Fearwood
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Fearwood

Fearwood est une ville où cohabitent diverses espèces, humains, vampires, loups-garous, sorcières. Attention à vos arrières. Ceci est un RPG.
 
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What do you want to drink ? [Cléore/Sam]
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What do you want to drink my Lady ?
Je ne suis pas un alcoolique qui se saoule au Rhum, je suis un pirate. Non ?

 

La nuit est tombé sur la ville et j’admire les lumières qui s’allume petit à petit. Vu du haut de l’immeuble ou ce situe mon appartement ces lumières ressemblent à de petite luciole. Je trouve ça vraiment beau. Finalement la ville à aussi son charme. Je passe une main sur la commissure de mes lèvres, un geste inconscient qui traduit mon envie de boire.

Je me détache de la fenêtre et me dirige vers la cuisine. Ma main touche la poignée du placard ou je range mes bouteilles lorsque je me ravise. Et si je sortait ce soir ? J’en ai mare d’être seul lorsque je bois, j’ai l’impression de devenir un alcoolique dépendant. C’est que je suis en réalité mais boire en société me donne bonne conscience et me persuade qu’il n’en est rien.

Je me munie de mon manteau long noir et je met mes rangers. Pas besoin de me changer j’ai pris une douche et mis des vêtements propre en quittant la clinique vétérinaire ce soir. Je prend mon porte monnaie remplie de billet près à partir en rhum et sort de chez moi prenant soin de fermer à clé.

La nuit est tiède pour la saison, je ne prend pas la peine de fermer mon manteau. Je regarde de chaque côté de la rue. Boire c’est bien mais savoir où aller c’est mieux. Deux choix d’offre à moi : aller au bar surnaturelle, ce qui signifie risquer de croisé Erik entrain de draguer… soit aller au bar des normaux où j’ai peut de chance de croisé quelqu’un que je connais. J’opte immédiatement pour la deuxième solution. Je n’ai absolument pas envie de voir ce connard avec quelqu’un d’autre, on risque d’en venir aux mains et ça ne va pas être jolie à voir. Rien que l’idée de le voir dans les bras de quelqu’un d’autre me révulse et me donne des frissons. Je secoue la tête pour chasser ces image et bifurque donc dans une ruelle qui me conduit au bar souhaité.

Le dit bar est plutôt simple, il y a quelque clients un peut partout dans la pièce. Je suspend mon manteau à l’entrée et prend mon porte feuille que je glisse dans la poche avant de mon jean. Je me dirige ensuite directement vers le comptoir et m’assoie en douceur sur le siège haut. Certain clients bavardes entre eux mais pour la plupart ils sont en tête à tête avec leur verre. Je fais signe au barman afin de prendre commande. Moi aussi j’ai mon rendez vous en tête à tête qui m’attend.

- Un rhum brun, sans glace s’il vous plaît.

Je glisse un billet pour réglé d’avance. j’ai prévu de claquer ma paye en rhum ce soir alors autant tenir les comptes a jours. Je souris et remercie le gars lorsqu’il me tend mon verre. J’en bois une bonne gorgé, la première est toujours la meilleur. Je dépose mon verre sur le dessous approprié et soupir de contentement. Je pense que cette soirée va être bien.
Mer 26 Oct - 20:16
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Cela devait faire bien plus d'une heure que j'étais assise sur ma chaise de bureau, un paquet de copies à corriger devant moi. Je regardais par la fenêtre, les yeux fixés à l'extérieur. La petite ouverture de mon appartement de centre ville donnait sur une rue plutôt passante. Les voitures allaient dans un sens, repasser dans l'autre, s'arrêter pour faire une coure ou prendre un passager avant de repartir en trombe. N'y avait-il pas de limitation de vitesse ? Les gens étaient tellement pressé en ces temps modernes. Ils ne faisaient plus attention à rien, ils ne prenaient plus le temps d'apprécier les belles choses de la vie. Un peu plus loin à l'horizon, je pouvais apercevoir la cime des arbres qui bordaient le parc. L'automne avait pointé son nez, et la couleur orangée des quelques feuilles restantes sur les branches me le rappelaient très bien. J'étais assise depuis tellement longtemps que j'avais vu le soleil se couchait. Le ciel avait pris une teinte rose-orangé magnifique avant de virer au bleu nuit.
Les lampadaires en bas de ma rue s'allumèrent sans crier gare. Le flash lumineux qu'ils provoquèrent me réveilla. Je me retournait pour voir la grande horloge de mon salon, mais il faisait si noir que je n'y voyais plus rien. Combien de temps étais-je réellement restée assise à mon bureau sans bouger ? Je me penchais en avant pour atteindre l'interrupteur de ma lampe de bureau. Et la lumière fut ! Un nouveau coup d’œil à l'heure m'apprit qu'il était vingt-et-une heure passée. Cela faisait donc au moins deux grosses heures que je m'étais installer pour travailler. Pourtant je n'avais pas touché à la pile de copie devant moi. Je tournais la tête à ma droite pour voir la montagne de copies qui n'avait pas bougée non plus. J'avais donné des contrôle à la plupart de mes classes cette semaine. Mais visiblement je ne tiendrais pas les délais de correction. Qu'importe, de toute façon lorsqu'on passé la parte de ma salle, c'était moi qui faisait les règles, non ? Ils pourraient bien attendre quelques jours supplémentaires.
Je ne savais pas vraiment ce que j'avais ; est-ce que la solitude me pesait, est-ce que j'étais fatiguée d'être ce que j'étais, de devoir boire du sang, est-ce que j'en avais marre de la pression imposée par la société... Toutes ces questions étaient sans réponses. Cependant, les fait disaient que je venais de passer plusieurs heures à fixer l'extérieur sans m'en rendre compte. Tombais-je en dépression ? Soudainement, j'eu envie de me saouler. Je n'étais pas du genre à boire beaucoup et encore moins sur un coup de tête, mais ce soir j'avais besoin de tout oublier, de ne plus me soucier de rien.
Je me levais de ma chaise, décidée à sortir. Je jetais un œil à mon reflet dans le miroir de l'entrée. Dès que j'étais rentrée du lycée j'étais partie à la douche et j'avais enfilai mon pyjama, un ensemble short et top en soie rouge bordé de dentelle noir. Mes cheveux n'étaient pas coiffés et ma peau paraissait encore plus blanche qu'a l'accoutumée. Ce n'était vraiment pas décent de sortir ainsi. Je n'avais aucune envie de me changer. Tant pis, ça ne changerait pas la face du monde si je partais vêtue comme cela. J'attrapais tout de même une paire de chaussette overknee noir dans mon tiroir histoire de couvrir mes jambes. Je pris mon caban mi-long avant d'éteindre les lumières et de fermer mon appartement.$

Je savais où se trouvait le bar, mais je n'y étais encore jamais entré. A vrai dire, l'alcool n'était pas quelque chose que je consommais régulièrement. Et puis je n'étais pas du genre ultra sociable non plus. Je poussais donc pour la première cette porte métallique. Des manteaux étaient accroché dans le vestiaire à l'entrée. Je préférais gardais le mien étant donné que j'étais en pyjama en dessous. Je me dirigeais vers le bar où se trouvaient déjà quelques clients. Je m'assis sur la premier siège libre, à côté d'un homme qui ne devait pas être beaucoup plus vieux que moi. Je me rendis alors compte que je ne savais quoi commander. En fait je ne connaissais pas les alcools qu'on vendaient dans ce genre de lieu. Je commencé à penser que sortir n'était finalement pas une si bonne idée lorsque mon voisin commanda un rhum brun. J'interceptais alors le barman et lui demandais de me servir la même chose.
Quelques instants plus tard, l'homme revint avec nos verres. Mon voisin en pris une grande gorgé et j'en fis de même. Je le regrettais aussitôt. Je n'étais pas familière de ce genre de goût et je crois que je ressentais déjà la chaleur provoquait par l'alcool. Je détaillais l'home à côté de moi. Je me demandais ce qui l'avait poussé à venir boire tout seul ici. C'était quelque chose d'assez triste, il fallait bien se l'avouer. Quand on boit seul c'est qu'on a besoin de réconfort, qu'on a envie d'oublier quelque chose. Que voulait-il oubliait ? Je le fixais intensément comme si la réponse aller subitement apparaître...
Mar 1 Nov - 21:29
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What do you want to drink my Lady ?
Je ne suis pas un alcoolique qui se saoule au Rhum, je suis un pirate. Non ?

 

Je savoure la brulure de l’alcool qui descend lentement dans ma gorge avec déléctation. Je tourne le regard légèrement vers la jeune femme qui semble s’étouffer après sa première gorgé. Le rouge lui monte aux joues graduellement qu’elle avais si pale deux seconde auparavant, je souris amusé et détourne les yeux. En voilà une qui n’a pas l’habitude de boire, je trouve ça assez mignon. Quand on a pas l’habitude de boire on commence pas par un rhum c’est sur, une bière ou un vin ferais mieux l’affaire. Je prend une autre gorgé tranquillement sans plus me préoccupé de la jeune femme à mes côtés. Je laisse vagabondé mon esprit tranquillement, je repense à ma journée et à la semaine que je vais avoir.

Le problème d’être un excellent vétérinaire c’est que l’on deviens très vite demander de partout. Je suis même passer en chirurgie. Je ne vais pas me plaindre, je fait peut être des journées a faire pâlir un insomniaque mais au moins j’occupe mon esprit malade et les rentrer d’argents sont en conséquence. Je ne me suis jamais fait autant d’argent. Je ne serais plus jamais dépendant de quelqu’un. Mon esprit divague quelques seconde vers l’image d’Erik, pas besoin de trimer dur quand on est un riche hérité… je chasse l’image d’un mouvement de tête et bois une petite gorgé.


Je regarde la femme assise à coté de moi du coin de l’oeil. Pourquoi elle me dévisage comme ça ? Je la détail un peu. qu’est ce qu’un petit bout de femme comme elle viens faire dans un endroit comme celui là ? Ce n’est pas le genre de nana que j’ai l’habitude de croisé ici, dans le genre vulgaire et aguicheuse. Non cette femme semble plus perdu qu’autre chose avec ses cheveux en bataille et son teint blafard. Qu’est ce qui a bien pu la pousser à venir ici ? Rupture amoureuse ? Je la regarde discrètement de la tête au pied et hausse les sourcils en voyant une étoffe en dentelle dépasser de sa veste. Ouaip je pense que quelque chose cloche, elle ma tout l’air d’une fille sorti de chez elle en vitesse pour fuir quelque chose. Je vide mon verre d’un trait et appel le barman.


- Tu me remet le même et tu me rajoute un verre de gewurztraminer en vendanges tardives s'il te plaît… 2011 si je ne me trompe pas. Merci.


Je jette un regard à ma voisine de comptoir avant de payer les consommations. Je remercie le gars et fait glisser le verre dans la direction de la jeune femme. Mon coté soigneur et attentionnée me pousse à venir en aide à cette femme dans la détresse. C’est un peu une déformation professionnel j’en suis conscient mais elle me fait penser à un animal blesser et je n’arrive pas a rester stoïque en voyant la souffrance animal.


- Tenez, je pense que ceci sera plus adapté. C’est un vin Français très doux et sucré. C’est fruité et très parfumer je pense que cela devrais vous plaire.


Je lui souris gentiment et hausse les sourcils en désignant le verre du menton. Je vais essayer de ne pas passer pour un gros lourd qui tente de la draguer, mais dans un bar un homme qui offre un verre a une femme est souvent vite relayer dans cette catégorie.
Jeu 3 Nov - 11:47
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Je toussais une nouvelle fois. J'avais l'impression que l’alcool me brûlait encore la gorge. Je pris le temps de détailler l'homme dont j'avais copié la commande, pour laisser s'apaiser le feu dans ma bouche. Il portait des habits sombres, assez classiques. Ses cheveux avaient assez de longueur pour former quelques jolies boucles sur sa tête. Il avait également une barbe de quelques jours. Je ne voyais pas ses yeux avec la lumière tamisée du bar, mais j'étais persuadée qu'ils étaient remplis de mystère. En somme, c'était un homme plutôt séduisant.
Mes yeux s'arrondir quand je le vis porter pour la seconde fois le verre à ses lèvres. Comment pouvait-il déjà boire une seconde gorgée ? J'en étais totalement incapable. Cet homme, contrairement à moi, avait certainement l'habitude de venir dans les bars. Pas qu'il avait la tête d'un alcoolique, je n'oserais jamais dire cela sur quelqu'un de toute façon. Juste qu'il semblait familier avec sa boisson. Je reportais mon regard sur mon propre verre. Le liquide brunâtre me renvoyait mon reflet déformé. Mes cheveux n'étaient pas coiffés, et la fatigue sur mon visage se voyait d'autant plus que je n'étais pas maquillée. Je commençais à jouer avec le récipient en verre. Ma bouche avait retrouvé une température normale, mais j'hésitait à boire une nouvelle gorgée. Un rapide coup d’œil au verre de mon voisin m'apprit qu'il était vide. Avait-il réellement tout bu d'un coup ? J'étais vraiment impressionnée. Je baissais la tête lorsque sa voix légèrement grave, ce qui ajoutait à son charme, résonna.
- Tu me remet le même et tu me rajoute un verre de gewurztraminer en vendanges tardives s'il te plaît… 2011 si je ne me trompe pas. Merci.
Un verre de gewu...quoi ? Je n'avais aucune idée de ce qu'il venait de commander. Après l'expérience du rhum brun, je ne pensais pas que demandais la même chose au barman serait une bonne idée... En plus j'aurais été bien incapable de prononcer le nom de ce que j'avais compris être du vin et mon verre n'était même pas vide. Tandis que je voyais le barman s'occuper de la commande de mon voisin, je me rendis compte que ce dernier avait commandé deux verres. Peut-être n'était-il pas si seul que cela finalement... La personne qu'il attendait allait surement arriver, ou alors il irait offrir ce second verre à une des filles dans un coin là-bas. Il était assez bel homme et j'étais persuadée que s'il décidait de draguer les demoiselles à la table près de la fenêtre il réussirait sans aucun problème. Je balayais la salle du regard et vie une femme seule avec son ordinateur, j'étais certaine que ce verre lui été destiné. Elle était était plus jolie ; visage fin, cheveux blonds et bouclés, bien coiffée et bien maquillée, elle semblait être le rêve de tous les hommes.
Mais qu'est-ce qu'il m'arrivait ? J'étais sortie pour boire et ne plus me préoccuper de rien en me moquant de la société et voilà que j'épiais l'homme assis à côté de moi ! Même quelque chose d'aussi simple que d'arrêter de penser, j'étais incapable de le faire. Je secouais la tête. Il fallait que je boive plus. Je me préparer à ressentir de nouveau la brûlure du rhum dans ma gorge lorsqu'un mouvement sur ma droite m'arrêta. Mon voisin venait de faire glisser le verre de vin vers moi. Mes yeux, plein d'incompréhension passèrent du verre à l'homme.
- Tenez, je pense que ceci sera plus adapté. C’est un vin Français très doux et sucré. C’est fruité et très parfumer je pense que cela devrais vous plaire.
Mes joues s’empourprèrent et je remerciais mentalement le faible éclairage du bar qui ne rendait pas cela trop visible. Jr ne m'attendais pas du tout à ce que ce soit à moi qu'il offre ce verre. Pourquoi avait-il fait ça ? Je le gratifiais d'un sourire timide. Je portais ensuite le verre rempli du liquide jaune aux légers reflets dorés à mes lèvres. Lorsque j'étais humaine, il était commun de boire du vin à tous les repas lorsque j'étais humaine, mais n'étant pas maîtresse de ma propre maison, je n'avais jamais fait attention à ce que je buvais. L'homme avait raison, le vin était délicieux. Son goût fruité envahi toute ma bouche et il me procura une certaine chaleur. Pas la chaleur brûlante du rhum, celle du vin avait quelque chose de doux et réconfortant.
- Je.. euh.. Merci beaucoup, dis-je en me rapprochant un peu de l'inconnu, Vous avez raison, je l’apprécie beaucoup..
Je continuais de siroter doucement le vin en cherchant comment poser la question qui me brûlait les lèvres. Finalement, n'y tenant plus, je lui demandais sans réfléchir.
- Pourquoi m'offrir un verre ? Pardon, je veux dire comment avez vu su que cela me plairait ? rectifiais-je doucement.
Ven 11 Nov - 22:01
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What do you want to drink my Lady ?
Je ne suis pas un alcoolique qui se saoule au Rhum, je suis un pirate. Non ?

 

Je souris en voyant le moment d’hésitation de la jeune femme. j’essaye d’adoucir les traits de mon visage malgré mes cheveux sombre et ma barbe naissante. Je tente de lui envoyer des ondes positive et lui fait un signe de tête pour l’incité à prendre le verre. Je la laisse dégusté la première gorgé tout en l’observant du coin de l’oeil et en buvant dans mon propre verre. Je me demande qu’elle âge elle peut bien avoir… je ne suis pas douer pour ce genre de chose. Je dirais une vingtaine d’année, elle ne dépasse pas les trente ça c’est sur. Sa peau à la teinte des poupée de porcelaine et semble aussi lisse que de la soie. Je suis sur qu’en temps normal cette femme déjà belle doit être à coupé le souffle. Je doit avouer que malgré tout avec ces cheveux en pagaille elle a un sacré charme...

Je surveille ses réactions et observe avec satisfaction qu’elle semble apprécié le vin choisi pour elle.


- Je.. euh.. Merci beaucoup, Vous avez raison, je l’apprécie beaucoup..


- Je vous en pris...

Elle se rapproche un peu de moi. Elle semble vouloir engager la conversation. Tant mieux, j’ai vraiment envie de mieux comprendre ce qui peux pousser une belle jeune femme comme elle a venir boire en solitaire. Je me tourne vers elle légèrement et plonge mes yeux bleu dans les siens si chaud.

- Pourquoi m'offrir un verre ? Pardon, je veux dire comment avez vu su que cela me plairait ?

Je me retient de rire. Je m’attendais un peut à cette question, j’essaye de trouver une formulation de phrase qui ne me fasse pas trop passer pour un dragueur invétérer. Je me racle la gorge. Je ne suis pas du genre a draguer dans les bars mais j’ai peur de passer pour tel.

- Il n’y a pas de mal. J’ai simplement vu que vous aviez pris du rhum un peu pas hasard et que vous ne sembliez pas tellement apprécié. Pardon si je vous offense mais vous n’avez vraiment pas l’air d’une habitué de ce genre d’endroit, ce n’est pas une critique au contraire.


Je porte mon verre à mes lèvres et bois une nouvelle gorgé du liquide brun épicé sans quitté la femme des yeux. Je repose mon verre doucement sur le comptoir et tend une main vers mon interlocutrice. J’en oublierais presque les bonne manière.

- Je m’appelle Samuel, mais appeler moi Sam. Et vous jeune demoiselle vous êtes... ?

Je penche légèrement la tête de côté en attendant la réponse. Je lui souris. La question qui me trotte dans la tête me brûle les lèvres. j’attends encore un peut avant de la posé. Je la regarde avec douceur. Elle est si fine… Je fait signe au barman je regarde ma compagne un instant, je ne sais pas ce qu’elle aime alors dans le doute...

- Excuse moi tu peux nous apporter quelques truc à grignoter… un petit assortiment.

J’hésite à lui demander de me ramener la bouteille de rhum mais je jette un coup d’oeil à la femme près de moi et renonce. Je n’ai pas envie de passer pour un poivrot et je n’ai finalement pas envie de m’embrumer l’esprit ce soir mais plutôt de découvrir qui est cette jeune femme près de moi et quel est sont histoire. Le barman nous apporte un assortiment de nachos, de chips, olives et d’autre petit truc à manger. Je remercie l’homme et fait signe à la jeune femme de ce servir.

- Vous devriez manger quelque chose, si vous n’avez pas l’habitude de boire avoir le ventre vide est une mauvaise idée, l’alcool va directement vous monté à la tête… je prend une olive avec un petit pic avant de continuer. Alors dites moi que fait une jeune femme charmante comme vous dans un endroit pareil ?

Mer 16 Nov - 19:22
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En portant le verre à ma bouche, je sentais le regard de l'homme épier mes réactions. Mais c'était normal après tout, c'était lui qui me l'avait offert, ce verre. Lorsque je lui posais la question qui trottait dans ma tête depuis quelques minutes, il se tourna pour me faire face. Un sourire s'étira sur ses lèvres. Se moquait-il de moi ? C'était fort possible. Je n'avais pas l'impression d'appartenir à ce monde. Je ne trouvais ma place. J'avais le sentiment d'avoir tout à apprendre. Comment parler, comment se comporter... Comme une enfant qui découvrirait la vie. Oui, c'est ça, je n'étais rien de plus qu'une enfant malgré mes cent trente ans d’existence. Et je détestait cela. C'était une des raison pour lesquelles j'étais venue boire et oublier. Je voulais changer. Ne plus être une fille subissant sa propre vie. Tandis que toutes ces pensées envahissaient mon esprit, je repris une gorgée de vin pour les chasser.
- Il n’y a pas de mal. J’ai simplement vu que vous aviez pris du rhum un peu pas hasard et que vous ne sembliez pas tellement apprécié. Pardon si je vous offense mais vous n’avez vraiment pas l’air d’une habitué de ce genre d’endroit, ce n’est pas une critique au contraire.
Oh alors en fait , il m'observait... J'hésitais entre être flatté et partir en courant. C'était plutôt agréable de se rendre compte que j'avais attirée l’œil d'un tel homme. Je le trouvais très beau, et ces yeux bleus clairs qui contrastaient avec ces cheveux châtains lui donnaient un charme fou. Qui pouvait lui résistait ? Mais c'était également étrange voir un peu effrayant. Quelle raison l'avait poussée à m'observer ? Mais qu'est-ce que je racontais ! Moi aussi je l'avais épié et ça ne faisait pas de moi une psychopathe, si ? Et puis ce n'est pas comme si il allait me sauter dessus. Je bus une gorgée des plus, espérant encore que cela ferait taire définitivement mes pensées.
D'après l'inconnu, je n'avais pas l'air d'être habitués au bar... Il avait totalement raison. Aujourd'hui c'était une sorte de baptême pour moi. Mais cela signifiait sûrement que lui, au contraire, y était habitué. Ce n'était peut-être pas une mauvaise chose...
- Non non ne vous inquiétez pas, en plus ce que vous dîtes est totalement vrai... Affirmais-je en baissant les yeux. C'est la première fois que je viens ici.
L'homme reposa alors son verre, qu'il avait porté à ses lèvres quelques secondes, sans que nos yeux ne perdent leur connexion. Il me tendit ensuite sa main.
- Je m’appelle Samuel, mais appeler moi Sam. Et vous jeune demoiselle vous êtes... ?
"Jeune demoiselle"... J'esquissais un sourire malgré moi. Il devait pensais que j'avais un peu plus d'une vingtaine d'années ce qui était effectivement l'âge de mon corps, mais s'il connaissait la vérité, il s'enfuirait en courant sans demander son reste. C'était certain. Je cessais de triturer mon manteau, sur lequel je tirais depuis que je m'étais déplacée pour essayer vainement de cacher mon bas de pyjama qui apparaissait par endroit et couvrir au mieux mes jambes, afin de serres celle de l'inconnue. Nos paumes se touchèrent et je sentis la chaleur de sa peau à travers la mienne, éternellement glacée. Sa main était légèrement rugueuse et ferme mais délicate.
- Cléore Aloysia...
Mes pensées commençaient à s'embrouiller. Je ne savais pas si l'origine de ce mélange dans mon cerveau était l'alcool qui me montait enfin à la tête ou ci cela venait de l'inconnue qui n'en était plus totalement un. Pourquoi lui avais-je donner mes deux prénoms, c'était idiot. Les temps avaient changés je n'avais pas besoin de lui faire l'histoire de ma famille, mon titre et nos terres quand il me demandait simplement mon prénom..
- Pardon, juste Cléore... Corrigeais-je.
Samuel ne m'avait pas quitté des yeux une seconde. C'était troublant d'être l'objet d'une telle attention. J'étais professeure et je savais ce que c'était d'avoir des dizaines de paires d'yeux sur soi, c'était ce que je demandais tous les jours à mes élèves. Mais en dehors de ma salle de classe, j'étais discrète, une sorte de fantôme de la société... Il commanda de quoi grignoter au barman et le temps que ce dernier revienne, j’attrapais mon verre et but ma dernier gorgée. Je l'avais surement but un peu vite.. Lorsque le barman revint avec nos olives et autres chips Sam me fit signe de me servir.
- Vous devriez manger quelque chose, si vous n’avez pas l’habitude de boire avoir le ventre vide est une mauvaise idée, l’alcool va directement vous monté à la tête…  Alors dites moi que fait une jeune femme charmante comme vous dans un endroit pareil ?
Je suivis son conseil et l'imitait en prenant un mon tour un pic que je planté dans une olive. "Oh vous savez en réalité je suis une vampire, oui les créatures avec des canines qui tue les gens pour se nourrir de leur sang, j'ai déjà tuer moi aussi d'ailleurs ; et je commencer à devenir dépressive, seule dans mon appartement de centre ville, alors je me suis dit qu'aller me saouler alors que je n'étais pas coiffée et en pyjama était un bonne idée" Ne semblait pas être une réponse adéquate. A la place un seul mot sortit de ma bouche.
- Oublier...
Je m'en voulais de gâcher cette rencontre avec mes problèmes et ma mélancolie. Non, je n'allais pas laisser le passer prendre ce moment présent ! Si je voulais vraiment changer, il fallait que je me prenne en main. Je relevais la tête et me penchais légèrement en avant.
- Parlons plutôt de vous ! Qu'aimez-vous faire dans la vie ?
Je ne savais pas d'ou venait ce soudain aplomb. L'alcool aidait sans doute à prendre confiance..
Sam 3 Déc - 20:45
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What do you want to drink my Lady ?
Je ne suis pas un alcoolique qui se saoule au Rhum, je suis un pirate. Non ?

 

Je la regarde piquer dans les olives. Cléore Aloysia… Ce n’est pas commun. Elle n’est pas Américaine ça s’entant à son accent ou alors il est vraiment adoucis limite aristocratique je dirais et cela se vois à ses gestes gracieux, elle a eu une bonne éducation. Certes la tenu est en parfait décalage mais en cas de désespoir tout est possible je le sais mieux que personne. Elle ne semble pas prête a parler pour le moment alors j’essaye d’obtenir des information par moi même grâce à mon sens de l’observation.

Je la vois réfléchir a ma question et me répondre par un simple mots. Oublié. Oh non elle n’a pas oublié je le vois à sont regard emprunt de mélancolie. Je respecte son choix de ne pas en parler pour le moment, je ne compte pas la brusquer. Je sais qu’il peut être difficile de parler. Je ne suis pas d’un naturel bavard à m’étendre sur mes problème non plus. La vie est trop courte alors autant partager que les bon moment avec les autres. Elle préfère changer de sujet et se penche un peux plus vers moi pour bien montrer qu’elle est me prête toute son attention.

Je lui souris en haussant les sourcils et prend un peux de nacchos. l’inconvénient d’être un loup c’est que j’ai un appétit sans fin, l’avantage, je peux manger des kilos de cochonnerie sans prendre un gramme voir mieux cela se transforme par la suite en muscle. Haters gonna hate, il faut bien un avantage a cette malédiction. Ils y a plein d’autres avantage comme d’arriver a sentir l’étrange parfum que dégage la jeune femme. Je met ça sur le compte de mes troubles sensoriel du aux antidouleur que je prend mélanger à l’alcool.

Je réfléchit avant de prendre un ton léger.

- Eh bien, Juste Cléore, pour tout vous dire, je ne passe pas mon temps à errer dans les bar même si on pourrais croire le contraire...

J'émets un petit rire et pique encore des trucs à manger. Je me redresse et m’installe confortablement avant de plonger mon regard dans le siens en souriant et de pencher la tête de coté. Elle a besoin de se changer les idées pour le moment. Alors parlons de moi dans les limites du convenable. Sans franchir la limite où c’est moi qui vais devenir mélancolique.

- Je soigne les animaux, c’est vraiment quelque chose que j’aime faire. J’ai la chance de pouvoir exercer un métier qui me passionne et dans lequel j’ai un vrai don.

En effet on peux parler de don. Déjà gamin j’avais une agilité toute particulière avec les animaux qui m’entourais mais depuis que je suis devenu un loup-Garou les capacité surnaturel sont venu se greffer à ce que j’avais déjà. j’évite de trop m’en servir au boulot pour pas me faire repérer mais en cas extrême si je peux sauver des vies je le fait. Ça ne compense en rien les vies humaine que je prend mais ça me rend plus humain de faire le bien autour de moi.

- C’est un boulot à plein temps je fait aussi les interventions nocturne en cas d’urgence. Disponible 24h/24 7j/7 toute l’année ou presque.

Sauf les soirs de pleine lune en sommes… Le travaille me permet de ne pas penser à ma vie et me permet d’avancer. Je suis un bourreau de travail mais c’est la seule chose qui me tien.

- Je n’ai pas beaucoup d’autre loisir à par écrire ou dessiner ce qui me passe par la tête et les promenade au clair de lune.

Un sourire en coin de dessine sur mes lèvres. J’étais obliger de l’ajouter à la fin mais c’est pourtant vrai. Il n’y a rien de plus grisant que de sentir le sol de la forêt sous mes pattes pendant que le clair de lune illumine ma fourrure blanche en lui donnant des reflets argenté, le vent qui transporte les odeur de pin et de terre mouiller…

Je suis sorti de ma rêverie par un sentiment de danger. Je me retourne juste à temps pour rattraper une serveuse qui trébuche avec son plateau. j’attrape le verre massif qui fonce sur la jeune femme avec qui j’étais entrain de parler. Je serre le verre un peu trop fort et le brise entre mes doigts. Le sang ce met à couler. Bordel ! Je redresse la jeune serveuse après mettre assurer qu’elle n’avais rien et prend une serviette en papier. Je ne panique non pas à cause de la vu du sang, mais pour la simple et bonne raison que je cicatrise anormalement vite et que tout les regards sont braquer sur nous.
Je prend une serviette en papier et l’enroule autour de ma main. D’ici quelques minute ne n’aurais même plus une cicatrice. Compliqué a expliquer et dans une ville infester de chasseur autant ne pas faire de vague.

- Je n’ai rien c’est bon merci. Laissez je vous dit que ce n’est rien…

Je ne saigne déjà plus, les plaie se referme sous ce pansement de fortune. Je me tourne vers Cléore l’air inquiet.

- Excusez ma maladresse, j’espère que la vu du sang ne vous trouble pas ?.
Ven 24 Fév - 13:35
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Samuel ne releva pas ma mélancolie et ne me questionna pas plus sur les raisons qui m’avaient poussées à sortir de chez moi pour me retrouver dans ce bar. C’était gentil de sa part. Je l’en remerciais mentalement. A cette époque où la plupart des hommes sont de gros lourds ou des crétins finis, il existait peut-être encore quelques gentlemen finalement. Le jeune homme sourit et je trouvais que cela ajoutait encore à son charme. Il répondit ensuite volontiers à ma question.
- Eh bien, Juste Cléore, Je ne pus m’empêcher de sourire à mon tour, pour tout vous dire, je ne passe pas mon temps à errer dans les bar même si on pourrais croire le contraire...
Je sentis mes joues rougirent davantage. Avais-je pensé à voix haute un peu plus tôt ? J’espérais que non et que sa remarque n’était qu’une coïncidence. Je ne voulais pas l’offenser ou quelque chose de ce genre. En fait cet inconnu tombait très bien ce soir, je voulais juste me changer les idées et il semblait être une parfaite distraction pour moi. Même s’il venait de dire qu’il ne passait pas son temps dans ce genre d’endroit, je me surpris à me demander s’il avait déjà fait d’autres rencontres ainsi. Je n’étais sûrement pas la première femme à qui il payait un verre. Mais je restais curieuse de voir comment ça se passait avant, comment les autres faisaient-ils ? Quelqu’un t’offrait un verre, tu discutais un peu avec lui et après quoi ? Il devenait ton meilleur ami, ton amant, ton pote pour aller boire, un coup d’un soir ou je ne sais ce qui est possible encore. Je chassais toute ces questions de mon esprit lorsque Samuel reprit et l’écoutait attentivement.
J’appris ainsi qu’il était vétérinaire. A la façon dont il parlait des animaux et dont il disait possédait un don pour les soigner, je sentais qu’il aimait vraiment cela. Je l’enviais un peu aussi. Non pas que j’aurais voulus faire vétérinaire ; je ne suis pas particulièrement fan des animaux et ils ne semblent pas m’aimer beaucoup non plus. J’étais jalouse de la passion qu’il avait. Sam avait choisi de travaillait avec les animaux, il l’avait décidé lui seul parce qu’il le voulait. Alors que moi, j’étais devenue professeure de mathématiques parce que… Parce que c’était la première chose qui s’était présentée à moi. Bien sûr je ne détestais pas ça et même s’ils pouvaient se montraient très agaçant, je considérais mes élèves comme les enfants que je n’avais pas eu. Les enfants que je n’aurais jamais…
Je piquais encore une olive et écoutait la suite.
- Je n’ai pas beaucoup d’autre loisir à par écrire ou dessiner ce qui me passe par la tête et les promenade au clair de lune.
Je ne pouvais qu’acquiescer à cette dernière remarque. La lune pouvait être si magnifique, si magique. Je me remémorais toutes les fois où j’étais moi-même sorti au beau milieu de la nuit lorsque que Sam se retourna d’un mouvement brusque.
Je vis alors une jeune serveuse prête à s’étaler de tout son long sur le sol. Heureusement, il la rattrapa de justesse. Mon soulagement fut de courte durée puisque je vis au dernier moment, le verre qui arriva droit sur moi. J’émis un hoquet de surprise lorsque, toujours avec autant de reflexe, Sam l’attrapa juste devant mon visage. Il serra le verre si fort dans sa main que celui-ci se brisa et…
Et une délicieuse odeur envahit le bar. Un parfum doux et sucré. Ma vision se troubla. Mes oreilles bourdonnèrent. Mon ventre grogna. J’en avais tellement envie. Ma mâchoire me faisait mal. Ma gorge appelait pour du sang. Tous les sons du bar me parvenaient comme dans un lointain rêve. Je ne voyais que ces quelques gouttes rouges au sol. La voix de l’inconnu me parvint difficilement. Je ne compris pas ce qu’il disait mais je relevais la tête jusqu’à la source du délicieux parfum. Sur sa main quelques serviettes en papier étaient devenu rouge de sang. Cependant je ne sentais de plus de sang frais. Pourquoi ? J’en voulais plus ! Sa plaie ne pouvait avoir déjà cicatrisée ! Il fallait que je me nourrisse de lui. Je levais les yeux et trouvais ceux bleus comme l’océan de l’homme.
C’est à cet instant que je réalisais. Je réalisais ce que j’allais faire. Je m’apprêtais à… Non ! Je secouais la tête. Je m’aperçus alors dans un miroir derrière le bar. Les veines autour de mes yeux étaient devenues si bleus, tellement visible. Je me retournais vivement et cachait mon visage jusqu’à ce qu’il reprenne des couleurs humaines.
- Je…  je suis désolais, bredouillais-je, Je n’ais.. je ne supporte pas la vue du sang humain, tentais-je pour me justifier maladroitement.
J’avais commencé mon sevrage quelques mois plus tôt et cela marchait. Même si j’avais encore des réactions automatiques comme venait de le prouver cette scène, je n’avais pas mangé cet homme. Je ne m’étais pas laissée aller. J’avais combattu mes instincts primaires et bestiales et j’avais gagné. Au moins pour cette fois.
Mar 8 Aoû - 13:44
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What do you want to drink my Lady ?
Je ne suis pas un alcoolique qui se saoule au Rhum, je suis un pirate. Non ?

 


Alors que je regarde la jeune femme, légèrement embarrasser par cette scène et par tout les regards braqué sur moi, il me semble percevoir l’espace d’un instant, un infime instant avant qu’elle ne détourne la tête et cache son visage dans ses mains… il ma sembler voir… Non cela ne ce peux. Pas ici dans un bar non surnaturel.

Je me met une claque mentale. Stupide chiot, en quoi c’est impossible, tu es humain toi peut-être ? Je me redresse un peu et réussi à me débarrasser de la serveuse. Enfin tranquille.

Mon regard se pose sur la jeune femme qui cache son visage et sa phrase ne fait que confirmer mes soupçon. C’est une vampire. Je me suis entailler la main et mon sang s’est déversé devant une vampire… En plein milieu d’une salle bondé… Bravo Torrance, comme instinct de survie on fait mieux mais c’est pas comme si tu en avais un au final.

Je me lève doucement et me place près de la jeune femme. Je lève la main pour la poser sur son épaule mais me ravise. Lorsque j’ai mes crises le moindre contacte peux me faire péter les plombs et cette jeune femme... est ce qu’elle est si jeune que ça en fait ? BREF cette jeune femme à tout les symptôme du manque.

- On devrais sortir prendre un peu l'air cela vous ferais du bien… suivez moi je vous pris…,j'attends avant d'ajouter d'une voix douce et rassurante, je ne vous ferais pas de mal…

J’ajoute d’une voix suffisamment basse pour n’être perçu que par elle afin qu’elle soit plus en confiance et ne craigne pas un piège de chasseur :

- Ce n’est pas du sang humain que vous avez vu et senti…

Je lui lance un regard entendu et lui montre discrètement la plaie disparue sous les serviettes en papier.

- Venez, on va trouvez un endroit plus tranquille pour discuter.

Je lui fait digne de la tête pour l’invité à me suivre je fais un pas en direction de la sortie après avoir régler la note pour nous deux et fait le pied de grue jusqu’à ce qu’elle daigne me suivre. Boooon… première des choses l’éloigné de tout ce qui pourrais être une tentation. Un bar rempli d’humain en fait partie. Afin d’éviter tout drame c’est le choix le plus judicieux.

Une fois dehors je pousse un soupire et la regarde amusé alors que j’enlève le pansement arranger et le fourre dans ma poche. Elle semble si effrayer d'elle même. Je pense qu'elle fait partie de ses surnaturels qui n'assume pas ce qu'ils sont et qui cherche à le combattre de toute leur force. Cela me fait un peu de peine, j'ai été comme ça aussi avant d'apprendre à canaliser mes pulsions.

- Dur dur le sevrage ? Ne vous faites pas… Je ne pense pas que vous me ferez du mal, je suis un grand garçon et vous n’êtes pas en état de rester seul…

Je regarde autour de nous les rues éclairer faiblement dans ce quartier par quelques lampadaire dans cette nuit particulièrement sombre. Il y a peu de monde ce soir ce qui donne une ambiance un peu fantomatique à la ville. Je me tourne vers la jeune femme et lui tend la main comme pour faire des présentation.

- Je pense que nous n’avons pas été présenté comme il faut du coup… Sam Torrance, vétérinaire et lycan à mi-temps…

Je redresse le col de ma veste et lui souris.

- Moi qui pensais que je ne croiserais pas de surnaturel dans un bar humain… comme quoi je vois que d’autres on les même idées que moi.

Je passe une main dans mes cheveux et réfléchis un instant, la nuit est fraîche, calme… trop calme peut-être. On pourrait trouver facilement un coin tranquille au parc mais je n’aime pas trop traîner au parc la nuit. Non pas que j’ai peur de me faire agresser par un junkie ou par un homme ivre qui en veux à mon argent… Non, ce qui craint le plus ce sont les chasseur qui rôde… et ça ce n’est pas vraiment recommander lorsque l’on veux parler à coeur ouvert de vampire et de loup-garou. J’ai bien une autre idée mais… oh et puis tant pis !

- Je sais que l’on est censé être des ennemie mortel au vu de nos races respective mais je vous aime bien… je crois… et là encore ce n’est pas une technique de drague, est ce que vous voudriez bien que l’on continue notre discutions chez moi auprès d’un verre ? Ou une tasse de thé bien sur ! C’est juste que… votre histoire m’intrigue d’avantage et j’aimerais en savoir plus… mais dans un coin tranquille et le parc est mal fréquenté là nuit… aloooors… qu’en dite vous ?

Je plonge mon regard bleuté dans le sien, sans arrière pensé, sans crainte. Juste moi.  
Mar 15 Aoû - 11:35
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