Fearwood
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Fearwood

Fearwood est une ville où cohabitent diverses espèces, humains, vampires, loups-garous, sorcières. Attention à vos arrières. Ceci est un RPG.
 
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La rencontre [Adriel Vladislova&Aleksei Mendev]
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Je venais d'arrivé au poste, après une courte nuit. Beaucoup trop courte. Surement parce que j'ai du intervenir dans un vol à main armé, déjà très tard, alors que j'étais sur le point de rentré chez moi. Les deux repris de justice n'étaient pas très décidé a se montrer raisonnable. Néanmoins, c'est quatre petites heures de sommeil mon permis de bien me reposer, j'avoue pourtant que je serais bien resté au lit encore un peu, enfin, ce n'est pas comme si j'avais de la compagnie à qui je manquerais.. Non, je n'ai personne, alors je peux passais autant de temps au travail que je le souhaite. Je n'ai pas le temps de boire un café pour me mettre en forme qu'un homme furieux débarque en tenant deux jeunes hommes, fermement par le bras. Je le reconnais immédiatement, surement l'homme le plus riche de cette ville..et le plus méprisable aussi. Je lui demande de se calmer et de m'expliquer ce que les deux garçons ont fait. Je comprend qu'ils se sont introduit sur son terrain sans autorisation et il les accuse d'avoir essayer de le cambriolé. Je le calme du mieux que peux et lui explique que je vais m'en charger, que je viendrais plus tard, pour le voir quand j'aurais parler avec eux. Je me tourne vers les deux garçons et prend leur identité avant de choisir de commencer par interroger celui qui me semble le plus rebelle. Je regarde le jeune russe un moment, je pense que je peux lui faire confiance..qu'il n'est pas assez stupide pour s'enfuir. Je lui tire une chaise et souris doucement
-Tu peux t'asseoir. Ne bouge pas d'ici, je reviens quand j'ai fini avec ton ami.
J'emmène le garçon dans une autre pièce avec pour en savoir plus sur ce qu'il c'est passer et pourquoi ils étaient chez cet homme. Il tente de m'expliquer qu'ils ne voulaient rien faire de mal, que c'était pour une bonne raison, mais il a du mal à s'exprimer, surement à cause de la peur. Je peux comprendre, mais il ne m'aide en rien et il m'agace de plus en plus, je soupir exaspéré et le met dans une cellule en attendant c'est parent avant de retourner chercher Adriel.  Je l'emmène dans mon bureau et pose un verre d'eau devant lui.
-Bien, j'espère que tu ne va pas me faire comme ton ami.. Tu peux m'expliquer pourquoi vous êtes entrer sur la propriété de ce Monsieur ?
Dim 2 Aoû - 20:47
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Et voilà, cela faisait maintenant un peu plus d'un mois qu j'étais à Fearwood, et c'était déjà la deuxième galère qui m'arrivait. Après l'hôpital, le poste de police ! Si cela continuait à ce rythme mes parents seraient très vite au courant et il me ramènerait fissa en Russie ! Bon c'est vrai que le froid chaleureux de mon pays natal, ma famille, et mes amis me manquaient un peu, mais j'avais encore tellement de chose à découvrir ici ! Je ne pouvais pas partir si vite...
Me voilà donc emmené au commissariat avec Andrew par M. Wyville, homme le plus riche et qui fait partit des escrocs jamais punis de cette ville. Il est petit et assez rond. On voit clairement qu'il n'a rien d'autre à faire que de ruiner les autres dans son costume gris d'honnête homme. Ses doigts potelés enserrent mon bras avec une force dont on le pense dépourvue. M. Wyville criais tellement fort que nous n'eûmes pas besoin d'aller jusqu'au bureau de shérif, celui-ci arriva de lui-même alarmé par les vociférations de l'autre.
Le shérif essaya, en vain de calmer l'homme, mais ce dernier continuait de débiter son histoire de cambriolage, comme si Andrew et moi étions des cambrioleur de renom. Qui pourrait croire de tels exagérations. ? Si le shérif était un homme intelligent, il nous relâcherait voyant bien que ce qu'on a fait était juste. Le représentant de la loi réussit finalement à stopper les cris de l'homme bedonnant en lui assurant qu'il s'occuperait de nous.
Il prit ensuite nos noms, prénoms, âges et adresses avant de nous recevoir de manière individuelle. Andrew passa le premier. Le shérif me donna une chaise et me dit de m'asseoir sans bouger en attendant mon tour. De toute façon m'enfuir ne servirait à rien et puis j'avais donné mon adresse, je n'aurais eu nulle part où aller. Et puis je n'avais rien à me reprocher, j'avais agis pour une cause juste ! Au bout d'une dizaine de minute, le shérif sort de la pièce d'à côté et place Andrew en cellule avant de m'emmener à mon tour dans l'autre salle. Il me sert un verre d'eau avant de prendre la parole.
- Bien, j'espère que tu ne va pas me faire comme ton ami.. Tu peux m'expliquer pourquoi vous êtes entrer sur la propriété de ce Monsieur ?
Je reconnus quelque chose de familier dans sa voix. Une façon de prononcer certains mot qui n'est pas courante ici... Il me semble que le shérif est russe ou, au moins qu'il vient d'un pays de l'est de l'Europe. Mais je n'étais pas ici pour parler géographie avec lui, ol fallait que je lui explique ce que nous faisions chez M. Wyville.
- Cette homme est horrible ! Il a poussé les parents d'Andrew à investire toutes leurs économies en leur promettant la richesse absolu alors que maintenant ils sont ruinés ! Et lui savait pertinemment qu la famille d'Andrew pouvait perdre de l'argent. Et il ne fait absolument rien pour les aider ! Ils les laissent crouler sous les dettes ! Ma voix trahissait toute la colère et l'injustice de la situation en moi. Alors oui nous sommes allé chez M. Wyville, on voulait lui piquer quelques uns de ces objets de valeurs qu'il n'utilise jamais, pour lui donner une leçon et gangner un peu d'argent en les revendant.
Mes mains trembler un peu sous le coup de l'énervement. Je saisis le verre d'eau et en bus quelques gorgées pour me calmer, puis je reportais mes yeux sur le shérif.
Lun 3 Aoû - 2:13
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Je prend des notes,  du main agile et l'écoute d'une oreille attentive.  Qui a dit que les hommes ne pouvaient pas faire deux choses à la fois ? On peux et même très bien.. Je comprend qu'ils ne pensaient pas à mal et qu'ils voulaient seulement apprendre une bonne leçon de vie à se pourrie.. Seulement ce n'étais pas du tout la bonne solution.  Ils voulaient le cambrioler et je ne peux pas faire comme si ce n'était rien.  Je le regarde et soupir alors qu'il boit l'eau que je lui ai servi. Je remarque ses tremblement et lui souris doucement.  Je n'ai pas envie de les condamné pour quelque chose qu'ils n'ont pas fait. Et qu'il voulaient faire pour aider les parents de son ami. Qu'est-ce que je vais faire ? Ces enfants n'ont rien fait de mal pour l'instant.  Je vais essayer de faire comprendre à ce vieux con que les enfants n'ont rien fait de grave qui puisse me permettre de les sanctionner, je vais le faire parler.. Je vais trouver une solution de lui payer le mal qu'il fait partout où il passe. Je regarde toujours Adriel,  pendant un petit moment.  Je vais devoir appeler ses parents.  Il est mineur,  il faut qu'un responsable légal vienne le chercher.  
-Je comprends bien que tu voulais aider ton ami et ses parents.. Mais ce n'était pas intelligent . Vous auriez du laisser les personnes compétences s'en charger . Je ne vais pas te passer un savon plus longtemps,  ni te punir pour ça.. Tes parents le feront.  Je vais les appeler pour qu'ils viennent te chercher.  
Je tourne la tête vers un employé qui me prévient que les parents D'Andrew sont là . Je les au croisé déjà quelques fois . Je vais discuter avec eux . Je demande à Adriel de ne pas faire de bêtise et je vais à la rencontre de M. Et Mme Robbins.  Je discute presque une heure avec eux avant de les laisser repartir avec leur fils.  Je retourne ensuite dans mon bureau et regarde Adriel avant de m'asseoir et m'excuser de l'avoir fait autant attendre . Mon accent russe est plus prononcer à cause de la fatigue, bien que je fais des efforts. Je lui tend une feuille pour qu'il y mette ses empreintes et lui tend l'encre pour qu'il y imbibe son doigts avant de l'appliquer dans les cases. Je range soigneusement la feuille dans une poche que je pose sur la pile de boulot avant de prendre le téléphone
-Tu aurais pu tomber sur pire.. Tu a eu de la chance mais ne recommence pas. Quel est le numéro de tes parents ?
Lun 3 Aoû - 3:36
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Lorsque j'explique la raison de notre petite "escapade" chez M. Wyville, je remarque que le shérif prend des notes. J’espérais que ce qu'Andrew et moi avion fait, ne serait pas inscrit sur notre casier judiciaire ou je ne sais quoi du même genre... Le shérif leva les yeux sur moi et soupira. Peut-être était-il d'accord sur le fond, mais pas sur la forme de notre action ? Aucun moyen de le savoir... Lorsqu'il remarqua mes tremblement, l'homme me sourit et je réussis à me détendre un tout petit peu. Il me restait encore une question à régler : mer parents. Il voudrait sûrement appeler mes parents pour qu'ils viennent me chercher or, ils étaient en Russie. Et s'ils apprenaient que je m'étais fait arrêter, je ne donnais pas cher de ma peau... Il y avait toujours le loup-garou, il avait bien signer mes papiers pour sortir de l'hôpital. Non. Je secouais la tête pour chasser cette pensée absurde de mon esprit. La situation avait été tout autre et c'était lui qui m'avait emmené à l'hôpital. Après quelques minutes de silence, le shériff reprit la parole.
- Je comprends bien que tu voulais aider ton ami et ses parents.. Mais ce n'était pas intelligent . Vous auriez du laisser les personnes compétences s'en charger . Je ne vais pas te passer un savon plus longtemps,  ni te punir pour ça.. Tes parents le feront.  Je vais les appeler pour qu'ils viennent te chercher.
Le shérif avait raison sur un point, nous n'avions pas réfléchit avant d'agir. Nous aurions sûrement du, ainsi nous ne nous serions pas fait prendre.
Et voilà le sujet que je redoutais : les parents. Il faudrait que je sois convaincant, et lui compréhensif, ainsi je pourrais repartir sans qu'ils ne soient au courant. Quelqu'un rentra alors dans la pièce pour prévenir de l'arrivé des parents d'Andrew. Il avait la chance d'avoir sa famille aux Etats-Unis, il était originaire de Fearwood, contrairement à moi. Le shérif me demanda de rester dans la pièce en restant sage comme tout à l'heure. Pendant son absence, j'essayer de trouver des scénarios et des parades ne pas qu'il appelle mes parents. Sans succès. L'attente fut assez longue, je voyais, sur l'orloge du mur en face de moi, l'aiguille des minutes tourner petit à petit, jusqu'à avoir fait un tour complet du cadran. Une heure. M. et Mme Robbins et le shérif avait parler une heure.
Lorsque celui revint il s'excusa de m'avoir fait attendre. L'accent russe dans sa voix était plus prononcé que lorsque je l'avais vu pour la première fois. Peut-être que si je lui sortais une bêtise du genre "au nom de nos origines communes" il n’appellerait pas mes parents. Oui, je rêvais beaucoup. Il m'expliqua ensuite que je devais mettre mes empruntes sur la feuille qu'il me tendais. Je m'exécutais donc sans broncher, trempant tour à tour chacun de mes doigts dans l'encre avant de les appuyer sur le papier, que le shérif repris ensuite. Puis il décrocha le téléphone. Il me demanda le numéro de mes parents, et là j'ai su que j'étais en pleine catastrophe.
Un rire nerveux sortit de ma bouche lorsque j'essayais de lui répondre.
- Euh... Et bien disons que... que mes parents ne sont pas... vraiment du coin. En fait, je ne pense pas qu'ils puissent venir me chercher, parce que... parce qu'ils sont.. carrément sur un autre continent... Expliquais-je tant bien que mal.
Je venais de gagner quelques secondes, mais j'espérais que le shérif ne veulent pas les appeler tout de même...
Jeu 6 Aoû - 1:11
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Je le regarde un moment quand il me dit qu'il ne sont pas sur le continent. Je ne suis pas idiot, et son petit rire nerveux le trahit, je comprend qu'ils sont en Russie. Mais que fait-il ici tout seul, si jeune..? Il pourrait avoir n'importe quel ennuis et personne ne pourrait l'aider ou le soutenir. Et avec toutes ses créatures qui traîne.. mon dieu, il pourrait même se faire tuer ! Je me pince les lèvres et pose téléphone, je ne veux pas lui apportait d'ennuis, je vais me débrouiller, mais qu'il ne recommence pas où je serais obliger de prévenir ses parents.

-Tu devrais retourner en Russie, avec tes parents. Tu y sera beaucoup mieux que dans cette ville.

Je le regarde un moment et déchire mes notes, avant de soupirer, je vais faire passer pour un accident, Mr Robbins va me passer un sacré savon en apprenant que je n'en fais pas plus contre, mais tant pis. Je suis sûr que je n'entendrai plus parler de ces deux jeunes, enfin je l'espère. Je n'ai pas envie d'apprendre que ce jeune russe c'est tuer par un vampire ou une autre créature. Je le regarde un moment, inquiet avant de me lever, je ne peux rien faire pour lui, j'ai déjà beaucoup trop de dossier à m'occuper pour me préoccuper d'un adolescent, pas encore mort. Si il pouvait juste faire en sorte de le rester. Je le raccompagne doucement à la porte

-Je ne vais rien dire à tes parents pour le moment.. tu devrais quand même réfléchir à rentrer chez toi. Et soit prudent.. Si tu a un problème, tu reviens me voir, d'accord ?

Je lui tend une petit carte cartonnée avec mon nom, mon numéro de téléphone et mon adresse si jamais il avait besoin de quelque chose où si il avait un problème. Je l'aiderai, il aura forcément besoin de quelqu'un ce n'est qu'un jeune sans famille dans une ville dangereuse. Je souris doucement.

-Tu peux me faire confiance, je sais que ce n'est pas toujours facile. Tu habite où ?

Je pourrais peut être lui rendre visite de temps en temps, pour m'assurer qu'il va bien..et qu'il ne sait pas fait dévoré par un "loup". Je ne peux pas faire grand chose pour sa sécurité a part veiller sur lui. Et si je peux le faire, je le ferais, c'est mon rôle.. Je suis shérif, je dois veiller à ce que les habitant soient en sécurité dans cette ville, même si cela est un peu difficile.
Jeu 6 Aoû - 16:44
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Après mes explications un peu embrouillées, le shérif me fixa. Je l'implorais mentalement "N'appelez pas mes parents, s'il vous plaît ne les appeler pas !". Il me regardait toujours, je le savais même si je ne le regardais pas, je sentais ses yeux qui étaient posés sur moi. J'aurais donné beaucoup pour savoir ce qu'il pensait à ce moment là. Puis je le vis poser le téléphone sur la table. Je me détendis un peu, tout n'étais pas gagné, mais c'était déjà ça. Je relevais la tête lorsque l'homme reprit la parole.
- Tu devrais retourner en Russie, avec tes parents. Tu y sera beaucoup mieux que dans cette ville.
Je fis un petit sourire contrit. Je n'avais aucunement l'intention de retourner à Moscou. Bien sûr, mon pays natal, mes amis, ma famille me manquaient ; mais il me restait tellement de choses à découvrir ici, de gens à rencontrer... Non, je ne pouvais pas partir tout de suite.
Le shérif me raccompagna jusqu'à la prote. Désormais j'étais entièrement soulagé. Il n’appellerait pas mes parents et je ferais de mon mieux pour me tenir tranquille et ne pas avoir de nouveau à faire à lui -ou à l'hôpital. Je ne pourrais pas toujours m'en sortir ainsi et mes parents avaient beau être compréhensif, je n'étais pas sûr qu'il tolérerait cela longtemps.
Le shérif me tendit une carte.
- Je ne vais rien dire à tes parents pour le moment.. tu devrais quand même réfléchir à rentrer chez toi. Et soit prudent.. Si tu a un problème, tu reviens me voir, d'accord ?
Je le remerciais et accompagnais ma réponse d'un léger signe de tête. Je m'absorbais ensuite dans l'observation de la carte. Elle était tous ce qu'il y a de plus ordinaire ; un bout de papier cartonné, sur lequel était inscrit un un nom -Aleksei Mendev- , une adresse et un numéro de téléphone. Je ne savais encore si j'allais m'en servir ou non...
Le shérif Mendev sourit en reprenant la parole.
- Tu peux me faire confiance, je sais que ce n'est pas toujours facile. Tu habite où ?
Sa question me surpris. A quoi lui servirait mon adresse ? De toute façon je n'avais rien, ou presque, à cacher. Je lui répondis donc sans le faire attendre.
- Dans un petit studio, du côté des résidences étudiantes. Pourquoi ?
C'était sortit tout seul la curiosité l'avait emportée.
Jeu 13 Aoû - 14:09
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