Fearwood
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Fearwood

Fearwood est une ville où cohabitent diverses espèces, humains, vampires, loups-garous, sorcières. Attention à vos arrières. Ceci est un RPG.
 
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Hunt is on. [Jaeden&James]
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Hunt is On
Let’s dance with the devil, do you want to join me ?

 

Les yeux hermétiquement clos agenouiller devant le petit autel de pierre situer devant moi je psalmodie avec ferveur quelques prière apprise par coeur. Une légère fumé dégager par l’encens de messe au jasmin m’entoure et flotte autour de moi comme un halo lumineux. J’inspire à fond et me gorge de ce parfum apaisant, je me sent tout à fait serein et détendu. Les mains jointe devant mon visage je me vide te toute pensé, de toute idée qui pourrai nuire à ma mission.
Seigneur donne moi encore aujourd’hui la force d’accomplir ma mission, ne me laisse pas me détourné du droit chemin.

Les cris provenant de la cave s’élève de nouveau. Je redresse la tête et ouvre lentement les yeux sur l’autel en pierre brute que j’ai installer dans une des dépendance de ma maison. La lumière de la lune qui traverse les vitraux dessine des ombres inquiétante aux couleur vive sur mon visage pâle. Je me relève doucement et me signe avant d’allumer de nouveaux cierges et de quitté l’atmosphère réconfortant et protecteur de ma petite chapelle.

Je me dirige vers l’armurerie qui jouxte la chapelle et commence à me préparer. j’enfile ma combinaison noir qui me couvre jusqu’au cou et prend soin de placé mon collier à l’abri sous le tissu souple. Je passe les doigts doucement sur le tissu à l’endroit ou le pendentif forme une légère bosse, je caresse doucement les griffes de loup comme s’il s’agissait d’un porte bonheur. Je ferme les yeux et revois les grands yeux saphir de ma sœur et son sourire angélique.

Mes yeux se rouvre d’un coup sur un regard glacial. Je prend mon nécessaire de chasse pour le gibier de ce soir, a savoir :  deux revolver munie de balle en Guayacan Rea dit bois de fer que j’ai traité avec de l’essence de veine de venus et que j’attache dans le bas de mon dos à porté de main, des fioles d’eau bénite que je place sur les attaches de mon gilet renforcé, mes dagues en argent trempé dans de l’eau bénite et de l’essence de veine de vénus que je place respectivement à ma ceinture et une dans ma botte droite, je prend également un pieu en bois pour rester dans le classique et avant de sortir je récupère mon masque et mon arbalète. J’ai vraiment un gros faible pour ce joujou. J’attache la petite réserve de flèche en bois de fer autour de ma cuisse et je descend à la cave en chantonnant l’air de scotland the brave une musique guerrière bien de chez moi qui s’accorde parfaitement à la situation. 

Plus je descend les marches qui mène à la cave plus les cris deviennes audible. Une sorte d’appel au secoure plaintif et misérable qui ne rime absolument a rien. j’arrive dans la pièce obscure et presse mon doigt sur l’interrupteur. La lumière m’aveugle une fraction de seconde et révèle une pièce blanche aseptisé dont le mur du fond est orné d’étagère multiple contenant un nombre incalculable de fiole au contenue plus ou moins  complexe et de livres sur les créatures surnaturelle, les plantes, les pierres et les sortilèges. Un bureau couvert de divers papier se trouve sur la gauche et à droite se trouve une très grande armoire couleur alu au contenu… on y reviendra bientôt. Au centre de la pièce se dresse une énorme croix en forme de X en bois ou se trouve attacher un homme nue fortement mutilé. Un homme que dit-je. Une créature du diable, un suceurs de sang, un incube au service du démon. Un vampire. La créature gémis de plus belle en me voyant et se tortille sur la croix, de large trace de sang sont étaler sur le sol autour de lui. Faudra que je pense à nettoyer ça c’est vraiment dégueulasse.

- Arrête de geindre c’est tout à fait puéril et ça n’avancera a rien. Personne ne peut t’entendre d’ici et ma maison est protéger contre les êtres comme toi.

Je tire une chaise du bureau que je place à l’envers devant la croix, je pose mon arbalète à coté et m’assoie sur la chaise à califourchon. j’observe intensément la créature. Je suis toujours autant fasciner par la résistance de ces êtres. Après trois jours entre mes mains il tient toujours bon. Pas très en forme mais il tient. Malgré la torture il ne parle pas. C’est fou ce que les gens sont près à subir par amour. Je le regarde qui sanglote les yeux rivé sur le sol.

- Toujours pas près à cracher le morceaux ?

Je me lève doucement et m’approche de lui.

- Tu n’as cas me révéler l’endroit ou se planque ton compagnon et tout sera terminer. Je te promet que je ne le ferais pas souffrir et que tu sera libéré.

Libéré de ta misérable vie sale pourriture. Il relève la tête et me regarde plein de haine. Cela m’amuse un peu je doit l’avouer. Je dégage une mèche de cheveux de son visage et passe une main sur son épaule ou une plaie imbibé de gros sel commence à prendre une sale couleur. Le vampire relève la tête et me crache au visage. Je n’esquisse même pas un mouvement de recule. Je me contente de sourire de satisfaction et d’enfoncé mes doigts dans la plaie suppurante faisant hurler de douleur la créature. 

- Dommage, ça aurai pu se passer autrement. Mais tu vas me conduire à lui d’une façon ou d’une autre…

Je me dirige vers le placard tout en essuyant la trace de salive sanglante sur mon visage. J’ouvre le placard d’un geste délicat. Le meuble couleur alu est rempli d’instrument de torture en tout genre, de l’écrase pousse au marteau tout en passant par la poire de supplice. Ce que je cherche néanmoins  n’est pas un instrument mais un produit. Un petit cocktail maison dérivé de la veine de vénus, juste assez pour sonné un vampire tout en le maintenant en vie. J’attrape la fiole et une seringue, je prélève une dose moindre qu’en temps normal, ma proie est trop faible pour subir une dose normal, je risquerai de le tuer et ce n’est pas ce que je cherche. Je retourne vers le monstre et lui injecte le produit malgré ses cris et ses injures. Il devient de plus en plus amorphe et fini par sombrer. Je m’assure qu’il est toujours en vie et neutralisé avant de le détacher. 

Après l’avoir remonter et mis dans le coffre du pick-up je me dirige vers la forêt. Je retrouve l’endroit ou j’avais trouver le couple de vampire la première fois et capturer celui là. Je compte bien sur l’attachement de son compagnon pour qu’il revienne dans les parages. Je sort le vampire inerte de la voiture et le porte sur mon dos au travers de la forêt pendant de longue minute mon arbalète dans une main et l’autre main maintenant fermement la créature. Une fois éloigné de tout et que je sent mon otage se réveiller je le dépose au sol. Je regarde le visage de la chose encore embrumer de sommeil, ses trais parfait déformer par les coups porté par mes mains se crispe légèrement. Je prend délicatement une flèche de mon arbalète et la plante violemment dans l’épaule encore valide du vampire. Ce dernier se réveille dans un hurlement de douleur. Ses yeux exorbité me fixe avec horreur. Il tente de se débattre mais je le fixe au sol avec une nouvelle flèche au niveau du genou. 


- Vas- y hurle autant que tu veux, c’est parfait.

Je me lève et m’éloigne à reculons disparaissant dans l’obscurité des arbres tout en mettant mon masque noir qui cache le bas de mon visage. Je grimpe dans l’un d’entre eu qui m’offre une vu plongeante sur la petite clairière. Le vampire se débat faiblement et sanglote. Je le met en joug avec mon arbalète et je me tiens près. L’amour est une faiblesse, en entendant les cris de son amant l’autre vampire va rappliquer aussi sur que je m’appelle Holden. Ce n’est qu’une question de temps.
Dim 6 Nov - 22:10
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