Fearwood
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Fearwood

Fearwood est une ville où cohabitent diverses espèces, humains, vampires, loups-garous, sorcières. Attention à vos arrières. Ceci est un RPG.
 
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Un nouveau commencement
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La journée est particulièrement chaude et je suis heureux de ne pas être trop sensible au changement de température, surtout avec la chemise et la veste de costume que je porte. Comme à mon habitude je suis tout à fait élégant avec un costume hors de prix, des chaussures ciré et mes cheveux parfaitement coiffé. Je ne passe pas inaperçu là ou je passe avec mon assurance, mon allure et mon physique avantageux...et cela me plaît surtout qu’aujourd’hui je rayonne encore plus que d’habitude par mon bonheur, j’ai signé pour le nigth club ! Ça y est, il est a moi !

Je déambule dans la ville, mon sac d’ordinateur en main, après avoir visité mes future locaux à la recherche d’un endroit ou je pourrais potasser ça tranquillement, je suis trop exciter pour prendre un taxis ou simplement rentrer chez moi. Je vais ouvrir un nigth club ! Mon premier pas dans ma future ascension du pouvoir. J’ai tellement à faire, tellement à voir mais aussi tellement d’opportunité ! J’ai passer le dernier siècle à errer comme un vagabond (un vagabond en costume de grand créateur mais vagabond quand même), sans jamais me poser, sans jamais avoir de chez moi, sans jamais avoir d’attache mais c’est fini, je vais enfin construire quelque chose et me bâtir un empire, brique après brique, peu importe le temps que cela prendra, ce n’est pas le temps qui me manque.

Mon odorat sensible viens se faire chatouiller par une bonne odeur de café et je tourne la tête jusqu’au lieu d’ou provient les délicieuse effluve. Parfait. Je me dirige vers le café et pousse la porte mon sac toujours en main en lançant un bonjour dans la salle. Il fait bon dans ses locaux et l’ambiance semble bonne également. Je pense que je vais pouvoir travailler ici.

Je m’installe à une table de quatre et sort mon ordinateur ainsi que des dossier papier que je dispose autour. J’envahis l’espace de façon à avoir tout sous les yeux. Je retire ma veste alors que la serveuse arrive. Je ne la regarde pas tout de suite, plus occuper à déboutonner mes manches pour les remonter soigneusement sans un plis.

- Ce sera un café pour moi s’il vous plaît, et vous serez vraiment adorable si vous pouviez m’en apportez un toute les demis- heure… merci.

Je lève mes yeux vers la jeune femmes en lui offrant un beau sourire illuminé par les yeux d’un bleu pur. Ouh… je n’avais pas vu que j’étais en présence d’une si jolie jeune femme. Je la suis des yeux en admirant les courbes de son corps et l’éclat de sa chevelure rousse alors qu’elle retourne au comptoir s’occuper de ma commande puis me pince mentalement. Ce n’est pas le moment de rêvasser sur les jolies fille mon grand. On a du boulot.

Et quel boulot… Les locaux sont tout à réaménager, il y a beaucoup de travaux à faire que ça soit aux niveau des règles de sécurité, des aménagement selon mes goût aussi. Je ne pensais pas que tout cela ferais autant de paperasse. J’envoie aussi quelques mail à des fournisseur pour le bar et j’envoie aussi quelques messages à des amis vampire et sorcier pour les prévenir de mon acquisition. Certain voudront aider et j’étudierais ça en détail, voir ce qu’ils peuvent apporter et à quel prix. Je paye toujours mes dettes, je n’aime pas devoir des choses aux gent et d’autant plus ici, je ne veux pas devoir trop autour de moi pour mon élévation. Je veux le faire en grande partie grâce à moi.

Je lève le regard vers la jeune femme qui me rapporte un café, je surprends son regard sur mes dossiers et souris amusé. Les humains son si curieux de nature…

- Désolé je prend de la place… promis tout sera ranger lorsque je partirais…

J’attends un peu avant d’ajouté non sans une pointe de fierté.

- J’ai fait un gros investissement… Je vais moi même ouvrir un établissement dans cette ville. Rassurez vous je ne vous ferais pas concurrence. Mon établissement est plus… nocturne.

Je lui souris et prends une gorgé de café brûlant avant de me remettre au travail.

L’argent n’est pas vraiment un problème pour moi, non pas que j’ai beaucoup travailler au sens ou tout le monde l’entends durant mon existence mais j’ai amasser pas mal d’argent au cours de mes rapts nocturne. Que voulez vous, enfant on ma appris à voler pour survivre… J’ai continuer d’appliquer ce concept avec mes dons surnaturel. Ça plus mon charme naturel, je suis devenue un véritable Arsène Lupin des temps moderne, l’immortalité et le sang en plus. Je séduit de jolie femmes riche, je leur fait miroité mondes et merveilles et alors qu’elles offrent leur vertu sur le grand hôtel de ma luxure je m’empare de leur sang et de leurs bien.

Je repense à ça avec nostalgie. Pas sur que même si je deviens puissant entourée de mes semblable comme un vrai nid, je puisse me passer totalement de ces petites chasses nocturne. Même si je ne tue plus vraiment j’aime tout prendre à ses femmes. C’est même plus amusant de les laisser en vie. Elles qui ont toujours tout eux et moi qui suis partie de la fange londonienne. J’ai su m’élever à un meilleur niveau et je ne compte pas m’arrêter là.

Je lève le nez de mes dossier en voyant la nuit arriver. J’ai bu tellement de café et j’étais tellement absorbé dans mes dossiers que je n’ai pas vu le temps passer. Je suis le dernier client, le gêneur que tout commerçant déteste, qui traîne alors que les commerçant veulent fermer. Je fais un signe de la main en direction du comptoir pour m’excuser et commence à ranger mes affaires.
Mer 23 Aoû - 12:59
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Il faisait affreusement chaud aujourd'hui. Venant d'un pays relativement froid, la moindre vague de chaleur à tendance à m'épuiser. Dès que le thermomètre annonce une température supérieure à 20 degrés, je sais que la journée va être longue et pénible. Malheureusement, je n'aurais pas le loisir de passer ma journée devant un ventilateur à lire des livres et à rédiger mon mémoire, car c'était un jour de travail. J'avais donc opté pour un short en jean et un débardeur kaki, prenant garde à ne pas en choisir un trop décolleté. Simple mais efficace. À cela, s’ajouterait mon tablier de travail. 
Le chemin ne fut pas trop pénible en dépit de la température, et je m'étais suffisamment organisée pour arrivée à l'heure. 
Je prenais la relève d'un collègue pour l'après-midi, et je constatais en arrivant au café que la clim fonctionnait aujourd'hui. Tant mieux ! Je ne serais pas liquéfiée à la fin de la journée ! La salle commençait à se remplir peu à peu, et mes pas devinrent plus rapide d'une table à l'autre, passant commande après commandes, lorsque enfin, ce fut l'heure de ma pause. 
Je partais en direction de l'arrière-salle, hors de question de mettre un pied dehors par cette chaleur, et en profitais pour prendre une boisson sucrée. J'adore le sucre, c'est une véritable dépendance chez moi. Et j'avais la chance d'avoir un organisme capable d'encaisser les doses quotidiennes que je lui donnais. J'avais déjà essayé de me raisonner sans grand succès, mais il faut dire qu'en ce qui concerne ce vice, je n'ai pas beaucoup de volonté... 
Lorsque ma pause toucha à sa fin, je me rendis de nouveau vers la salle. Me remettant à ma besogne, j'entendais les salutations des différents clients entrant et sortant, et y répondait sans prendre le temps de lever les yeux de mon carnet de commandes avant de rejoindre un client venant de s'installer. Il avait pris une table pour quatre et venait de sortir un ordinateur. Pour avoir vécu cette situation, je devinais aisément qu'il était ici pour travailler. Alors que je m'apprêtais à prendre la parole afin de lui demander ce qu'il désirait, le client me coupait l'herbe sous le pied et me dictait sa commande tandis qu'il repliait soigneusement les manches de son élégant costume. 

- Très bien monsieur, j'y penserais. 

Je lui rendais son sourire, cet homme avait une apparence très plaisante et semblait charmant. Je retournais au comptoir afin de préparer sa commande et celle de la table d'à côté. Un café, deux jus de fruits frais, et un soda. Je lançais une nouvelle cafetière, sachant que j'allais en avoir besoin tout au long de la journée, et en profitait pour m'attacher les cheveux. Malgré la climatisation, la chaleur persistait et je serais plus à l'aise comme ça. Une fois mes mains lavées, j'attrapais mon plateau et allais servir mes clients. Le plus gros partait à la première table, et j'allais servir le café de la deuxième. 
Une fois à sa table, je remarquais que j'avais vu juste. Il avait étalé un nombre important de papiers autour de lui. Ma curiosité ne lui avait pas échappé, et il fit une remarque sur la place qu'il prenait.
 
-Oh non, ne vous inquiétez pas pour ça, prenez toute la place qu'il vous faut. 

Je marquais une pause, il m'expliquait ce qu'il avait acquit, et ce sur quoi il travaillait. Je lui souris, impressionnée. Je n'aurais jamais l'audace d'ouvrir quelque chose de cette importance ! Un rire s'échappait de mes lèvres.

- Eh bien, monsieur, vous allez avoir du travail. Et je suis heureuse de savoir que vous ne nous ferez pas concurrence ! Je vous souhaite bon courage et vous revois dans une demie heure. N'hésitez pas si vous avez besoin de moi ! 

Je faisais demie tour de nouveau. Il n'est pas courant d'avoir des clients aussi souriant, même si je savais l'origine du sourire de ce dernier. Je retournais à mes autres clients, au comptoir aussi que je lavais, aux boissons que je préparais... L'avantage de ce travail, c'est qu'il me vide la tête, ça me permet de mettre mon cerveau en pause. 
Comme il me l'avait annoncé, j'allais le voir toutes les demies heures pour m'assurer qu'il ne manquait pas de café dans sa tasse. Le temps défilait sans que je m'en rende vraiment compte. Les clients étant relativement nombreux, j'avais de quoi m'occuper. Mes collègues quittèrent le café les uns après les autres. J'assurais la dernière partie du service et devait m'occuper de la fermeture qui avançait. Le client qui m'avais demandé autant de café me dis un signe de la main en rangeant ses affaires, pile au moment où je comptais le voir pour lui annoncer la fermeture imminente. J'allais récupérer sa tasse et la lavais au robinet avant de la ranger sur l'étagère prévue à cet effet, et entamais un énième coup d'éponge sur le comptoir lorsqu'un homme armé et cagoulé entra dans l'établissement. Il pointa son pistolet en ma direction et je levais immédiatement les mains. Ce ne servait à rien de vouloir jouer au héros, de toute façon, je suis loin d'en être un. J'essayais de cacher ma panique, mais des perles de sueurs apparaissaient déjà sur mon front et je me sentais incapable de faire le moindre mouvement.

- La caisse !

Fit-il d'une voix rauque. Sa silhouette, cachée dans des vêtements noirs, était imposante. Tremblante, je me dirigeais vers la caisse, à l'autre bout du comptoir.
Mer 30 Aoû - 0:17
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Je reste le nez plongé dans mes paperasses que je range dans mon trieur par ordre. Je suis méticuleux et quelqu’un de très soigneux, il ne me viendrais pas à l’esprit de tout ranger en vrac dans une pochette. Mes mains s’active à tout ranger avec une rapidité et une dextérité peux commune. Je fais un peux de zèle mais la jeune serveuse ne me regarde pas et je ne souhaite pas l’importuner trop longtemps.

Alors que je ferme mon sac j’entends la porte s’ouvrir à la volé. Je lève les yeux vers l’individu qui viens de rentrer avec le plus grand calme. Un braquage, c’est bien ma veine. Je reste sans bouger et observe la scène, un homme assez grand, tout de noir vêtu et cagoulé qui pointe une arme sur une jeune femme charmante et sans défense. Un coup d’œil à l’extérieur, personne, je regarde rapidement dans les coins de la salle, pas de caméra. Mon regard se pose à nouveau sur la jeune femme et je vois sa détresse, son sang qui pulse délicieusement le long de sa gorge.

Je claque de la langue réprobateur. Un gentleman digne de ce nom ne laisse pas une demoiselle en détresse, de plus elle ma fait un bon café et c’est montré très agréable durant tout le service. Je braque mon regard sur l’homme masqué alors que la jolie rousse se précipite vers la caisse pour lui donner l’argent qu’elle a dûment gagné tout au fil de la journée, il ne semble pas me prendre en compte, c’est vrai avec ma silhouette mince, mes cheveux bien peigné et mes airs d’homme d’affaires qui pourrais soupçonner le danger létal que je représente ?

Dès que la jeune femme à le dos tourné, je me lève et viens me placer devant l’homme une main sur sa bouche et l’autre cassant son poignet pour lui faire lâcher son arme. Je met le malfrat à terre avec une prise d’autodéfense pour paraître plus… humain même si je me doute qu’au vu de nos différence de gabarit le combat puisse paraître truqué. Lorsque je met mon opposant au sol sans vraiment forcer, je plonge mon regard dans le siens, mes iris se contracte jusqu’à disparaître, le bleu limpide de mes yeux fait place à l’obscurité des abysses.

- Tu vas t’enfuir d’ici et tu ne reviendra plus jamais à Fearwood, jamais. Plus jamais tu n’importunera cette jeune femme. Si je te revois dans le coin je te met une raclé dont tu te souviendra pour le restant de tes jours…

Ma voix est posé, neutre, sans aucun signe apparent d’une lutte précédente ni de danger proche.

Je le relâche et mes yeux redevienne naturelle lorsque je me redresse. Je réajuste ma chemise et remet ma cravate en place alors que le bandit rampe loin de moi les yeux emplie de terreur. Il fini par se remettre debout et fuis a toute jambe en abandonnant son arme. On est pas près de le revoir dans le coin, si il y a une chose que j’ai appris à maîtriser à la perfection durant le dernier siècle c’est bien la manipulation mentale.

Je ramasse l’arme et enlève le chargeur pour la rendre inoffensive. Je la pose sur la table en me retournant vers la jeune femme. Je lui souris doucement.

- Vous n’avez rien ?

Je pousse un soupire et me met à ricaner.

- Et bien… moi qui pensais que ces années de sport de combats étaient de l’argent jeté par les fenêtre… on dirait que ça à finalement servi !

Je tapote l’arme.

- Vous devriez peut-être la garder et apprendre à vous en servir. Vous n’aurez peut-être pas un chevalier servant à votre rescousse à chaque fois… enfin à part si vous venez travailler dans mon nigth club.

Je lui souris à moitié sérieux, après tout je n’ai pas encore d’employé… Je la salut de la tête et retourne à ma table pour récupérer mes affaires.  
Dim 17 Sep - 21:33
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