Fearwood
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Fearwood

Fearwood est une ville où cohabitent diverses espèces, humains, vampires, loups-garous, sorcières. Attention à vos arrières. Ceci est un RPG.
 
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«When an unforgettable meeting upsets the sense of our own life...» Ft. Sam Torrance
Laeticia Baker
Alors moi c'est : Laeticia Baker
On m'appelle aussi : Ariane Crawford
Je suis agé(e) de : 28 ans
Je suis : un loup garou
Et j'adhère à l'alignement des : surnaturels
Mon métier c'est : Artiste peintre/Illustratrice
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Je suis ici depuis le : 09/08/2016
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Laeticia Baker
When an unforgettable meeting upsets the sense of our own life...
Sam Torrance & Laeticia Baker

L’après-midi venait de tomber sur la petite ville de Fearwood. Aujourd’hui, il faisait magnifiquement beau, le soleil était haut et brillait de mille feux envoyant de puissants rayons lumineux. La petite ville était fort agitée et avec un temps pareil, on comprend bien pourquoi. Les rues étaient bondées de passants et les bars remplis de clients. Tous papoter de tous et de rien, d’autres raconter leurs tracas comme leurs réussites, ou d’autres encore profiter du grand parc elle aussi bien chargé, allongé sur l’herbe, en train de faire une sieste ou de sortir les enfants. En voyant ce panorama, nous sommes tous loin d’imaginer que cette ville est surpeuplée de créatures surnaturelles plus ou moins dangereuses… L’atmosphère était chaude mais largement supportable pour se promener en plein soleil.

Toutefois, ce n’était pas le cas pour notre jeune Laeticia qui elle, marchait à vive allure sur les rues piétonnes au milieu des habitants. Et en effet, la jeune louve était assez pressée et cela concerner son travail. La jeune Baker était une illustratrice depuis quelques années et ces temps-ci, son travail porté sur un grand projet pour une entreprise de jeux vidéo. Elle devait créer une vingtaine de personnages aux allures fantastiques/médiéval avec en plus, une touche de modernité. C’était la première fois qu’elle était appelée pour un si grand projet, alors elle se devait de ne rien laisser passer et de donner son maximum. C’est pour cela qu’elle rejoignait seulement quelques minutes plus tard un petit commerce de bric-à-brac. Elle connaissait les lieux par cœur elle y allait assez quotidiennement, depuis qu’elle a emménagé ici à vrai dire, c’est-à-dire il y a quelques semaines. En entrant dans le magasin, elle parcourut plusieurs rayons avec à chaque fois des crayons ou des blocs de papier en plus dans les bras. Là encore, il ne lui a fallu que quelques minutes pour trouver ce qu’elle recherchait.

Alors que tout se passer pour le mieux pour Laeticia, la jeune femme fronça étrangement ses sourcils au moment où elle salua la commerçante et posa ses articles à la caisse. Une odeur familière avait soudainement apparu dans la pièce, une odeur familière qu’elle n’aurait pas souhaité ressentir à nouveau… « Ce n’est pas possible… » Pensa-t-elle, les yeux écarquillés par l’incompréhension. Cependant, elle se devait de rester la plus harmonieuse qui soit devant la femme. Par précaution, elle inclina légèrement la tête sur le côté en essayant de rester la plus discrète possible, la boule au ventre. C’était ce qu’elle craignait. Trois hommes plus ou moins grands étaient en train d’observer les articles dans les rayons, faisant comme si de rien était mais Laeticia, elle, avait bien compris leur jeu. C’est alors que l’un d’eux la fixa et elle aussi en retour. Ces hommes étaient tout simplement des chasseurs qui poursuivaient la brune depuis plusieurs mois. L’homme qui le regardait en question était John, le « meneur » de ses chasseurs, il afficha par la suite un petit sourire en coin ce qui n’annonçait rien de bon. Pour laisser la commerçante en dehors de tout cela, elle prit au plus vite ses affaires en sortant du magasin, suivie par les trois hommes. Son cœur battait la chamade, sur le coup, elle avait vraiment peur et elle avait de quoi. Leur dernière rencontre avait été très, très, très corsée. La louve-garou était restée pendant des jours enfermés et torturés dans une pièce remplie d’aconit tue loup. Par miracle, elle avait réussi à s’en sortir en tuant l’un des leurs, ils sonnent alors vengeance.

À peine fut elle sortit du magasin que les chasseurs s’approchaient dangereusement de la louve. Elle, par ailleurs, marchait encore jusque-là, normalement pour ne pas alarmer les habitants, mais leur présence était horriblement lourde et oppressante, ils jouaient avec ses émotions, elle le savait… Elle les détestait au plus haut point et se battre avec eux seraient du pur suicide. La pauvre Baker était dans de beaux draps, chaque pas plus rapide et les chasseurs faisaient de même. La tête baisser sa respiration était déjà accélérée, elle espérait juste que ceux-ci ne les pas déjà remarquer. Mon Dieu, c’était tout ce qu’elle ne voulait pas mais malheureusement, son destin l’en a choisi autrement. C’en était trop, elle était affolée et puis merde ! En une fraction de seconde, Laeticia laissa tomber ses affaires au sol et couru aussi vite qu’elle le pouvait. Les chasseurs quant à eux, ne perdirent pas de temps non plus pour la poursuivre. Une course-poursuite débuta donc, la jeune femme avait une envie folle de leur sauter dessus mais c’était encore une fois, quasi-suicidaire. Elle se contenta donc de courir, toujours de plus en plus vite. Malgré sa rapidité, les trois hommes derrière elle étaient toujours là et l’un d'eux cria haut et fort suivi de ricanements :

« - Tu es enfin à nous Laeticia ! Tu peux pas nous échapper cette fois-ci ! »

Malgré ses paroles, elle continua de filer comme une flèche vers un endroit plus reculé, la rivière. Elle sauta par-dessus des rochers avec une agilité évidente, elle défila de tronc d’arbre en tronc d’arbre et c’est alors qu’elle trébucha sur des grosses racines qu’elle n’avait pas perçues à cause de la panique. Le Graal ! En un rien de temps, elle se fit rattraper et John, le « meneur », profita de l’occasion pour lui lancer une bonne dose d’aconit tue loup juste au-dessus d’elle alors qu’elle tentait de se relever. Un cri perçant traversa toute la forêt. C’était horrible ! Sa peau lui brûlait et démangeait de partout sur son corps, cette sensation était plus terrible qu’autre chose. Les yeux de la jeune femme s’illuminèrent en un instant en un étincelant doré. Elle retomba au sol une seconde fois, entourée de ses trois coloss qui lui voulait sa peau. Ça y est, elle se sentait déjà fichue d’avance. Son corps tremblait de partout, elle se sentait pathétique, faible et misérable… Si son Oncle voyait cela… Malgré tout, alors qu’un chasseur allait la toucher, elle le poussa violemment quelques mètres plus loin avec un grognement féroce contre un tronc d’arbre, le choc avait été violent qu’il en tomba assommé. « Mais comment j’ai pu me trouver dans cette merde encore une fois ? » Répéta-t-elle des milliers de fois dans sa tête. Comme seule défense, elle afficha ses crocs et poussa des grognements sourds et coléreux envers eux, néanmoins, cela ne semblait guère les impressionner…

- Laisser… laisser moi… tranquille…

Elle savait que ses paroles ne serviraient à rien, mais elle tenta le tout pour le tout. Jamais elle n’aurait pensé une mort pareille, jamais… Toujours au sol, elle tentait de se relever, mais chaque effort effectué ne faisait que rendre ses douleurs encore plus insupportables. Et comme si cela ne lui suffisait pas, le prénommé John lui donna un violent coup de pied en plein ventre ce qui la fit écrouler au sol suivi d’un cri sourd. Les dents serrées, elle cracha ensuite du sang au sol. Le grand homme prit alors la parole avec un air sournois et amusé.

- Putain on en a chié pour te retrouver et r’garde toi. Tu croyais t’en tirais aussi facilement ! Tu sais, maintenant qu’on t’a eu, tu vas crever, ici là maintenant mon p'tit louveteau.

- Ne… m’appelle… pas… comme ça… espèce de salop… » Bégaya-t-elle avec difficulté à cause de cette satané douleur qui ne la quittait pas.

À présent, elle pria le bon Dieu pour que quelqu’un puisse la sortir de cette emmerde, mais malheureusement, l’endroit était bien trop reculé de la ville et ici, il ne semblait y avoir personne et pourtant…

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Mer 21 Juin - 21:29
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Encore une journée magnifique sous le soleil de Fearwood. Ça fait partie de ses journées ou la normalité et le bonheur te saute à la gueule comme la créature d’Alien. Ce n’est pas forcément quelque chose d’agréable de voir tout cet étalage de bonheur, ses amants qui se balade main dans la main, ces familles qui flâne dans les parcs, vont pic-niquer ou je ne sais quoi d’autre. Tant d’amour et d’insouciance... Tout cet étalage de chose à jamais incalcinable pour moi me fait tourner la tête et me donne envie de vomir.

C’est pourquoi je me dépêche de finir ma journée de boulot, cet après midi pas d’heure en plus je veux partir et vite.

Je m’occupe de mes derniers patient l’un deux est un jeune chien teigneux qui me redonne le sourire. Un vrai bagarreur, heureusement pour moi mes dons naturel avec les animaux additionner à mes don de loup font qu’il reste doux comme un agneau avec moi. Les propriétaires en sont soulagé, pour une fois que le chouchou se laisse soigné tranquillement sans bronché.

Ça, cela veux dire un nouveau client fidèle pour moi, ce qui s’ajoute à ma nombreuse liste de client situé dans la colonne « si je part de cette clinique le client me suis ». C’est un moyen comme un autre pour faire pression sur mon boss… En même temps il m’en faut car avec ma double vie de loup c’est parfois compliqué d’expliquer les absences. En même temps les jours de pleine lune je ne peux pas travailler, je suis trop à fleur de peau et le loup en moi est un vrai sauvage dans ses périodes, impulsif et près à bondir à la moindre contrariété. Et puis vous expliquer ça comment les fois ou je me suis battu que mes plaie disparaisse en deux jours ? Même si je bosse très dur et que je fait au total plus d’heure en comptant les nuits que les autres, mes absences intempestives sont un problème

Nan c’est vraiment compliqué à gérer tout ça, c’est pour cela que lorsque je bosse je donne mon maximum et des que je sent que mon boss s’énerve je ressort ma liste l’air de rien en disant comme pour moi même que si j’ouvrai mon propre cabinet ce ne serais pas trop dur avec ma clientèle fidèle. Ce serais peut-être ça la solution après tout. Je vais y réfléchir même si ça risque de me demander beaucoup de temps et d’argent.

Après tout le temps je m’en fiche, je suis un bourreau de travaille, j’ai pour habitude de me noyer dans mon travail pour ne pas penser au triste contenue ou plutôt au triste vide de ma vie. Mais pas aujourd’hui, aujourd’hui j’étouffe dans cette pièce, dans ce bâtiment. J’ai besoin d’air, de nature, j’ai besoin de sentir la terre légèrement humide sous mes pattes, la fraîcheur des bois, l’odeur des arbres et le vent dans ma fourrure.

Je me reconcentre sur mon patient et une fois mon traitement appliquer et mes conseilles donner sur comment continuer le traitement, je laisse partir les clients et en fait de même après avoir retiré ma blouse et pointé mes heures.

Liberté !

Je me dirige vers ma voiture lorsque j’entends de l’agitation. Tiens, qu’est ce qui ce passe là bas. j’entends des gens dire que des hommes poursuivais une femme. Je serre les dents. Chasseur. Je ne vois que ça et cette pauvre femme fait sûrement partie des nombreux surnaturel de cette ville. Je ferme les yeux. Je n’ai pas à me mêler de ça… c’est pas mes affaires, elle se fait chopper tant pis pour elle…

Mais le loup en moi gronde et claque des dents. Je n’ai aucune préparation, je ne sais pas combien ils sont… c’est du suicide ! Cette dernière constatation achève de me convaincre. Je prends ma voiture et file en vitesse à l’abri des regard. À croire que je me prend pour Superman, je me déshabille dans ma voiture et sort planquer les clé sous la carrosserie. Une fois fait je me transforme en un bond et file en direction des cris.

Je retrouve vite leurs traces et m’approche discrètement pour observer la scène et trouver le meilleur plan d’attaque. l’odeur de l’aconit me prend aux narine et manque de me faire éternuer. Je me frotte le museau avec la patte d’un geste agacé. Je reste bien applati au sol, conscient que ma fourrure est un vrai handicape dans les cache cache en foret, j’aurai mieux fait d’aller vivre en alaska la ou ma fourrure se serai fondu avec la neige environnante.

Je prend des notes mentale, trois chasseur et lui semble être leur chef. La femme est une louve, elle semble hors combat pour le moment même si elle se débat férocement. Ils ne m’ont pas vu, ils ont fait la grossière erreur de penser qu’ils étaient seul et intouchable Ok… j’inspire à fond. l’imprortant c’est l’effet de surprise. Je me ramasse sur moi même, les griffes planter au sol. J’attends le meilleur angle et… MAINTENANT !

Je fends l’air d’un bon et m’abat lourdement dans le dos de l’homme que j’ai ciblé comme leur chef. Pour destabilisé l’adversaire il faut provoqué un choc émotionnel et la perte d’un chef en fait partit. Mes crocs s’abattent sur sa nuque et en un instant ce n’est plus qu’une poupée de chaire inerte. Ça, c’était la partie facile. Je me retourne vers les deux autres du sang coulant de ma gueule et les crocs bien visible, je bondi pour ne pas me faire tirer dessus, profitant du moment de stupéfaction face au cadavre au sol, j’esquive, roule au sol, me relève. Je réussi à griffer et mordre l’un d’eux au prix d’une entaille au couteau sur mon flan gauche. L’un des hommes est amocher et aura du mal à me courir après mais l’autre est bien vaillant et aussi bien remis de l’effet de surprise.

Je me retourne vers la louve et claque des dents en grondant.

- Sauve toi !

En croisant son regard j'ai un petit picotement dans la nuque et une étrange impression de déjà vu, mais ce n'est pas vraiment le moment de me poser des questions. Je vais essayer de les retenir un moment mais dés qu’elle sera assez loin je vais les attirer plus en foret ou je pourrais les avoir plus facilement, là le terrain est trop à découvert seul contre deux c’est vraiment compliquer. Je vais encore devoir faire appel à mon agilité et à mon coté téméraire.

Jeu 22 Juin - 7:11
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Laeticia Baker
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Alors que l’un des chasseurs allait porter ce qui ressemblait bien à un coup de grâce à la jeune louve, l’improbable se produisit. Une ombre venue de nulle part apparait au milieu de la dense végétation pour bondir aussitôt sur ce machiavélique John. Laeticia ne put cacher son étonnement, sa prière avait-elle été entendue ? Et pour couronner le tout, celui qui lui avait sauvé la vie in extremis n’était autre qu’un loup-garou et qui en plus, avait une transformation totale d’un loup. Ce loup-garou au pelage blanc devait être alors plutôt puissant pour ainsi acquérir une telle métamorphose. Sous l’effet de surprise, le chasseur mourut catégoriquement d’une morsure profonde sur la nuque. Enfin ! Enfin le chasseur qui poursuivait la jeune brune depuis des mois était mort et elle n’en revenait toujours pas.

Néanmoins elle devait à présent se ressaisir et profiter de l’occasion. Un mélange d’apaisement mais aussi d’inquiétude c’était installer pour cet étranger qui risquer sa vie pour quelqu’un qui ne connaissait même pas. L’aconit faisant encore effet sur le corps faible de Baker, elle réussit tant bien que mal à se mettre sur ses deux pieds. Aussitôt, l’animal en blanc lui cria « Sauve-toi ! ». Sur le moment, elle n’hésita pas une seconde pour rebrousser chemin et commencer à tenter du mieux qu’elle pouvait pour courir, la main sur le ventre tout en grimaçant. Toutefois sur son chemin, elle se stoppa soudainement. Il était seul contre deux chasseurs, ce n’était pas équitable et connaissant ses hommes, ils étaient loin d’être de jeunes amateurs. Elle se pinça la lèvre inférieure, elle ne pouvait le laisser dans une telle situation. En plus, l’effet de l’aconit disparaissait peu à peu ainsi que cette fichue douleur au ventre.

Laeticia tourna les talons une seconde fois tout en dévoilant ses yeux dorés, ses griffes et ses crocs, bien déterminé à l’aider (et de se venger par la même occasion, on ne va pas se mentir). Elle était satisfaite de se sentir déjà beaucoup mieux qu’avant même si une petite quantité était encore là, elle détestait au plus haut point se sentir faible et inutile. En pleine charge, la louve-garou sauta sur le chasseur qu’elle avait projeté il y a quelques minutes de cela, le plaquant violemment contre le sol parsemé de feuillages. La jeune brune laissa donc l’inconnu s’occuper du dernier chasseur.

Instantanément, la jeune femme infligea au chasseur de nombreux coups de griffes sur son visage et bras mais lui non plus n’avait pas dit son dernier mot. De son pantalon, il sortit une dague en argent pour l’enfoncer sur sa cuisse. Elle poussa un grognement de douleur puis se recula de lui, mais elle devait prendre sur elle. Elle retira en serrant des dents, cette foutue dague qui avait été bien planter en plus de sa cuisse. Un bruit bien répugnant se fit entendre lors de son geste et le sang ne cesser de se répandre le long de sa jambe. Pourtant, cela n’arrêtait en rien Laeticia, elle recommençait à le frapper et un combat au corps-à-corps se créait. Par la même occasion, elle prit parfois des micros secondes pour vérifier si le loup-garou s’en sortait bien de l’autre côté. Rappelons-nous qu’autrefois, la brune travaillée en tant flic, alors cela ne l’aidait pas mal non plus à s’en sortir lors des combats musclés. Elle esquiva facilement plusieurs coups (même si rarement elle en recevait) et par un croche-patte elle le fit tomber au sol une seconde fois.

Un éternuement s’échappa de sa bouche, il empestait l’aconit comme jamais ! Ses yeux se baladaient dans les alentours avant de s’arrêter sur un morceau de branche assez épais, rapidement, elle le prit et le chasseur n’eut le temps de réagir par sa vitesse qu’elle l’enfonça en plein dans sa poitrine. Les yeux du chasseur avaient fixé celle de Laeticia avec grandeur et intensité avant qu’ils ne se ferment. La jeune femme détestait tuer, mais lorsqu’elle n’avait pas le choix il fallait terminer jusqu’au bout… Finalement, ses prunelles se posèrent sur celui du loup-garou avec reconnaissance, toutefois et curieusement, Laeticia plissa les sourcils quelques secondes après. Ce n’était pas normal quand elle réagissait de cette manière et pourtant… Cette odeur… Elle était… elle ressemblait… elle était dans tous les cas familière mais rien n’y fait, elle ne la reconnaissait pas. Étrange mais à la fois frustrant…


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Jeu 22 Juin - 20:09
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Je me retrouve face aux deux chasseurs pendant que la louve prends les pattes à son cou. Deux contre un… J’ai déjà connu pire, mon corps en porte les marques. Dans ses moment la il ne faut pas montrer de faiblesse mais au contraire montrer que l’on à rien à perdre. Un sourire s’étend sur ma gueule de loup ce qui donne une impression de malaise aux hommes la plupart du temps. Voir un loup sourire ou encore rire n’a rien de naturel et pourtant c’est ce que je fais.

Jouer la carte de la démence pour les déstabiliser et leur faire perdre un peux d’assurance c’est tout ce qu’il me faut. Je tourne lentement pour ne pas me laisser piéger mais rapidement ils se mettent un de chaque côté. Voilà qui est plus délicat. J’évite les premier coups en esquivant avec grâce, mais leurs attaque sont de plus en plus rapproché. La forêt, il faut que je m’engouffre dans la forêt rapidement mais est ce que la louve est assez loin pour tenter de m’échapper à mon tour ?

J’ai ma réponse en voyant la jeune femme sauter sur l’un des chasseurs. Je reste un instant figé entre la stupéfaction et le contentement de voir la louve aussi combative mais me ressaisit vite en voyant l’autre chasseur me foncer dessus. On échange quelques passe dans notre danse mortelle en duo. On sais l’un comme l’autre que l’issue sera la mort mais chacun est persuader que ce sera l’autre qui va y passer.

Coups de griffes, coups de couteau chacun en prends pour son grade et on s’affaiblit. Agacé par ces petites entailles qui m’affaiblisse petit à petit je me lance comme un boulet de canon sur le chasseur et le plaque au sol. Je le mords à pleine dents au niveau de la clavicule et je sent sa lame rentrer dans ma chaire. Manque de chance pour lui il touche un os et sa dague reste coincé il tente de se défaire de mon emprise à main nue et là on sait tout les deux quel est l’issue du combat. Je relève la tête et l’attaque au visage et à la gorges. En quelques minutes le chasseur arrête de se débattre et je me recule lentement en boitant.

Je regarde la louve qui à réussi à se débarrasser du siens. Je me sens tout excité par cette injection d’adrénaline et par la sensation de la chaire vive sous mes crocs. Le loup en moi est satisfait et en demande encore mais mon côté humain reste ferme et ce concentre sur les priorité, savoir si cette fille va bien et aussi retirer cette foutu dague qui me fait un mal de chien ! J’essaye de l’attraper avec ma gueule sans succès.

Je gronde de mécontentement et repasse sous forme humaine en poussant un glapissement plaintif. Sous la transformation la dague bouge et me cause une vive douleur. Une fois sous ma forme humaine je m’empare de la lame planter dans ma clavicule et la jette plus loin. Ma respiration est saccader et je reste un moment assis à genoux au sol, les cheveux devant mes yeux clos pour digérer la douleur. Les contours de ma bouche me font mal également, ils avaient de l’aconit sur eux ces pourriture. Ils savaient exactement ce qu’ils traquaient.

Je passe une main dans mes cheveux pour dégager mon visage puis soupire d’aise avant de rire doucement, pas gêner le moins du monde de ma nudité ou de mon corps déjà marquer de mes nombreux affrontement avec des chasseurs même si j’ai de très belles marques laisser par des loups… enfin un loup. Mon loup. Je regarde la jeune femme avec le regard d’un gosse qui dirait « Wouhou ! Qui est partant pour un deuxième tour ! » Puis me redresse lentement.

- Dit donc pas commode tes potes, un peux collant aussi… Comment ça se fait qu’ils t’aient repéré ?

J’essuie le sang qui coule de mes plaies et essaye de rendre mes mains à peux près propre.

- Excuse moi je manque à tout mes devoirs, je ne me suis même pas présenté. Je m’appelle Samuel mais appel moi Sam.

Je lui souris d’un sourire gentil et chaleureux et plein de douceur. Je sais que mes gestes rafiné et mon accent trahisse également mon pays d’origine mais ce n’est pas un secret que je garde. Je suis fier d’être Anglais. Je ne suis pas un méchant loup. Je suis même quelqu’un de très tendre et gentil, je suis juste un peux fou et casse cou sur les bords, Erik ma rendu cinglé et a fait développer une violence en moi que je canalise sur les chasseurs. Dès que j’en vois un je ne peux m’empêcher de le massacrer jusqu’à ce que son cœur cesse de battre. Mieux vaux un chasseur qu’un innocent.

Dim 2 Juil - 21:28
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Alors que la jeune louve-garou observait cet inconnu qui venait de lui sauver la vie, son corps se changea aussitôt en celui d’un humain, le découvrant ainsi nu. Sur le coup, Laeticia détourna instantanément le regard, assez gêné de cette situation, mais apparemment pour lui, cela ne semblait pas le déranger plus que cela… Tout ce remue-ménage lui donnait un peu le tournille à vrai dire. Il y a quelques minutes de cela, elle était encore dans son magasin à essayer de trouver quelques bricoles ici et là et là voilà se retrouvant en pleine forêt près d’une rivière à être poursuivi par des chasseurs pour ensuite faire face à un inconnu complètement… découvert.

« - Dit donc pas commode tes potes, un peu collant aussi… Comment ça se fait qu’ils t’aient repéré ? Excuse moi je manque à tous mes devoirs, je ne me suis même pas présenté. Je m’appelle Samuel mais appel moi Sam.

La jeune femme qui malgré tout, ne voulait pas se montrer impoli, recula de trois pas du dénommé Sam. Le fait que ce loup-garou ne soit aucunement vêtue rendait Laeticia très nerveuse, elle qui était de nature pudique, surtout lorsqu’il s’agissait d’un homme. Enfin, elle se décidait tout de même à lui répondre malgré la douleur vive qui ne quittait sa cuisse. Ses yeux essayant de trouver un point fixe autre que l’inconnu :

- En… enchantée, moi c’est Laeticia, Sam…

Ayant sur le moment le dos tourné, elle ne pouvait voir les expressions du jeune Sam, ni sa façon d’être. Elle savait simplement qu’il était nu comme un nourrisson sortant du ventre de sa mère, sauf que lui était loin d’être un nourrisson voyez-vous… Et l’odeur qu’il dégageait ne lui était pas inconnue, elle n’arrivait toujours pas à mettre la main dessus, ce qui était encore plus frustrant. Tout en s’exprimant à nouveau, Laeticia arracha un court morceau de son haut sans en avoir vraiment le choix pour en faire un garrot au niveau de sa cuisse car son sang ne cessait de se verser sur elle.

- Ça fait bien plusieurs mois qu’ils me poursuivent, je pensais les avoir semés depuis le temps, mais apparemment je me suis bien trompé…

Marquant une courte pause, elle lâcha un léger gémissement en resserrant son garrot un peu plus fort. C’était assez volontaire que la jeune femme n’avait pas détaillé le pourquoi du comment ses chasseurs l’avaient trouvé, mais le fait de raconter de tout ceci à un inconnu ne lui inspirait pas vraiment confiance bien qu’il soit de la même nature qu’elle.

- Et… merci d’être intervenu aussi… »

Simple, court, efficace. Elle ne voulait pas en faire une montagne, même si à présent elle était d'une part rassurée que ses chasseurs soit morts et qu’ils ne l’embêteraient plus, pour toujours cette fois-ci.

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Lun 25 Juin - 20:43
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Le sang coule lentement de ma plaie et je lèche mes doigts. Il va falloir que je fasse des point… ou au moins un bandage… L’aconite sur la lame brûle ma chaire et empêche la cicatrisation. Ces chasseurs m’horripile, toute les fibres de mon corps les trouvent abjecte, leur façon de nous traquer, de faire souffrir… J’ai un frisson de dégoût.

J’émets un petit grognement pour noter mon accord avec dédain.

- Ces chasseurs sont pire que des petits roquet... Quand ils vous pistes ils ne vous lâche jamais… une chance que j’ai été dans le coin à ce moment là. A deux on est quand même mieux pour mettre une racler à ces … enfin bref. C’est le pouvoir de la meute chez les gens comme nous j’imagine...

Je jette un regard vers la louve en détresse. Elle semble éprouver une certaine gène à me voir en tenue d’Adam. Je remarque alors la blessure qu’elle porte à la jambe. Je regarde autour de moi, on est pas si loin de ma voiture…

- Oh ce n’est rien. Aider mes semblable en dérouillant deux trois chasseur c’est un vrai plaisir pour moi.

Je me tourne vers elle et penche la tête de côté.

- Je…

Je me mord doucement la lèvre pris entre la gêne et l’envie de rire.

- Je sais que ça va paraître super étrange venant d’un inconnu totalement nu et couverts de sang mais… Laeticia ? Est ce que je peux regarder la blessure ? Ou alors tu peux me suivre… J’ai conscience que c’est encore plus glauque… mais j’ai mes vêtement dans ma voiture et une trousse de secours là bas, j’aurais de quoi nous rafistoler tout les deux.

Je claque ma langue contre mon palais.

- J’ai une idée… donne moi cinq minute je suis un peu à plat mais… ce sera plus confortable pour toi.

Je ferme les yeux, inspire a fond et me concentre au maximum. Je laisse l’énergie louve m’envahir et la laisse me dominer totalement. Mes os émettent un craquement brusque qui me fait grimacer de douleur. Le poison de ma plaie avec la fatigue rend la transformation pénible. Après quelques instant je retombe sur mes quatre pattes, ma fourrure blanche maculer de terre et de sang.

Je grogne sous la gêne de la blessure mais avance vers la jeune femme. J’émets un jappement bref pour inviter la jeune femme à me suivre. j’avance à un bon rythme tout en me retournant régulièrement pour être sur qu’elle me suive bien.

On arrive au véhicule et je reprends forme humaine. Je reste appuyer un instant à la voiture pour ne pas tomber. J’ai la tête qui tourne. Je me pince l’arrête du nez et appuie fortement sur mes yeux. Je suis trop vieux pour ces connerie… Je me penche et tâtonne sous le garde boue de ma voiture jusqu’à trouver mes clés. Victoire.

Je prends mes affaires et m’habille en vitesse mais reste torse nue pour avoir ma blessure accessible.

- Voilà qui devrais être mieux…ça évitera le côté embarrassant.

Je vais ouvrir le coffre et fait signe à la jeune Laeticia de s’approcher. Je sort ma mallette de vétérinaire. Anti-douleur, calmant, scalpel, fils, désinfectant, tout mon matériel d’urgence pour les déplacement à domicile et qui me serre aussi très souvent pour mes escapades. Je regarde sa jambe en restant à bonne distance pour le moment.

- Je peux regarder ? Il faudrait au moins nettoyer la plaie de l’aconit si on veux que ça cicatrise… mais sans regarder je ne peux pas savoir si tu as besoin de plus de soin… par contre… j’ai peur de devoir couper ton jeans… sorry.




Mer 27 Juin - 21:36
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Laeticia Baker
Alors moi c'est : Laeticia Baker
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Je suis agé(e) de : 28 ans
Je suis : un loup garou
Et j'adhère à l'alignement des : surnaturels
Mon métier c'est : Artiste peintre/Illustratrice
«When an unforgettable meeting upsets the sense of our own life...» Ft. Sam Torrance Tumblr_inline_n4njacqy2z1seeh29
Je suis ici depuis le : 09/08/2016
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Laeticia Baker
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Sam Torrance & Laeticia Baker

« - Je sais que ça va paraître super étrange venant d’un inconnu totalement nu et couverts de sang mais… Laeticia ? Est-ce que je peux regarder la blessure ? Ou alors tu peux me suivre… J’ai conscience que c’est encore plus glauque… mais j’ai mes vêtement dans ma voiture et une trousse de secours là-bas, j’aurais de quoi nous rafistoler tous les deux.

- Oui mais… hum… comment dire…

Au vu de la gêne de la jeune femme, le dénommé Sam semblait avoir une idée pour permettre un échange plus, dirons-nous… convenable :

- J’ai une idée… donne-moi cinq minutes je suis un peu à plat mais… ce sera plus confortable pour toi.

Sur ces mots, la jeune louve ne s’était contenté que de l’écouter mais les craquements douloureux du jeune homme portaient à croire qu’il se transformait à nouveau en loup. Elle avait mal pour le brun le temps d’un instant lui qui était aussi bien abîmé physiquement, elle ne pouvait imaginer sa douleur. Lorsque son odeur de loup vint complètement envahir ses narines, la brune savait qu’il n’y avait plus « danger » à le voir dénudé comme un ver. En se retournant, elle pouvait cette fois-ci admirer ce loup à la fourrure blanche avec plus d’attention. C’était une belle bête, elle ne pouvait le nier. Toutefois, la douleur la rattrapa à grande vitesse, alors elle tenta de ne pas y succomber et de suivre Sam vers sa voiture. Il lui fallut une force incalculable pour se permettre de courir avec cette blessure à la cuisse qui était d’une vivacité sans nom. Ces maudits chasseurs avaient été loin d’être des futiles débutants, ils avaient malheureusement tout prévu.

Quelques minutes plus tard, les deux soldats rentraient de guerre arrivent près de la voiture avec fatigue. Laeticia lui laissa le temps de se retransformer à nouveau et se changer comme il avait dit un peu plutôt. Dans le même temps, la jeune louve se permit de s’asseoir au sol pour s’accorder un peu de grâce, tout en tirant une grimace sur son visage.

- Voilà qui devrait être mieux… ça évitera le côté embarrassant.

Laeticia tenta un léger sourire aussi sincère que possible à son sauveur, mais cette sensation dans sa cuisse lui donna un certain tournille qu’elle s’en évanouirait presque. Elle ferma les yeux afin de se concentrer pour ensuite les rouvrir et se relever une nouvelle fois à l’aide de ses bras tout en remettant ses quelques mèches brunes à leur place.

- Je peux regarder ? Il faudrait au moins nettoyer la plaie de l’aconit si on veut que ça cicatrise… mais sans regarder je ne peux pas savoir si tu as besoin de plus de soin… par contre… j’ai peur de devoir couper ton jeans… sorry.

Elle ne se fit pas pitié pour s’approcher de la voiture afin de s’en servir comme soutient à son corps qui était en train de faillir. Non mais il a dû en mettre une sacrée dose celui-là pour mettre Laeticia dans une telle condition !  Suite à sa demande et dans l’état déplorable qu’elle se trouvait, elle pouvait que lui faire confiance. En s’asseyant doucement sur le rebord du coffre, elle observa sa cuisse de nouveau. Le sang avait arrêté de couler grâce à son garrot improvisé, cependant le poison quant à lui, continuer sa contamination dans son corps.

- Au point où j’en suis tu sais, tu peux y aller… »

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Dim 10 Mar - 15:26
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Le regarde la jeune femme qui souffre en silence. Elle se montre brave comme toute bonne louve digne de ce nom mais elle est bien amoché. Je fouille dans mes affaires et prépare tout ce dont j’ai besoin. Je la laisse un instant pour retourner à ma boite à gant en la voyant pâlir d’avantage. Je reviens avec des barres de céréale que je lui tend avec une bouteille d’eau.

- Tien prend ça. Et j’aimerais que tu avale également ces herbes. Normalement l’idéale c’est de les faire bouillir mais faute de mieux mâche les et avale le tout avec de l’eau. Tu n’as rien à craindre c’est un mélange d’herbe que ma concocter un ami sorcier herboriste, ça purifie. c’est le meilleur truc que j’ai contre l’aconite. Tu vas te sentir faible pendant quelques heures encore et peut-être même que tu ne pourra plus prendre ta forme louve mais c’est le temps que l’aconit soit éradiqué de ton organisme.

Pour lui montrer qu’il n’y a aucun danger j’en prend moi même et les mastiques lentement, même si je pense qu’une démonstration n’étais pas forcément utile car si je lui voulais vraiment du mal je ne me serais pas amusé à la ramener ici à tenter de la soigner. Ce serais un peu capillotracté comme coup. Je regarde le garrot qui comprime la plaie et le défait soigneusement et le refait plus haut. Je prend une petite paire de ciseau dans ma trousse et commence à couper le jean.

- Et mange un peu ces barres chocolaté… je n’ai pas envie que tu tourne de l’œil. Maintenant je vais te faire une petite injection, rien de méchant c’est contre la douleur et c’est un anti-inflammatoire. Vu ou ce trouve ta blessure tu en aura plus besoin que moi, je ne veux pas que tu garde des séquelles pour marcher.

Je lui montre le produit avant de planter une seringue et de la remplir e dosage précis. Je lui injecte d’un geste sur et précis. Je prend ensuite la bouteille et verse de l’eau sur la plaie pour le nettoyer. Je fait abstraction de ma propre douleur pour être totalement professionnel. Je nettoie sa blessure avec soin.

Je lève les yeux vers elle avec un sourire amusé.

- Je suis sur que tu es entrain de te demander quel genre d’homme je peux être avec ma sacoche de scout « prêt pour toute les situations ! » … Je suis vétérinaire. Rassure toi tu n’es pas la première patiente non animale que je soigne. Je me soigne pas mal moi même et j’ai beaucoup soigné…

Je me rembrunie un peu en pensant au passé.

- … soigné d’autre loup…

Je reprend mon sourire.

- Ne t’en fait pas je sais ce que je fais, je suis chirurgien dans mon domaine, j’ai des doigts de fée.

Je regarde sa plaie avec un air satisfait.

- La bonne nouvelle, c’est que tu n’as pas de dégâts important, avec l’injection que je t’ai fait tu vas de nouveau courir comme un louveteau sous la neige. La mauvaise c’est que tu as quand même besoin de point de suture pour aider ta cicatrisation. Je peux te faire ça propre, tu n’aura aucune cicatrice et tu pourras toujours mettre un short cet été. Ou sinon je peux te conduire à l’hôpital. Ça peux être risquer par contre. Les chasseurs sont souvent à l’affut de toute blessure hors norme...

Je me redresse et prend une compresse neuve pour essuyer mon propre sang qui coule encore.

- Par contre… j’aimerais te demander un service avant. Si tu peux m’aider à me mettre une compresse. Je sent que ça traverser niveau clavicule… Et dans le dos c’est un peu galère tout seul… j’aurais été sans toi je me serais dépatouiller mais autant profité de ta présence.

Je lui tend une compresse propre et du ruban pour la fixer.

- et sinon toi… dans la vie à part faire quelques round dans la foret avec les chasseurs c’est quoi ton occupation ?




Dim 10 Mar - 19:57
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Pendant qu’elle écoutait les paroles du prénommé Sam, ses yeux louchaient sur ses étranges herbes. Afin de lui prouver qu’il était un homme honnête, il lui fit une démonstration devant elle. Malgré la douleur encore vivace, elle ne pouvait qu’être étonné de ce geste, cependant, les gens fiables de nos jours et surtout dans le monde surnaturel se faisaient rarissimes. Sans poser de questions –et à vrai dire, elle n’en avait plus vraiment la force-, elle prit une petite poignée de ses herbes pour ensuite le mâcher comme il avait montré tout à l’heure. Pendant ce temps, il remit méticuleusement son garrot et coupa son jean noir, il ajouta :

«  - Et mange un peu ces barres chocolaté… je n’ai pas envie que tu tournes de l’œil. Maintenant je vais te faire une petite injection, rien de méchant c’est contre la douleur et c’est un anti-inflammatoire. Vu où se trouve ta blessure tu en auras plus besoin que moi, je ne veux pas que tu gardes des séquelles pour marcher.

Sur le moment, Laeticia avait envie de tout sauf de manger, elle n’avait pas du tout la tête à cela. Malgré tout, elle croqua un morceau de la barre chocolaté sans grande passion, comme elle le ferait normalement d’habitude. C’est que la louve aimait beaucoup manger en temps normal voyez-vous. Toutefois, il devait certainement avoir raison lorsqu’elle remarqua sa cargaison de soin dans son coffre. La brune aux mèches rouges et au visage pâle échappa un léger gémissement par son injection, mais cela ne valait rien comparait à la douleur qu’elle avait actuellement. C’est qu’il était bien armé pour les blessures celui-là ! Et sa remarque ne fait que s’affirmer lorsqu’il décrit pourquoi il en avait autant.

- Je suis sûr que tu es entrain de te demander quel genre d’homme je peux être avec ma sacoche de scout « prêt pour toute les situations ! »… Je suis vétérinaire. Rassure toi tu n’es pas la première patiente non animale que je soigne. Je me soigne pas mal moi-même et j’ai beaucoup soigné… d’autre loup…

Sur ses paroles, le loup-garou semblait s’éloigner dans ses pensées, il semblait penser à quelqu’un à ce moment précis, cela se voyait à travers son expression, elle savait remarquer ses choses-là. Néanmoins, elle ne posa aucune question face à cette phrase, ce n’était pas ses affaires après tout.

- La bonne nouvelle, c’est que tu n’as pas de dégâts important, avec l’injection que je t’ai faite tu vas de nouveau courir comme un louveteau sous la neige. La mauvaise c’est que tu as quand même besoin de point de suture pour aider ta cicatrisation. Je peux te faire ça propre, tu n’auras aucune cicatrice et tu pourras toujours mettre un short cet été. Ou sinon je peux te conduire à l’hôpital. Ça peut être risqué par contre. Les chasseurs sont souvent à l’affut de toute blessure hors norme...

- Merci Sam… Répondit-elle simplement.

C’est qu’il parlait beaucoup aussi soi-disant passant, ce qui n’était pas pour en déplaire à Baker. Au moins, il avait de la discussion et cela lui permettait d’oublier un tant soit peu sa douleur. D’ailleurs, elle pouvait constater ses gestes très professionnalistes qu’il exécutait envers elle malgré la douleur que lui aussi devait avoir. Elle ne savait comment le gratifier… Oui, l’hôpital aurait été une option bien que cela rester très risqué, tant pour elle que pour lui.

- Je ne sais pas vraiment, tu as déjà pris assez de danger à cause de moi, je m’en voudrais s’il t’arrivait quelque chose là-bas…

Elle parlait comme si elle le connaissait depuis longtemps, mais la situation ici était différente, il lui avait sauvé la vie. Sa douleur à la cuisse semblait s’apaisait peu à peu, mais elle avait toujours autant mal pour l’instant. Sam lui demanda par la suite de mettre une compresse, ce qu’elle fit aussitôt en attendant qu’il s’accroupit dos à elle et en la posant délicatement sur son dos, toujours assise sur le rebord du coffre. Elle ne voulait pas prendre le risque de se lever et de tomber aussitôt au sol tellement ses forces étaient vaines pour le moment.

- Et sinon toi… dans la vie à part faire quelques round dans la forêt avec les chasseurs c’est quoi ton occupation ?

La louve sourit légèrement face à sa question tout en s’occupant de lui :

- Je suis dit-on, artiste peintre, rien de bien incroyable, répondit-elle à faible voix, j’illustre des histoires et des romans… »

C’est alors qu’en parlant, l’odeur si familière réapparue du jeune homme. Cela commençait à sérieusement l’agitait… Qui était-il Réellement ?

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Sam 27 Avr - 18:08
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Je ferme les yeux un instant en sentant le contacte doux de la compresse dans mon dos. La brûlure est toujours présente dans ma chaire, le poison est la et me rend vulnérable, ralentissant ma cicatrisation. Une bonne douche à la maison, quelques cachets et je serais comme neuf. Un léger sourire se dessine sur mes lèvres  lorsqu’elle révèle son métier.

- J’adore les livres, surtout les livres de contes, ils ont souvent de magnifique illustration. c’est un plaisir de rencontrer une personne qui fait voyager à travers le papier…

Je me redresse et remet mon haut en douceur pour ne pas défaire mon pansement de fortune et tacher ma chemise clair.

- D’autant plus que cela fait longtemps que je n’ai pas croisé le chemin d’un bon livre.

Je me retourne vers la jeune femme avec un sourire et le nez plisser dans une petite grimace.

- Mon ex est libraire, j’ai toujours la désagréable impression que je vais lui tomber dessus quand je parcours les ranger de livre. Et c’est quelque chose que je préférais évité. C’était une relation assez toxique… ça l’est toujours d’ailleurs… enfin bref !

Je range tout mes outils de vétérinaire avec soin après avoir stérilisé les instruments. Tout est en ordre. Je suis un peu maniaque sur les bord, c’est des vieux toc mais en tant que médecin ce n’est pas plus mal. Je regarde la jeune femme bras croisé sur mon torse et lui souris amicalement avant de pencher la tête légèrement de coté.

- Pour être franc je ne pense pas que l’hôpital soit une bonne option. c’est trop risqué. Ma conscience ne me laissera pas tranquille si je te jette devant l’hôpital et que je me sauve ensuite. Si cela te va, je préférerais te soigné correctement moi même, mais pas ici, c’est trop risqué de rester dans le coin et je n’ai pas tout ce qu’il faut ici. Il faudrait que tu viennes avec moi… chez moi.

Je m’ébouriffe les cheveux et regarde autour de moi. c’est vrais que c’est compliqué de ne pas avoir des doutes et des appréhension. j’ai un peu l’air d’un psychopathe avec mes outils dans le coffre et mon discours du viens dans ma voiture ma petite… je suis heureux de ne pas être un vieux bedonnant ça aurais été encore plus glauque.

- Écoute, je sais que tu ne me connais pas et que c’est un peux tendu là tout de suite avec nos blessures et les chasseurs qui vont sûrement vouloir se venger mais… je suis aussi vulnérable que toi en t’ouvrant la porte de chez moi. j’ai confiance en toi, je sais pas appel ça un instinct de fraternité entre loup mais je te laisse rentrer dans ma tanière.

Je lui fais un clin d’œil et ferme le coffre après l’avoir aidé à se lever.

- Aller viens, ne t’en fait pas je ne mord que les chasseurs.

Je ris et lui ouvre la portière passager pour achever de la convaincre. Je l’aide à monter et referme la porte avant de passer coté conducteur. j’attache ma ceinture et met le contacte. La voiture avance paisiblement dans un ronron et le son agréable de l’orchestre de Hans Zimmer. On roule pendant un moment en traversant la ville je ponctue par un « tiens, je bosse là » quand on passe devant la clinique et quelque minute plus tard nous nous arrêtons devant un immeuble quelconque. Je sort de la voiture et aide ma patiente atypique.

- Voilà, on est chez moi, c’est pas le grand luxe je préviens mais pour le temps que je passe ici ça me suffis largement.

Je nous fait entrée avec le badge magnétique. Je récupère le courrier au passage et je nous fait monter par l’ascenseur. Il y a une petite plaque doré sur toute les porte du couloir et on s’arrête devant mon nom. j’ouvre tranquillement et la laisse entrée en première.

On entre sur un salon très simple sans beaucoup de décoration, les murs sont blanc et les seuls touche de couleur viennent des plantes verte dite « increvable » que j’ai choisi pour le peux d’entretien que ça nécessite et des touches un peu plus coloré des coussins du canapé. Tout est propre et ranger, ça fait un peux penser à ces maison test pour les construction. Je hausse les épaules en souriant à la jeune louve.

- Je t’avais dit, je ne viens pas souvent… Installe toi dans le canapé je vais chercher de quoi te recoudre et rendre ta gambette toute belle.





Jeu 29 Aoû - 12:58
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Un être sans famille c'est comme un arbre sans branches - Lyne Menard

Laeticia tapotait d’un geste doux sur la blessure du jeune homme avant de finir par mettre la compresse alors qu’elle essayait d’être la plus délicate possible. C’était un courageux et il lui avait sauvé la vie, rien que pour ça, elle le remercierait des milliers de fois. Cependant, elle s’était retenu de le redire à nouveau, et de toute façon, il avait sûrement déjà compris qu’elle lui était gratifiante. D’ailleurs, cela lui rappelait de certains souvenirs, assez lointaine, avec son Oncle, ils étaient inséparables et s’étaient toujours entraidés, qu’importent les situations qu’elles étaient bonnes ou mauvaise. Un soutient que la brune s’avouait lui manquer parfois. Toutefois, elle avait pris du recul face à tout cela et était plus qu’heureuse de vivre indépendamment.

Le dénommé Sam lui fait savoir qu’il appréciait cet univers lorsque Laeticia lui révélait ce qu’elle faisait dans la vie. Elle affichait un léger sourire alors qu’il se relevait doucement. Puis, il enchaînait sur le fait que son ex était un libraire. Comme un souvenir du passé qui lui était revenu soudainement il ne put s’empêcher d’énumérer l’histoire en quelques lignes alors qu’ils se connaissaient encore à peine. 

- Je suis désolée, répondit-elle d’une manière plus que sincère en pinçant légèrement ses lèvres entre elles. Elle ne pouvait que comprendre ce que ressentait le loup-garou. Tout ce qui relater ou tourner autour de l’Amour, c’était toujours un véritable flou, un chemin tortueux vide de sens ou de logique.

- Oui ce n'est pas une super bonne idée en réalité, et puis, ils se douteraient vite de quelque chose et niveau discrétion ce serait pas trop ça non plus. Tout en parlant, Laeticia avait eu la force de se relever doucement, en faisant attention de garder son équilibre malgré sa cuisse endommagée. Je ne vois pas de soucis à ce que tu m’emmènes chez toi Sam. Ça peut paraître étrange peut-être mais, j’ai comme une bonne intuition envers toi. Il faut s’entraider entre loups, on en croise pas tous les jours. Tu peux te moquer de moi si tu veux parce que c’est vrai que maintenant que je m’en rend compte, c’est carrément glauque ahah… Parce que oui, plus la brune parlait, plus ses mots devenaient de moins en moins sûrs tellement elle se trouvait ridicule face à lui. L’état de son corps ne devait pas l’aider non plus au niveau de sa concentration, déjà qu’en temps normal, elle pouvait être maladroite avec ses mots, là c’était encore pire.

Pourtant la bonne chose dans tout cela était que cette discussion lui permettait d’oublier quelque temps sa douleur, et les quelques soins de son sauveur s’avéraient être efficace, mais pas assez pour se remettre totalement de tous ce remue-ménage, bien évidemment.

Enfin, il l’invitait à rejoindre sa voiture, elle ne se faisait donc pas prier pour monter dans celle-ci afin de s’asseoir de nouveau. Rien que le mouvement lui avait permis d’avoir une lancer au niveau de la blessure alors qu’elle grimaçait une nouvelle fois. Foutus chasseurs, qu’ils aillent tous se faire foutre à s’amuser et à faire souffrir des gens comme bon leur semble. Baker pouvait être tolérante et avoir le sens de la justice lorsqu’il y avait lieu, mais les chasseurs, eux, c’était encore quelque chose qu’elle devait longuement travailler.

Alors que la voiture démarrait doucement, un son vingt enfin apaiser quelques instants notre artiste souffrante. Hans Zimmer… et en plus ils avaient apparemment un goût commun en termes de musique, étonnant. Elle s’était donc permis de fermer les yeux quelques instants, une main poser près de sa blessure pour éviter les quelques secousses sur la route. Elle n’avait pas vu le temps passer que la voiture était déjà garée devant l’habitation du lycan.
Une fois à l’étage et enfin à l’appartement, la jeune louve-garou se dirigeait timidement vers le canapé tout en observant les alentours d’un œil avisé, un léger sourire en coin.

- Je demande pas un château t'inquiète pas, je vis dans une petite fermette alors. Elle marquait une courte pose tout en s’asseyant sur le canapé moelleux avant de reprendre d’une voix plus douce et pleine de reconnaissance une nouvelle fois. En tout cas, merci encore de ta générosité et d’avoir sauvé ma peau, il va falloir que je te gratifie ça un jour… Aucun refus ne sera accepté venant de ta part sache-le !

Et cette odeur toujours… il y avait des périodes où elle était réellement forte et d’autres non, c’était vraiment étrange et elle ne tarderait sûrement pas à en avoir le cœur net. Cet homme lui disait quelque chose, c’était obliger, c’était curieux, elle devait savoir. Son regard s'était finalement poser sur sa cuisse une nouvelle fois, c'était moche et pas beau à voir. Heureusement, sa fièvre était tomber et son envie de malaise s'était atténuer. Laeticia s'adossait plus profondément sur le canapé afin de ne plus en bouger tout en étant vigilante avec ses gestes. Enfin, elle prit son courage à deux mains pour aborder le sujet qui lui trottait dans la tête depuis tout à l'heure.

- Je... je sais pas vraiment comment aborder ça.. Hum... Elle réfléchissait un instant avant de trouver les bons mots, et ne pas l'effrayer dans le même temps. C'est que l'illustratrice, lorsqu'elle avait un ou des doutes, elle devait absolument savoir le pourquoi du comment, auquel cas, elle ne serait pas tranquille du tout. J'ai remarquer quelque chose de... de pas très commun. Ses mains se frottaient entre elles, signe d'une nervosité bien à elle. Ses prunelles s'était finalement poser sur Sam. Tu dégages une odeur qui ne m'est pas indifférente, et tant qu'on y est, tu me dis étrangement quelque chose. Ne nous saurons pas déjà vu avant ? Enfin je veux dire, ça fait bien longtemps que je n'ai plus ressentit... ça, je t'avoue que cela m'est perturbant. Je pensais au début que c'était dû à l'adrénaline du combat, ou de mes émotions qui me joueraient des tours, mais c'est toujours là...

C'était enfin dit et fait, et à vrai dire, elle ne savait pas du tout comme il allait réagir. A présent, et elle espérait enfin savoir quelque chose de concret.
Made by Neon Demon
Dim 19 Avr - 0:25
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Je la laisse s’installer et vais chercher tout ce qu’il me faut dans la salle de bain ainsi que les bon médicaments. Je retourne dans le salon avec la cuisine ouverte et fait chauffer de l’eau. Je nettoie tout mes instruments de manière chirurgicale et les pose sur un petit plateau. Je l’écoute dans mon dos qui me remercie encore. Je souris et la regarde d’un air chaleureux.

- Ne t’en fais pas, je n’allais pas laisser ces hommes te faire du mal sans réagir. Je pense que ça dois être ma solidarité de loup… je marque un temps d’arrêt et ris doucement en haussant les épaules. Ou bien mon absence d’instinct de survie…

l’eau fini de chauffer et je la met dans un bol en inox ou j’ai placer des bande de gaz. Elle semble plus nerveuse d’un coup et elle semble vouloir me parler de quelque chose sans savoir par quel bout le prendre. Je souris en entendant sa question. Je dandine de la tête en essayant de faire marcher ma mémoire et je met l’eau chaude restante dans deux tasse. Je lui porte les deux tasse avec une boite contenant différent sachet de thé.

- Tiens, sers toi, je vais te charcuter la cuisse comme hôte on fait mieux mais au moins je peux t’offrir une boisson chaude.

Je lui souris et retourne me laver les mains, mettre une paire de gant stérilisé et récupère pour mon matérielle avant de me placer à genoux devant elle pour enlever le pansement que je lui ai fait.

- Et bien… pour répondre à ta question, tu me semble familière aussi, mais j’ai pas mal voyager ces dernière années. J’ai rencontrer beaucoup beaucoup de monde dont je ne me souvient pas toujours j’en suis désolé. Je fronce un peu le nez. Je n’étais pas...toujours dans de bonne condition et j’ai même passer une année sous forme louve ou je n’arrivais plus à reprendre le contrôle.

Je nettoie sa plaie correctement et commence mon travaille soigneusement avant de relever la tête en fronçant un peux les sourcils.

- Mais… J’ai l’impression que… que l’on s’est croisé avant ça.

Je souris en haussant les épaules comme si cela était improbable et refait ma couture plus soigneusement avec un point précis.

- Ce qui me semble peux probable car avant de sillonner le monde j’ai vécu avec mon ex qui a fait de moi un loup et avant ça je menais une vie sans histoire dans la campagne Anglaise.


Je ris et laisse ressortir mon accent et mon air digne typiquement Britannique.

- A Stratford-upon-Avon pour être précis. Un petit village pittoresque qui est célèbre pour avoir héberger le fameux Shakespeare My Lady.

Je ricane et continue mon travaille chirurgicale. Je suis satisfait de mon travaille cela devrais être réussi.

- Enfin voilà, avant mon bâtard d’ex je vivais tranquillement dans ma campagne anglaise avec mes parents. Je venais juste de terminer mes études pour devenir le brillant Docteur Samuel Torrance , Vétérinaire spécialisé en chirurgie. Je ris doucement. Bon certes je suis bien ça aujourd’hui mais j’ai perdu quelques années aux passages et ma condition de loup fait que je ne peux pas assurer les gardes de pleine lune… ce qui soulève pas mal de question dans une ville ou vampire sorcier et loup garou sont de plus en plus connus.

Je termine le travaille et me redresse avec un sourire victorieux.

- Tadaaaa, pas de bronzette le temps que ça cicatrise totalement, je vais te donner une pommade à appliquer et ceci. Je secoue une boite de cellule. C’est pour finir d’éliminer le tue loup qui se balade encore dans ton organisme et t’aider à reprendre des forces plus vite. Pas plus de deux par jour, trois en cas de faiblesse ou de vertige. Garde la boite au cas ou tu boxe de nouveau avec nos super amis les chasseurs...





Lun 20 Avr - 17:08
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