? Cela rendra les choses moins formelles et plus agréable, Je crois que je ne vais pas aimer vous appeler inspecteur le reste de la soirée. J’imagine que vous savez qui je suis mais nous nous contenterons d’un simple Monsieur Hawksworth cela sera tout aussi bien...Enfin bref. Mon cher monsieur, qu’est ce qui vous à amené chez moi et quels sont les irrégularité dont vous me parler ? Je me targue d’être un excellent business man, plutôt à cheval sur les normes justement pour ne pas avoir ce genre de contrôle surprise… Les âges sont contrôler et je n’ai jamais eu d’incidents de signalé… Est ce l’ambiance qui vous a déplut ? Il est vrai que j’ai un peu dépoussiérer la ville en apportant une vrai vague de fougue et du peps avec ce night club, j’imagine que ce n’est pas du goût de tous… mais bon il faut bien vivre avec son temps ça je peux vous l’assurer.

Je plonge mon regard encore plus intenssément dans le sien usant de mon charme vampirique sur lui pour lui extorqué la vérité.

- Dite moi tout, je vous écoute.

Je garde mon regard plonger dans le siens pendant que je l’écoute que d’une oreille. Tout son blabla sur la réglementation m’ennuie. Je n’aime pas les controleur, je n’aime pas les rabats joie qui veulent tout contrôler, tout mettre sous barrière et tout cadrer et par dessus tout je n’aime pas les petits fouineurs qui veulent mettre leur vilain nez dans mes affaires.

- Les petits détails que vous évoqués ne sont comme je viens de le dire… des petits détails, rien de bien méchant, tout mes papiers sont en règles, tout mes employer sont déclarer et ils sont tous ravis de leur job, je ne fait pas travailler de mineur… bref… je ne vois aucune obligation de courber l’échine devant vos discours.

Je lui offre un sourire digne d’une pub de dentifrice, un poil plus carnassier quand même, puis je bois lentement une longue gorger du liquide incolore qui se trouve dans mon verre. Je me délecte de la brève brulure occasionner à ma gorge lorsque je sent l’alcool descendre doucement. Je repose mon verre prèsque vide sur le bar et fait cliqueter ma chevalière en argent sur le verre fin.

Un léger sourire en coin est figé sur mon visage. Il y a une petite chose qui me trotte dans la tête depuis le début qu’il me parle… Je sais que mes hommes ne sont pas les plus brillant ni les plus futé – il faudra vraiment que j’engage des types plus compétent pour ce genre de poste, pas d’humain, peut-être des loups… bon chien de garde- bref, de plus le club n’est pas non plus si grand que ça et pourtant… depuis tout à l’heure aucun de mes hommes n’est revenu.

- Mais maintenant si vous tenez vraiment à vous entêter dans votre jugement je peux vous faire visiter les coulisses du club, je n’ai absolument rien à cacher.

Ou presque si on oublie les réserve de poche de sang dissimuler dans des coffres cacher sans compter je yin fen et les différents produit dériver de sorcellerie qui sont toute des formes de stupéfiants pour surnaturel qui les accompagnent bien cacher.

Oh bien sur c’est illégal dans un sens… mais mon business est bien plus important qu’un simple petit trafique de stupéfiants et de sang. Petit à petit, pierre après pierre je me suis battit un cercle de relation et j’ai réussi à prendre de l’affluence dans mon milieu jusqu’à imposer un certain respect et un code moral à tout ceux qui m’entoure. Je suis au sommet d’un équilibre que j’ai battit seul et que moi seul maitrise. c’est mon art à moi, parler, négocier, convaincre.

Je hausse les épaules et fini mon verre. Je regarde encore une fois autour de moi puis repose mon regard sur l’homme en face de moi. Toujours pas de trace de la sécurité… et cet homme en face de moi qui prétexte une inspection. J’ai envie de dire il y a anguille sous roche voir même cachalot sous gravillon.

- Je m’excuse mais je doit tout d’abord contacter le chef de la sécurité afin de lui signalé que ce n’était qu’une fausse alerte.

Je sort mon téléphone avec un sourire aimable, bien que froid.

- Cela ne vous dérange pas ? Je n’en ai que pour une minute. Ensuite je vous fait une visite privé.

Du coin de mon œil je garde en vu mes points de secours stratégique.