Fearwood
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Fearwood

Fearwood est une ville où cohabitent diverses espèces, humains, vampires, loups-garous, sorcières. Attention à vos arrières. Ceci est un RPG.
 
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Please help me,I'm a monster [Sébastien&Sam](+18)
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Je fonce sur Sam, qui vient de tomber du lit, et l’immobilise solidement de mes mains au niveau de ses coudes, en m’asseyant sur sa taille. Il est en pleine terreur nocturne. Je lui donne une tape la joue avent de le tenir à nouveau fermement

 - Sam ! Réveille-toi ! Tu cauchemarde ! Il n’y a rien !
 
Il ouvre enfin les yeux, le cœur battant à mille à l’heure, avec un regard horrifié et larmoyant. Il voit que c’est moi, il semble réaliser que c’est bon, il est en sécurité. Je soupire de soulagement et le lâche. J’allais lui demander ce qu’il c’était passé quand je me fige. Je me tétanise même, avec de grands yeux surpris. Il vient de me coller à lui, certes pas choquant, mais aussi de plaquer ses lèvres sur les miennes pour un baiser ma foie… très bon. Mais je ne peux pas faire ça ! Je pose mes mains sur ses épaules et essaie de le faire reculer, les joues rouges de gêne.
 
 - N-non, Sam arrête ! M-mais tu sais q-que je suis pas ton homme hein ? HM !
 
Il me voler encore un baiser. Ho bon sang. Mes mains qui sont sur ses épaules bougent toutes seules pour caresser sa peau. Pourquoi faut-il qu’il embrasse aussi bien ? Je n’arrive pas à repousser ses lèvres… Son corps. Mon cœur accélère la cadence sous cette tension palpable. C’est mal, je ne veux pas profiter de lui… Bon là c’est plutôt lui qui est à la limite de me violer. Il est sexy, ses caresses sont fort appréciables et je ne sais plus quoi penser.Après tout il a subit un traumatisme et ça influence beaucoup ses actes! comment je fais s'il regrette après? Ou si je regrette d'avoir céder? oui mais.. il est si excitant!
 
Pendant que je suis perdu dans mon esprit, il me porte jusqu’au lit et ses main chaudes passe sur la peau de mon ventre, de mon torse. Il ne me laisse aucun choix, et me déshabille. J’ai les joues rougies, plus par la tension trop forte qu’autre chose, et le fixe dans les yeux. Il est… diablement excitant. Je sens le sang monter à mon entre-jambe, qui dresse petit à petit mon sexe sous mon boxer.
 
- n-nan… n… ha… S-Sam…
 
Je ne sais pas quoi faire. Il me couvre de baisers, avec son attitude de loup en rute, et je me retrouve incapable de résister. Je n’ai jamais couché avec un surnaturel, il parait que c’est toujours intense, surtout si on parvient à tenir la route sous leurs accoups sauvages. Ça tombe bien je suis plutôt résistant pour ma tempe. Je finis par céder au plaisir, surtout quand ses crocs viennent mordiller mon cou. Je tends la tête, comme hypnotisé. Chacun son point faible de mordillement et léchouilles : certains c’est l’oreille, d’autre les lèvres, moi c’est le cou. Je fonds et m’offre à lui, caressant sa peau et l’embrassant fougueusement. Ça y est je bande raide, et le caleçon me gène.
 
Il est déjà totalement nu, mon regard curieux se pose sur son membre… ho my ! Okay plaisir garantit alors. Je passe ma langue sur mes lèvres. Il veut des câlins sensuels ? Alors c’est partie. Je le chope aux épaules et le pousse de toutes mes forces d’un coup sec pour profiter de l’état de surprise pour me placer au dessus de lui. Je lui sourie et l’embrasse langoureusement. Ma langue agile caresse et joue avec la sienne, je lèche et mordille ses lèvres, tout en caressant de derrière ses oreilles à sa nuque, puis descends lentement et lèche et mordille ses deux tétons un à un. Sa peau à un gout agréable… salé mais doux… Je ne dis mot et descends un peu plus bas. Je vais lui offrir ma meilleur gâterie, et mes amants et maitresses me savent très doué avec ma langue et ma bouche. Quitte à craquer, autant le faire à 100% non ? Je retire mon caleçon. 
 
Je descends, passe ma langue le long de son aine, et me place à genoux au sol pour mieux l’avoir à ma portée. Je caresse ses cuisses en les couvrant de baisers doux et sensuels, remontant petit à petit vers leur jointure, et lape ses bourses en prenant mon temps.Une de mes mains est baladeuse et arrive à son sexe que je caresse doucement, tout ceci en le regardant dans les yeux. Je remonte le long de son pénis et lèche son frein avec un bon rythme, sans cesser de le branler, et de ma main libre je caresse sa cuisse et son bas-ventre. S'en suit la prise en bouche... non pas le sexe entier non... je fais durer un peu le plaisir en ne prenant que son gland et ma main qui était libre s'occupe désormais de ses bourses. Me voilà entièrement sur son sexe, ne laissant aucune zone au répit.

Ho bon sang j'ai une telle envie de me toucher... ou que lui me touche... mon sexe me ferait presque mal tellement il est tendu. Je ferme les yeux et le prends complétement en bouche cette fois, et sans la main pour tricher, ce qui me permets d'avoir une main pour me caresser en lenteur, juste pour soulager un peu, pas pour me faire éjaculer... non, ça, il s'en chargera très bien. Et je le suce, avec des mouvements de va et viens. Il est délicieux.
Sam 25 Mar - 20:48
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I'm a monster
Hate is just a shadow of love; where there is one, the other is sure to follow. And there is nothing more powerful than the two combined..

 

Je le fais taire d’un baiser alors qu’il essaye de me raisonner. Ne me parle pas d’Erik maintenant je pourrais perdre totalement le contrôle. Je veux oublier ce soir, oublier tout, le sang, les morts et l’homme qui a engendré tout ce désespoir en moi. Oh oui je sais que tu n’es pas lui, lui il m’aurai déjà pris sauvagement contre un mur avant même d’atteindre la chambre. Il n’y aurai mis aucune douceur, m’aurais probablement griffé et mordu jusqu’au sang ce qui ne m’aurai pas empêché d’en savourer chaque moment, je l’avoue j’adore ça. Mais là je veux autre chose.

Je me laisse guider par mes pulsions en prenant soin de garder le loup sagement sous la surface, c’est un humain, je pourrais le brisé en une fraction de seconde si je perd contrôle. Je sent encore un brin de résistance de sa part mais depuis le départ je sens malgré ses mots et ses gestes sans réel volonté de me chasser qu’il aime ce que je lui fait. Je le sent totalement fondre lorsque ma bouche descend dans son cou et dans un reflex je  le lui mordille. Hhhmmm on dirait que j’ai trouvé un point sensible. Mes mains continuent de le parcourir sans relâche, je goûte sa peau aux notes sucré, je la sent, je m’imprègne de lui de sa douceur.

Il me repousse avec plus de vigueur et cette soudaine force me surprend. Merde… ok il ne veux pas, j’ai merdé. Je suis une bête sauvage pas un violeur, je respecte son choix et me laisse retomber sur le dos entraîner par son poids. Je frémit de la tête aux pieds lorsque je me rend compte que ce n’est pas pour mettre fin à notre étreinte qu’il ma repoussé mais pour en prendre le contrôle. Je n’arrive pas à retenir un grognement de plaisir lorsqu’il m’embrasse et viens jouer avec ma langue de la sienne. Je ne suis pas vraiment un dominant de base, j’aime quand les autres prennent le contrôle à ma place.

Je me tend lorsqu’il passe sur mon torse et se met à descendre, sa langue me goute à son tour et viens jouer avec mes tétons ce qui me fait frissonner puis il reprend sa route et descend plus bas, toujours plus bas... Je me fige en comprenant ce qu’il a en tête. Nan… il va pas … ? Mon regard croise je siens et j’ai ma réponse, si il va le faire. Il est a présent à genoux devant moi. J’en éprouve une certaine gène et à la fois une grande excitation. J’ai plus souvent l’habitude que ça soit moi qui me retrouve à genoux… mais je dois avouer que ce changement à du bon. Il joue avec moi et mon souffle se coupe à plusieurs reprise. Sa prise en bouche est parfaite et j’en viens à la conclusion qu’il n’est définitivement pas hétéro, pas avec autant de dexterité dans ses mouvement et sa langue qui sait exactement ou aller pour me faire gémir de plaisir.

Je me cambre et me laisse retomber sur le dos tête rejeter en arrière et paupières close. c’est totalement parfait. Chacun de ses gestes me fait frémir, c’est comme si ses doigts et sa langue venais caresser chacun de mes nerfs et envoyais une décharge électrique dans mon bas ventre. Je retiens avec difficulté les mouvements de mon bassin. Ses gestes sont tout en langueur, tendresse et douceur. Pas de frénésie, pas de crocs, pas de griffe et je me surprend à aimer ce coté sexe vanille qu’il m’offre. Bon je pense que le fait qu’il soit particulièrement doué de sa bouche aide grandement. La baise que j’ai mis en marche prend une autre tournure sous sa directive. Cela ressemble plus à faire l’amour, ou du moins c’est l’image très lointaine que j’en ai garder.

Mes mains s’agrippe aux draps, ma respiration est saccadé, entrecoupé par mes gémissement de plus en plus prononcé. Bordel mais c’est qu’il va me faire jouir si il continue comme ça… Je grogne  en me redressant sur les coudes pour lui demander d’arrêter. J’écarquille les yeux et manque de tout lâcher en le voyant dans une position sexy entrain de s’occuper de moi et de se toucher en même temps. Je lâche un grondement sourd et l’attrape par les épaules pour l’attirer sur moi et lui faire lâcher prise. Je l’embrasse avec fougue et le fait rouler sur le coté pour me placer sur lui . Je lui mordille l’oreille, le cou et mes mains le caresse descende et attrape son sexe.

S’en suis de longue caresse mutuelle entrecoupé de baiser. Sans un mots juste par le regard on décide de la suite. Je prend la direction des opérations guidé par son aura de sensualité. Tout en douceur je glisse mes doigts, lubrifié par sa semence qui à commencer à perler de son sexe, entre ses fesses et m’immisce en lui lentement. Je le prépare tout en continuant de me frotter à lui et à l’embrasser. Je suis à la fois excité et apaisé. J’en veux plus. Lorsque l’excitation deviens insoutenable et que je le sent près aussi je me redresse et le met à plat ventre.

Je m’allonge sur lui mon excitation contre ses fesses. Je l’écrase doucement de mon poids mais me retiens avec mes avant bras. Je le caresse, embrasse sa nuque. Je soulève doucement son bassin pour le placer face à moi. J’embrasse son dos en le maintenant par les hanche. Je le prend en douceur, lentement, mon visage enfouis dans ses cheveux. Une fois totalement en lui j’attends un peu, je m’assure d’un baiser que tout va bien et je commence en douceur. Je gronde de plaisir et je plaque mes mains sur le lit pour ne pas le blesser. Mes griffes rentre dans les draps, je préfère que ça soit les draps ou le matelas qui subisse ça que sa peau. J’ai du mal à contrôle mes pulsions animal lors de rapport. Depuis que je suis loup je n’ai couché qu’avec Erik, et mes brèves aventures d’un soir était soit Loup soit vampire… du coup ça restais dans le même registre de baise bestial.

Je laisse mes doutes dans un coin et très vite on trouve notre rythme. Mon corps bouge par lui même et s’adapte à ses mouvements donnant néanmoins plus de puissance à chaque coup de rein. Mon cerveau est totalement déconnecté et le laisse le plaisir se fondre dans mes veines comme une drogue. Le sexe est le meilleur antidépresseur et c’est bien meilleur que toute ses merdes que j’ingère toute la journée pour me maintenir dans un états stable. Je sent la chaleur qui monte en moi. Mes crocs caresse son épaule et je doit faire un bel effort pour me contenté de le mordiller sans entamé sa peau si fine. C’est de plus en plus dur avec le plaisir qui monte et qui frôle la jouissance. Mes mains agrippes les draps, notre ébat deviens de plus en plus fort et fougueux, je mords dans un coussin lorsque je sent que je risque de le mordre lui et les plumes volent.

Alors que je me sent sur le point de craquer je place mes mains sous lui, une sur ses tétons que je titille de mes griffes et que je malaxe et l’autre sur son sexe que je branle d’une main ferme au rythme de mes coup de rein. Je le pousse à la jouissance pour mieux le rejoindre ce qui donne un concert de cris et de grognement de plaisir. Je pose mon front sur son dos le temps de reprendre mon souffle. Je le libère de mon joug et m’allonge sur le lit faisant s’envoler quelques plumes. Je ne prend pas encore conscience à quel point j’ai malmener le mobilier et je ne m’en rendrais pas compte avant le matin car débarrasser de toute tension, je sent la fatigue et le sommeil s’emparer de moi, je m’y abandonne sans retenu, je rend les armes et me love dans les bras de Morphée pour plonger dans un sommeil paisible sans aucun rêve.  
 
Lun 27 Mar - 12:53
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Son visage qui passe d’un sentiment à l’autre lorsque je l’oblige à pivoter est juste un moment parfait. Se frisson qui l’a parcouru quand j’ai approché de son entre-jambe le rend terriblement excitant. Mais qu’est-ce que tu fais Sébastien, tu es en train d’exciter un Loup-garou à moitié cinglé là. Tu vas y laisser la peau du cul dans tout les sens du terme ! Mais je n’arrive pas à résister. C’est trop bon de le voir réagir au quart de tour, de le sentir contre moi de simplement… chauffer ensemble à se contacte brulant. Et puis ses bruits d’amour… ho oui… gémissements, grognements et cette sorte de plainte gavée au plaisir… C’est trop, bien trop bon à entendre pour mon oreille musicale.
 
Il se redresse, j’ouvre les yeux en résistant à mon envie de me branler plus vite, et plonge mon regard vert dans le sien. Ho oui il aime ça. De ma langue experte je lui offre un moment de répits en ne faisant que laper son gland. Sauf que je n’ai pas le temps de reprendre, il m’oblige à venir avec lui sur le lit. Je comprends alors que monsieur veut être le « mâle », je me laisse faire. Et même avec grand plaisir. Je tends le cou quand il vient me mordiller. Bon sang que j’adore ça. Je gémis quand sa main agrippe mon sexe gorgée de désir. Machinalement, j’écarte les jambes en relevant un peu le bassin en appuyant sur mes pieds. Je le veux en moi. Je veux le sentir en moi. Je sens quelque chose entrer, je reconnais la sensation des doigts et c’est une si bonne sensation. Je couine de plaisir, et étouffe mes quelques gémissements par de fougueux baisers avec lui.
 
Je suis retourné aussi facilement qu’une crêpe sur une poêle… hoo alors il préfère la levrette ? Oui, vrai que c’est parfait pour découvrir l’intérieur une première fois. Je me place buste contre le matelas, remonte  mes fesses avec un mouvement de bassin et prends dans mes mains le drap. Ainsi je montre ma totale volonté de me donner à lui. Ça y est il entre, doucement, avec son visage enfouie dans mon épaisse chevelure. Je passe ma langue sur mes lèvres en fermant les yeux.
 
 - ho… l-large… ; je gémis de plaisir. il est entièrement en moi ; t-tu peux bouger.
 
De la douceur vient l’entrain, puis elle devient vivacité, pour être fougueux et finir en sauvage. J’ai bien relever mon bassin en cours de temps et BORDEL que c’est bon ! J’ai jamais été prit comme ça. J’en cris de plaisir, serrant le drap jusqu’à avoir les jointures blanchis. Ses coups de bassin me transpercent et me labourent comme jamais et c’est bon ! Je lache prise mentalement.
 
Le plaisir sauvage, un acte animal de baise qui plonge dans une transe. Le contacte de plumes sur ma peau ne m’interpellent même pas et je suis juste heureux là. Heureux d’avoir du sexe, content d’arriver à la jouissance. Tout mes muscles se contractent et sa main qui me branle en plus de ça n’arrange rien. Et là la total… ses doigts à mes tétons aussi sensible que ceux des femmes. Je cris.
 
 - ça vient ! S-SAM !!
 
J’éjacule dans un orgasme puissant, inondant les draps sous moi, dans une série de petits spasmes qui me secouent intégralement, et bientôt son liquide coule en moi, chaud et visqueux. Je tremble et, une fois libéré de son étreinte, m’allonge sur le côté, haletant. Lui tombe comme une masse à mes côtés. Je reprends mon souffle et essaie de réaliser ce qui se passe. Je viens tout juste de… comment dire… d’avoir eu ma première fois avec un surnaturel. Wow ! Mais c’est bien MIEUX qu’avec des humains en fait ! Bon faut aimer la sauvagerie et… et… attends… Je me redresse un peu en couinant de douleur, car il m’a bien endolorie l’entrée du derrière et regarde la catastrophe.
 
 - ho nooonn je rêve !
 
Mon oreiller : bousillé. Mon matelas : transpercé par endroit. Mes draps : lacérés. Dire que c’est ma PEAU qui aurait finit en gruyère s’il n’avait pas maltraité mon pauvre nid douillet. J’avale une gorgée de salive. Ouais, alors, soit il y a un moyen de l’attacher pour le faire… soit je découvre que je suis maso… mais faut que je fasse attention avec ce genre de rapport. Un picotement me titille le cou. Je pose mes doigts dessus et regarde. Ho. Du sang. Une éraflure lorsqu’il m’a touché de ses crocs pendant l’acte surement. J’entends un petit bruit de respiration : le loup dort. Moi qui aurais bien voulu un câlin d’après coup, c’est raté. Je suis fatigué moi aussi maintenant. Ho, tant pis, peut-être câlin du réveil suffira. Je ferme les yeux et quelques secondes plus tard, …. Z….

O


Lorsque j'ouvre les yeux, il dort encore. Oui il a besoin de plus de sommeil pour récupérer. Je souris et m'étire. hmm quelle nuit... c'était intense. C'était... puissant. et jouissif. La petit éraflure a cicatrisé, ne laissant qu'une petite marque, je le sens au bout de mes doigts. Je finis par trouver le courage de me lever et le regarde dormir. Il est mignon comme ça. Paisible, avec une position bizarre en dormant. Je sors en silence de la chambre et me frotte le postérieur, qui se remet un peu mal de tout ça, et fait couler un thé à la menthe et du café, juste au cas où il n'aime pas le thé au matin. Puis je grille des toastes et pose ce qu'il faut sur la table. Tant pis pour les clients ce matin, je prétexterai une urgence. Ce n'est pas faux d'ailleurs, maaiis... avec un imprévu de dernière minute particulièrement cocasse. Je sirote mon thé en faisant un petit jeu sur téléphone, en attendant que le grille pain fasse sauter les toasts. Un bruit devant de la chambre m'indique de son réveil. Quand il arrive, je lui souris.

 - bonjour, destructeur de matelas très sexy ; Je ris de sa bouille ; bien dormis?
Mer 29 Mar - 21:46
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Un léger chatouillis se fait sentir sur mon visage, je grogne un peu et passe mon bras par dessus ma tête en me tournant. Je prend une grande inspiration et de nouveau ce chatouillis qui reviens cette fois avec volonté de m’étouffer. Je me retourne une nouvelle fois en me cachant sous les draps. Je commence à sortir lentement du sommeil. J’ai vraiment dormi comme un bébé. Je me sent bien reposé. J’émerge lentement de celle bulle cotonneuse et laisse les odeurs m’accueillir. Odeur de lavande, de savon, de Sébastien… ah oui c’est vrai que je suis chez lui, des odeurs de … SEXE ? J’ouvre grand les yeux et sors de la couette. Mon regard balaye la chambre vide et je retombe sur le lit.

Mes mains se plaque sur mon visage. Mais qu’est ce que j’ai encore fait ? J’ose jeter un œil à droite et à gauche pour découvrir les dégâts. Je suis allonger dans un amas de plumes et de draps en lambeau. Super… vraiment top. Je me relève et inspecte les draps pris soudain d’un pic de panique. Je renifle et tâtonne mais rien, aucune trace de sang. Je me détend, au moins je ne l’ai pas vidé de son sang. Et il semble vivant puisque je l’entend dans la pièce d’à côté entrain de préparer le petit déjeuner.

J’ai brièvement envie de prendre mes jambes à mon cou et de m’enfuir. J’ai honte d’avoir massacré le mobilier comme ça. D’avoir agit sur un coup de tête et bon niveau préservatif on en parle même pas. Je ferme les yeux et les images de la veilles me reviennent en mémoire. Ok dire que je n’ai pas pris de plaisir serais un mensonge peu crédible… j’avais besoin de décompresser, de me changer les idées et voilà c’est arriver, c’est tout. Seb était dans mon sillage et de ce que je me souviens même si c’est moi qui ai lancer le truc de manière peu subtile il a eu l’air d’aimer ça.

Je me frotte la tête et me force à me lever. J’aimerais pouvoir prendre une douche et avoir une tête un peux plus présentable mais pour cela je doit déjà passer par la case salon cuisine ou se trouve Sébastien. Je soupire et chercher quelque chose à mettre sur moi, par ce que bien sur mes affaire sont rester à la grotte. Je hausse un sourcil en regardant le lit. Bon bin… au point ou on en est après tout. Je prend un lambeau de drap de la taille d’une serviette de bain et la noue à ma taille.

Allez Samy tu te lance et tu franchi cette fichu porte. Je pose la main sur la poignée et ouvre lentement avant de me glisser dans la cuisine où l’odeur de pain griller et de café vienne m’accueillir et faire gronder mon estomac. Mon regard se pose sur Seb qui me souhaite le bonjour en soulignant que j’ai légèrement saccagé sa literie. Malgré ça je ne sent aucune agressivité dans sa voix et il se met même à rire. C’est un bon point pour moi ça. j’inspecte rapidement son corps à la recherche de blessure, bleu ou autre que j’aurais pu lui faire. Je m’avance et m’assoie en face de lui un peu penaud. Je hoche la tête les yeux baissé avant de les remonter lentement vers l’humain que j’ai sauvagement pris la veille.

- hm..hm.. euh oui… bien dormi, très bien même et toi ?

Je me tortille un peu sur ma chaise et attrape la cafetière pour me servir un GRAND café. J’aime le thé mais je ne sais pas pourquoi je n’aime pas la menthe depuis que je suis loup. Un problème dans le gène canin peut-être. J’hésite avant de parler et prend une gorgé du liquide bouillant pour me donner du courage.

- Pour… Euh, pour le lit je vais payer ne t’en fait pas.

Je me frotte la tête et je vois une plume qui tombe devant mes yeux et se pose à coté de ma tasse. Je ris un peux gêné. Des plumes sont encore emmêler dans mes cheveux c’est super… visé un peux le look : un loup-garou d’une trentaine d’année, les yeux encore brillant du sommeil et du plaisir nocturne, habiller d’un drap déchiré et pourvu de plus dans les cheveux. Magnifique tableau.

Je repousse la plume blanche et me racle de nouveau la gorge et le regarde sans vraiment le fixer dans les yeux, j’essaye de masquer mes rougeur en me cachant un peu derrière ma tasse de café mais je ne suis vraiment pas sur que le résultat soit concluant.

- Et … pour cette nuit ? Est ce que … Je t’ai fait mal ? Je n’ai pas fait ça avec un humain depuis que je suis loup alors… c’est un peu compliqué pour moi à gérer. d’où le mobilier en vrac ce matin.

Je prend une gorgé de café et prend un peux plus d’assurance dans ma voix.

-  Avec les autres surnaturel on ne bride pas la violence de nos pulsion et on là laisse s’exprimer en plein.

Je me lève lentement et me tourne pour montrer mon dos. Je lui laisse le temps d’admirer les traces de griffure laisser par les mains d’Erik. Je les sent qui me picotent un peux sous le regard de l’humain qui à été mon amant pour la nuit.

- Petit échantillon de ce qui aurais pu t’arriver si je n’avais pas canalisé mes pulsions sur ton lit… je ne sais pas pourquoi mais les griffures de mon alpha mettent toujours plus de temps à cicatrisé qu’un coup de couteau ou une balle… et elles laissent plus de trace…

Je hausse les épaules pour renforcé mon sentiment d’incompréhension. Je me rassoit et continue de boire mon café. Un petit sourire en coin se dessine sur mes lèvres et je hausse les sourcils frappé par une idée qui me semble la plus plausible.

- Quoi que… C’est sûrement car il veux que ça reste. Il veux me marquer comme du bétail et que tout le monde sache à qui j’appartiens…

Je ricane un peu amèrement de cette idée. Cet enfoiré en serais vraiment capable. Marquant sa propriété pour dissuader les autres pendant que lui se tape tout le pays sans aucun remord. Seigneur  que je hais ce type. Une autre pensé me viens je plisse les yeux en fixant Sébastien. Il est totalement imprégner de mon odeur et le plaisir charnelle parfume sa peau.

- Hmm un conseil… ne te balade pas trop en ville durant les deux prochain jour… Autant ne pas prendre de risque de ce côté là…

Je tend la main pour prendre un tranche de pain griller et met du beurre dessus. Je me lèche les doigts et mord dans le pain avec appétit. Je fini ma bouché avant de reprendre sur un ton plus sérieux.

- Au cas ou tu t’inquiéterais… par rapport au fait que l’on ai pas mis de capote, j’ai fait des testes il y a moins d’un mois et tout mes vaccins son à jour en raison de mon boulot. Du coup même si je suis un loup errant, je suis clean.

Ouais clean… enfin entre temps tu as couché avec Erik et lui tu sais pas si il l’est… Parce que bon avec tout ses plans cul pas sur qu’il prenne le temps de se protéger à chaque fois cet enfoiré. 
 
Jeu 30 Mar - 18:50
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Vêtu d’un pagne improvisé, des plumes de mon duvet dans les cheveux et avec un brin de gêne dans son attitude, Sam s’approche de moi. Craquant. Adorable. Sexy. Sauvage. Doux. Enfin en gros cet homme est tout ça à la fois ! Il ne cesse de me regarder avec un drôle de petit air, comme s’il assumer ce qu’on a fait mais ne peut se retenir de s’en vouloir un peu. Sur ce deuxième point, j’espère qu’il va vite comprendre que tout remord peut être effacé.
 
 - j’ai également très, Très bien dormis.
 
Je pose mon téléphone et le regarde se servir un café dans mon mug One piece, qui porte la figure de Zoro le sabreur à trois sabres. Mon perso favori de l’équipage. Mais je me reporte bien vite sur le loup-garou qui tient le Mug. Torse ferme, ventre possédant de beaux abdos, musclé mais pas bodybuilder… quoi !? Maintenant que j’ai couché une fois avec, je m’autorise le droit de le mater. Il me parle de payer pour la literie. Hm, vrai qu’il a commencé et que c’est lui qui a tout détruit, mais je n’ai absolument rien fait pour l’arrêter.
 
 - Disons… tu payes le matelas et les oreillers, je paye le drap et housse. ; J’ajoute avec un sourire ; j’y tiens, Sam, ne t’inquiète pas pour ça.
 
Ha. Un peu de son couvre chef tombe sur la table. Je pouffe de rire en voyant ses joues prendre une légère teinte et le voilà qui racle sa gorge. Je prends deux toasts que je tartine de beurre et de confiture de groseille, avant de mordre dedans à pleine dent. Hmmm c’est acidulé et sucré en même temps ! Tellement bon. Recette de ma ptite maman auprès de qui j’achète les confiotes qu’elle vend, avec sa fameuse « réduction famille ». Le Business, sûre que je l’ai pas pris côté papa !
 
Ahhaaa ! Voilà enfin le sujet que je sentais venir. Ça se voyait gros comme une maison qu’il souhaitait parler de notre nuit… Torride et merveilleuse nuit… pour prendre mon état en considération. Je ne disais rien, tout bonnement pour ne pas le brusquer dans ses mots. Je garde le silence tout le long de son discourt, en souriant et mangeant tranquillement. Le voir se confondre en excuse, en mots convainquant, c’est juste trop mignon. Il me montre ses traces dans le dos et je me caresse la barbe. Yyyep, c’est pas rien. Il pense que c’est parce que c’est son alpha et donc ça engendre des choses. Oui, je suppose aussi. En tout cas c’est même presque logique… surtout si Sam lui-même, inconsciemment ou non, VEUT garder les traces de passages de son gros méchant Loup.
 
 - Pour cette nuit, je t’assure que tu ne m’a fais aucun mal. C’est même le contraire, j’ai jamais eu un aussi bon coup jusqu’ici. ; je ricane avec un regard salace ; j’vais un peu plus m’intéresser au sexe avec les surnat’ finalement. Ça à l’air biieenn plus palpitant. Enfin… Sauf le côté destructeur violent. ; je me frotte la nuque de mon tique nerveux habituel ; ou alors j’apprends à être masochiste ! Ou bien j’attache le ou la partenaire !
 
Je me mets à rire de parler de tout ça comme ça, mais bon je n’ai aucune gêne niveau sexualité, je peux en parler à n’importe qui comme si je parlais du temps du jour. Et puis ça repart sur son possessif de premier. Hmf.. ne pas aller en ville les deux prochain jours ? Possible. Et le fait de changer les draps et nettoyer à la javelle la maison devrait limiter les risque qu’il sente le passage de Sam en bas, si l’idée venait à ce type de passer à ma boutique. J’ai pas vraiment envie, bizarrement hein, de finir en carotte râpée.
 
 - Bien sûre, je m’arrangerai pour les odeurs aussi. J’ai ma vie à protéger en plus là ! héhé…
 
Et vient un sujet qui m’était coommplétement passé au-dessus de la tête. LA CAPOTE ! On a PAS mit de capote ! bordeeelll… Je sais que les loups peuvent pas souffrir de la majorité, totalité ?, des effets des maladies mais moi ! Je sens que j’ai une batterie de testes à faire moi dans deux jours. Je soupire et me fais un facepalm. On est chez moi, et j’étais censé être celui aux idées claires. Je suis un peu plus responsable de cet oublie. Bon. Avec de la chance… Je soupire et avale plusieurs petites gorgées de thé pour le finir, finis mes toast, bois un verre d’eau et soupire à nouveau en me laissant crouler sur ma chaise, seulement vétu de mon boxer.
 
 - Bien alors… Je ferai des testes au cas où pour les MST, et j’espère bien ne rien avoir ! Je suis plutôt chanceux en général mais… j’espère sérieusement l’être encore maintenant pour le coup.
 
Je me lève et débarrasse mes affaires dans l’évier, ajoutant par un signe qu’il fasse de même. Je ferai la vaisselle plus tard. Mon derrière me lance un peu à nouveau, mais bon ça finira par passer. Je me tourne vers lui et attends qu’il soit debout pour me lover contre lui, avec un regard un peu coquin.
 
 - Il reste une chose que je désire de toi, et que je n’ai pas eu hier : mon moment câlin d’après couche.

 
Je pose ma tête contre son épaule en souriant et le sers dans mes bras. Voila ! moment câlin, tout doux. Je fais toujours ça, c’est un petit plus qui me rends toujours joyeux. Je le regarde à nouveau dans les yeux.
 

 - Je vais prendre une douche. Tu as le choix d’attendre ou… de m’aider à me laver.
 
Je fais un clin d’œil et me dirige vers la salle de bain en prenant mon temps. Il me mate, ou pas. J’en sais rien et tant mieux, tant pis. Une fois dans la salle, je retire mon seul vêtement et prépare l’eau à la bonne température, ainsi que les savons et shampoing que je vais utiliser.
Mar 4 Avr - 21:49
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J’ai l’impression que la situation l’amuse beaucoup. Bah quoi on peux être un loup-garou et rougir. Je me concentre sur ma tasse de café en tachant d’ignorer ses regards amusé qui n’arrange rien à ma situation. Comment est-ce que j’en suis arrivé là ? Coucher avec lui et maintenant prendre le petit déjeuner comme si de rien était. Bon au moins de ce qu’il dit l’expérience avec un loup à plutôt été bonne. Ses remarques me font rire.

- Je suis pas sur que l’on soit tous comme ça. Je pense que ça joue dans la génétique, pour les loup nous avons ce coté animal assez brute qu’on arrive plus où moins à gérer et je sais que les vampires sont plus du genre… sensualité mortel.

Je ricane à cette évocation. On peux dire que oui les surnaturels sont assez… pimenté à ce niveau mais en y regardant bien il y a certaine pratique chez les humains lambda qui sont assez… déroutante aussi pour le pas parler du bdsm. Je mange ma tartine beurré en le regardant. Il semble légèrement paniqué par rapport au fait qu’on ne se soit pas protéger.

- Comme je te l’ai dit je suis à jours sur tout mes vaccins humain… je ne pense pas que j’ai de maladie surnaturel que je pourrais te filer alors je suis sur que t’aura rien mais oui vérifie quand même.

Petit déjeuner fini je le regarde se lever et débarrasser il me fait signe de la tête de faire pareil mais il n’avait pas à se donner cette peine car je me lève à sa suite pour l’aider à débarrasser la table et mettre mon mug et les affaires qui nécessitent un lavage dans l’évier. A peine debout je le vois pivoté vers moi et se caler entre mes bras avec un air légèrement salace. Je plisse les yeux mais ne fuis pas. c’était donc un piège cette invitation à débarrasser…

- Il reste une chose que je désire de toi, et que je n’ai pas eu hier : mon moment câlin d’après couche.

Cette requête me fait pouffer de rire. Je secoue la tête d’un air de reproche mais passe quand même mes bras autour de lui. Un câlin, rien que ça… Tsss. Je ferme les yeux et profite du contacte de sa peau chaude contre la mienne.

- Désolé… je n’y ai pas pensé c’est pas tellement un truc habituel…

Il se détache de moi et me dit qu’il va prendre sa douche et rajoute avec un clin d’oeil que je peux le rejoindre sous l’eau. Je le regarde avec un sourire en coin. Je descelle une idée derrière ça petite tête de faux blond… Je sent une vive brûlure le long de mon dos alors que j’hésite à me laisser tenter. Cette main griffu qui lacère ma chair d’une tendresse malsaine et qui me rappelle à qui j’appartiens.  J’inspire à font. Ok j’ai compris. Merci subconscient mais des messages plus doux serais la bienvenue.

- Nan je crois que je vais te laisser le premier tour je vais attendre…

Je le regarde partir et mon regard se pose sur son dos, ses hanches et son jolie petit cul définitivement bien mis en valeur dans ce boxer… Je souris comme un idiot. J’ai bien le doit de mater j’ai déjà consommé. Par contre hier je n’ai pas vraiment pris le temps de regarder… Il est bien foutu le petit humain. Ça va je m’en sort pas trop mal, même HS j’arrive à lever des beau-gosse. Arrête ça tout de suite Samy tu t’aventure du coté obscure à avoir ce genre de penser… on dirais Erik.

En attendant Erik ne m’est pas apparut depuis hier soir avant que je m’endorme ce qui est pour ses dernier jours un exploit surtout lorsque l’on sait que je n’ai pas pris mes cachet depuis la grotte où j’ai vomis mes tripes. C’est bon à savoir le sexe me détend assez pour ne plus avoir d’hallucination. C’est bien beau mais je ne me sent pas vraiment capable de coucher à droite et à gauche juste pour oublier mon mec et ses apparition dans ma tête. C’est un truc qu’Erik fait, pas moi.

Je me concentre sur la vaisselle dès qu’il quitte la pièce. Autant servir à quelque chose d’utile et montrer que je sais faire autre chose que détruire des lits. J’ai les mains plonger dans l’eau et dans la mousse lorsque je regarde l’heure. C’est déjà bien avancé dans la matinée. Heureusement que j’ai pris une journée de congé. Je prévois toujours le coup les lendemain de transf… Oh putain merde ! Ça fait deux nuit que je me suis transformé c’était pas hier ! Je suis en retard au boulot. Partir en courant au boulot ? Non pas comme ça il faut au moins que je prenne une douche. Bon et bien Seb tu vas l’avoir ta douche en duo.

Je prend la direction de la douche et les idées se bousculent dans ma tête. Vêtement pour aller travailler ? Bin j’en ai pas. Voiture ? Elle est en forêt. Téléphone et bipeur ? Dans la grotte… Tout va bien dans le plus parfait des mondes. J’ai l’impression de prendre un seau d’eau glacé en pleine tête et de me réveiller dans une réalité qui n’est pas la bonne. Tout va mal, tout va trop vite. Le temps m’échappe et j’ai l’impression d’être ce satané lapin lapin blanc d’Alice au pays des merveilles.

Je pousse la porte de la salle de bain et enlève le morceau de drap du tour de ma taille avant de me glisser dans la douche. L’espace n’est pas ultra grand, surtout pour deux hommes en fait, ce qui donne un aspect tout de suite plus intime et érotique à la chose. NON pas ce genre de penser maintenant j’ai vraiment pas le temps, même en pliant bien ça ne rentre pas dans le planning. Je fait un grand sourire à Seb et interviens avant qu’il n’y ai confusion.

- C’est pas pour un câlin hein, c’est juste que je suis tellement déphasé que j’ai oublié que je devais bosser aujourd’hui.

Je me met à rire en me passant de l’eau sur le corps et sur ma tête. Je ferme les yeux et passe une main dans mes cheveux pour les démêler et enlever les plumes qui reste encore accroché. J’ouvre les yeux une fois totalement mouiller et regarde Seb.

- A ce propos est ce que je pourrais te demander un petit service ou deux ?

Je lui sers mon plus beau sourire et avec mon coté chien mouiller je sais qu’il ne pourrai pas résister. Je prend le savon et me frotte avant d’utilisé le surplus pour lui frotter le dos.

- Premier service est ce que je peux te piquer des vêtements? Deuxième service est ce que tu peux me conduire à mon taff ? J’ai des affaires de rechange dans mon casier ça devrais le faire mais à poil pas sur que mon boss aime… arriver sous ma forme louve serais plus discrète mais je gère mal en ce moment, autant éviter les accidents.

En le savonnant je remarque une éraflure sur son cou. Je fronce les sourcils. Je ne l’ai pas vu ce matin à cause de ses cheveux mais là… Je suis presque certain qu’elle n’y était pas hier. Je la touche du bout du doigt l’air soucieux.

- C’est moi qui t’ai fait ça…

Ce n’est pas une question. Juste une affirmation à vois haute. Je soupire et frotte mes mains entre elle.

- Ne bouge pas.

Je place une de mes main sur son cou à l’endroit de la griffure. Une douce chaleur s’échappe de ma paume et je ferme les yeux pour me concentrer. En une minute c’est fait. En même temps ce n’était qu’une petite griffure rien de trop méchant. Je retire ma main et il n’y a plus aucune trace. Je lui souris et dépose un léger bisous la où était la blessure.

- Ça y est c’est guéri… Tu n’aura pas de séquelle je ne suis pas assez puissant pour qu’une simple éraflure face de toi un loup. C’est un élément que tu devras prendre en compte si tu couche avec des loups, évite les alpha ou alors opte pour la muselière.

Je ricane pour détendre l’atmosphère. Personnellement ma marque de loup-garou est beaucoup plus impressionnante qu’une simple éraflure malgré la puissance de mon loup noir. Une griffure aurais suffit mais ce n’étais pas l’objectif qu’il avait en m’agressant. Non il voulais ma mort et c’est ce qui  serais arriver si je n’avais pas eu d’excellent reflex et une seringue de tranquillisant charger a bloc sur moi. Depuis ce jour j’ai la trace de la mâchoire d’Erik sur la cuisse.
 
Mer 5 Avr - 22:07
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Ho, donc il y a des chances que certains soit moins sauvages. Surement côte sorciers/sorcières et vampires. Hm… Je pourrais commencer par là après tout, si je veux m’initier au surnaturel. Je rosis un peu. Wow, je réagis comme un gosse qui découvre les bonbons pour la première fois, et qui en veut encore. Oui, bon, pour sûre j’en veux encore. Mais où en trouver pour sûre… Je vais demander après ma douche à Sam s’il connaitrait ce genre d’endroit. Ho, je suis un adulte responsable de sa propre pomme, s’il m’arrive quelque chose du fait que j’ai cherché la merde, faudra bien que j’assume. Il accepte le calin, en fait je ne lui laisse pas vraiment le choix, et nous nous serrons dans les bras. Il est si chaud, si doux… J’adorerai pouvoir câliner sa forme louve aussi, avec son beau pelage tout bouffant ! Oui j’aime les chiens. Mais aussi les rongeurs et les oiseaux… certains reptiles… et bizarrement, je ne me suis entendu qu’avec très, très peu de chats. Et bien faut croire que je suis pas leur type d’humain, héhé.
 
 - ho si on recommence un de ces jours, tu devras y repenser !
 
Je lui fais un clin d’œil en tirant la langue. Je plaisante à moitié, tout dépendra de si lui a aussi envie. Je lui précise juste que ma porte lui est ouverte AUSSI pour ce genre « d’entrainement ». Cependant, il ne souhaite pas me rejoindre sous la douche. Ho, tant pis, peut-être la prochaine fois. Malgré son refus , je sens son regard sur moi, et j’avoue aimer ça, être mater par des sexy’s. Je file donc sous la douche en prenant un peu mon temps et prépare le tout, avant de monter dedans et me mettre sous l’eau. Je détache mes cheveux et laisse l’eau humidifier mes cheveux épais, ma barbe, mon corps…  de toute façon je suis en retard pour l’ouverture, alors…  Je prends le shampoing et masse mon crâne, après avoir fermé les yeux et baissé la tête. Je me sens engourdis après tout ça, je risque de ne pas parvenir à me concentrer aujourd’hui.
 
Un bruit me fait tourner la tête. Des pas pressés venant dans ma direction. Deux idées me viennent en tête : un, son méchant Loup est venu le chercher par la peau des fesses et il cherche à m’en protéger. Deux, il a finalement envie de prendre une douche avec moi. J’essuie mes yeux plein de mousse et remarque avec plaisir que c’est la seconde réponse la juste. Il vire en vitesse son pagne et hop, collé serré. J’allais faire une remarque salace mais sa phrase me stop net. Je prends un air dépité en soupirant.
 
 - hoo moi qui espéré que tu sois tombé sous le charme !
 
Je ris avec lui et continue de me shampouiner avec vigueur, avant de passer l’eau sur nos deux têtes. Le faire dans l’eau… c’est juste génial de faire l’amour, ou de baiser, dans un lac ou dans la salle de bain. Je suis fortement rattaché à l’eau, selon ce qu’on m’a dit lors de mon voyage en Inde, qu’il serait mon élément. Ma foie, ça me va. Bref. Je lui passe le savon liquide senteur vanille, je prends celui lavande. Oui, j’ai trois savons d’ouvert. J’aime avoir des odeurs différentes selon les jours, pareil pour mes shampoings.   « Une vrai femme pour sa toilette j’vous jure ! » la vois de mon Tonton résonne dans ma tête. Il adore me charrier là-dessus, de même pour la famille. Il n’y a aucune critique, c’est de la rigolade, c’est tout… et je le leur rends bien.
 
Il me regarde alors dans les yeux, avec une tête de pauvre petit chien abandonné, mal nourris, battu, abandonné, malchanceux. Et BON SANG ! Il fallait qu’il joue sur ça ! Bon sang mais non ! Comment tu veux dire non à une telle bouille ! Comme un homme de son âge peut être aussi… aussi… craquant et adorable. Je soupire et pose un baiser sur ses lèvres. Il ne me demande pas la mort en plus de ça, il a du s’amuser à me voir fondre de tendresse, le méchant Loup.
 
 - Oui tu peux me piquer des affaires, oui je te mène au boulot, et en plus, ça te fera une bonne occasion de me revoir : me rendre mes affaires ; je ricane et le prends contre moi, alors qu’il me lave le dos. C’est agréable. Je fais de même en posant mes lèvres sur son épaule ; Dommage que tu dois partir… J’aurais bien recommencé.
 
Je le liber. Il remarque alors le petit bobo à mon cou et il me soigne. Ho, oui, vrai que la morsure contamine. Mais bon je pense que j’en aurais déjà eu quelques effets depuis les heures qui se sont écoulées. Je lui souris pour le remercier de m’avoir soignée de cette petite plaie, et fini de me rincer avant de sortir de la douche. Je lui lance une serviette et m’essuie également. C’est là que je le remarque. Cette marque. Je baisse le regard vers elle et la touche de la main.
 
 - c’est lui qui t’as fait ça ?

 
Je retire ma main et sourie faiblement. Il devait être enragé quand il a fait ça, son copain. M’enfin… je pense qu’il n’a plus envie de parler de ce genre de chose, ni de lui pour le moment. Je lui donne une tape sur les fesses.
 
 - aller, va t’habiller ptit loup ! allons dans la chambre.
 
Une fois au lieu-dit, je lui donne un jogging et un T-shirt trop ample pour moi. Il est plus large, plus musclé que moi, en plus d’être plus grand.. alors forcément il risquerait d’être à l’étroit dans un de mes jeans ou T-shirt normaux. Une fois fait, nous montons et j’ouvre ma boutique, ou poireaute deux de mes clients les plus fréquents, un couple de 70 ans, qui me lance un regard. Je me frotte la nuque, tic de quand je suis embarrassé.
 
 - Monsieur et madame Jordans, désolé de l’attente mais je ne peux pas ouvrir maintenant…  Ce monsieur ici présent c’est perdu hier soir et été blessé et… enfin voila quoi.
  - ho encore un oiseau tombé du nid, hein ?
- voila madame. Héhé…
  - aller, dépêche toi gamin qu’on puisse faire nos emplettes.
- oui monsieur !

 
Je trottine jusqu’à ma camionnette et démarre. Je le laisse me guider à partir des frontières de la ville et durant le trajet, je reste silencieux, plus attentif à la route. A la radio se joue des musiques que j’écoute à peine, et nous voilà arrivé à son boulot. Je lis l’enseigne.
 
 - ho, tu es vétérinaire ?   ; l’idée de tout à l’heure me revient alors ; ho ! et si je veux rencontrer des surnaturels pour... tester… tu aurais un bar ? Une adresse ?
 
Il sort et part après avoir donné plus ou moins l’info, on se salut de la main, et je fais demi-tour, direction ma cabane. Et voila. Sacré rencontre, qui promet d’apporter son lot d’aventure prochainement. Je laisse le vieux couple prendre leurs thés et ingrédients. Se sont de vieux sorciers qui acceptent de vieillir… qui accepte le fils du temps… qui accepteront la mort quand elle viendra. Je les admire, surtout avec les sorts qui peuvent rajeunir ou faire vivre plus longtemps. Ils ont le droit à une réduction, grâce à la formule  « une fois, une semaine ». Ils partent avec un salut de la main que je leur rends et … que la journée passe.
Dim 9 Avr - 15:26
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Je ricane en voyant mon charme de chiot battu faire effet sur l’humain. En même temps j’ai une tête de victime avec ma bouille innocente, mes cheveux tremper devenues trop long et mes grand yeux clair. On rajoute à ça le fait que je sois nue et donc mes cicatrices bien visible et le tableau est parfait. Il craque et décide de m’aider. Son corps se colle au miens pendant qu’on se savonne et je détourne le regard pour éviter de m’exciter, il y a assez du contacte. Il fait exprès de se frotter à moi et viens m’embrasser l’épaule. Il me fait par de son regrets que je doive partir car il aurai bien aimer jouer avec moi. Je lâche un grondement sourd malgré moi.

- Évite de m’exciter s’il te plaît… je n’ai pas le temps et je n’ai pas envie de te prendre comme une bête où en deux coup de rein c’est fini… ce ne serais bien ni pour toi, ni pour moi… une autre fois peut-être.

Je suis taré, envisagé de recoucher avec lui… J’ai un mec… je suis casé ! Ouais enfin presque… si on oublie que mon mec en à rien à foutre de moi, qu’il se tape qui il veux quand il veux et qu’il m’utilise comme plan cul avant de me jeter sans le moindre remord. Oui… mais malgré tout ça… je l’aime. Je ne sais pas pourquoi ? C’est totalement débile, absurde, grotesque ! Utilise l’adjectif que tu trouveras le mieux mais c’est incompréhensible. Je le hais et je l’aime en même temps. On a la relation la plus malsaine qu’il puisse y avoir. Incapable de ne pas se foutre sur la gueule avant de baisé dès que l’on se vois… C’est pathétique et pourtant je suis totalement soumis à lui comme lorsqu’il était mon Alpha. Un claquement de doigts, un grondement et je lui obéis comme le plus fidèle des chiens. Jusqu’à la mort… c’est ce que je lui répétais lorsque l’on vivait ensemble et je pense que je n’ai jamais dit quelque chose d’aussi juste.

Une fois rincé on sort de la douche et il me tend une serviette. Je m’essuie en vitesse et il fait une remarque sur les traces de crocs sur ma cuisse en posant sa main dessus. Je frémit à ce contacte sur une parti de moi que je n’expose jamais. En général les gens détournes les yeux des cicatrices, les contourne lors des caresse, ce genre de marques répugne les gens normaux mais lui il fixe mon corps sans dégoût dans les yeux et ses doigts parcours la marque incrusté dans ma chair qui restera la jusqu’à ma mort quoi que je fasse, la magie peux masquer mes autres marque… elle ne fera jamais disparaître celle là car c’est celle qui ma faite. Ma marque de loup. Je la regarde et la caresse du pouce avant de lui accorder un sourire triste et que hausser les épaules en hochant doucement la tête. Oui c’est Erik, Ma première marque mais loin d’être la dernière.

On retourne dans la chambre ou il me prête des affaires et je m’habille. Jogging et T-shirt, ça ira parfaitement bien. Je passe une main dans mes cheveux humide tourne sur moi même pour être sur de ne rien oublier avant de me rappeler comme un idiot que je n’ai aucune affaire chez lui. Bin oui… c’est pour ça que je suis en panique ce matin, imbécile que je suis ! On remonte les escaliers et je sent deux personnes qui attende. Ils entrent et je vois qu’ils s’agit de deux petit vieux, un couple sympathique même si je tique un peux sur le fait qu’il me compare à un oiseau. j’ai envie de sortir les crocs et de prendre un profond grondement de gorge pour les remettre sur le droit chemin d’un air de dire « tu sais ce qu’il te dit l’oiseau ? » mais je me retiens, je fait profils bas et j’avance en évitant leurs regard.

On monte dans la voiture et je le guide. c’est de l’autre côté de la ville mais heureusement la circulation est bonne. On ne met pas énormément de temps à arriver et je lui indique de se garder devant la clinique. Je souris à son air étonné par rapport à mon métier.

- Ouaip… vétérinaire et j’avoue sans trop me vanter que je suis le meilleur de la ville… mais ça… c’est grâce à mes dons de loup.

Je lui fait un clin d’œil en mettant mon index devant mes lèvres dans un signe de silence pour garder le secret et m’apprête à descendre lorsqu’il m’interpelle pour me demander quelque chose qui me fait rire. Oh le petit excité, le pauvre je l’ai corrompu et il en veux encore. J’hésite un moment puis réfléchit.

- Il y a un bar en ville… un bar de surnaturel. Si tu veux rencontrer quelqu’un ce sera là bas mais fait quand même attention à toi… tout les surnaturel ne sont pas forcément très amicale envers les humain.

Je lui décrit comment accéder au bar puis je sort de la voiture après lui avoir dit au revoir, je lui fait un signe de la main avant de m’engouffrer dans la clinique. Ma collègue de l’accueille me regarde comme si j’étais un extraterrestre en observant la voiture partir. Elle se contente d’un bonjour un peux froid et de me faire remarquer mon retard tout en accentuant du regard ma tenue en me faisant bien comprendre que le retard n’est pas la seule chose qui est inadmissible. Je m’excuse et file en vitesse dans les vestiaires où je me change. Je garde toujours une tenue propre dans mon casier en plus d’une blouse de rechange depuis que j’ai eu un incident avec un petit chiot trop affectueux qui faisait pipi partout.

- Hey t’es tombé du lit ? t’as une sale tête… J’ai essayer de t’appeler mais tu répondais pas.

Je referme mon casier et regarde avec le sourire un de mes collègues qui me fixe amusé de me voir dans cet états.

- Tu sais que j’étais parti en randonner il y a deux jours. j’adore faire le vide, la montagne tout ça… Bref Je me suis perdu comme un idiot, mon téléphone dans ma voiture, impossible d’appeler du secours. j’ai passer la nuit dehors et au petit matin un mec ma trouver transit de froid… j’arrive juste, je n’ai pas encore récupérer mes affaires mais ne t’en fait pas je suis opérationnel comme toujours !

Je lève le pouce en l’air pour signifier que je suis en pleine forme et que mon travail ne va pas s’en ressentir. Il s’approche de moi et me met une main sur les épaules l’air soucieux.

- Tu as de la chance qu’il ne te soit rien arriver… les environs de Fearwood ne son pas très sur la nuit… certain parle de bêtes qui rode dans les bois comme des loups énorme. Évite de trop de balader dans la forêt sans ton téléphone la prochaine fois ok ? Je n’aimerais pas me retrouver à gérer tes clients en plus des miens.

Je ricane sur la fin de sa phrase qu’il prend avec un air ridiculement accablé et on se dirige vers le bureau pour prendre un café. Si seulement il savais il ne se ferais aucun soucis pour moi.
Je suis le grand méchant loup qui rôde dans les bois…
 
Mar 11 Avr - 10:48
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