Fearwood
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Fearwood

Fearwood est une ville où cohabitent diverses espèces, humains, vampires, loups-garous, sorcières. Attention à vos arrières. Ceci est un RPG.
 
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I finally found you [Erik N. Sambre] (+18)
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It was real for me
Just because you are the hugest prick I have ever met doesn't mean I don't love you

 

A peine 21h et je tourne déjà en rond chez moi, je ne supporte pas la solitude et l’inactivité.  En règle général je me débrouille toujours pour être de garde la nuit à la clinique, mais ces dernier temps j’ai accumulé trop d’heure et on ma vivement pousser à prendre du repos. La plaie ! Comme si j’avais besoin de repos ! Le contacte des animaux m’apaise la nuit, je me sent moins seul et je me rend utile, alors que là… là… Je fait les cents pas dans l’appartement une bouteille de rhum blanc au 3/4 vide à la main, vêtus d’un simple jean et claudiquant de plus en plus. Je grogne en avalant ma première gorgé de la soirée qui n’allai certainement pas la dernière, loin de là. Cette foutue jambe me fait un mal de chien. L’alcool coule dans ma gorge comme une délivrance à mes supplication intérieur. À chaque fois c’est pareille, je déprime, j’ai mal, je bois et ça va mieux. Schémas simple qui en deviens habituel. Je suis bien sur à demi-conscient que la douleur que je ressent et le fait que je boite ne sont en fait que des symptômes psycho-traumatique, du moins en partie.

Je prend une boite d’anti-inflammatoire et une de calmant dans mon placard avant d’avaler un cachet de chaque avec une nouvelle gorgé de rhum. Oui je sais, le mélange alcool/médicament c’est mal. Mais actuellement j’en ai vraiment rien à ciré, tout ce qui m’importe c’est de me mettre H.S. rapidement et de dormir jusqu’au lendemain, sans rêve, sans cauchemar, sans douleur. Je n’en suis pas à mon coup d’essai et je sais ce qu’il me faut pour dormir comme un bébé et que demain matin je soit en pleine forme et remis de mon petit coup de blues passager. C’est devenue presque une habitude chez moi depuis trois ans.

Je prend une nouvelle gorgé salvatrice et je commence a me sentir plus léger. Mes sens s’émousse, j’ai l’impression de redevenir un simple humain. Je me pose sur la chaise de la cuisine devant mon carnet de note ouvert sur les derniers épisodes de mon histoire. Je me met à écrire la suite, ma plume glisse d’elle même sur le papier, l’inspiration me viens naturellement. L’alcool et l’écriture le combo souvent gagnant en littérature et qui pour ma part me permet d’évacuer tout ce que je renferme en moi. Je sirote tranquillement mon rhum tout en écrivant jusqu’à ce que la bouteille soit totalement vide. Je me lève doucement et va ouvrir le placard ou je range mes bouteilles. Vide. Je penche la tête de coté. c’est quoi ce bordel. j’ouvre un second placard, puis un autre, et un autre refermant de plus en plus violemment les portes au fur et a mesure de ma recherche. Je claque la dernière porte en rugissant.

- Non mais je n’y crois pas ! Quel crétin fini je fait !

J’ai oublier de racheter du rhum ! Comment j’ai pu oublier de racheter du rhum ? Je fulmine dans mon coin, je pousse violemment la table et m’empare de la bouteille vide que je fracasse contre le mur en fasse. Je vais sûrement regretter ce geste demain matin quand je serais calmé mais là tout de suite ça me fait un bien fou. Je respire un grand coup et essaye de réfléchir. Bon, ne nous emballons pas, il doit bien y avoir un magasin d’ouvert ou bien un bar dans le coin.
Je prend le premier truc qui me passe sous la main dans mon placard a vêtement, une chemise à manche longue blanche simple un peux élimé. l’avantage de ne pas avoir une garde robe très fourni ni varié c’est que dans dès cas comme celui-ci on ne se retrouve pas non plus avec n’importe quoi sur le dos. j’attrape mon porte feuille, mes clefs et mon manteau avant de mettre mes rangers noir et  de sortir dans la nuit noir.

L’air frais de l’extérieur et la marche me revigore et me dégrise petit à petit pour mon plus grand malheur. Malgré tout je ne recouvre pas totalement mes sens, j’ai même un peux de mal à l’orienté. Je peste intérieurement contre moi même. Et dire que j’aurais pu être affaler sur mon canapé entrain de comaté sans rien demander à personne. Ça m’apprendra à faire plus attention à mes stocks.

Je fini par tomber sur un bar. Je ne prend même pas le temps de voir sont nom, son emplacement ou son design. Je passe à côté des clients sans les voir. La seule chose encore existante à ce moment c’est le comptoir ou je vais directement prendre place. Je sort un billet et commande un rhum. On ne change pas une équipe qui gagne. j’enchaîne deux verres avant de me mettre à déguster le troisième. Une fois mon stress retomber je me met à regarder ce qui m’entoure. La déco est sympa, sans être sensationnel. La musique est plutôt cool et ça à l’air d’attiré pas mal de monde. Je ne m’était pas rendu compte que c’était plein. La clientèle semble plutôt hétéroclite et… je me fige. Mon sang se glace dans mes veines avant de se mettre a bouillir. j’ai l’impression que mon coeur se décroche de ma poitrine et sans m’en rendre compte je lâche mon verre par terre.
Erik.
Je me lève sans vraiment savoir comment et je me dirige vers le grand brun qui hante chacun de mes rêves et de mes cauchemar. Je n’entend pas le barman qui m’interpelle, furieux. Je continue d’avancé vers l’homme à demi tourné et qui ne ma pas vu, l’homme à la cicatrice en croissant de lune si particulière. Je crois que j’ai arrêter de respirer dès l’instant ou je l’ai vu et je commence à vaciller. A moins que ce ne soit l’effet du rhum ou encore un savant mélange des deux. Le grand brun sent ma présence à ses cotés et se tourne légèrement vers moi.

- Erik…

je passe mes bras autour de sa nuque et l’embrasse passionnément. Des frissons parcours mon corps de la tête au pied et mon coeur explose. Il est là. c’est lui ! c’est vraiment lui ! Je le serre contre moi comme si il allais se volatilisé de nouveau. Je caresse doucement son visage avant d’enfouir ma tête contre son torse. Je tremble de tout mes membre et me met à rire nerveusement.

- Je t’ai retrouver… je t’ai enfin retrouver mon amour…

je ferme les yeux appuyer contre l’homme de ma vie, savourant cette douce chaleur et priant pour que ce moment dur à l’infinie.
Dim 9 Oct - 22:50
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Erik N. Sambre
Alors moi c'est : Erik n. Sambre
Je suis agé(e) de : 45
Je suis : un loup garou
Et j'adhère à l'alignement des : surnaturels
Mon métier c'est : Libraire
Je suis ici depuis le : 01/10/2016
Mon nombre de messages s'élève à : 112
♥ MEMBRES
Erik N. Sambre
 
 
"Leave me !"
 
J'aime, et je sais répondre avec indifférence. Seulement tu es juste un nom sur ma liste d'amants La victime et son bourreau
 
 
 

ENFIN !

Enfin la journée venait de s’achever. Les derniers clients venaient de traverser la porte d’entrée de la boutique, je soupirai doucement en vérifiant qu’aucun importun est pu se cacher dans un rayon reculer de ma boutique ; Sinon je pense que j’allais devoir hausser la voix pour les faire partir. Je pris quand même le temps de ranger calmement la boutique, passant un coup de balais dans l’ensemble, reclassant les ouvrages qui avaient était mal ranger, en remettant certains qui avait était vendu dans la journée. Puis calmement, je me mis à faire l’inventaire du reste des ouvrages à commander. Evidemment, nous somme dans la période de folie d’Harry Potter, on ne va pas se mentir, j’ai quasiment pour rien concernant cette série, les fanbook, les analyses, les romans que ce soit avec ou la nouvelle couverture, tout était partie en vitesse avant même d’avoir eu le temps de dire loup garou. A croire que le dernier tome était attendu comme le messie et le retour d’un livre saint. Oui c’est sans doute le cas pour les fans les plus investis. Et dire que la promotion du livre à entrainer une vague d’excitation dans la ville. Même les sorcières et les sorciers venaient achetés les aventures du petit sorcier aux lunettes rondes. Je ricane un instant en les imaginant lire et sans doute testé les sorts qui sont inscrit dans les livres. Reste à voir si ça à fonctionner. Cela me fait rire rien que d’imaginer que cela puisse fonctionner.

Enfin je finis l’inventaire, que ce soit de la partie surnaturelle ou non, c’est fou le nombre de bouquins en tout genre que j’ai accumuler depuis que j’ai ma boutique. Ho bien sûr, je suis bien loin de ce que les parents Sambre avaient prévu pour moi. De marchand de mort, me voilà simple libraire sans histoire… Ou presque sans histoire. Ici, pas de question ni de curiosité malsaine sur le passé de tel ou tel personne oh non… ici seul les faits présents comptent, attention, je ne dis pas que le passé ne vient jamais refaire surface loin de là, il est juste mis en pause, dans une boite, au porte de la ville pour que chacun ici puissent remplir de nouveau une autre boite plein de souvenir.
Sur le papier, le principe est bon, dans les fait c’est autre chose…

Et franchement, je crois que j’aurais dû m’abstenir de me pointer dans le seul bar surnaturel de la ville. Ben oui, bien que je sois devenu un loup, je n’en reste pas moins un homme avec des besoins disons difficilement rassassiable. Aussi étrange que cela puisse paraitre, je n’arrive pas à me cantonner à un seul partenaire. Héritage de ma vie passé ? Instinct primitif ? Qu’importe et je m’en fous à vrai dire. Je pense que c’est dans ma nature profonde d’être ainsi et je dois dire que je le vis très bien, voire parfaitement bien. La nature profonde est des plus complexe.

Ou en étions-nous ? Ha oui, ce bar surnaturel. J’ai mes petites habitudes là-bas, le genre d’habitude au point que le patron connaît ce que je bois avant même que j’ouvre le museau. C’est donc assis sur le tabouret près du bar, à discuter avec un bel inconnu qui va sans doute finir dans mon plumard dans quelques verres si je me débrouille bien, au pire je me rabatterai sur une femme, la chair reste la chair qu’importe ce qu’elle est. Alors que je discutai tranquillement avec cet inconnu avec la possibilité de plus en plus qu’il finisse dans notre plumard, je sens soudainement une odeur que je connais que trop bien avant de sentir un poids sur mon dos.

- Erik…

Alors la si je m’attendais à ça, je sens soudainement ses lèvres sur les miennes, m’entrainant sur dans un baiser passionné, j’écarquille les yeux en fixant l’importun. Sam… Bordel de merde Sam ! Comment ! Je pensai m’en être débarrasser une bonne fois pour toute après la rivière. Je l’écarte brusquement alors qu’il se blottit contre moi.

- Je t’ai retrouvé… je t’ai enfin retrouvé mon amour…

Je grogne sourdement alors qu’il psalmodie mon nom. Mon futur coup d’un soir recule doucement en soupirant. PUTAIN NAN ! Je fixe alors Sam en grognant plus fort et en le fusillant du regard. Putain mais ce n’est pas vrai, jusqu’au bout il va me coller les basques.

-Viens par la…

Je le tire vers la ruelle arrière qui sens la pise, la drogue et l’alcool, le gérant m’a permis d’utiliser l’impasse en cas de besoin et là c’est un besoin urgent.

Je le renvoi vers le mur en le détachant de moi, je m’écarte avant de serrer les poings.

-Putain mais qu’est-ce que tu veux encore ! Je suis pas ton amour à la fin merde !

Bon ok il y a sans doute des manières plus délicates, mais la ras le bol, alors la délicatesse je m’en branle totalement, par sa faute, je venais de perdre mon coup d’un soir. Non pas que je sois à ce point en manque mais bordel j’aurais pas dit non vu la semaine infernale que je venais de passer.

-On va mettre les choses aux clairs Sam ! Je suis pas ton amour ! Je l’ai jamais été… On a passé un très bon moment pendant quoi cinq ans ? mais c’est tout ! ok ? Ça sert à rien d’insister !

Bon d’un côté je sens que je me mens à moi-même. De l’autre… De l’autre je suis dans mon droit de gueuler contre ce chiot qui pense que son maitre l’aime ! Seulement un chiot doit savoir se détacher de son maitre mais pas lui, nan lui a besoin d’un amour fantôme pour survivre dans ce bas monde. Et ce regard de chiot battu ! et dire que j’avais pensé l’avoir mieux entrainé que ça…

 
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Sam 22 Oct - 3:16
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Mon coeur a du mal à reprendre un rythme normal. Après trois ans de cavale pour le retrouver je tiens enfin l’homme que j’aime contre moi. Son contacte me grise et me tourne la tête, à moins que l’alcool et les drogues que j’ai ingérés plus tôt n’y soit pour quelque chose… qu’importe il est là c’est tout ce qui compte. J’ai tellement de choses à lui raconter, tant de choses à lui demander. Mes idées se bousculent. Mon appartement est assez grand pour nous deux mais au besoin je peux le revendre et acheter quelque chose qui lui plairait plus. A moins qu’il ai décidé qu’on devais ce remettre en route au quel cas il me faudra également poser ma démission et quitter la clinique vétérinaire. Tout me va du moment que je reste avec lui.
Il m’entraîne dans une ruelle derrière le bar et je souris de l’empressement avec lequel il m’y conduit. On dirait qu’il n’y a pas que moi qui suis excité de le retrouver. La ruelle est assez sombre et sent mauvais, mais qu’importe. A ce moment tout cela m’est égal. Je suis heureux d’être avec lui.
Erik me pousse violemment contre le mur, mon souffle se coupe sous l’impacte. Je ne m’y attendais pas. Je me redresse et m’adosse au mur en souriant persuader que cette violence résulte de ses ardeurs à me retrouver. Je suis prêt à le recevoir dans mes bras contre ce mur miteux si besoin. Je commence à déchanter lorsque je le vois qui se recule.

-Putain mais qu’est-ce que tu veux encore ! Je suis pas ton amour à la fin merde !

Je cligne plusieurs fois des yeux sans comprendre. Ou plutôt je ne veux pas comprendre. Mon sourire c’est figé et je me met a rire nerveusement. Mais qu’est ce qu’il raconte ? c’est moi, c’est Sam… SON Sam…


-On va mettre les choses aux clairs Sam ! Je suis pas ton amour ! Je l’ai jamais été… On a passé un très bon moment pendant quoi cinq ans ? mais c’est tout ! Ok ? Ça sert à rien d’insister !

Je l’observe sans vraiment réalisé ce qui ce passe. Pourquoi Erik me dit ça ? C’est incompréhensible. Non. Je refuse de comprendre. Je reste appuyer sur le mur immobile. Je doit rêver ou alors c’est un contre coup du mélange drogue/alcool. Peut être que j’ai juste une super hallucination une sorte de badtrip et que je suis toujours chez moi allonger sur le parquet dans un état comateux, une sorte de cauchemars en somme. Mais non je sais que ce qui ce passe est réelle. j’ai bien senti son odeur, son corps contre le mien… Je secoue la tête comme pour me réveiller.  
Erik m’aime. Je sais qu’il m’aime… hein Erik que tu m’aime… Dit moi que tu m’aime… je n’ai pas traverser tout ça pour rien… s’il te plaît…
Ses yeux perçants me traversent comme si je n’était qu’un nuisible, tout dans son attitude exprime le rejet. Non seulement il n’a jamais essayer de me retrouver mais en plus je sais à ce moment précis qu’il ma abandonner sur les bord de cette rivière alors que je me vidais de mon sang. Mon coeur se serre. Des larmes commencent à se former aux coins de mes yeux. Je fini enfin par réaliser.

- Mais Erik…Pourquoi ?

Je me sent tout d’un coup totalement minable. Je suis pas ton amour ! Je l’ai jamais été… Je le pensais vraiment pourtant. j’étais persuadé qu’une part d’Erik m’aimais. Il a toujours été un peu brusque et distant mais il a également su se montrer tendre avec moi. j’ai du mal a respirer, je manque d’air et cette ruelle crasseuse m’étouffe.

- Tu as toujours été la pour moi… Pourquoi ?

On a passé un très bon moment pendant quoi cinq ans ? mais c’est tout ! Ok ? Chaque mots est un coup de poignard qui commence doucement à réveiller ma rage. Je m’appuie contre le mur pour me redresser. Mon sourire à totalement disparus. Ma mâchoire se crispe et des larmes coules le long de mes joues. Mais ce ne sont pas des larmes de princesse éploré, non. Ce sont des larmes de rage. Mon regard se durcie complètement lorsque je fixe les yeux d’Erik. Je serre les poings fermement jusqu’à m’enfoncer les ongles dans ma paume.

- "Mais c’est tout" ?

Je me met a rire méchamment. A cet instant précis j’ai très envie d’écraser mon poing sur son jolie visage si parfait. Je m’approche calmement le fixant avec haine. Mais c’est tout… Il ne peux pas balayer huit ans de ma vie par un simple : mais c’est tout. Je le repousse contre le mur sans aucune délicatesse. Il y a trois ans en combats singulier Erik avais pratiquement toujours le dessus, mais après ce que j’ai vécus ces trois dernières années je pense que j’ai mes chances de le dérouiller si on en viens aux mains. Mon coeur saigne et me crie de m’arrêter, qu’il s’agit d’Erik et que jamais je ne pourrais posé la main sur lui. c’était peut être vrai il y a une heure… mais là, je ne suis plus maître de moi-même. Je le maintient contre le mur. Ses yeux intense qui en temps normal me font flancher ne m’atteigne presque plus tellement ma rage est grande et ce que j’ai a lui dire me comprime.

- Écoute moi bien Erik, tu ne peux pas balayer nos cinq ans de vie commune pas un simple « mais c’est tout ». Tu ne sais pas tout ce que j’ai traverser ces trois dernières années pour te retrouver ni le nombre de gens que j’ai tuer. Je t’aime plus que de raison, je t’ai toujours aimé. Tu as fais de moi ce que je suis maintenant et toi tu veux me faire croire que ces cinq année passer ensemble ne signifie rien pour toi ? Que j’étais quoi ? Ta bonne à tout faire ? Ton vide couille attitré ?!

Je hurle les dernier mots et lève le poing plein de hargne pour l’abattre  violemment sur son visage mais au dernier moment je dévie mon coup contre le mur juste coté de la tête de ce connard de loup. Mon poing s’encastre dans le mur mais je sent a peine la douleur, ele n'est rien en comparaison à ce que je ressent en moi en ce moment. j’enrage. Je suis incapable de le frapper… Malgré toute la haine qui me consume je n’arrive pas à lever la main sur lui. Il me tien sous son emprise, je suis trop faible.
Mar 25 Oct - 17:04
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Erik N. Sambre
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L’information ne passe pas.

Je répète l’information ne passe pas dans son crane de louveteau malade d’amour pour moi. Comment je le sais ? C’est marqué sur son museau de chiot battu. Entre le regard figé et le rire nerveux, difficile de faire plus explicite niveau je comprend pas rebooter moi please. Je l’aime pas c’est comme ça, j’ai toujours eu un cœur de glace, il a sans doute compter à un moment dans ma vie mais ce moment est révolu c’est ainsi et ce sera jamais autrement. Bon d’accord en temps normal, j’aurais sans doute mis les formes à grands coups d’excuses a la con du style j’ai quelqu’un d’autre en vue ou pire c’est pas toi c’est moi le soucis. Mais sérieusement qui y croit encore à ses excuse à la con ! ben faut croire que les gens comme Sam on besoin d’entendre des mots d’amours pour savoir qu’ils ne sont pas aimé. Sauf que ben moi ça me gonfle, ça me saoule plus que tout, ça me répugne même !

- Mais Erik…Pourquoi ?

Oh putain il me gonfle. Pourquoi ? pourquoi ? pourquoi ? toujours cette même question, pourquoi tu me fais du mal ? Parce que ! C’est ainsi et je ne changerai pas pour des beaux yeux pleureurs en quête de réconfort. Je ne vais pas changer c’est ainsi. Alors à sa question je hausse les épaules. Ouais j’avoue il y a mieux que ça comme réponse. Mais passons.

- Tu as toujours été la pour moi… Pourquoi ?

Non mais il se fout de moi ? J’ai très bien été sans lui avant de le rencontrer et je l’étais il y a encore quelques minutes, mais bon je suppose que c’est une détail négligeable pour lui qui au final n’est qu’un égoiste parmi tant d’autre. Me vouloir pour lui seul, quel connerie, c’est le meilleur moyen pour moi de me laisser dépérir.

-Toujours est très relatif, parce que bon j’étais très bien il y a encore quelques minutes. Avant que tu fous la merde comme a ton habitude ! et dire que pendant cinq petites années je me sentais libre sans avoir quelqu’un dans mon sillage a couiner des qu’un truc lui plaisait pas !

J’ai jamais été tendre, même dans nos étreintes, la douceur c’est quelques chose que je n’ai jamais vraiment appris. Et a vrai dire, je trouve cela superflue. A quoi ça sert ? C’est de l’hypocrisie balancé comme on jetterai des fleurs ou du riz a un mariage, ça sert a rien. A quoi bon être compatissant quand l’honnêteté reste la meilleure des vérités. J’en ai rien a foutre d’être le salaud de l’histoire parce qu’au final, je sais que je le suis pas, ou alors juste un peu.

- "Mais c’est tout" ?

Je hausse un sourcil en l’entendant rire. Tiens il serait finalement un poils plus fort que ce que je pensai ? Quoique non. Il s’’approche de moi en me fixant avec rage, ben vas y frappe moi, je n’attend que ça, prouve moi que tu as évoluer que tu n’est plus le misérable clébard que j’ai voulus élevé ! Montre moi que tu n’est pas une erreur que tu vaux bien plus que ce truc dégoulinant d’amour en quête de reconnaissance ! Une reconnaissance que tu n’auras qu’en t’en montrant digne ! Il me repousse en croyant s’en doute m’impressioner, mais l’effet larmes avec le regard de haine c’est tellement too much ! un peu comme dans les vieilles séries que ma nourrice affectionner tant par le passé. Il me repousse contre le mur alors que je retient un sourire en le fixant droit dans les yeux. Il a pris de la force depuis la dernière fois, mais pas sur que cela soit suffisant.

- Écoute moi bien Erik, tu ne peux pas balayer nos cinq ans de vie commune pas un simple « mais c’est tout ». Tu ne sais pas tout ce que j’ai traverser ces trois dernières années pour te retrouver ni le nombre de gens que j’ai tuer. Je t’aime plus que de raison, je t’ai toujours aimé. Tu as fais de moi ce que je suis maintenant et toi tu veux me faire croire que ces cinq année passer ensemble ne signifie rien pour toi ? Que j’étais quoi ? Ta bonne à tout faire ? Ton vide couille attitré ?!

Le voilà qui se met a hurler. En fait j’ai un gosse qui fait un caprice en face de moi. Tellement ridicule… Dans la haute il se serait tellement fait bouffer par les requin de la société. Il abat son poing contre le mur. Je sais qu’il visait ma tête, mais il est toujours incapable de lever la main sur moi.
Je sais qu’il attend sans doute une réaction de ma part. Je lui souris alors froidement en avançant la tête.

-C’est mignon tu montre tes jolis petit crocs, ça marche sans doute avec les autre mais avec moi… tututu voyons je suis celui qui t’as créer et franchement des fois je me dit que c’était une belle connerie de ma part.

Je ricane en secouant la tête.

-Moi qui pensais avoir former un véritable chasseur, capable de tuer et d’être maitre de ses émotions, je me retrouve avec un gamin pleurnichard qui en vient à me supplier pour que je le reprenne, franchement tu est pathétique…

J’attrape alors son qui me plaque contre le mur et et referme mes doigts sur son poignet avant de serrer, fort, je sens les mots de son poignet sous ma poigne alors que je lui écarte le bras pour inversé nos rôle, lui contre le mur moi le dominant.

-J’avoue durant cinq années tu a était le meilleur coup que j’avais connu, mais tu vois le soucis c’est que ben tu m’aimes alors c’est mignon de sortir les crocs en voulant se faire passer pour un grand fauve en hurlant. Mais franchement tu es t’une telle monotonie. Donc ouais t’étais un bon vide couille, mais bon en cinq ans on commence à s’ennuyait.

Je souris en penchant la tête sur le coté.

En fait ouais on commence vite à s’ennuyait alors bon on va pas se mentir c’était plutôt une aubaine que les chasseurs nous trouvent, j’avis une raison pour partir.


C’est vil, c’est mesquin mais bon dieu que ça fait du bien d’être cruel de temps en temps.


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Sam 5 Nov - 23:16
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Mon corps tremble mais je tente quand même de le maintenir fermement contre le mur. Intérieurement je suis brisé, j’ai l’impression d’être une tasse de porcelaine que l’on aurai lâché dans le vide. Je vois la chute au ralentie et je sais quel en est la fin. Est ce que c’est la que va me conduire mon amour pour Erik ? A des morceau de moi même éparpiller un peu partout ?

Il se fou totalement de ma gueule et de ma colère contre lui. Comment est ce que l’on peut être aussi insensible ? C’est pas possible d’être un salaud pareille, si ? J’ai le coeur au bord des lèvres tellement cette situation ridicule me dégoutte. Je baisse graduellement les yeux, l’abattement me fait lacher prise. De toute façon c’est ce qu’il veux. Ou plutôt ce qu’il ne veux pas.

Je suis totalement perdu, déboussolé. Tout ce en quoi j’ai crus ces dernière années, du flan. C’est ma faute, je le sais. J’aurais jamais du m’attacher à un mec comme lui, il a toujours été froid, sur le qui-vive . Fou que j’étais je prenais ça pour de l’amour, j’étais persuader qu’il était en vigilance constante pour rester en alerte et nous protéger. Je me sent vaciller. Je me dégoûte. Je l’écoute me parler sans broncher. J’ai perdu momentanément ma combativité. Même Erik le dit, je suis pathétique, je suis faible.

Il m’attrape le bras et profite de mon égarement pour reprendre le dessus et me plaquer contre le mur, je frémis sous la force qui se dégage de lui. Mon instinct reprend le dessus et je me met à gronder. Je reprend pied peut à peut. Même si j’ai mes tord avec mon coté amour de princesse, Erik à les siens et je ne suis pas près à lui pardonner. Ce n’est pas le prince charmant loin de la malgré sa tronche tout droit sorti d’un roman des sœur brontë mais je ne suis pas non plus une princesse éploré et inoffensive darling. Ah tu penses que je ne suis qu’un louveteau faible incapable de violence ? Si Erik voyais mon corps à l’heure actuelle il verrai que je n’ai pas passer ces trois dernières années à faire de la broderie. Oh oui tu as fais de moi un tueur bel enfoiré, et ne viens pas trop me titiller.


-J’avoue durant cinq années tu a été le meilleur coup que j’avais connu, mais tu vois le soucis c’est que ben tu m’aimes alors c’est mignon de sortir les crocs en voulant se faire passer pour un grand fauve en hurlant. Mais franchement tu es d’une telle monotonie. Donc ouais t’étais un bon vide couille, mais bon en cinq ans on commence à s’ennuyer. 

Il me souris tout en penchant la tête sur le côté, j’inspire a fond pour me maîtrisé. J’ai une folle envie de lui arracher le visage et d’effacer son sourire de petit con hautain et prétentieux. Je me tend sous sa poigne. J’essaye de me contenir mais comme la si bien dit l’homme qui me domine à présent, je ne suis pas maître de mes émotions. Le fait d’être passer pour sa pute pendant toute ces année me fait mal. Terriblement mal. Je sent mon sang qui se met à bouillir dans mes veines.

- En fait ouais on commence vite à s’ennuyer alors bon on va pas se mentir c’était plutôt une aubaine que les chasseurs nous trouvent, j’avais une raison pour partir.

Mon cerveau fait un blackout total, on aurai pu l’enlever le mettre dans une valise et le jeter à la mer le résulta aurai été le même. Les chasseurs une aubaines ? Mon corps réagis automatiquement. Mon genou par tout seul et va s’écraser dans son estomac. Je m’en veux instantanément de l’avoir frapper mais c’est comme si le loup en moi m’avait envoyé bouler au fond de ma tête et avais pris les commandes. Je repousse Erik violemment et l’envoie valser sur le mur en face. Je me précipite sur lui avant qu’il se remette de l’effet de surprise et le plaque au mur en enfonçant légèrement mes griffes dans son épaule. Je le regarde avec rancœur et mon corps se met a trembler doucement comme pour m’empêcher de faire une connerie. Je suis pourtant déterminer à dérouiller ce salaud au moins pour lui donner une bonne leçon. 

Je n’ai plus rien à perdre, il est tout ce qu’il m’importe et il me rejette. Un combats à mort dans cette ruelle sordide et crade ne m’effraie en aucune façon, j’ai déjà danser avec la mort à plusieurs reprise ces dernière années mais c’est la première fois que je l’affronte sans peur voir même avec envie. Si la mort pouvais me prendre tout de suite je ne ressentirais pas cette blessure cuisante de mon coeur à l’agonie. Alors oui je sais que Erik a toujours eu le dessus et que me battre contre lui est du suicide mais mourir de ses mains fermerais cette boucle infernal. Créer et détruit par le même homme. Ce que dieu donne dieu le reprend. Cette idée me fait rire, mes larmes sont assécher il ne me reste que ma folie suicidaire. Je ne partirais pas sans t’arracher la gueule avant beau mec, comme ça tout le monde pourra voir à quel point tu es laid à l’intérieur.

- Désolé, je ne suis pas maître de mes émotions...

Je lâche cette petite phrase avec une pointe de sarcasme et j’approche mon visage du sien.

- On va mettre les choses au clair petit con arrogant. Quand tu ma abandonner sur ces rives à me vidé de mon sang j’ai tout fait pour te retrouver. Je suis passer par des choses que tu n’oserais pas imaginer. Oh oui j’ai tuer, tu as fait de moi un tueur c’est vrai et en trois ans j’ai tuer bien plus de fois qu’en cinq avec toi. J’ai tout fait pour te retrouver. TOUT, espèce de connard. Ne me prend pas pour plus faible que je ne le suis uniquement parce que j’ai fait la connerie de t’aimer.

Je le regarde de haut en bas pour le jauger. Comment est ce que je peux haïr et désirer autant cet homme en même temps. Je le fixe de nouveau intensément dans les yeux. Je plante mes griffes un peut plus et lache un grondement rauque. Je lutte contre trop d’émotion contradictoire qui se batte dans ma tête. Mais bordel pourquoi ce mec me rend dingue comme ça ? Son contacte et son odeur font vibrer toute les cellules de mon corps de souvenir passé, de sentiment d’une intensité pas ressenti depuis des lustres mais la glace de ces yeux me donne envie de les lui arracher avec mes crocs. J’oscille entre l’envie de lui mordre le visage et de l’embrasser. Quel enfoiré ce mec…Comment fait-il pour avoir autant d’impact sur moi ?
Lun 7 Nov - 11:08
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Erik N. Sambre
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J'aime, et je sais répondre avec indifférence. Seulement tu es juste un nom sur ma liste d'amants La victime et son bourreau
 
 
   

Certains pratiquent l'amour vache, à grand coup de petites piques plus ou moins biens lancé mais qui au final fonctionne relativement bien. Mais moi je pratique un amour encore plus vache, je pratique l'amour pute. Maintenant vous commencez a me connaitre, aimer c'est impossible pour moi, pas pour l'instant. Et franchement quel poids c'est d'aimer ! Sous mon regard, je le vois trembler, je le vois perdu, mais une fois l'annonce des chasseurs qui étaient une aubaine, le voilà qui réagit au quart de tour, je me prend son genou dans l'estomac avant d'être rejeté contre le mur d'en face. Mon souffle se coupe avant de me retrouver bloqué avec ses griffes dans l'épaules.

- Désolé, je ne suis pas maître de mes émotions...

Je ricanne alors, l'épaule planté par ses griffe, ha enfin il se réveille, c'est pas trop tot... Je l'écoute rire comme si il était plongé dans une folie dont je suis le coupable, en temps normal, une créature censé tenterait de le ramener, mais j'en vois pas l'intéret, il est bien mieux comme ça et qu'importe que je soit un véritable monstre avec lui, il est malheureusement attaché a moi, de gré ou de force.

- On va mettre les choses au clair petit con arrogant. Quand tu ma abandonner sur ces rives à me vidé de mon sang j’ai tout fait pour te retrouver. Je suis passer par des choses que tu n’oserais pas imaginer. Oh oui j’ai tuer, tu as fait de moi un tueur c’est vrai et en trois ans j’ai tuer bien plus de fois qu’en cinq avec toi. J’ai tout fait pour te retrouver. TOUT, espèce de connard. Ne me prend pas pour plus faible que je ne le suis uniquement parce que j’ai fait la connerie de t’aimer.

je souris en montrant montrant mes crocs. Oh il est devenu un loup adulte c'est mignon. Regardé regardé un loup adulte qui a besoin de reconnaissance. C'est mignon tout plein hahahha écoeurant ! Je grimace en remuant doucement l'épaule qui est en ce moment perforé par ses griffes. On va pas se mentir il est bien plus fort que la dernière fois que je l'ai vu, réellement mais franchement, j'ai l'air de mettre empaté ? Je crois pas, certaines choses ne doivent pas être raconter tout de suite.

-Nan de la force t'en as ça c'est sur. Mais toi qui te vante d'avoir tant tuer ses trois dernières années, tu t'es jamais dit que peut être je voulais pas t'ammener en chasse hum ? Et tu veux quoi ? que je te félicite ? ben ok. Félicitation t'es devenu un homme.

Alors que je l'entend grogner, mon souris s'agrandis en un happy face de malade. Je me penche lentement vers lui, nos visages s'effleurent. Pour une personne lambda, on pourrait croire qu'on est sur le point de s'embrasser mais non, quelqu'un qui nous connait sait que l'atmosphère ne se prete pas a une passion. loin de la...

-Dans ce cas Sam Torrance, toi qui te dit si fort et te voilà devenu un homme, pourquoi tu ne m'achève pas hum ? Que tu es la faiblesse de m'aimer certes je le conçois, mais voyons toi qui dit avoir vu des horreurs, tu devrais avoir le courage de me tuer non ?

Instinct de survis ? Zéro
possibilité d'atteindre ce que je veux ? 55 % diras t'on
Bien sur si je dois avoir l'épaule en sang, cela est le prix a payer.

-Alors ? Au final a part ce que j'ai bien voulu te raconter, que sait tu de moi ? Que ses tu de ses dernières années ? Après tout je pourrais être père, je pourrais t'avoir remplacer ? Ou bien repris les affaires familiales non ? Alors Sam ? Que décide tu ? Me tuer et avoir ma mort sur ta conscience ? Es tu pret a vivre avec ça ?

 
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Jeu 10 Nov - 15:37
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Je tremble de rage, les crocs sorti et les griffes planté dans sa chaire.Je crois que jamais auparavant je n’ai ressenti un tel flot d’émotion forte en même temps. Et il se permet de ricaner ce con ! Je plante mes griffes un peu plus dans son épaule tout en grondant. Arrête de rire connard et attaque moi, va y ! Tue moi merde ! Tue moi ça sera fini comme ça ! Je le supplie intérieurement de m’achève. j’en peut plus, il a gagner, je suis faible et je ne suis pas fait pour cette vie. Pas sans lui. 

Il se fou de ma gueule en me donnant de fausse félicitation. Mais j’en ai rien a foutre de ses félicitation ! Il ne la pas compris ça ! Certes les première année que l’on a passer ensemble j’ai tout fait pour lui plaire, pour qu’il soit fière de moi, je voulais tout apprendre de lui pour devenir le meilleur, c’est normal quand on aime quelqu’un on veux qu’il soit fière de nous. Mais ces dernière années ont tout changé. Oui bien sur j’aimerais qu’il reconnaisse ma vrai valeur parce que c’est comme ça, mais ce que j’attendais surtout de lui c’était de l’amour ou au moins un peu d’affection, rien qu’un peu. Un petit « tu ma manquer » ou encore « je suis content de te voir » mais là… RIEN.


Bon c’est pas vrai je me ment à moi même, un simple « je suis content de te voir » sans plus m’aurais fait chier. Il ne comprend pas que tout ce qui m’importe c’est d’être auprès de lui, je ne peux pas l’expliquer j’ai besoin d’être avec lui pour me sentir vivant et entier. Je plonge mon regard dans le sien, avant je ne me serais jamais permis de le regarder comme ça, dans les yeux, aussi longtemps et avec autant de colère. Et ce sourire de petit con suffisant sur son visage… mais bordel qu’est ce que je fou la avec ce mec ? Pourquoi je me met dans tout mes états pour ce petit con prétentieux ? A croire réellement que ces trois dernière années on cristallisé l’image que je me fait de lui.


Son visage se rapproche du mien et on se frôle presque, dans un autre contexte avec d’autre personne sa aurai peut-être été une scène émotion avec baisé passionner, il y a dix minute encore j’y aurai cru moi aussi, il y a dix minute j’aurais cédé et j’aurais fermer les yeux et je l’aurais embrasser et je lui aurai dit a quel point je l’aimais. Là l’unique raison pour laquelle je ferme les yeux c’est pour résisté à l’envie de planter mes crocs dans son visage si satisfait et d’en arrache de large bandelette de chair.


-Dans ce cas Sam Torrance, toi qui te dit si fort et te voilà devenu un homme, pourquoi tu ne m'achève pas hum ? Que tu es la faiblesse de m'aimer certes je le conçois, mais voyons toi qui dit avoir vu des horreurs, tu devrais avoir le courage de me tuer non ?


Je me recule légèrement, désarçonner par la tournure que prenne les choses. Mais qu’est ce qu’il raconte ? Je fonce les sourcils surpris. Il a vraiment craquer là,c’est pas ça que j’attendais. Le plan ce n’était pas de tuer Erik mais plutôt que lui m’achève. Ça ne lui ressemble pas, c’est uniquement de la provoque. c’est un test, un putain de test… Mais je ne vois pas du tout ou est ce qu’il veux en venir.


-Alors ? Au final a part ce que j'ai bien voulu te raconter, que sait tu de moi ? Que sais tu de ces dernières années ? Après tout je pourrais être père, je pourrais t'avoir remplacer ? Ou bien repris les affaires familiales non ? Alors Sam ? Que décide tu ? Me tuer et avoir ma mort sur ta conscience ? Es tu prêt a vivre avec ça ? 


Je le lâche d’un coup choquer par ses paroles. Père ? Je n’ai jamais penser à ça, l’idée ne ma même pas effleurer une seconde mais maintenant quelle est rentrer dans ma tête elle me ronge. Bordel, quel salaud ce mec. Me sortir ça comme ça, aussi facilement que s’il avais dit salut. Je ferme les yeux et inspire a fond. Non je ne sais pas ce qui c’est passer ces trois dernière année et a vrai dire je n’ai pas envie de le savoir. J’ai moi même pas été tout à fait clean donc je n’ai rien a dire. Mais là… Le coup du gosse...Ce mec a décidé de me détruire et il m’offre sa vie sans résistance, il veux réellement mourir ou quoi en me balança ce genre de chose à la tronche ?


Je frappe violemment le mur a côte de sa tête trois fois de suite comme une bête en hurlant de rage, au troisième coup j’entends un léger craque mais n’en prend pas conscience. Je sais que ça ne sert a rien de s’en prendre à ce pauvre mur mais qu’est ce que ça fait du bien de se défouler un peut comme ça ! Je retire mon poing du mur lentement et le ramène le long de mon corps, de fine gouttes de sang s’écoule jusqu’au sol et une de mes jointures forme un angle bizarre. Je le redresse au mieux avec mon autre main. Je passe ma main saine dans mes cheveux hésitant à me les arracher par touffes. Je fait deux trois pas dans la ruelle et reviens vers Erik .


Je me repenche doucement sur lui. Non bien sur que non il sais que je ne peux pas le tuer, j’en serais incapable car je l’aime et que j’ai déjà assez de mal a vivre avec les images de lui incruster dans mon crâne, ces dernier temps j’ai même remarquer que la petite voix dans ma tête était la sienne… Alors le tuer. Non impossible. Je ne peux tout simplement pas. Ce n’est pas de la faiblesse là c’est juste que je n’en éprouve pas l’envie, un peu si mais de là à passer à l’acte... Il me dirai de tuer n’importe qui d’autre je le ferais sans broncher mais pas lui.
Pourquoi il reste comme ça sans réagir ? Il va me rendre dingue. Le Erik que je connais ne se laisserais pas faire si facilement. Il n’ y a qu’un seul moyen que je vois pour le faire réagir et faire en sorte qu’il se batte sans retenue.


- Hors de question que je t’abatte comme un chien sans que tu oppose la moindre résistance.


Je me pince l’arrête du nez et plisse les yeux. Je deviens graduellement pâle à cette idée. Je vais regretter a jamais ce qui va ce passer mais comme je pense mourir dans la demi-heure je m’en tamponne. Je me mord l’intérieur des joues jusqu’au sang et ouvre mes yeux teinté de vert dans un regard déterminer. J’abats violemment mon poing sur le visage d’Erik, lui laissant une belle marque sanglante sur la joue, mon sang bien sur pas le sien, je ne l’ai pas frapper assez fort pour le faire saigner, je suis incapable de me donner a fond contre lui. J’espère au moins avoir réussi a réveiller Erik. Dans le doute je lui hurle dessus histoire d’enfoncé le clou.


- Bats toi espèce de grande chiffe molle ! Ou son passer tes couilles ? Tu les as couper durant ces trois dernières année ?


Je recule d’un pas et me met en position de combat et j’ouvre légèrement les bras pour l’incité à venir. Je hausse les sourcils pour montrer mon impatience. Aller viens, il y a trop de tension entre nous pour que ça puisse finir autrement de toute façon.


- Si tu dois mourir autant que ça se fasse en te battant contre moi. Tu ma créer alors c’est de bonne guerre que ça soit moi qui te détruise c’est de bonne guerre. Mais je n’achève pas des trou-duc de ton espèce juste parce qu’il me le demande. A moins que tu ne sois plus assez vigoureux pour ça… on a peur de perdre contre moi papy ?



j’accentue bien le dernier mots et lui souris d’un air hautain et suffisant. A mon tours de balancer des petites pique bien que je ne pense aucune de mes phrase. Le goût métallique du sang me pique légèrement la gorge rendant encore plus amère cette situation. Oh seigneur, je me regarde un instant pris soudain de lucidité, avec ce sourire et cet air sur de moi on vois parfaitement de qui je tiens… Je débloque, ce désire que j’éprouve pour Erik m’emprisonne dans une sphère folle et me fait perdre la raison.
Ven 11 Nov - 9:47
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Frapper avec ses poings c'est bien.
Ca prouve qu'on est un dur, qu'on sait comment réagir en cas de conflits, qu'on est aptes a protéger sa famille et ceux qui comptes pour nous.
Ouep... ouep ouep ouep...
Ca fait jolie sur le papier hein ? Savoir protéger les siens !
N'importe quoi !

Mais frapper avec des mots c'est mieux... Bien mieux même... Il suffit de bien choisir ses paroles et d'attaquer.
Et la dans la tête de mon cher petit Sam Torrance, je viens d'accomplir un strike de toute beauté, le genre de coup que l'on ne peux pas parait, même avec toute la volonté du monde. L'annonce d'une possible paternité. Quoi de mieux pour mettre en K.O technique qu'une annonce comme celle ci, surtout pour un jeune homme comme lui. C'est pute certes mais tellement bon que cela le destabilise, d'ailleurs sa prise sur mon épaule, pas besoin d'être télépathe pour voir que l'idée tourne en boucle dans sa tête de moineau. La preuve, j'écarte légèrement la tête pour le voir s'exploser la main a grand coup de poing dans le mur. Décidémen, il est bien trop impulsif pour son bien, le craquement que j'entend me fait doucement sourire, un sourire juste discret et très bien caché sous un masque de froideur, oui décidément c'est un réel plaisir de le revoir.

- Hors de question que je t’abatte comme un chien sans que tu oppose la moindre résistance. me dit il après s'être calmé.

A peine lancer qu'il regrette ses paroles à mon égard et de nouveau son poing par pour s'écraser dans le coin où je posséder ma cicatrice en forme de croissant de lune, pas assez fort pour me blesser, juste assez pour me faire chuter. Je me redresse en essuyant le sang que je porte a mes lèvres. Délicieux, ouais maintenant je me souvient pourquoi je l'avais mordu si fortement quand je l'ai transformer. Si il avait pas eu un sang si délicieux, je l'aurais laisser a son sort et non transformer, mais bon j'étais jeune et con au final.

- Bats toi espèce de grande chiffe molle ! Ou son passer tes couilles ? Tu les as couper durant ces trois dernières année ?

je plante mon regard dans le siens, oui bonne position de combat, réellement c'est ça que tu veux sam ? Je reste sans garde, juste a le fixé en souriant. Alors il arrive lui aussi a manipuler les mots ! un peu plus et je sauterai de joie, mais non pas envie.

- Si tu dois mourir autant que ça se fasse en te battant contre moi. Tu ma créer alors c’est de bonne guerre que ça soit moi qui te détruise c’est de bonne guerre. Mais je n’achève pas des trou-duc de ton espèce juste parce qu’il me le demande. A moins que tu ne sois plus assez vigoureux pour ça… on a peur de perdre contre moi papy ?

Soudain il prend conscience, oui il prend conscience de ce qui lui arrive. Et oui mon petit Sammy, tu commence à me ressembler. Malheureusement tu le comprend que trop tard. En un instant, je suis près de lui et décoche un magnifique lancé de jambe dans les côtes, le faisant tituber avant que je le chope pour le jeter contre le mur où je le vois s'effondrer au sol.

-Je te rassure elles sont toujours la

Je l'écarte du mur pour pouvoir me penché de toute ma hauteur sur ce qui semble être un chiot vraiment très mal dresser et qui mériterai tellement une correction., je sert le poing et l'abat une fois deux fois trois fois quatre fois sur son jolie petit museau, le sang gicle sous mes doigts. J'ai toujours était fasciné par le sang. Ce rouge si vif et si sombre. surprenante sensation et quel fumé... Tellement jouissif.

Je le regarde comme si il n'était qu'un moins que rien en me redressant.

-Pour un grand père je me défend encore plutot bien. Toi par contre tu es un chiot vraiment mal éduqué... Ralalala même pas foutu d'exécutée un ordre de son créateur. Qu'est ce que je t'ai dit et redis quand je t'es pris avec moi hum ? Quand le maitre ordonne, le chiot fait mais non, toi tu as une conscience, tu as encore ta foutu conscience humaine qui fait de toi ce que tu es.

Je soupire en regardant autour de moi.

-Qu'est ce que je vais faire de toi mon petit sam hum ? il faudrait reprendre toute ton éducation et franchement j'ai déjà passer trop de temps. Je pourrais aussi te tuer. Mais soyons franc.

Je me penche en souriant comme un dingue.

-C'est bien plus drole de te voir bataillé pour moi.
 
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Ven 11 Nov - 17:21
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Perdu dans mes pensés troublent je baisse ma garde et ne vois pas Erik me foncé dessus à une vitesse fulgurante. Je n’ai même pas la présence d’esprit d’évité ou même d’amortir le coup qu’il me porte aux côtes et qui m’envoie valsé contre le mur. Mes jambes flageoles et finissent par me lacher je porte une main sur mes côte endolorie et ferme les yeux en serrant fort les paupière. Il cogne dur cet enflure…

-Je te rassure elles sont toujours la.

Je relève vivement la tête pour le voir fondre de nouveau sur moi. J’essaye de l’évité mais une décharge électrique au niveau de mon thorax m’empêche de bouger, le simple fait de respirer est un calvaire. Une… non deux côte cassé ? Je n’ai pas vraiment le temps de réfléchir à ça qu’il m’attrape et se penche au dessus de moi. Un instant je pense à me défendre mais je renonce. À quoi bon ? Je vois son poing se lever et je sais que ça va faire mal… très mal. Le pire c’est que ça ne m’effraie même pas. Je me contente de le regarder avec indifférence lorsque son poing s’écrase une première fois sur mon visage. Bordel c’est pire que je le pensais. Les coups se succède sans interruption et je vois quelques étoile danser devant mes yeux. Je suis totalement sonner et je sent le sang emplir ma bouche et ruisseler sur mon visage. J’ai du mal à respirer et j’ai l’impression de me noyer dans mon propre sang. En tout honnêteté j’ai un mal de chien et ça c’est un euphémisme. J’ai l’impression d’avoir le visage en feu. Tu cherche, tu trouve Torrance… j’imagine un instant la tronche de mes collègue demain au travail si il me vois comme ça. Cette idée me fait sourire mais le sourire ce mute en grimace. Merde, même sourire c’est douloureux.

Je l’entend qui me parle mais je ne saisi pas la teneur de ses propos et à vrai dire je n’en ai rien a faire. Arrète de parler et frappe moi, tu n’as pas fini le travail… Je reprend peu à peu mes esprits et mes faculté. Mais de quoi il parle ? Il me parle des ordres donner par le maitre… qu’est ce qu’il faut pas entendre… je lui ai toujours obéis sans broncher mais jamais, JAMAIS, je ne suivrais cet ordre.

-Qu'est ce que je vais faire de toi mon petit sam hum ? il faudrait reprendre toute ton éducation et franchement j'ai déjà passer trop de temps. Je pourrais aussi te tuer. Mais soyons franc.

Je serre les dents. Mais ? Mais quoi ? qu’est ce qui t’empêche de me tuer fumier ? Une petite, une minuscule partie de moi espère que c’est parce qu’au fond de lui il en est incapable, qu’il tien à moi finalement… son sourire s’agrandit à en devenir presque malsain. Un frisson d’angoisse me parcours en le voyant.

-C'est bien plus drôle de te voir bataillé pour moi.

L’enfoiré…

Je baisse un instant les yeux. Il sait qu’il a le dessus sur moi d’un point de vu émotionnel. Je suis trop humain et lui pas assez. Ma mission suicide est un échec… Je me sent vide. Déprimer… je ferme les yeux et avale avec difficulté ma salive sanglante. Je n’ai plus rien à perdre de toute façon et tout à gagner

Je relève les yeux sur lui et souris, les dents rougis de sang. j’ai la bouche patteuse et ma mâchoire me fait souffrir mais je fout ces sentiment de faiblesse en une malle que je jette au feu. Je crache sur le coté un mélange de sang et de salive tout en continuant de le fixé du coins de l’œil. Je n’ai pas dit mon dernier mots…

- c’est marrant… je ne me rappelais pas que tu frappais comme une femme…

Ma voix est enrailler mais ça ne m’empêche pas de ricaner. Je crois que la douleur me fait péter les plomb. Je tente le tout pour le tout et le chope par la chemise et place un pied sur son plexus pour le faire volé façon planchette japonaise juste au dessus de ma tête. Je suis l’attraction de sa chute et le plaque au sol en me plaçant sur lui à califourchon. Le tiraillement de mes côtes me fait grimacer mais ce n’est rien en comparaison de la douleur ressenti dans mon visage. A tout les coups il ma brisé une pommette… je ne me rappelais pas qu’il cognais aussi dur.

- Tu me dit que je suis faible car je ne peux pas te tuer mais tu n’es pas mieux au final… tu te cache derrière un prétexte bidon mais au fond je sais que tu es incapable de détruire ta propre création…

Je me penche sur lui et lèche la trace de mon propre sang sur son visage tout doucement et passe délicatement ma langue sur ses lèvres. Lèvres que j’ai tant de fois embrasser avec passion par le passé et que j’ai envie d’arracher en moment. je le regarde fixement dans les yeux. Toute trace d’émotion semble me quitter un instant. Cet homme à brisé quelque chose en moi. c’est comme lorsque l’on lâche une tasse de porcelaine. Une fois brisé on à beau recollé les morceaux on vois toujours les fissures et parfois même la tasse est totalement fichu… Je crois qu’il viens de tuer une parti de moi ce soir. La partie humaine et naïve, la partie qui savais rêver et qui gardais espoir.

- C’est mignon, si je ne te connaissait pas je dirait que tu tiens à moi…

Je pose ma main fermement sur son épaule blesser en appuyant légèrement afin de lui faire mal. Je retire doucement ma main et lèche mes doigt couvert de son sang. Je frémis en sentant le goût métallique légèrement sucré du liquide rouge qui s’échappe de l’homme sous moi. Mes iris prennent leur couleur doré de loup et je le frappe au visage. Plus violemment que l’autre coup mais c’est pas encore ça. Il y a toujours une part de moi qui se retient et refuse de lui faire mal.

- Alors qu’en fait t’es juste un petit con égocentrique qui prend son pied à être le centre du monde des autres… si il n’y a que ça, que le fait de te jouer de moi qui te fait vibrer… alors je te plain.. T’as vraiment du te faire chier pendant trois ans sans punching-ball…

Lun 14 Nov - 0:54
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- c’est marrant… je ne me rappelais pas que tu frappais comme une femme…

Décidement, il n’a aucun instinct de survis ce brave garçon, si faire croire que je veux mourir est certes amusant, ce ne l’ai plus a partir du moment que monsieur pense avaoir compris comment je fonctionnai. Je le regardais ricaner de ce qui lui smblait être une épiphanie, bien il est en train de se perdre. Mais faut croire que sa mission suicide est un putain d’échec. Le voilà qu’il grille les dernières cartouches de conscience, il est vraiment tombé bien bas et c’est exactement ce que je veux pour lui. Une créature du seigneur devient beauté quand elle est perverti et rabattu dans la boue. Et dans le cas présent ce joli petit louveteau au pelage blanc est en train de sombré dans l’obscurité, salissant son pelage de boue et de sang.

Je suis tiré de mes pensées quand il me tire vers lui en une planchette japonaise, m’envoyant au sol en me coupant le souffle du à l’impact avant qu’il s’installe sur mon poitrail. Si autre fois cela était le signal pour une partie violente et passionné, cela n’est plus le cas, je vois bien dans son regard perdu qu’il a envie de m’arracher la gorge, et pourtant je sais que l’éclat cacher au fin fond de son regard est un éclat d’amour triste. Comment un homme peu m’aimer, moi la créature la plus odieuse de ce bas monde. Je n’ai rien d’un mignon petit louveteau au pelage blanc, je n’ai rien d’être admirable et pourtant j’ai trouvé le seul pecnot assez con pour m’aimer d’un amour malsain. Décidément j’ai tiré le gros lot.

- Tu me dit que je suis faible car je ne peux pas te tuer mais tu n’es pas mieux au final… tu te cache derrière un prétexte bidon mais au fond je sais que tu es incapable de détruire ta propre création…

Ne tente pas ta chance louveteau… Tuer est un jeu auquel je me livre depuis maintenant quelques années.

-Ne. Tente. Pas. Ta. Chance. Torrance.

Un ton froid, détaché et hargneux. Dans la bouche d’un autre, cela pourrait ressembler a du dégout profond envers cet homme qui fut autrefois mon amant que je pouvais caresser avec un semblant de douceur, embrasser avec une passion sauvage et purement égoiste. Mais maintenant, je ne vois qu’un sale gosse qui ne veut que son propre bonheur personnel sans prendre en compte que moi je ne veux plus de lui. La passion est morte, arraché de ma poitrine froide et morte. Je ne veux pas de lui, pourquoi faire ? Un couple c’est que des emmerdes et des compromis, moi j’en veux pas. Je suis un solitaire et cela me va très bien.

Je suis tiré de mes pensées par la langue du louveteau sur mon visage, nettoyant le sang qui vient de son visage massacré et qui coule sur mon visage. Puis je sens sa langue passait sur mes lèvres, je fixe ses yeux vides de toute vie. Ha… Il semble que j’ai gagné ce round pour cette nuit. Je ne peux m’empêcher de sourire en le regardant avec des yeux légèrement dément, comme si j’avais enfin réussit ce à quoi j’aspire depuis maintenant des années.

- C’est mignon, si je ne te connaissait pas je dirait que tu tiens à moi…

-Je tiens surtout a ton petit cul louveteau, le reste est un détail.

Classe et finesse comme toujours depuis que j’ai quitté le manoir. Mais qu’importe, il appuie sur mon épaule blesser, je serre les dents, jamais au grand jamais je lui ferais ce plaisir, de me voir souffrir. Orgueil quand tu nous tiens…. Cependant, on va pas se mentir, le sang lui va bien et le rend bien bandant. Ce rouge et ses yeux dorés, je grogne sourdement en serrant les poings alors que son poing s’abat sur mon visage, jamais assez fort pour me blesser. Décidément c’est pas encore tout à fait ça.

- Alors qu’en fait t’es juste un petit con égocentrique qui prend son pied à être le centre du monde des autres… si il n’y a que ça, que le fait de te jouer de moi qui te fait vibrer… alors je te plain.. T’as vraiment du te faire chier pendant trois ans sans punching-ball…

Je le fixe avant d’exploser de rire en détournant la tête, et je ris. Je ris à m’en péter les cotes, je ris a limite en pleurer. Je lève la main pour m’en couvrir les yeux jusqu’à rependre mon souffle.

-Haa décidément t’es un comique louveteau !

Je le chope par la gorge avant de serrer sa peau diaphane et d’échanger nos positions, moi reprennant la position de dominant.

-Ouais, je suis un petit con comme tu dis si bien, oui j’aime être le centre du monde des autres, c’est d’ailleurs la première chose que j’ai appris dans ce bas monde.

Je me penche alors à son oreille, inspirant son odeur avant de passer un coup de langue sur la dite oreille.


-Est-ce que je prends un plaisir monstre a te détruire ? oui. Est-ce que je me suis fait chier pendant trois ans sans puching-ball ?

Je garde le silence un instant avant de prendre cette voix si grave qui par le passer le rendait extactique.

-Absolument pas… Mais il est vrai que ton cul m’a manquer pendant trois ans. Mais des punching ball, j’en ai eu et tu sais quoi ? J’ai pris un plaisir monstre à les détruire, lentement, tendrement et avec passion.

Alors que je parle, la main toujours sur sa gorge, je laisse glisser ma main libre sur ses flancs, mordillant doucement son oreille, mes doigts jouent avec la limite de son jean, je le bloque de mon poids qui est un peu plus important que le sien.

Finalement je vais peut être avoir ce que je veux ce soir.



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Mar 29 Nov - 11:45
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Mes yeux sans éclat sont fixé sur cet homme que je maintien sous moi, il se met a rire. Je le regarde sans plus d’émotion que ça, j’ai juste envie de le frapper, encore et encore jusqu’à ce qu’il arrête et qu’il me regarde, qu’il me prenne au sérieux. Son rire est dément et malsain,  à l’image même de notre relation en fait. A nous voir tout deux comme ça, grimpé l’un sur l’autre moi la gueule en sang et lui à rire comme un échapper d’asile, le tout dans une ruelle lugubre…on ne parierais pas des masse sur notre santé mental… Bon ok la mienne est peut-être un peut plus touché… Mais la faute à qui je vous le demande ? Oui a cause de ce petit con prétentieux que je viens de frapper aussi mollement qu’une guimauve. Je peste intérieurement contre moi même et ce sentiment qui m’envahit a chaque fois que je pose mes yeux sur lui.

Il me choppe à la gorge et nous fait rouler sur le côté, une fois encore nous inversons nos positions et il se retrouve sur moi. Je grogne et essaye de me libérer mais sa prise se resserre me faisant étouffer et il me bloque de toute sa masse. Il a toujours eu une carrure plus imposante que la mienne et malheureusement pour moi placé comme il est, si il ne veux pas que je bouge, je ne bougerais pas. 

-Ouais, je suis un petit con comme tu dis si bien, oui j’aime être le centre du monde des autres, c’est d’ailleurs la première chose que j’ai appris dans ce bas monde. 

Il se penche sur moi et je sent sa langue glisser sur mon oreille tout en me parlant. Il est proche…. si proche... TROP proche. Je gronde et tente de le mordre toute crocs dehors. Sa main posé sur ma gorge rend toute tentative vaine, pire, plus je m’agite plus il serre.

- Lâche moi connard !

Je dégluti avec difficulté, je tourne la tête sur le coté dans une tentative désespérer le le faire lâcher prise

-Est-ce que je prends un plaisir monstre a te détruire ? oui. Est-ce que je me suis fait chier pendant trois ans sans puching-ball ? 

J’ai du mal à respirer et le sentir si proche de moi, et être totalement soumis à son emprise… ça me révulse. Ça lui plaît de me rendre taré. Ça le fait bander de voir à quel point il peux manipulé et émietter mon esprit. Je le hait tellement. On dit qu’il n’y a qu’un pas entre l’amour et la haine mais là en ce qui me concerne les deux se côtoient dans un shaker sans glace et ce connard prend son pied à le secouer dans tout les sens pour ce faire un cocktail maison.

-Absolument pas… Mais il est vrai que ton cul m’a manquer pendant trois ans. Mais des punching ball, j’en ai eu et tu sais quoi ? J’ai pris un plaisir monstre à les détruire, lentement, tendrement et avec passion.

Sa voix grave me fait vibrer. Connard comment tu peux me faire ça dans une situation pareille ! Comment mon corps peut-il réagir de cette manière après tout ça ? Après ce qu’il vient de me dire, qu’il fait la même chose à toute les personnes stupide comme moi ? Réponse simple car ce mec est incroyablement sexy et que chaque parti de mon corps le réclame. Je gronde et retente de le mordre. Bordel j’ai envie de lui arracher le visage, de planter mes crocs dans sa gorge et d’arracher ses artères. Je dégage une main et le repousse sans plus de résultat. Je sent sa main glisser sur mon corps pendant qu’il me mordille l’oreille. Mon corps frémit tout entier. Non mais je rêve ! il me fait quoi là ??? Je lui parle amour, il me jette comme une sous merde et là il me la fait à l’envers en laissant glisser ses mains baladeuse sur moi. 

- Ne me touche pas !

Non je ne doit pas céder ! Ce mec est un gros connard profiteur. J’ai l’impression de mener un combat perdu d’avance. Je lutte contre un homme qui a une très forte emprise sur moi et contre une partie de moi qui de demande qu’à cédé à ces caresses. Je me sent totalement incapable de gagner et ça m’énerve encore plus. Ses mains sur mon corps me brûle s’en est presque douloureux. L’espace d’un instant je ferme les yeux et me revois il y a quelques années…ses mains sur moi, ma peau contre la sienne...

 Hors de question que je cède à ce genre de penser !

Je puise dans mes forces pour me dégager. Il faut absolument que je me sorte de là et que je reprenne le dessus. Impossible de lui mettre un coup de genoux et de calmer de façon radicale ces ardeur, il me bloque complètement. Je me serre de ma main libre pour le repousser en grondant. Je plonge mon regard plein de rage dans ses yeux d’un bleu si pur et pourtant brûlant.

- Qu’est ce que tu crois faire ? Tu pense pouvoir m’avoir comme ça ? Que parce que tu vas me ressortir ta voix si grave et plaquer ton corps au mien  je vais me laisser faire et écarter les cuisses pour toi ? Que je vais te dire aller viens c’était d’enfer nous deux alors on baise un coup comme ça ! Tu peux toujours crever !

Ça … c’est ce que j’aurai aimer lui balancé à la face si j’avais garder ma volonté de fer.

Mais en réalité lorsque je croise son regard de braise combiné à la sensation de son corps sur le mien... je m’enflamme et mon esprit perd le peu de raison qu’il me reste. Je m’abandonne totalement à ce coté que j’ai tenté de combattre, ces pulsions primaire qui naisse au creux de mon ventre. J’en ai rien a foutre de toute cette merde, des engueulades et de ce qu’il peut penser. L’amour passe au second plan voir bien plus loin. Je désire cet homme plus que de raison, il a allumer un feu en moi et il est dévorant. Je passe ma main derrière sa nuque et le plaque contre moi en l’embrassant avec passion. Je sais que je vais le regretter, il va avoir exactement ce qu’il veux et m’utiliser comme un putain de jouet. Mais pour le moment j’en ai rien à foutre.

A cet instant je suis SON jouet et c’est tout ce qui m’importe.


Mer 30 Nov - 16:12
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Erik N. Sambre
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Erik N. Sambre


"Leave me !"

J'aime, et je sais répondre avec indifférence. Seulement tu es juste un nom sur ma liste d'amants La victime et son bourreau




- Lâche moi connard !

Par pur provocation je passe ma langue sur son oreille que je sais sensible. Si le sadisme devait avoir un roi, je pense que je serais sur la liste des élus. Il est mignon à tenter de me mordre alors que je lui assène vérité sur vérité, ce n’est pas doux, loin de là au contraire c’est même violent de la manière que je lui annonce. Je le vois tenter de me repousser d’une main, mais c’est que c’est mou tout ça, elle est passée ou ta force de désespérer de tout à l’heure Torrance ? Tu l’as perdu dès l’instant où tu as compris que je gagner cette manche. C’est bien au moins tu sais quand il faut arrêter de lutter.

- Ne me touche pas !

Vraiment ? Pourtant c’est bien des frissons que je sens sous ma main rugueuse, c’est bien des tremblements que je devine malgré le regard froid que tu me lance dans un vain espoir de m’intimider. C’est mignon mais tellement puéril, tellement pitoyable. Et pourtant j’aime l’idée que tu débats pour tenter de t’éloigner de moi, l’idée que je dois te traquer longuement et minute par minute dans le seul espoir de te voir flancher et t’abandonner à moi comme une vulgaire poupée de chiffon. Voyons ne me regarde pas comme ça.
Je sais que là tu ne penses qu’à me tuer, que tu rêves d’avoir le dessus sur moi, de m’arracher lentement chaque lambeau de chair qui me compose, je le sais, je n’ai pas besoin de lire dans tes pensées pour le deviner. Tu t’en veux d’être si faible et sans me lancé des fleurs, je sais que tu ne résiste ni à ma voix ni à mon corps. Comme un vulgaire camé en manque, C’est ce que tu es Sam non ? Ou alors tu es plus que ça ? Prouve-moi que tu mérites mon respect et j’aviserai à ce moment-là…

Je retiens difficilement un grognement de victoire quand je sens sa main sur ma nuque et ses lèvres sur les miennes. Oui cette fois j’ai gagné. Ni plus ni moins. Et ma nuit de débauche, je l’ai dans la poche. Et franchement je ne pense pas avoir la patience de le tirer dans une chambre mais franchement, le faire dans la rue comme de vulgaire bête, très peu pour moi. Je romps alors brutalement le contact, me redressant en restant assis sur ses hanches. Je le fixe, le juge et l’observe, si ça ne tenait qu’à moi, et sans la bienséance, il serait déjà nu à me supplier et à me demander grâce. Sauf que je suis peut-être salaud, mais le faire en pleine rue, non véto, je laisse ça à la nuit de picole et au coup trop alcoolisé. Je me redresse en le regardant de haut, je grogne un instant, lui ordonnant implicitement de me suivre. Je le fixe en le voyant se redresser. Je le chope brutalement par le bras et l’entraine dans l’une des chambres au-dessus du bar, la musique me fait grogner sourdement. Une fois en haut, j’ouvre brutalement la porte d’a chambre la plus éloigner, comme ça pas d’emmerde.

Je le pousse brusquement dans la chambre avant de fermer la porte à clef. Sans lui en laisser le temps, je lui arrache un baiser sauvage, sans aucune douceur, juste du plaisir. Enfin du plaisir pour moi. Je le repousse vers le lit. Là où est sa place. Je grogne en le dominant, non lui comme moi sais que cela ne va pas être doux, cela ne l’a jamais vraiment était entre nous. Je retire ma veste en le fixant droit dans les yeux.

-Déshabille toi grognai-je sourdement.

Non je n’ai plus de patience, j’en ai déjà eu suffisamment pour ne pas le massacrer plus que ça dans la ruelle donc j’estime que soit il obéit soit je le prends de force, ce qui franchement ne me dérangerai pas.
L’image de le voir suppliant se grave dans mon esprit ; De voir ses larmes coulaient alors que je le prends de force est une image tellement jouissive. Le genre d’image qui ne s’efface pas facilement surtout dans un esprit malade comme le mien. Oui ce soir il est mon jouet, ma jolie poupée que je vais briser lentement et avec délectation avant de l’abandonner sans remord pour un temps.

Il faut savoir savourer chaque instant même si ses instants signifient de la souffrance pour la partie adverse. Une fois son haut retirer, je glisse ses mains dans son dos que je griffe avec un semblant de tendresse alors que je m’attaque à son cou, le mordant plus ou moins fort. Ne crois pas que je vais pas te laisser une marque… Oh que non je vais faire en sorte que tout le voit que tu as était soumis a plus fort que toi ne serait-ce que le temps d’une nuit. Je veux te voir en épave quand tu devras sortir de cette chambre minable, que tu ne sois plus capable de te regarder dans un miroir sans penser à moi qui te prend comme une vulgaire bête.

Je veux te voir mourir à petit feu pour mon plus grand plaisir.

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Sam 11 Mar - 0:03
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Des baffes. c’est tout ce que je mérite. Comment peut-on être faible à ce point. Je sais que ça ne rime a rien de céder à Erik. j’aurais aimer lutter, me battre jusqu’au bout. Mais la réalité est là… On ne peux pas aisément dire non et résister à Erik Sambre, surtout quand on est un chiot en mal d’amour comme moi. Parce que c’est tout ce que je suis au final… un putain de chiot. Je pensais avoir évoluer depuis le temps, que je serais devenue plus fort après ce que j’ai traverser, que j’aurai plus d’indépendance mais non. Je n’arrive pas a me défaire de cette emprise qu’il a sur moi, même après qu’il m’est frapper dans cette ruelle sordide et m’avoir révéler cette abominable vérité que je cherchai à nier ; la part de loup en moi reconnais en lui son maître et créateur, elle bloque toute résistance . Ses lèvres sur les miennes alors que je suis allonger sur le sol Erik sur moi… le plaisir que je ressent à ce contacte m’écœure. Torrance t’es qu’un con.

Mon bourreau se détache de moi et je grogne d’être interrompu. Je braque mon regard noir sur lui pendant que assis sur mes hanche, le grand méchant loup me débite du regard se demandant à quel sauce il préférera me manger. Il se lève et le grondement claque. Je me lève à l’ordre non formuler par automatisme. Il m’attrape sans aucune douceur par le bras et m’entraîne dans le bar. Rentrer dans ce lieu me semble décalé, irréelle. La musique me semple trop forte et les gens qui nous observe semble faux, je préfère fermer les yeux et laisser glisser tout ces regards sur moi.J’ai cette image qui me viens à l’esprit, Cersei traversant king's landing, Shame, chaque regard est un son de cloche, shame, j’ai l’impression que leurs yeux sur moi me brûle, shame, chacun d’entre eux me rappel ma faiblesse et c’est insupportable, shame.  Il m’entraîne dans un long couloir avant de pénétrer dans la chambre du fond. Putain un vrai habitué… Je serre les dents. A peine rentrer qu’il me plaque contre lui et m’embrasse, un baiser dur, brutal, sans chaleur, avant de me repousser vers le lit. Je manque de tomber dessus alors que les rebord du matelas fait obstacle en tapant derrière mes genoux.

Je me tien le plus droit possible pour garder un semblant de contenance, droit face à ma mort, droit face au loup noir, aussi sombre que son âme. Dans son regard je sais que quoi qu’il se passe il a décidé qu’il m’aurai ce soir. Sans tendresse, juste de la baise bestial et ce sera avec ou sans mon accord. La porte est fermé à clé personne ne viendra nous déranger. C’est pas que nos nuits ensemble ai été très tendre par le passé mais là je sent qu’il va mettre un point d’honneur à ne pas faire dans la dentelle. Je soutiens son regard même si ça met pénible. Il retire sa veste et un nouvel ordre claque. Je montre les crocs mais obéis, je ne vais pas lui donner la satisfaction de me violer, ce sadique adorerais ça, dominant jusqu’au bout.

Je retire mes chaussures sans me baisser et les envoie de l’autre coté de la pièce, viens ensuite ma veste que je lance sur une chaise plus loin le tout sans le quitter du regard. Je déboutonne ma chemise et lui réserve le même sort. Ma respiration s’accélère quand il s’approche de moi et pose ses mains dans mon dos avant de planter ses griffes dans ma chaire. Ce qui me fait le plus mal ce n’est pas mon dos entrain de se faire lacérer, ça j’ai l’habitude au vu des multiples cicatrices qui parsème mon corps, non ce qui me fait mal c’est toute cette douceur qu’il y met. J’aurais limite préférer qu’on face ça dans la ruelle, rapide sous le coup de l’impulsion, la il va prendre son temps pour me faire souffrir et me détruire avec une tendresse malsaine.

Je lui présente ma gorge nue alors qu’il me mord le cou comme un loup docile. Je préfère fermer les yeux. Il est entrain de me marquer comme un putain de bœuf qu’on préparerais pour l’abattoir. Cette idée me révolte. Je suis pas un bœuf je suis un loup. Je gronde sourdement et fixe mon regard dans le sien. Non je vais pas me battre ce ne serais qu’une perte de temps avec viole à la clé, mais je peux lutter d’une autre manière en prenant les choses en main et en retirant un maximum de plaisir à ça moi aussi. Je me barricade dans mon palais mental et laisse mon corps et mon instinct animal faire le reste. De toute façon c’est mon corps qu’il veux non ?

Je n’ai plus aucune fierté quoi qu’il en soit, elle est partie en vacance avec ma raison lorsque j’ai retrouver Erik dans le bar. Je laisse glisser mon jeans au sol ne laissant que mon boxer. Je me détache de lui en le faisant pivoté à ma place contre le lit. Je déboutonne sa chemise. Je frissonne en glissant mes mains sur sa peau, toujours aussi sexy. Je m’empare de ses lèvres avec avidité en poussant un grondement sourd. Mes mains descendent et défont sa ceinture. Je lâche ses lèvres et me met lentement à genoux devant lui mon regard noir toujours encrer dans le siens, ma langue caressant son torse au passage. Prendre les choses en main sans attendre ses ordres me donne de l’assurance et un sentiment illusoire que je maîtrise quelque chose… très illusoire, mais je me raccroche à ce que je peux.

A genoux devant celui que je considère à la fois comme mon plus grand amour et celui que je hais le plus je défait les attaches de son pantalon et le laisse glisser le long de ses cuisses. J’ai tant envie qu’il me touche, j’ai besoin qu’il me touche. Ça fait combien de temps que je n’ai pas été avec quelqu’un ? En comptant le peux de fois ou j’ai céder à ce genre de pulsion lorsque la solitude et l’alcool remportaient la partie… ça fait un bout de temps quand même. Hors de question qu’il me prenne comme un chien à la va vite maintenant, il avait cas faire ça dans la ruelle. Il m’a emmener dans cette chambre, il assume et ce met a nue tout comme moi. J’ai eu tout le chemin jusqu’à cette chambre pour refaire sortir le loup en moi. Je ne suis pas un agneau, tu ne m’as pas fait comme ça mon beau, je compte bien te le montrer, que malgré ton emprise je peux quand même agir, montrer les crocs. Je sais maintenant que je n’étais rien pour toi a part un jouet, un chiot soumis que tu pouvais baiser a loisir, soumis, à ta disposition total. Si c’est cela que tu veux, on va la jouer soumission… pour un temps.

Je retire son boxer, embrasse ses hanches. Je sais que je vais en souffrir, aussi bien physiquement que moralement mais je suis comme un foutu papillon de nuit incapable de résister à la lumière. Pourtant cette homme devant moi, sur qui je passe ma langue et que je prend en bouche sans aucune hésitation, cet homme là que je regarde de mes yeux où se mêle désire et haine, cet homme n’as rien de lumineux. Il n’émane de lui que la noirceur compacte de l’abysse dans lequel je m’engouffre. Et le pire c’est que j’adore ça. Je n’aime pas les anges et j’ai toujours eu un faible pour les démons, je ne peux m’en prendre cas moi même si je me retrouve dans cette situation, le caressant de mes mains pendant que ma bouche fait le reste en sachant très bien qu’une fois qu’il aura eu ce qu’il voulais, c’est a dire mon cul et ma soumission total, il disparaîtra de nouveau de ma vie en me laissant en miette.

Je pose mes mains sur ses hanches et je le griffe à mon tour lentement en laissant perler quelques gouttes de sang sur sa peau délicieuse. Ah ! Non attention, pas de geste brusque mon coeur, tu ne voudrais pas que j’ai un coup de crocs maladroit alors que j’ai un élément vitale de ta personne dans ma bouche voyons ? Une lueur presque sadique viens se logé dans mon regard à ce moment. Je souris, je sais qu’il va me le faire payer, ou au contraire peut-être qu’il adore ça, ce coté piquant du danger qui plane, je n’en sais rien, après tout lui aussi il est taré. Je m’en moque un peux dans tout les cas le résultat sera le même. Bien sur que non je ne ferais rien, je trouve ça beaucoup trop pute. Je me contente de jouer, de faire des vas et viens avec ma bouche, le titiller par moment avec ma langue qui s’enroule autour de son membre et le frôler de mes crocs par d’autre. Tu veux jouer avec moi ? On va jouer , je suis bon perdant et je n’ai rien à perdre.


Lun 13 Mar - 13:31
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Erik N. Sambre
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Une fois la porte fermée, je sais non… Nous savons très bien qui de nous deux en tirera le plus de plaisir et ce n’est certainement pas lui… La créature en moi ne peut s’empêcher de grogner de contentement, un contentement malsain et bestial, je la sens se passer la langue sur ses crocs, son pelage grossir, oui… Elle a faim et cette faim, elle me la transmet. Souvent la créature en moi réclame du sang, mais là c’est une simple et primordial envie de sexe. Ni plus ni moins, si j’avais eu un simple humain je l’aurait sans doute transformer lors d’une partie de jambe en l’air enflammé. Mais là… je n’ai pas besoin de le transformer, avec lui je peux être le monstre que je suis réellement, pas de mensonge, pas de faux semblant, juste la vérité aussi hideuse soit elle. La vérité n’est jamais belle, je le sais très bien, mais c’est cette vérité si immonde que j’aime et que je délecte avec passions.

Je le vois me montrer les crocs alors que mon ordres claque l’air, je n’ai besoin que d’un regard pour le pousser à l’obéissance. Appuyer le dos contre la porte, je l’observe retirait une à une les pièces de vêtements qui lui servent d’armure. Alors que je suis en train de le marquer comme étant ma chose, le voilà qui me repousse, me faisant montrer les crocs. Je sais qu’il a très bien compris que j’en voulais uniquement à son corps, le reste je m’en branle totalement, il pourrait me dire des je t’aime ou des insultes que ce serait du pareil au même pour moi, il resterait un simple trou sans âme. Il se détache de moi pour me déshabiller lentement comme si j’étais une chose fragile, je ne peux m’empêcher de sentir du plaisir en le voyant faire, un mélange avec de la fierté très malsaine, c’est bien de se voir considérer comme quelque chose de bien plus grand que ce que l’on est.

Je réponds avec sauvagerie au baiser qu’il m’offre le temps qu’il me retire ce qui fait de moi un humain classique à savoir mes vêtements. Je grogne de contentement en le sentant descendre toujours plus bas, laissant une trainé de feu sur mon torse. Quelle vaine illusion s’offre t’il… Un semblant de contrôle face à moi, je ne peux m’empêcher de sourire face à cette vaine tentative de garder sa tête sur les épaules alors qu’il y a des chances que ce soit lui qui en redemande. A Genoux devant moi en défaisant les points d’attache de mon pantalon, je le regarde comme un roi regarderait un serf, son regard dégoulinant d’amour et de haine me fait doucement sourire en coin, tirant un grondement du fin fond de ma cage thoracique.

Tu attends un geste de ma part n’est-ce pas Sam ? Tu attends que je te montre un tantinet de douceur ? Depuis combien de temps te retient tu ? Depuis combien de temps tu te répugne a touché quelqu’un d’autre ? Et quand tu les as touchés, te déteste tu d’avoir pensé à moi pendant tout le long ? Te hais tu d’avoir murmuré mon nom pendant que tu te faisant prendre ou pendant que tu prenais quelqu’un ? Je n’ai pas besoin de chercher pour comprendre que j’ai raison. Mon sourire ne peut que s’agrandir quand je sens ses lèvres se déposer sur ma hanche désormais nue, me tirant un frisson d’excitation. Je soupire de bien être en sentant ses lèvres sur ma virilité. Je rejette ma tête en arrière en soupirant, bordel que j’avais oublié qu’il avait une bouche si douée, une bouche parfaite pour ce genre de plaisir, mais je préfère quand cette bouche me supplie de le prendre, me supplie de le caresser… Du moins en temps normal… La elle est à sa place.

Je suis tiré de mes pensé par une douleur sur ma hanche. Ce bâtard m’a griffé ! Je serre le poing pour éviter tout mouvement de rage, pouvant potentiellement me privé de ma virilité, je sais que ça lui plait de me voir entre ses crocs, mais profite car je pense que tu vas longuement t’en souvenir une fois que je t’aurais cassé les pattes arrière. Mais cela ne me fait d’un côté que bander plus dur. Oui cela me fait tripé de voir que Torrance peut prendre de temps à autre ses couilles en mains. Je ne peux m’empêcher de passer une de mes mains dans sa chevelure d’ébènes avant de m’enfoncer sans douceur, l’entendant tenter de retenir le réflexe naturel face à l’intrusion.

-Toujours aussi doué Torrance, je vais finir par croire que tu t’es entrainé… J’en serais presque jaloux de ses hommes… après tout c’est moi ton favori non ?

Je me retire de ses lèvres en le forçant à me regarder dans les yeux. J’aime ce que j’y vois, un début de fêlure, une couche d’amour haineux et une teinte de supplication, oui cela me plait de le voir ainsi. Quel pauvre petit animal. Sans aucune douceur je lui ravi ses lèvres avant de le tiré à moi en échangeant nos places, le bloquant ainsi entre le matelas et moi. Je glisse ma main entre nos deux corps pour attraper sa verge dure, me tirant un sourire malsain alors que je me penche a son oreille.

-C’est la perspective de me servir de putain qui te fait bander Torrance n’est ce pas ?


Lentement j’imprime un mouvement de va et viens, suffisamment trainant pour qu’il ressente la frustration mais juste assez marqué pour le faire gémir. Sans aucune douceur, je lui mords l’épaule, me délectant de ce liquide sanglant avant glisser mes lèvres sur ce torse qui se lève de manière erratique, du coin de l’œil je la vois.

Ma petite beauté, ce petit signe qui prouve que Torrance est à moi est à moi et à personne d’autre. Décidément même en étant anesthésier par la douleur, j’avais très bien fait mon boulot. Je descends jusqu’à elle, elle est là et elle m’attend comme si elle savait que je reviendrais. Je parle de la morsure que je lui ai infligé la première fois que je l’ai rencontré, sans état d’âme je replonge mes crocs sur la cicatrice, me délectant des sons que je tire du jeune homme. Le sang coule à nouveau, mais celui-là est bien meilleur que la morsure à l’épaule, il a un gout sucré qui me rend doucement plus fou que je ne suis.

Mais !

Parce qu’il y a un mais, c’est qu’à force de l’entendre là, c’est que je ne peux plus attendre. Je m’assois sur le lit en le redressant et ni une ni deux, je l’empale sur ma virilité. Le sentir si étroit, si chaud qu’un peu plus et je pourrais jouir sur l’instant, sa voix résonne dans la chambre alors que je sens ses entrailles s’ouvrir sur mon passage, je me retire alors doucement pour revenir plus violement, ne faisant absolument pas cas de sa douleur et de sa souffrance.

-Bordel si je ne te connaissais pas… Je penserai que tu es encore vierge… Putain t’es serré…


Je me stoppe alors après quelques mouvements pour me repaitre de ce spectacle aussi immonde que magique. Je passe une main qui se veut douce sur son visage tuméfier par les coups que nous avons échangés un peu plus tôt, je passe mon pouce sur ses lèvres avant de lui voler un baiser léger. Je sais que c’est ce genre de faiblesses qui le tuera, je sais que c’est ça qui le détruit, bien plus que les coups ou les injures, juste des petites marques pour lui prouvait que peut être que j’ai des sentiments pour lui… Peut-être bien sûr.

-Dit moi Samuel… Tu aimes me sentir en toi n’est-ce pas ? Cela t’a manqué avoue…

Je me retire pour revenir avec une lenteur extrême et me stoppé à nouveau.

-J’espère que tu te souviens maintenant où est ta place my little slut…



 
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Dim 11 Juin - 20:47
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A genoux devant le beau mâle qui hante toute mes nuits depuis des années je me sent sale et coupable. Coupable de ma faiblesse, coupable de ressentir du plaisir à me soumettre, à me retrouver à genoux devant lui alors qu’il vient de me tabasser et de me jeter comme un vieux jouet dont on ne veux plus. Coupable de frémir d’envie en sentant le goût de sa chaire sur ma langue et l’odeur viril qui émane de lui. Je m’écœure d’être exciter alors que mon cœur saigne et se meure dans ma cage thoracique

Ses mains passent dans mes cheveux et il force un peux plus le passage manquant de m’étouffer. Salaud… je grogne et je me venge en le griffant sur les hanches encore une fois. Je ne veux pas me laisser faire sans réagir. Ces mots me refroidissent autant qu’ils me blessent, intérieurement mes oreilles de loup sont plaquer contre mon crâne d’un air coupable. Oui j’ai eu d’autre homme pendant la disparition d’Erik… Des coups d’un soir insipide tous plus ou moins des pâles copie de mon homme que je baisais en pensant à lui pour ensuite en avoir la nausée... mais aucun ne lui arrivai à la cheville et cette constatation me rend encore plus aigre.

Je lui lance un regard noir alors qu’il m’oblige à le regarder. Il sait l’emprise qu’il a sur moi l’enfoiré et il en profite pour me brisé, lentement, avec délectation. Je regrette à ce moment mon empathie pour sa virilité et de ne pas l’avoir mordu en plein. Maintenant c’est trop tard me voila de nouveau contre ses lèvres. Malgré moi mon cœur fait des looping à chaque fois qu’il m’embrasse. Pourtant ses baisers non rien de tendre mais juste d’être nue contre lui coller à ses lèvres me fait un effet monstre. Et puis ce n’est pas comme si j’avais été habitué à la douceur avec lui, j’en suis même venu à en aimer ce côté sauvage et bestial. On bouge de place sans que je m’en inquiète vraiment.

Sa main se plaque sur mon sexe érigé se qui me coupe le souffle de surprise. Je plisse les yeux et montre les crocs. Oui connard je bande pour toi ! Mon corps est un traître que tu as asservi et qui ne me répond plus dés que tu es dans le périmètre ! Ce qui est bien dommage car j’aurai aimer lui rendre la chose moins agréable et surtout qu’il ne vois pas avec autant d’évidence à quel point chaque fibre de mon corps répond à ses geste.

Je n’arrive pas à retenir un gémissement alors qu’il me touche. Bordel pourquoi ça me fait autant d’effet quand c’est lui ? Depuis que j’ai été séparer d’Erik je rêve de ce moment, nos retrouvailles en passant par une bonne partie de baise… mais dans mes plans ça ne se passais pas exactement comme ça. Dans mes plans je n’étais pas qu’un simple jouet parmi tant d’autre et je ne m’étais pas fait tabasser avant. Je détourne les yeux honteux de tant de niaiserie de ma part. Je suis un putain de chiot naïf.

Ses crocs se plante dans ma chaire et un cris de douleur mêler de plaisir monte de ma gorge. Je gronde et le fusille du regard alors qu’il descend le long de mon torse en laissant une trace sanglante sur son passage. Puis ce salaud réitère son coup de crocs pile sur la première morsure qu’il m’est faite. Ma marque de loup, sa marque. Mon lien a jamais avec Erik, encré dans ma chaire. Cet enflure semble vouloir réitérer son acte de propriété. Pire que tout ça ne me fait que bander plus dur.

Cette frénésie sanglante semble le rendre fébrile, je sent l’impatience dans son regard et dans ses gestes et je blêmis en comprenant la suite de ses penser.

- Non Erik, Non..N..

Il se place sur le lit en m’entraînant avec lui, sans que je n’ai le temps de réagir je perds l’équilibre et essaye de me rattraper a son torse mais l’arriver est brutal. Un éclaire blanc passe devant mes yeux alors que je hurle de douleur.
L’enflure viens de me prendre à sec sans préparation… sans compter que ce connard est extrêmement bien proportionner. J’ai l’impression d’être déchirer en deux à chacun de ses mouvement, je serre les dents mais n’arrive pas à retenir les glapissement de douleur et ni les fine larmes qui coulent sur mes joues.

Pourquoi est ce qu’il me fait ça ? POURQUOI PUTAIN ? Qu’est ce que j’ai fait pour mérité quelque chose comme ça ? Je ne suis pas venu ici pour souffrir ok ? Me faire traité plus bas que terre et pratiquement violer, car oui j’étais consentant à la base mais pas comme ça pas aussi brutal c’est aussi violent qu’un viole est c’est comme ça que je le ressent au fond de moi, tout ça par l’homme que j’aime ou que je pensais aimer. Actuellement c’est plutôt une haine sourde qui brûle mon corps alors qu’il m’empale à chaque coup de bassin.

Il se stop et j’arrive enfin à respirer, je grimace de douleur alors que j’essaye de bouger. Sa main approche de mon visage et j’ai un bref mouvement de recule avant de me rendre compte qu’il ne m’octroie en faite qu’une caresse… Une putain de caresse suivi d’un baiser léger. Mon coeur éclate en petit morceau alors que je viens chercher de mes lèvres un autre acte de tendresse. Tout mon corps se détend et les barrière tombe ce qui est très mauvais pour moi je le sais, lorsqu’il recommencera à me descendre il va m’achever mais c’est plus fort que moi, je me rattache à cette tendresse comme un naufragé à sa bouée alors qu’il dérive en pleine océan. Malheureusement ma bouée a moi est faite de plomb et me fait couler à pic dans les abysses.

Je ferme les yeux alors que je sens les larmes couler le long de mes joues. j’aurais préférer mourir dans la ruelle… J’aurais préférer qu’il se contente de me baiser brutalement au lieu de me donner la marque d’amour que je réclame tant, car je sais qu’il va se faire un plaisir sadique à me l’arraché de ses crocs acéré.

-Dit moi Samuel… Tu aimes me sentir en toi n’est-ce pas ? Cela t’a manqué avoue…

Je détourne le regard en grondant. Je ne peux pas nier alors je préfère me taire. Maintenant que je suis détendu j’ai du mal à ne pas ressentir tout le plaisir qu’il me procure. Et oh bordel oui qu’il m’a manquer. Je me hait presque autant que je le hait pour penser ça mais la vérité est la mes cris de douleur on laisser place a des gémissement et des soupire de plaisir. J’ai toujours mal et je pense que j’aurais encore mal dans deux jours après la violence dont il a fait preuve mais bordel que c’est bon.

-J’espère que tu te souviens maintenant où est ta place my little slut…

Je le fusille du regard et montre les crocs. Bâtard ! Je passe mes jambes autour de sa taille.

- Je sais exactement où est ma place gros connard sadique.

Je me met à bouger de moi même, ondulant mes hanches à l’aide de mes jambes enserrant doucement sa taille. Je passe mes bras autour de lui en passant sous ses bras, mes mains posé à plat sur son dos mais les griffes sorti.

- Ma place à toujours été auprès de toi, depuis le premier jour, depuis le jour ou tu m’as marqué.

Je l’embrasse avec fougue et lui mord la lèvre du bas avant d’en lécher le sang qui perle doucement. Je bouge toujours plus mes hanches faisant de long vas et viens sur son mat de chair.

- J’ai toujours été à toi espèce de psychopathe narcissique imbu de sa personne. J’ai tout fait pour toi ! Je suis même aller jusqu’à tuer pour toi ! J’aurais donner ma vie pour toi ! Je te respectait et je t’admirais !

Je plante mes griffes dans son dos alors que d’un coup de rein plus violent je l’empale encore plus profondément en moi. Griffures légère et superficiel par simple jeux sexuel on s’est habitué à bien pire ce n’est qu’un petit excitant supplémentaire.  Ça deviens de plus en plus difficile de parler alors que le plaisir monte en moi. Mais je me contient, je n’ai pas encore fini de lui cracher mes vérité en face.

- Oui je t’aime mais je ne l’ai pas choisi ! À défaut de me donner ton amour tu aurais pu au moins me donner un peux de respect au lieux de me traiter comme une sous merde ! si je devais changer mes sentiments je le ferais mais je suis lié à toi, tu es gravé dans ma chaire pour toujours. . .

Je lui lance un regard mauvais avec un petit sourire sadique alors qu’une idée fulgurante viens de traverser mon esprit malade.

- On va commencer par rétablir l'équilibre de ce point.

Je me penche sur lui et le mord à pleine crocs au niveau de la clavicule. De quoi lui laisser une belle cicatrice qui j’espère laissera une jolie marque après sa cicatrisation totale. Je ferme les yeux déjà près à recevoir les coups qui vont suivre. Frappe moi vas y ! J’en ai plus rien a foutre je t’ai marquer comme mien et tout les jour tu verra cette marque dans ton miroir et ça c’est la plus douce des victoires que je pouvais espérer ce soir, l’amour je m’assoie dessus il n’y a plus rien a espérer même si mon pauvre cœur qui tente de ramasser ses morceau suffoque et cris encore dans un râle d’agonie : Aime moi !


Mar 13 Juin - 20:21
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Erik N. Sambre
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Erik N. Sambre


"Leave me !"

J'aime, et je sais répondre avec indifférence. Seulement tu es juste un nom sur ma liste d'amants La victime et son bourreau



Il n’a pas besoin d’être en loup pour que je devine avoir toucher une corde sensible. Ses autres hommes, ses coups d’un soir qu’importe comment il appelle cela, il sait que j’ai raison et que c’est mon nom qu’il gémissait pathétiquement, que c’est moi qu’il appelait quand il n’avait plus aucun contrôle, je n’ai pas besoin de fouiner pour savoir que j’ai raison. Mais aucun n’a pu lui donner le plaisir dont il a besoin, aucun ne l’a fait pleurer de ce plaisir coupable et douloureux, aucun car mon louveteau a besoin d’un traitement particulier, un traitement qui requière un sadisme que même les meilleurs dominants de club ne possèdent pas. Je le sais que trop bien. Il est mignon de voir qu’il a tenté de m’oublier dans les bras d’un autre. Et pourquoi pas dans les bras d’un humain ou mieux ! D’un chasseur ! Oui sans doute un chasseur pourra combler son besoin de masochisme, du moins… En partie…


Le voir détourner le regard me prouve une nouvelle fois que Samuel est décidément bien trop sensible. Ce n’est pas un bon loup fort et virile, un loup de combat non. Non dans la nature je pense qu’il serait un oméga, vous savez, celui qui se fait passer dessus par toute la meute sans avoir son mot à dire. Et oui les omégas ne sont juste que des amusements, mais c’est bien hein ! comme ça il a quand même une place dans la meute. Pas la meilleure mais franchement, c’est mieux ça que d’être un banni non ?


- Non Erik, Non..N..

Chaque épée à son fourreau, je pense que chaque queue possède aussi son trou et dans le cas présent, bordel de merde, celui de Sam est juste parfait ! Etroit comme il faut, chaud et semblant me vouloir me garder en lui. Les quelques mouvements que j’effectue me font perdre doucement la tête. Ses cris font ricanés l’animal en moi, ses glapissements me font frémir, ses larmes sont comme une récompense. Maintenant je comprends ceux qui sont récompensaient de leur traversé du désert. Je serre les dents en tentant de me calmer. Comment pouvons-nous nommer ce que nous faisons ? Un semi viol ? Techniquement je ne suis pas coupable monsieur le juge ! Disons que je connais bien très trèèèèèèèèès bien ses besoins, je les ai juste contentées comme il se doit. Mais de nous deux, qui le juré croira, celui qui hurle m’aimait ou le sadique qui sait jouer sur les mots ? Je suis sûr qu’en me débrouillant bien je peux être innocenter.
Enfin bref revenons à l’instant présent. Ses yeux reflètent la haine la plus pur que je connaisse, me faisant doucement sourire, j’aime quand on me hait je n’y peux rien. Alors que je me stoppe et que j’approche ma main, le voilà qui recule la tête comme un animal apeuré avant de profiter d’une caresse et d’un baiser qui est doux pour une fois.

Dans un film ou un dessin animé, on verrait le petit cœur en cristal se brisait au sol. Je le sens qu’il se rattache a cet espoir. Il détourne les yeux alors que je lui assène une nouvelle vérité, ses gémissements me prouve que j’ai encore une fois raison.

- Je sais exactement où est ma place gros connard sadique.

Il enserre ma taille de ses jambes, me forçant à se glisser un peu plus en lui, ses griffes sont posées à plat sur mon dos, je sais que j’aurais des marques mais c’est un faible prix face à ce que je peux lui faire. Lentement il se met à onduler, me faisant grogner sourdement et serraient les dents pour ne pas lui défoncer l’arrière train.

- Ma place à toujours été auprès de toi, depuis le premier jour, depuis le jour ou tu m’as marqué.

Il me ravi un baiser où nous nous battons pour la dominance, me faisant soupiré et tiquer quand il me mord la lèvre, ajoutant un gout cuivré à notre échange. Ses hanches bougent de plus en plus franchement, me faisant perdre le contrôle que j’essaie de vainement garder. Bordel s’il continue je le baise jusqu’à ce que mort s’en suive !

-- J’ai toujours été à toi espèce de psychopathe narcissique imbu de sa personne. J’ai tout fait pour toi ! Je suis même aller jusqu’à tuer pour toi ! J’aurais donner ma vie pour toi ! Je te respectait et je t’admirais ! Oui je t’aime mais je ne l’ai pas choisi ! À défaut de me donner ton amour tu aurais pu au moins me donner un peux de respect au lieux de me traiter comme une sous merde ! si je devais changer mes sentiments je le ferais mais je suis lié à toi, tu es gravé dans ma chaire pour toujours. . .

Moi ? te traiter avec respect ! Nan mais il se fous de moi ! Quand je lui ai dit de partir qui n’a pas respecter ma volonté ? Qui à préférer me foutre dans la merde en me suivant ? Qui a eu la bonne idée de ce prendre un piège à loup comme un vulgaire débutant alors que je lui avais enseigner à les éviter ! QUI N’A PAS ETAIT FOUTU DE METTRE EN PRATIQUES MES ENSEIGNEMENTS ! Et il ose me parlait de respect ! Il ose me renvoyait ses fautes au visage en prétextant que c’est ma faute ? Je l’ai transformé parce qu’il avait du potentiel mais bordel comme je regrette de mettre enchainer un poids à la cheville.


- On va commencer par rétablir l'équilibre de ce point.

Ses Crocs viennent de se refermaient sur ma clavicule, transperçant mes chairs et me faisant crier de douleur et de colère, surtout de colère, J’arme le poing pour frapper avant de sourire doucement, non c’est ça que tu veux hein ? mourir sous mes coups ! C’est trop facile comme ça ! et pas assez amusant !
Je régule ma respiration et passe ma main dans ses cheveux, le forçant à continuer à mordre alors que je me recule pour revenir profondément en lui, ne faisant que peu de cas de ses dents dans ma chair, qu’importe la cicatrice cela seras une parmi tant d’autres, mais elle sera spéciale.
J’entame alors un vas et viens sans aucune douceur, ne faisant plus cas de ce qu’il peut ressentir. Lentement je caresse son dos et son crane alors qu’il a toujours ses crocs dans ma chair, je me penche à son oreille que je lèche doucement avant de murmurai :

-Tu as raison, je suis désolé d’être comme ça… Mais réfléchis Samuel… Tu sais que c’est pour ton bien…

Je lui mordille la gorge en souriant, en moi je sens l’animal se repaitre de sa souffrance, je le sens au bord de l’extase, a la frontière entre l’animal et le monstre viscéral que je suis une fois que la lune se fait aussi noire que les abysses de la folie.
Les va et viens sont violents, je n’ai que faire de son bienêtre, seul mon plaisir compte. Plus je le ferais souffrir aussi bien physiquement que mentalement, plus la jouissance sera parfaite.

-Tu sais que je n’ai pas le choix… J’avais de grand espoir en toi… mais toi… tu as tout détruit… C’est ta seule et unique faute… si tu es la…

Bien sûr que c’est faux vu que c’est moi qui l’ai poussé pour qu’il en arrive là, mais bon il n’a rien fait pour stopper cette chute infernale où je l’ai poussé sans vraiment forcé. Je le regarde chuté en me demandant quel motif va faire son esprit une fois qu’il percutera le fond, est-ce que son cœur va craquer sous mes pas une fois que j’en aurait fini avec lui ? Son corps va-t-il se briser une fois que j’en aurait fini pour de bon ? Va-t-il devenir une de ses âmes errantes ou va-t-il avoir le courage de mettre fin à son existence ? En fait la vie du louveteau c’est un peu comme regarder une course de chevaux. Pas la petite des hippodromes, non la grande du désert et attendre l’apogée dans la ligne finale, voir si le cheval de tête meurt ou si le dernier arrache la victoire de justesse. C’est tellement distrayant ! et tel un cheik, je contemple la course et la chute de mon louveteau. Le seul que j’ai transformer à l’heure actuelle. Pourquoi le seul ? Franchement au départ sur un coup de tête, mais le sentir si étroit et si abandonné à moi, voir son regard de haine alors que son corps en quémande plus, que ses yeux semble me dirent je te hais alors que ses lèvres gémissent des je t’aime, je sais que j’ai fait le bon choix en le transformant.

Je me retire sans délicatesse, l’éloignant de moi et observant un instant la marque qu’il vient de me faire. Je passe un doigt sur la plaie avant de porter le doigt trempé de sang à mes lèvres et de le regarder d’un regard carmin, celui que je porte quand je suis en loup. Je n’ai pas joui ce serait trop facile de juste tiré un coup et de partir. Ici c’est un jeu de patience.

-Tu m’as marqué… Très bien Torrance mais cela ne m’empêchera pas d’aller ailleurs, de prendre des hommes tout aussi étroit… Prouve moi que tu es spécial.

Je l’embrasse avec douceur en le fixant droit dans les yeux.

-Prouve moi que j’ai une petite chance de pouvoir t’aimer comme toi tu m’aime.




Vous le sentez hein ?

Vous le sentez le vilain petit mensonge ? Ce mensonge auquel Sam se raccroche depuis tant d’années. Un petit mensonge que j’entretiens comme il faut et que j’ai créé uniquement pour Samuel.
Franchement si ça ce n’est pas une preuve d’amour, je sais pas ce que c’est alors !


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Sam 15 Juil - 19:47
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Les yeux clos de façon totalement hermétique et les crocs enfoncer dans la chair d’Erik J’attends. J’attends que les coups s’abattent, qu’il hurle de rage, qu’il m’envoie voler au travers de la pièce, qu’il me déchiquette en petit morceau pour avoir oser le marquer… Oh oui il étouffe un cris et je sent sa main se lever mais rien. Le temps semble suspendu alors que son sang coule délicieusement dans ma gorge titillant le monstre tapis juste sous la surface.


Sa main viens enfin sur moi mais pas avec violence, comme une douce caresse dans mes cheveux. Il me maintient contre lui alors qu’il se recule et je reste agripper à lui alors qu’il recommence à bouger avec hargne. Oh God que cet homme me rend dingue. Ses coups me font un mal de chien mais je ne peux pas m’empêcher de ressentir un plaisir intense.


Pour la première fois depuis des années je me sent entier. Erik est la dernière pièce manquante à la tasse brisé que je suis. Ses lèvres parcours mon cou et ses caresses me font frémir jusque dans mon âme. Je le relâche doucement et lèche la plaie que je viens de faire.


-Tu as raison, je suis désolé d’être comme ça… Mais réfléchis Samuel… Tu sais que c’est pour ton bien…


Je suspend mon geste et lève le regards lentement vers lui. Il est… Désolé ? Erik Sambre est désolé ? Il s’excuse d’être le plus gros connard sans coeur que cette fichu planète ai porté ? Il se fou de moi ? j’essaye de le haïr, mais l’entendre me dire ça accompagner de ses caresses et de ses dents qui parcours doucement ma peau je fond comme neige au soleil. Ma respiration s’accélère, j’ai la désagréable impression de manquer d’air. Je suffoque et mon coeur deviens lourd.




-Tu sais que je n’ai pas le choix… J’avais de grand espoir en toi… mais toi… tu as tout détruit… C’est ta seule et unique faute… si tu es la…


Plus rien d’autre n’existe que sa voix. Ses coups ne sont rien en comparaison. Ses mots sont comme une boule d’épingle coincé dans mon coeur. C’est ma faute oui… Je sais que c’est ma faute. Je déçois Erik quoi que je fasse. J’ai suivis son enseignement, je l’ai aimer, je me suis donner à lui corps et âme, j’ai toujours fait ce qu’il me demandais mais je n’étais jamais à la hauteur pour lui.


Je pose mon front contre son épaule meurtris ne prêtant pas attention au sang qui macule mon visage. Tout ce que je voulais c’est qu’il m’aime… rien qu’un peu… qu’il soit fier de moi. Des larmes coulent le long de mes joues sans que je m’en rende compte. Je ne suis qu’un bon à rien… C’est cette certitude qui m’envahis. Je ne suis rien ni personne et mon monde entier tourne autour d’un homme qui ne veux pas de moi.


Je sent le loup gronder au fond de moi. Lui n’est pas d’accord avec ça, il sais que je vaux mieux. J’ai simplement à le montrer. Je peux lui montrer à quel point je suis devenue puissant et agile durant les années ou je l’ai chercher. J’ai tuer énormément de gens, aussi bien des innocents que des personnes méritant leur sort. Certes contre lui je n’y arrive pas. Il a ce truc qui fait que je n’arrive pas à me donner à fond contre lui. Je le hais de me jeter pour ça. Il ne comprend pas que je ne peux pas lui faire de mal. La morsure ? Ça ce n’est rien. Il va s’en remettre en moins de deux.


Il me rejette loin de lui et me rattrape de justesse avant de tomber au sol. Je reste à genoux au pied du lit les crocs et les griffes toujours de sorti et les iris doré du loup en moi braqué sur lui. Je le regarde admiré mon travail et ses yeux de loups se pose sur moi alors qu’il lèche le sang sur ses doigts. Je gémis plaintivement en baissant la tête. Le loup en moi arrive peut-être à gronder et s’en prendre à « l’humain » Erik mais pas au loup en lui. Il reconnais son maître, son créateur et son Alpha. Je me sent de nouveau abandonner et ça me fait mal.


-Tu m’as marqué… Très bien Torrance mais cela ne m’empêchera pas d’aller ailleurs, de prendre des hommes tout aussi étroit…


Je gronde et montre les crocs mais ma haine est noyé de chagrin. Je me redresse fasse à lui. Je sais que ça n’empèche rien. Ce c’est qu’une marque, rien de magique là dedans. C’est peut-être de ce côté que je devrais creuser un jours pour le ramener à moi…En attendant je meure d’envie de lui écraser mon poing en pleine…


- Prouve moi que tu es spécial.


Je le regarde ahuri sans comprendre ce qu’il me demande. Il s’approche de moi et viens déposé un baiser sur mes lèvres. Sans hargne, sans passion juste de la douceur… peut-être un peux de tendresse. Rien qu’un peu… c’est ce dont j’essaye de me convaincre.


-Prouve moi que j’ai une petite chance de pouvoir t’aimer comme toi tu m’aime.


Je reste figé en tremblant légèrement sous ses lèvres. J’ai l’impression qu’un avion de chasse viens de passer dans mon crane et que la pression le fait littéralement explosé. Erik m’aimer ? Mon cœur me fait mal comme jamais. C’est tout ce que j’ai toujours voulu et il me pose une sorte d’ultimatum. Lui prouver que m’aimer est ce qu’il y a de mieux pour lui. Oui mais comment ?


Je sent toute les fibres de mon corps se battre et lutter les une contre les autre. Le loup cris au carnage et à l’amoncellement de corps en offrande, une part de l’humain prône l’amour et me dit de simplement lui montrer à quel point je l’aime, une autre pleur en doucement en disant que c’est perdu d’avance, une autre partie ce casse en claquant la porte. Tout ce la ce mêle dans mon petit crane de loup et fait de moi une statue figé devant Erik les yeux dans le vide alors que le sang d’Erik coule le long de mon visage.


Quand je reviens enfin à moi c’est pour lui sauter dessus dans un baiser fougueux. Je le plaque sur le lit sous moi pour l’embrasser et viens mettre une main autour de sa gorge. Je serre doucement en le piquant doucement de mes griffes. Je me recule mes yeux plus doré que jamais et toute crocs dehors.


- Tu n’es qu’un enfoiré de première Erik Sambre. Je sais que tu adore ça et peut-être qu’au fond de moi j’aime ce coté mauvais chez toi…


Je caresse ses lèvres en grondant légèrement.


- Mais sache que tu es à moi autant que je suis à toi et je ferais tout pour te garder, absolument tout... Vas-y, va voir d’autre mec ou d’autres femme, j’en ai rien à faire. Chaque personne que tu baisera ou pour qui tu montrera de l’intérêt sera débiter en morceau par mes soins et je te rapporterais leur tête que je déposerais sur le paillasson de ta porte d’entrée…Parce que oui maintenant que je t’ai retrouver je ne te perdrais plus. J’ai beaucoup, beaucoup appris en matière de pistage pendant que je te cherchais et je ne me laisserais plus dépasser...


je lèche doucement ses lèvres avec un rictus mauvais.


- Mettre la ville à feu et à sang pour t’avoir ne me pose aucun problème… Je tuerais tout ceux qui graviterons autour de toi jusqu’à ce que tout le monde te fuis comme la peste… Tu n’auras plus rien n’y personne à part moi… Si tu quitte la ville je te suivrais comme ton ombre. Ouais c’est con tu as fait de moi un vrai toutou.


Je le fixe de mes yeux d’or pendant que son sang coule de mon visage.


- Tu veux savoir pourquoi je suis spécial et que je mérite ton amour ?


Je me redresse lentement en griffant doucement son torse, descendant petit à petit jusqu’à ses hanches.


- Je n’ai rien de spéciale… Mais je suis ta création, ton monstre de Frankenstein. Aucun homme, aucune femme, aucune bête ne te sera jamais aussi fidèle et dévouer que moi, même si tu essaye d’en créer une dizaine, une cinquantaine ou une centaine de plus. Je détruirais chacun de tes jouets Honey. Tu me pense faible parce que je te suis soumis mais tu te trompe. Tu pense que je suis trop humain mais là encore tu te trompe, C’est toi qui garde en moi cette part d’humanité. TU es ma faiblesse. Tu le sais et tu en profite comme l’infâme connard que tu es.


Je prends ses mains et viens les posés sur mes hanches alors que je me soulève légèrement pour m’empaler à nouveau sur lui. Je serre les dents pour ne pas lui laisser le plaisir de mes gémissement. Mes mains se pose ensuite sur son visage que je caresse d’un air triste pendant que mes yeux reprennent leur couleurs vert d’eau. Je bouge mon bassin lentement en ondulant les hanches les yeux rivé dans les siens pendant que je lui parle.


- Pourquoi est ce que tu ne m’aime pas ? Qu’est ce que j’ai de si repoussant pour que tu ne ressente pas un minimum d’affection pour moi ? Je sais que tu aime me baiser ça tu ne peux pas le nier mais dit moi ce que je peux faire pour que tu m’aime en retour sans parler de m’aimer comme moi je t’aime mais juste un peu... Tu sais que je serais prêt à tout...

Jeu 3 Aoû - 20:52
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Erik N. Sambre
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J’ai gagné

Pas besoin d’être devin, j’ai gagné.  Il me suffit de le voir cogité sous mes paroles. Me prouvait qu’il est spécial, j’avoue avoir fait très fort, mais bon autant joué une bonne fois plutôt que de ce faire chier dans une simple baise bestial. Je sens l’animal se fendre d’un sourire qui n’a rien de rassurant. C’est lui qui aboie en moi.

J’ai gagné !

Le louveteau se réveille après sa réflexion intérieur. Il m’arrache un baiser en inversant nos positions, sa main sur ma gorge dans sans doute le veine espoir de m’impressionner. Qu’il est mignon de croire qu’il m’impressionne.

- Tu n’es qu’un enfoiré de première Erik Sambre. Je sais que tu adore ça et peut-être qu’au fond de moi j’aime ce coté mauvais chez toi…

Je lui souris doucement comme on pourrait sourire a un enfant qui vient de comprendre que le monde n’est ni blanc ni noir. Ce n’est pas peut être Sam… C’est sur ! C’est ça que tu aime chez moi ! J’ose ce que tu te refuse de faire, chose l’interdit sans me soucier des conséquences que cela peut avoir et le pire c’est que je n’ai aucun remords et que je dors parfaitement. Qu’importe le nombre de victime, du moment que je demeure debout. Il n’y a pas meilleur que celui qui demeure debout et qu’il vente ou qu’il neige

- Mais sache que tu es à moi autant que je suis à toi et je ferais tout pour te garder, absolument tout... Vas-y, va voir d’autre mec ou d’autres femme, j’en ai rien à faire. Chaque personne que tu baisera ou pour qui tu montrera de l’intérêt sera débiter en morceau par mes soins et je te rapporterais leur tête que je déposerais sur le paillasson de ta porte d’entrée…Parce que oui maintenant que je t’ai retrouver je ne te perdrais plus. J’ai beaucoup, beaucoup appris en matière de pistage pendant que je te cherchais et je ne me laisserais plus dépasser...

Je me retiens d’éclater de rire. Ho mais ne t’en fais pas… Je ne choisirai pas n’importe qui… ne va pas croire que je ne choisirai pas quelqu’un de ton entourage… Je pense même me faire un mur avec toute les têtes… Hum que cela pourrait être excitant, de les voir aligné et de te baiser devant, te rapellant sans cesse tes meurtres et la folie que j’ai distillé en toi… Ma jolie poupée…

- Mettre la ville à feu et à sang pour t’avoir ne me pose aucun problème… Je tuerais tout ceux qui graviterons autour de toi jusqu’à ce que tout le monde te fuis comme la peste… Tu n’auras plus rien n’y personne à part moi… Si tu quitte la ville je te suivrais comme ton ombre. Ouais c’est con tu as fait de moi un vrai toutou.

Etre seul hein ? ce ne seras pas nouveau pour moi. Au pire quand j’en aurais marre, je te trancherai la gorge comme j’aurais du le faire il y a de cela des années. La solitude ne me fait pas peur… Même le plus seul des hommes peut obtenir ce qu’il veux quand il est un assez bon manipulateur.

- Tu veux savoir pourquoi je suis spécial et que je mérite ton amour ?

Je serre les dents face au griffures.

- Je n’ai rien de spéciale… Mais je suis ta création, ton monstre de Frankenstein. Aucun homme, aucune femme, aucune bête ne te sera jamais aussi fidèle et dévouer que moi, même si tu essaye d’en créer une dizaine, une cinquantaine ou une centaine de plus. Je détruirais chacun de tes jouets Honey. Tu me pense faible parce que je te suis soumis mais tu te trompe. Tu pense que je suis trop humain mais là encore tu te trompe, C’est toi qui garde en moi cette part d’humanité. TU es ma faiblesse. Tu le sais et tu en profite comme l’infâme connard que tu es.

Il n’est pas si idiot que ça alors. Je grogne de plaisir en le sentant s’empaler en moi. Ses yeux tristes n’arrivent même pas a me faire débander Je le laisse faire, le fixant de mes yeux de glace.

- Pourquoi est ce que tu ne m’aime pas ? Qu’est ce que j’ai de si repoussant pour que tu ne ressente pas un minimum d’affection pour moi ? Je sais que tu aime me baiser ça tu ne peux pas le nier mais dit moi ce que je peux faire pour que tu m’aime en retour sans parler de m’aimer comme moi je t’aime mais juste un peu... Tu sais que je serais prêt à tout...

-Rien.

Je vois son regard se perdre dans le miens.

-Tu ne peux rien faire pour ça.

Je reprend le dessus en lui arrachant un baiser et en allant me loger au plus profond de lui dans un mouvement brusque.

-Tu ne peux rien faire pour ce que je suis mais je fais de savoir que tu m’aime est suffisant pour moi. Mon petit monstre… Rien que ton existence est la preuve que j’ai un cœur tu ne crois pas ?

J’accélère le mouvement de mes hanches.

-J’aurais pu t’achever cette nuit la… J’aurais pu et je l’ai pas fait. C’est la seule preuve d’amour que tu obtiendra de moi. Alors chéris ce souvenir… fais moi l’honneur de me ramené ses gens que tu n’aime pas parce qu’elles me tourne autour, montre moi jusqu’ou tu peux aller pour moi.

C’est immonde… Je me sers de lui pour flatter mon ego mais au final cela me rempli d’extase… Une extase bien plus violente que celle que je connais en achevant une proie. Pour la première fois depuis longtemps, je l’embrasse comme si j’embrassai l’être qui me faisait vivre. C’est cruel mais si c’est le moyen le plus sain pour que je le conserve a mes côtés alors j’abuserai de ce genre de stratagème sans vergogne. Il a raison en disant que je suis a lui. Mais je pense que je devrais lui offrir un collier prouvant qu’il est à moi.

Je sens le loup reprendre le dessus. Mes yeux deviennent légèrement rouge. Je perds le fragment d’humanité alors que je le mords un peu plus dans le cou. A moi A moi MINE !

Je laisse le loup ressurgir dans mon esprit ; Maintenant j’ai juste besoin de me contenté !


 
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Sam 30 Juin - 21:38
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It was real for me
Hate is just a shadow of love; where there is one, the other is sure to follow. And there is nothing more powerful than the two combined...


 


Mon regard est noyer dans le siens. Le vert d’eau tendre de mes yeux essayant de réchauffer la glace de ces yeux d’un bleu pur et froid. Mon espoir est accrocher à lui. Je me suis totalement offert, j’ai tout donner. Chaque cellule de mon corps brûle d’un désir stupide et incompréhensible. Que puis-je faire pour qu’il m’aime telle est la question… et la réponse me foudroie net.

Rien.

Je reste figé un instant. Je ne peux rien faire pour qu’il m’aime. Mon Erik, Mon Alpha… Rien. Il ne m’aimera donc jamais ? Je suis condamné à endurer son rejet pour le reste de mes jours ? La part rationnel de moi soupire d’aise comme libérer, comme si on lui enlevais un fardeau à porter. Comme si ce Rien pouvais être la clé pour tourner la page et tenter d’avancer, de passer à autre chose, rencontrer d’autres personnes…

mais non, tout ceci n’était qu’un petit repos de mon esprit tortueux. Erik reprend le dessus et me plaque sous lui. Je lâche un cris alors qu’il me prend avec plus de hargne.

-Tu ne peux rien faire pour ce que je suis mais je fais de savoir que tu m’aime est suffisant pour moi. Mon petit monstre… Rien que ton existence est la preuve que j’ai un cœur tu ne crois pas ?

Mon coeur se gonfle de plus belle. Je l’écoute répandre son venin en moi, ses paroles pleine de fiel qui son si douce à mon oreille. Erik… m’aime. À sa manière en tout cas. Il m’aime c’est une évidence. Si il me fait tout ça… c’est pour me montrer à quel point il m’aime. Cela me semble claire maintenant qu’il l’exprime. Son poison se répand en moi et pollue chaque fibre de mon corps.

Je suis la preuve vivante qu’Erik Sambre à un cœur, je suis la seul et unique preuve qu’il peu aimer et cette certitude que ce forge mon cerveau, d’après les paroles fourbe du beau loup noir de mes rêve, c’est la plus douce certitude qu’il m’ait été permis de ressentir depuis des années. Je ferme les yeux et me laisse sombrer dans cette douce utopie. Il est tellement plus doux de se raccrocher à ce vaine espoir plutôt que de me battre. Je sombre un peu plus, juste un peu… je veux me bercer d’illusion encore un peu, juste une heure ou deux, laisser le temps à mon cœur meurtrie de cicatriser avant de le déchiqueter à nouveau.

Je crois que la partie rationnel en moi sais la vérité, que tout ceci c’est du vent, qu’il ne cherche qu’à m’avoir mais cette partie de moi refuse de broncher et me laisse profiter, me laisser profitez des bras d’Erik pour la nuit, me laisse rêver et m’imprégner de souvenir, de toute façon j’aurais bien assez de temps pour souffrir une fois qu’il aura eu ce qu’il veux de moi…

J’ouvre les yeux et garde mon regard encrer dans le siens, c’est le seul moyen pour tenir mon esprit en veille et ne faire agir que mon instinct. j’ondule mon corps contre celui de mon amant dans une danse nocturne intense et passionné. Pour le moment plus rien n’a d’importance, je suis avec l’homme que j’aime, que j’ai chercher pendant des années, l’homme qui représente tout pour moi.

Sa voix s’insinue en moi comme le venin d’un serpent, tout comme le ondulement de ses hanches qui me font pousser des gémissement de plus en plus fort. Il grave en moi ce besoin malsain de lui prouver mon amour, de lui montrer à quel point je suis à lui, à quel point je suis digne de lui. Mes supplication ne sont que le reflet de ma faiblesse et de mon besoin d’attention mais mes offrandes seront divine.

Tout comme nos sang qui coule le long de nos corps et souille les draps, le sang coulera pour sceller mon amour pour lui. Je me perd dans ses yeux rouge sang. Ses crocs transpercent ma chaire et je cris mêlant à la fois douleur et plaisir. Les étoiles danse devant mes yeux et mes griffes se plantent dans sa chaire comme pour me raccrocher avant de sombrer dans l’abîme.

Je sent la chaleur monter du creux de mes reins et se rependes, des étoiles viennes danser devant mes yeux et je rejette ma tête en arrière en criant le nom de mon amant. L’orgasme mes foudroie suivie de peu par le siens. Le genre d’orgasme que je n’ai pas ressenti depuis des années, le genre que seul lui à su me donner. Tout ces amants d’un soir que j’ai pu avoir pour combler le vide en moi n’ont jamais su lui arriver à la cheville et cette vérité éclate clairement après ça.

Je me laisse retomber sur le draps le souffle court. Mes bras passe autour de son torse pour l’attirer à moi. Je pose la tête contre sont épaule, sa respiration proche de la mienne et sans m’en rendre compte petit à petit les battement de mon coeur tout comme ma respiration se cale sur lui. Comme toujours. Je tremble légèrement. Je savoure se bref instant de tendresse fictif en imaginant que l’on est n’importe qu’elle couple.

Mais la douleur me gagne à nouveau rapidement, suivi par l’odeur du sang et le brouhaha infime du bar en dessous de nous. Je crispe mes poing dans son dos gardant Erik dans mes bras comme dans un étaux de fer. Je tremble un peu plus sentant la rage remonter.

La rage contre lui.

La rage contre moi.

- Je te hais…

C’est tout ce que j’arrive à articuler avec cette rage qui monte. Les larmes commencent à monter au coin de mes yeux.

- Je te hais tellement…

je le relâche et le repousse loin de moi. Je me recule de l’autre coté du lit, le regard noir. Je regarde la pièce, du sang un peu partout, les draps déchirer, les coussins éventré… Voilà le résultat. c’est tout ce qu’il y a entre nous maintenant. Sexe, passion, sang et haine. J’enlève d’un geste agacé une plume coincé dans mes cheveux hirsute.

J’ai honte. Je me dégoutte. j’ai envie de vomir, de me cacher au fin fond d’une grotte et de mourir seul.

Je me lève. Enfin.. Je descend du lit et me rattrape au bord en sentant mes jambes flancher. Bordel que j’ai mal… Il ma démonter. Je prend la lampe de chevet, seul vestige encore intacte de la pièce et lui balance dessus.

- T’avise pas de sourire enfoiré !

Je réussi à me tenir droit et vais jusqu’à mes affaires. Je prends mon tube de calmant dans ma poche et avale la moitié du contenu. Avec un peu de chance je vais faire une overdose et me réveiller sans aucun souvenir mais j’en doute. Je prend trop de ces saloperie pour que mon corps me face cette fleure.

Ma première envie est de partir de là mais dans l’état où je suis… repasser devant tout le monde, c’est mort. Je grogne de rage vais en direction de la salle de bain.

- C’est bon tu as eu ce que tu voulais connard, t’as tirer ton coup tu peux te casser maintenant ! Je ne veux plus te voir ! Jamais ! Donc là je vais prendre une douche et normalement ta raison t’aura dit de te casser avant que je soit sorti !

J’ouvre la porte et lui lance un regard noir.

- Et je te préviens, hors de question que ça soit moi qui paye pour les dégâts dans la chambre ! Tu te démerde c’est toi le gosse de riche.

Je rentre dans la salle de bain et claque la porte derrière moi, pas vraiment convaincu que j’arriverais à me débarrasser du beau loup noir aussi facilement. Erik à trouver un nouveau jouet et je ne pense pas qu’il soit prêt à lâcher… et je sais qu’intérieurement… je ne le veux pas non plus.
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Dim 29 Juil - 15:28
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